Alors que je suis dans le lit, un mystérieux visiteur vient profiter de mon corps avant que je ne le prenne en flagrant délit et lui offre de poursuivre ses actes. Lorsque Martin nous prend la main dans le sac, c'est une toute nouvelle expérience qui début...
Proposée le 6/03/2019 par Imagine69
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Je dînais seule ce soir-là et en profitais pour me reposer un peu devant la télévision. Martin m’avertit par message qu’il resterait tard en ville car il voulait passer la soirée avec son meilleur ami. En réponse, je lui envoyais une photographie de moi allongée sur le canapé avec mon haut de pyjama et le string que j’avais le matin même. Une main était plongée sous ce dernier et je mimais une masturbation. J’envoyais le message d’une main et ressentie l’envie de continuer à me caresser. Je fermais les yeux et commençais à faire un rêve érotique dans lequel je me faisais prendre par Martin et son ami, puis par Léon et enfin par Maxime, le fils de ce dernier. J’enfonçais deux doigts dans mon intimité et me massais la poitrine lorsque le téléphone vibra. Martin m’avait répondu : « Je serais prêt à te réveiller en arrivant ce soir pour te faire l’amour. ». Je répondis alors : « Fais vite parce que je m’impatiente et je risque de me retourner vers le père ou le fils Blouet. Ah et si tu veux ramener ton ami, n’hésites pas ». J’ajoutais un émoticon souriant et envoyais le message. Martin n’était pas au courant de ce que j’avais fait cet après-midi mais j’étais sûr qu’il aurait apprécier me voir satisfaire un client ainsi. Sa réponse ne tarda pas : « Je lui ai dit en lui montrant ta photo ! Nous pourrions le recevoir demain soir à la maison ? ». C’était une première chez Martin de me proposer à l’un de ses amis, mais j’approuvais en lui envoyant un photo où mon pyjama était relevé pour dévoiler mes seins et mon string un peu baissé pour mettre à jour mon intimité. Mon téléphone vibra une nouvelle fois : « Il n’en croit pas ses yeux et moi non plus. T’es une sacrée coquine ! PS : il me demande s’il peut garder la photo pour se branler ». Je lui répondais alors : « Hors de question, ce sera à moi de faire ça demain. Et en plus il aura toutes les photos qu’il voudra ».
La nuit était tombée depuis un bon moment lorsque je décidais de remonter dans ma chambre pour aller me coucher. Alors que je faisais un brin de toilette, j’entendis la famille Blouet rentrer dans la maison d’hôte. Même si les parents avaient dû demander à leurs enfants de rester silencieux, ceux-ci jacassaient plutôt joyeusement entre eux. Chacun parti dans sa chambre et je me mis dans mon lit en espérant que Martin ne tarde pas trop. Je m’allongeais sur le ventre avec mon haut et mon string et fermais les yeux pour trouver le sommeil. J’entendis alors le lit de la chambre des parents grincer et cogner contre un mur et me dis que Léon devait être une sorte de super-héros pour avoir encore la volonté de faire l’amour. Une dizaine de minutes plus tard j’entendis les cris de sa femme puis les siens et une fois le silence revenu, je fermais à nouveau les yeux. Cet épisode avait réveillé mes envies insatiables et alors que je glissais ma main vers mon bassin, je vis la poignée de la porte tourner.
Allongée sur le ventre avec la tête tournée vers l’entrée de la chambre, je fermais à moitié les yeux et vis la porte s’ouvrir sur une ombre assez grande. Ça devait être Martin qui rentrait pour me faire une petite surprise et je souris en restant de marbre. Une lumière de portable s’alluma et passa en revue toute la pièce sans que je puisse identifier mon homme. La lumière se dirigea vers une petite lampe de chevet posée sur un bureau à côté de l’entrée et la personne appuya sur l’interrupteur. Une lumière tamisée éclaira toute la pièce et je fermais instinctivement les yeux en continuant de faire mine de dormir. En les rouvrant légèrement, je fus stupéfaite de découvrir que ce n’était pas Martin mais Maxime qui était rentré dans ma chambre. Il ne portait qu’un boxer noir et je pus admirer ses abdominaux, ses pectoraux et des épaules saillantes et robustes. Ce jeune homme châtain avait tous les attributs d’un vrai Apollon. Il éteignit la lumière de son portable mais le garda en main, probablement pour filmer ses actes. Il regarda dans ma direction. Je fermais les yeux et entendis le parquet craquer sous ses pieds. Il s’approchait lentement de moi. Le jeune homme s’arrêta à côté du lit enleva discrètement ma couverture sans que je ne bouge. Je l’imaginais en train de détailler mon petit cul lorsque sa main effleura ma fesse puis la caressa. Je sentais la tension monter à mesure qu’il découvrait mes rondeurs puis ses doigts agrippèrent doucement l’élastique de mon string et le firent coulisser le long de mes jambes avant de l’enlever. Ce jeune homme n’avait décidément aucune gêne à venir dénuder une femme endormie en la filmant à son insu. Mais cela me plaisait énormément. Sa main se posa à nouveau sur ma fesse puis s’insinua entre mes cuisses. L’un de ses doigts s’immisça entre mes lèvres vaginales et caressa mon clitoris avant de s’enfoncer dans mon intimité. Je me pinçais les lèvres pour ne pas gémir et me demandais comment Maxime pouvait croire que je dormais alors qu’il me doigtait.
Peut-être se fichait-il après tout de savoir si je dormais ou non. Par envie et curiosité je continuais à faire semblant de dormir. Il continua des me doigter puis caressa de nouveau mon clitoris en lubrifiant mes lèvres par la même occasion. Son culot me faisait mouiller assez abondamment et de la cyprine supplémentaire coula dans la fente de mon vagin. Son doigt remonta mon entrejambe puis s’arrêta au niveau de mon anus. Il l’effleura en le lubrifiant avec mon nectar puis enfonça là aussi un doigt en filmant mon petit trou de plus près. J’atteignais un summum d’excitation mais ne voulais pas dévoiler mon jeu trop rapidement. Je sentais toutes ses phalanges s’insérer un peu maladroitement en moi et me doigter. Son doigt était aspiré à chaque fois par le phénomène de succion provoqué à cet endroit-là et Maxime compris alors pourquoi les hommes, dont son père, aimaient tant la sodomie.
L’adolescent retira lentement son doigt de mon anus, non sans le reluquer une dernière fois, et tout en continuant de filmer, il enleva son boxer et remonta vers mon visage. Je ne pus m’empêcher d’entrouvrir les paupières et vit son membre imposant à moitié bandé. Il devait bien faire vingt centimètres, soit plus que Martin et Léon, et sa circonférence dépassait également celle des deux hommes avec qui j’avais fait l’amour aujourd’hui. Je refermais les yeux en me demandant ce qu’il adviendrait maintenant. La réponse ne tarda pas et je sentis son gland effleurer mes lèvres de haut en bas. Il fallait de l’audace ou de l’inconscience pour faire ça mais Maxime ne s’arrêta pas là. Pensant toujours que je dormais, il braqua sa caméra sur moi, posa ses doigts sur mon menton et ouvrit ma bouche détendue. Alors que je pensais qu’il ne serait pas capable d’aller plus loin, son gland pénétra entre mes lèvres et acheva de les écarter. Je dû lutter pour ne pas m’étouffer et surtout pour ne pas jouer de ma langue et de mes connaissances en fellation pour contenter ce pieux qui se présentait à moi sans permission.
Maxime effectua de petits allers retours en me caressant la joue de sa main tandis que son sexe grossissait à vue d’œil. Il retira finalement son membre en laissant ma bouche ouverte et revint en arrière. Il saisit la couette et en essayant de paraitre le plus discret, il la passa sous mon bassin pour relever celui-ci. Il avait décidément bien du courage car si je me réveillais en hurlant, il fallait pouvoir assumer par derrière. Une fois les fesses en l’air, Maxime posa sa main sur ma cuisse et mon mollet gauche puis les remonta sur les côté en écartant grandement mes cuisses. Je sentis le poids de l’objectif se focaliser sur mon entrejambe puis les mains du jeune homme prendre appui à côté de mes hanches. L’instant d’après, Maxime tendait sa langue vers mon sexe et commençait à me lécher le clitoris. Ses mouvements étaient mesurés mais assez rapides et précis pour son jeune âge. Je ne pus réprimer un gémissement de plaisir et l’adolescent s’arrêta un instant pour savoir si j’étais réveillée. Je mis du miens et imitais un petit ronflement en me mordant les lèvres de plaisir. Il recommença son œuvre silencieuse et m’hydratait tout l’entrejambe, du clitoris à l’anus, en pénétrant chaque orifice avec sa langue humide. Malgré un petit manque d’expérience que l’on pouvait attribuer à son âge, Maxime se débrouillait comme un chef et je dû lutter pour ne pas continuer à râler de plaisir.
Au bout de cinq minutes qui passèrent trop vite, le bel adolescent s’agenouilla derrière moi et caressa tout mon entrecuisse du bout de son gland. Il s’arrêta à l’orée de mon intimité et exerça une pression continue avec son membre imposant jusqu’à ce que son extrémité s’engouffre en moi. Je réprimais un cri de plaisir et sentis Maxime avancer à tâtons. Les mensurations de son pieux dilataient sans vergogne mon antre et déformaient mes lèvres mais le jeune homme devait en tirer un certain plaisir et une profonde fierté. Après lui, son père ne pourrait pas toucher les bords. Il continua à s’enfoncer en moi et je me demandais si je n’avais pas sous-estimé la taille de son sexe car j’avais l’impression que l’on m’empalait sur une poutre interminable. Finalement je sentis ses bourses se coller à mon clitoris et Maxime posa une main sur mes fesses pour prendre appui. Il commença à aller et venir lentement en moi et mon bas-ventre me tiraillait de plaisir. Mon orifice acheva de s’élargir pour laisser passer ce mastodonte et le jeune homme augmenta la cadence en faisant rebondir mes fesses. Cette fois-ci il était quasiment impossible de concevoir qu’un tel vacarme puis me garder endormie et lorsqu’il se retira de moi je sautais sur l’occasion et me retournais d’un bond. Maxime fut réellement surprit de me voir debout et je ne lui laissais pas le temps de se relever. Il était agenouillé, le téléphone braqué vers moi, les abdos saillants et le sexe dressé. Je me levais vers lui en fronçant les sourcils et saisis son sexe pour officiellement l’empêcher de fuir et officieusement toucher et évaluer sa taille.
- Qu’est-ce que tu faisais ? l’interrogeais-je d’un air colérique mais sans élever la voix.
- Désolé madame, murmura-t-il d’un air hagard, j’ai fait une crise de somnambulisme et je me suis réveillé derrière vous comme ça, mentit-il.
- Ah bon ? Parce que s’introduire illégalement dans la chambre, me déshabiller, me doigter la chatte et le cul avant de m’enfoncer son sexe dans la bouche, me lécher et me sauter ce n’est rien, dis-je en usant volontairement de mots crus. Tu pensais réellement que je dormais ?
- Alors pourquoi n’avoir rien dit ? rétorqua-t-il en refermant son piège sur moi.
- Ce n’est pas la question ! essayais-je pour m’en sortir. Tu veux que je réveille tes parents pour leur dire ce que tu me faisais ? le menaçais-je.
- Si vous voulez, dit-il stoïquement, comme ça on pourra peut-être discuter de ce qui s’est passé cet après-midi…
- Et du fait que tu te masturbais derrière la fenêtre en nous regardant ? avançais-je en y allant moi aussi au culot.
Le jeune homme ne répondit pas et apparemment j’avais vu juste, il s’était bien masturbé en me regardant avec son père. Je sentais son sexe ramollir entre mes mains mais savais que je pourrais changer cela en temps voulu. Pour l’instant je voulais encore jouer
- Tu veux quoi au juste ? renchérissais-je. Que je te suce comme j’ai sucé ton père ? Que tu me sautes ou me sodomises comme il l’a fait? Tu veux jouir en moi ou sur moi ?
Encore une fois, j’utilisais des mots crus pour le faire réagir mais plus j’enchainais les questions, au plus l’adolescent semblait se renfermer sur lui-même.
- Alors ? le pressais-je en plongeant mon regard dans le sien.
- Vous n’avez toujours pas répondu à ma question, me lança-t-il avec une défiance que j’appréciais. Pourquoi n’avoir rien dit ?
Je le jaugeais un instant du regard, puis en guise de réponse je poussais son torse en arrière, prenais sa main tenant son portable, l’orientais vers mon visage et me cambrais en avant pour prendre son gland en bouche. Trop estomaqué pour pouvoir parler, Maxime me regarda le sucer avec entrain sans lui avoir demandé la permission, comme lui avait oublié de me la demander. Son corps musclé était tendu dans cette position et ses muscles saillaient tandis que je m’évertuais à faire repartir son érection. A force de succions, d’allers retours et de coups de langue bien placés, le résultat fut rapidement sans appel : Maxime bandait à nouveau comme un taureau. Les veines de son sexe ressortaient et je dû prendre sa hampe à deux mains pour la masturber convenablement.
- Tu n’avais qu’à demander pour la pipe, lui susurrais-je en arrêtant mon œuvre, et ça vaut également pour le reste, ajoutais-je en faisant référence aux autres vices. Dis-moi ce que tu veux sinon on arrête là, dis-je en le masturbant doucement et en jouant avec sa timidité.
Le jeune homme posa tendrement sa main dans mes cheveux, me regarda sans dévier et chuchota avec assurance : « Suce-moi ». Sans me l’entendre dire deux fois, je replongeais son sexe imposant dans ma bouche et l’aspirais avec précaution et méticulosité. Maxime continuait de me caresser soigneusement les cheveux et je pris une petite pause pour ramener une mèche, qui gâchait l’angle de vue de la caméra, en arrière. Ainsi il pourrait montrer à ses amis comment il s’était fait sucé pendant ces vacances, et peut-être que les réservations augmenteraient par la même occasion.
- Tu as un sexe aussi bon que gros, le complimentais-je en me mordant les lèvres et en lui envoyant un regard coquin. Que dirais-tu de laisser ta colère s’évacuer sur moi, de serrer ta main sur mes cheveux et de faire sentir à mes lèvres qu’elles n’ont pas été gentilles aujourd’hui ?
Je ponctuais ces derniers mots par des léchouilles coquines sur son gland puis posais sagement mes mains sur le lit. Je sentis celle de Maxime se plaquer contre l’arrière de ma tête et son corps se redresser vers l’avant. Je maintenais mon regard dans le sien et me léchais les lèvres pour l’attirer vers moi. Son sexe fièrement dressé se rapprocha en même temps que lui et je me contentais d’ouvrir la bouche en entourant l’extrémité de son gland. J’avais fait un grand pas vers lui, et maintenant c’était à lui que revenait la lourde tâche de transformer l’essai. Tout en continuant de fixer l’objectif de son téléphone sur moi, Maxime enfonça lentement son membre dans ma bouche jusqu’à taper ma glotte puis le ressortis en pensant que je m’étouffais. De la bave tomba sur le lit et mes yeux remontèrent vers les siens.
- Je suis sûre que tu peux mieux faire, lui lançais-je avec un air de défiance.
Maxime répéta l’opération avec un peu plus de vigueur puis ressortis une nouvelle fois son sexe. A nouveau, je lui dis :
- Je suis sûre que tu peux mieux f…
Je n’eus pas le temps de finir la phrase que le jeune étalon planta son sexe dans ma bouche et m’empêcha d’articuler. Cette fois-ci sa poigne était plus virile et son sexe crispé par le plaisir occupait toute ma bouche. Au lieu de se retirer, il enchaina des coups de reins virils en limant mes lèvres, obstruant ma bouche et faisant dégouliner plus de bave sur le lit. J’éprouvais un énorme plaisir à me faire besogner la bouche dans un adolescent qui me filmait et qui, j’en était sûre, ne garderait pas la vidéo que pour lui. Maxime donnait toute latitude à ses envies et mes joues restaient marquées par les mensurations de son sexe. Soudain, la porte de la chambre s’ouvrit en silence et Martin fit son apparition. Maxime retira son sexe de ma bouche avec un certain temps de retard et se leva face à mon homme en tentant de cacher son sexe bandé.
- Tiens, tiens, tiens, dis Martin en rentrant dans la pièce et en refermant la porte derrière lui. Qu’est-ce que nous avons là ?
- Dé… Désolé monsieur, bégaya Maxime en proie à une arythmie cardiaque.
Le jeune homme restait planté au milieu de la chambre sans savoir où se mettre et Martin le contourna pour venir vers moi. Il me fit un clin d’œil et posa son pouce sur ma lèvre inférieure d’où coulait un filet de bave.
- Vous étiez en train de vous faire sucer par ma femme, jeune homme ? dit-il en prenant l’ascendant sur Maxime. Et en plus vous la filmiez ? ajouta-t-il de façon rhétorique en pointant le téléphone du doigt et en laissant le silence s’installer. Vous en avez une sacrée paire de couilles pour faire ça dans notre lit et à mon insu, continua-t-il en se mettant à côté du bel étalon à la façon d’un lieutenant de l’armée invectivant son subalterne. Vous avez aussi une sacrée queue, poursuivit-il en me tendant la main derrière le dos de l’adolescent pour que je la prenne et que je les rejoigne, et je pense qu’elle serait bien mieux au chaud dans la bouche de ma femme.
Martin détacha les derniers mots et Maxime mit un certain temps pour percuter. Mon homme me laissa passer entre eux et je vins m’agenouiller poliment devant le jeune homme qui maintenait ses mains en forme de bouclier devant son sexe.
- Ça te dérangerait que je prenne ça ? demanda Martin avec confiance.
Maxime, qui me regardait depuis que je m’étais agenouillée devant lui, le jaugea un instant du regard puis lui tendit son téléphone qui continuait de filmer la scène en découvrant une partie de son sexe. Je saisis lentement son autre main et l’écarta de mon objectif. Le jeune mâle n’émit aucune désapprobation et tandis que Martin orienta le téléphone vers moi, je saisis le sexe de bandé par la passion et l’enfonça méticuleusement dans ma bouche. Maxime ne le savait pas mais c’était la première fois que je suçais un autre homme devant Martin et l’excitation était à son paroxysme autant pour lui que pour moi. Il aimait avec jalousie me voir sucer une autre queue autant que j’aurais aimé voir une autre femme, chaude comme la braise, s’activer sur son bassin avec fougue. Ma main glissa entre mes cuisses et je me masturbais tout en poursuivant mon œuvre. Martin ne perdait pas une goutte du spectacle et je sentais son sexe se tendre davantage dans son pantalon. J’aurais voulu lui ôter ce dernier et le sucer à son tour pour le faire entrer dans la dance mais il fixait les règles du jeu et se tenait à l’écart.
- Cette façon que tu avais de la forcer à te sucer quand je suis entré, tu pourrais recommencer ça pour moi ? demanda Martin à l’attention de Maxime.
Maxime hésita, puis tourna son regard vers moi. J’avais momentanément arrêté mes vas et viens et avais enlevé ma main de son sexe pour la poser sagement sur ma cuisse. Je l’implorais du regard, gardais son gland enfoncé entre mes lèvres et attendais son jugement. Finalement, l’adolescent reposa ses mains sur ma tête en agrippant mes cheveux et entama de lents allers retours en faisant résonner des bruits de salive retournée dans toute la pièce. Martin plaça l’objectif de façon à me prendre de profile et encouragea Maxime à y aller plus fort et plus vite car j’aimais ça. Je reconnaissais là mon homme qui savait pertinemment comment m’allumer mais aussi le jeune adolescent qui ne se le fit pas dire deux fois et intensifia ses allers retours en moi. De la bave coulait sur mes cuisses et je fermais les yeux en me doigtant pour me concentrer, respirer et déglutir autant que possible. J’adorais me faire prendre de la sorte car les hommes se révélaient sous leur vraie nature et je prenais leur ardeur comme un compliment personnel. Je sentais que Maxime allait se décharger en moi mais il coupa court à ses envies, se retira de ma bouche en emportant un filet de bave et me leva en me laissant à peine le temps de retirer mes doigts de mon intimité. Il m’emballa passionnément devant la caméra sans se soucier de ce que mon homme pourrait dire et passa ses mains sur mes fesses en les malaxant virilement. Il attrapa ensuite les bords du décolleté de mon pyjama et sans que je n’ai eu le temps de dire quoi que ce soit, l’arracha d’un coup sûr et net. Impressionné par cette prestance, Martin siffla tout en continuant de nous filmer. Maxime était devenu un taureau indomptable mais ses gestes, bien que viriles et fermes, renfermais une part de sensualité hors du commun. Il finit de me débarrasser de mon dernier vêtement et je sentais son mât robuste et chaud plaqué contre mon ventre. Il quitta mes lèvres pour embrasser fougueusement mon cou puis pencha la tête et couvrit mes seins de baisers, de léchouilles et de succions. Mes mains se perdaient dans ses cheveux châtains et Martin me filmait en train de gémir de plaisir. Lorsque Maxime se redressa, nos langues et nos lèvres se redécouvrir avec entrain tandis que je remontais une jambe sur sa hanche.
Le jeune homme comprit le message et passa une main sous ma cuisse, me fournissant l’appui nécessaire pour que j’escalade son corps et que je noue mes mollets dans son dos musclé. Mon bassin était plus haut que le sien et je libérais son sexe d’entre nos corps pour le poser à l’entrée de mon intimité. Lorsque je me sentis prête, je fis coulisser mon bassin vers le bas et m’empalais lentement sur la poutre dressée du jeune garçon. Nous continuâmes de nous embrasser et malgré la douleur, je poursuivais inexorablement ma chute vers son pubis. Je sentais le membre imposant de Maxime compléter chaque vide à l’intérieur de moi et dilater mon vagin comme rarement il l’avait été. Une fois ma descente au paradis terminée, la valse de nos bassins s’entama, aidée par tous les muscles de nos corps respectifs. Malgré nos allers retours sauvages, le jeune étalon musclé ne titubait pas d’un pouce. Il restait debout fièrement. J’entendis Martin s’assoir sur le sol derrière moi pour filmer de plus près le sexe de Maxime me pénétrer en limant mes lèvres vaginales. Je ne savais pas si c’était l’esprit artistique de ce dernier qui se manifestait ou si c’était sa mémoire qui le guidait, mais je sentis l’une de ses mains remonter vers le bas de mon dos avant de descendre le long de ma raie et de présenter un majeur sur mon petit trou. J’arrêtais d’embrasser le garçon qui continuait de me besogner, et enserra ses joues d’une main en posant mes doigts de chaque côté de son visage. Je plongeais mon regard dans le sien en gémissant doucement et en ne manifestant aucune désapprobation. Le message était clair : je voulais qu’il voit l’effet que me faisait un doigt dans le cul.
Il pressa sur mon sphincter et je gémis de davantage en sentant sa phalange me pénétrer et son sexe durcir en moi de plaisir. Je savais que Martin filmais mon entrejambe et se réjouissait de voir le doigt de Maxime s’enfoncer inlassablement en moi. Une fois complètement en moi, le jeune étalon poursuivi ses coups de reins, nos bassins se rapprochèrent et nos bouches se rejoignirent à nouveau. Malgré son jeune âge et sa faible expérience, Maxime savait comment me prendre. Il n’était pas trop demandeur mais en même temps pas passif et j’aimais cela chez lui, comme chez la majorité de mes amants. Alors que nos corps commençaient à glisser l’un sur l’autre à cause de nos efforts, le jeune homme activa son doigt en moi et je sentis immédiatement mon excitation exploser. Mes muscles se raidirent, mon clitoris chercha son pubis pour s’y frotter tout en empalant mon vagin sur le mât puissant de Maxime, et j’atteignis l’orgasme. Mes cris avaient oublié la présence de la famille Blouet tant ils étaient forts et passionnels. Pour l’occasion, Martin s’était relevé et me filmait en train jouir et de me faire prendre. J’adressais un regard à la caméra en me mordant les lèvres et en sentant ma cyprine dévaler le sexe de l’adolescent.
Assez rapidement, le beau jeune homme m’allongea sur le lit en posant délicatement ma tête sur l’oreiller. Il délaissa mes lèvres pour repartir à la reconquête de mon corps tandis que Martin s’asseyais à côté de moi en le regardant faire. Nous échangeâmes un regard complice alors que Maxime s’attaquait coquinement à mes seins montant et descendant au rythme de ma respiration saccadée. Ses baisers étaient à la fois doux et viriles. Il parvenait à cacher une profonde excitation et à maitriser ses gestes pour ne pas paraitre trop inconvenant, ce qui était mignon. Il retira son sexe imposant du mien et descendit encore en couvrant mon ventre de baisers, puis mon pubis. Il fit durer le suspense en embrassant mes cuisses et mes mollets lui revint lentement vers mon bassin. Je me mordais les lèvres en attendant ma gâterie et jetait un coup d’œil pétillant à Martin qui se délectait de voir sa copine se faire lécher par un autre homme. Maxime passa une partie de la couverture sous mes fesses pour rehausser mon bassin et fit passer mes cuisses sur ses épaules tel un gentleman.
Il admira un instant mon entrejambe mouillé qui lui était offert puis plongea son regard dans le mien et avança sa tête. La douceur de sa langue s’introduisant entre mes lèvres m’électrisa instantanément et me fit gémir. Ses gestes étaient méticuleux, sensuels et emplis de connaissances sur le corps des femmes. Je posais une main sur sa tête sans hésiter et ondulait de façon incontrôlable mon bassin pour recevoir ses caresses. Martin me demanda si j’aimais ce que le jeune homme me faisait et entre deux râles je lui répondais que j’adorais et que je pourrais me faire lécher toute la journée par ses soins. Mon homme me caressa la joue en me filmant puis enfonça son pouce dans ma bouche. Je l’aspirais immédiatement et Martin comprit à quel point j’avais envie de le sucer. Je posais ma main libre sur son pantalon et sentis qu’il bandait comme jamais. Il s’obstinait cependant à me refuser l’accès à son membre tant convoité. Maxime descendit dans mon entrejambe en emportant de la cyprine avec lui, et commença à hydrater mon anus en enfonçant de temps à autre sa langue dedans. L’adolescent revint ensuite vers mon clitoris et prit l’initiative de renfoncer son majeur dans mon petit trou. Mes orteils se tordirent de plaisir et je décidais de faire part des agissements de Maxime à Martin pour l’exciter davantage et garder une trace filmographique de ce moment. L’excitation me regagnait rapidement et je dis au jeune homme :
- Si tu comptes me sodomiser et me préparer pour ça, il vaudrait mieux que t’utilises deux doigts.
Il hésita un instant, retira son majeur jusqu’à l’ongle, accola son index et enfonça les deux doigts dans mon anus en poursuivant ses léchouilles sur mon clitoris. Mon ventre se creusa de plaisir et je regardais fiévreusement Martin au-dessus de moi. J’en vins, dans les derniers moments précédents l’orgasme, à l’implorer d’ôter son pantalon et de se planter dans ma bouche sans vergogne. Au lieu de faire ainsi, Martin se pencha vers moi et posa virilement sa main sur ma bouche pour étouffer mes cris de plaisir. De sa main libre, Maxime étreignit l’un de mes seins en me faisant presque mal. Il continuait de me lécher le clitoris et amplifiait de façon significative ses mouvements de doigts. Les miens s’agrippèrent à ses cheveux lorsque j’atteignis une nouvelles fois l’orgasme. Mes muscles se bandèrent tandis que j’éjaculais et sentais la mouille couler vers mon anus. Les doigts de Maxime s’étaient immobilisés au plus profond de moi dès la première éjaculation et je pouvais désormais les sentir me caresser de l’intérieur. Je peinais à me ressaisir et sentais les regards des deux hommes sur moi. Martin me libéra de sa main plaquée sur ma bouche et je pu inspirer grandement jusqu’à retrouver mon souffle.
Je regardais mon homme avec passion puis le vis faire un geste de la tête à Maxime qui retira lentement ses doigts de mon anus et se redressa en rapprochant son bassin du mien. Mes jambes qui étaient appuyées sur ses épaules étaient désormais en l’air, perpendiculaire au reste de mon corps allongé. Comprenant immédiatement les plans de mon amant, je posais mes mains sur mes fesses et les écartais autant que possible. Martin se repositionna vers nos deux bassins pour tenter de filmer la suite. Quand le gland dur et large du jeune étalon se posa sur mon anus, ma respiration s’emballa et mon cœur commença à battre la chamade. Je le regardais se placer avec désir et il me rendit ce même regard avant de pousser son bassin vers moi et d’enfoncer son sexe dans mon petit trou. Ma respiration s’interrompit, ma bouche s’ouvrit sans qu’aucun bruit n’en sorte et mes yeux implorèrent mon amant à la fois de continuer et d’arrêter tant c’était délicieux et douloureux. Bien évidemment, Maxime choisit la première option et il s’enfonça lentement mais sûrement en moi en déformant mon petit cul avec sa grosse poutre. Martin ne perdait pas une miette de ce spectacle et resta aux premières loges un bon moment. Maxime n’attendit pas que mon anus soit pleinement dilaté pour entreprendre des allers retours, certes petits mais douloureux. Je retrouvais ma voix ainsi que ma respiration et commençais à gémir de plaisir lorsque mon amant décida s’amplifier un peu plus ses mouvements. Il me challengeait physiquement et ignorait les lois régissant mon corps. Il était jeune et je ne pouvais pas lui en vouloir. De mon côté j’avais déjà terminé deux fois tandis que lui se retenait encore. Malgré cette douleur qui ne passerait sûrement jamais, j’adorais cette sodomie et la puissance qui émanait du corps parfaitement sculpté de mon étalon agenouillé.
J’écartais toujours mes fesses grâce à mes mains lorsque Maxime choisit une position plus favorable pour me pilonner le train arrière. Il rapprocha le haut de son corps vers moi, emportant avec lui mes jambes, pris appui sur mes seins en m’écrasant un peu puis allongea ses propres jambes comme s’il faisait la planche. Une lueur plus sauvage occupait désormais ses yeux et ses premiers coups de reins témoignèrent de ses intentions plus bestiales à mon égard. Sous le regard de mon copain, le jeune homme faisait tomber son bassin contre le mien comme tombe un marteau sur une enclume. Je ne savais pas ce que ressentais Martin en voyant ça mais beaucoup d’hommes auraient éprouvés de la jalousie en voyant leur copine se faire sodomiser pas un homme plus jeune et beaucoup mieux membré qu’eux. Ce mâle alpha s’appropriait la femme d’un autre et la faisait sienne en la marquant à jamais. Je subissais avec extase et douleur ces coups puissants qui s’intensifièrent davantage lorsque Maxime porta ses mains autour de mon coup et m’étouffa légèrement. J’adorais ce type de fétichisme et était moi-même quelque peu adepte du masochisme. La douleur qu’il me procurait décuplait par cent mon excitation et il le savait. Son bassin s’aplatissait de plus en plus rapidement sur le mien et je ne pouvais m’empêcher de crier longuement. Maxime se retira soudainement de moi et laissa le trou béant de mon anus paraître à la caméra que Martin tenait. A bien y réfléchir, mon homme ressemblait à l’un de ses reporters-explorateurs qui filmais au plus près les lions sauter les lionnes dans la savane. Sans se poser de question, le jeune lion assoiffé retourna la jeune lionne haletant que j’étais sur le côté vers le reporter, puis s’allongea derrière elle. Il guida son mât vers l’endroit qu’il venait de quitter l’enfonça d’une traite au plus profond de son amante qui cria de plaisir devant tant de bestialité.
Martin se positionna face à moi et filma Maxime me sodomiser en faisant fougueusement taper son bassin contre mon cul. Mes jambes étaient collées l’une à l’autre mais mes fesses étaient écartées par les dimensions surnaturelles du jeune mâle. Je libérais mon bras coincé sous mon corps et agrippa la ceinture de Martin qui bandait comme un taureau en me regardant me faire besogner de la sorte par notre client. Celui-ci fit une brève pause pour passer un bras sous mon corps et glisser sa main entre mes cuisses pour me masturber comme un diable. Il reprit sa sodomie énergiquement et me donna trois fessées sous le regard de mon homme avant d’enserrer de nouveau ma gorge. Mon corps suant entrait en transe devant l’objectif du portable. Le manque d’oxygène, la sodomie envoutante et le doigté implacable de Maxime achevèrent de me faire jouir en l’espace de seulement quelques minutes. Je ne sentais plus ce sexe immense limer les parois de mon anus tant le jeune homme m’avait transporté dans un univers parallèle situé à mi-chemin entre la bestialité et la sensualité, entre la douleur et la passion et entre le réel et le surnaturel. Sa voix me fit sortir de ma torpeur. Il me disait qu’il voulait éjaculer et me demandait s’il pouvait éjaculer dans mon cul.
J’acquiesçais de façon imperceptible puis sentit son bassin se coller à mes fesses, son sexe durcir comme jamais en moi et un flot de sperme se déverser dans mon antre. Il émit un grognement virile en vidant ses bourses dans mes entrailles puis me caressa doucement en posant ses lèvres dans mon cou. Nous restâmes un moment dans cette position, sous le regard de Martin qui éteignait le téléphone. Encore dans les vapes, je tournais la tête vers Maxime et trouvais ses lèvres aimantes pour les embrasser. Je me blottissais contre son corps musclé redevenu celui d’un agneau et tortillait mon bassin encore occupé contre lui. Cela l’empêcha de débander avec de la volonté j’aurais pu le faire repartir assez rapidement. Nous décidâmes cependant de nous arrêter là et le jeune homme se retira lentement de mon anus endolori d’où coulait son sperme. Je me levais en faisant en sorte de ne pas en mettre partout puis m’accordais le droit d’aller prendre une douche pour faire peau neuve. Je revins sur mes pas et embrassa mon amant d’un soir une dernière fois en le remerciant pour ce moment. Il s’excusa un peu maladroitement que m’avoir prise ainsi et me remercia à son tour. Je pris mon string qui était encore sur le lit et lui donnais en guise de souvenir. Martin me regardait sans mot dire mais avec un sourire au coin des lèvres. Je rentrais dans la salle de bain et me glissais immédiatement sous une douche chaude et réconfortante. Une dizaine de minutes plus tard je sortais de la douche et prenais à peine le temps de me sécher. J’ouvrais la porte donnant sur la chambre. Maxime avait disparu avec ses affaires et Martin était nu sur le lit en train de se masturber en regardant son téléphone. Je regardais son sexe avec gourmandise puis m’approchais du lit, toute aussi nue et sans avoir de quoi m’habiller.
- Maxime m’a envoyé la vidéo, me dit Martin en continuant de se masturber, je peux enfin voir le début et il a du cran ce petit !
- Continue de te masturber et de regarder, murmurais-je.
Je me glissais entre ses cuisses écartées, ôtais ses mains de son sexe et commençais à le masturber à sa place. Martin me lança un petit regard d’appréciation et au moment où la vidéo montrait Maxime me fourrant sa queue dans la bouche alors que j’étais endormie, je mis celle de mon homme entre mes lèvres et entrepris de le sucer tendrement. Elle était moins imposante que celle du jeune étalon mais tout aussi bonne. Je m’appliquais sur cette fellation en sentant ce sexe plein d’envies se durcir en moi par moment. Martin me regardait me faire sauter sur le téléphone puis me réveiller et réprimander notre jeune client avant de le sucer. Au moment où il faisait son entrée dans la vidéo, je sentis son sexe se raidir davantage et éjaculer dans ma bouche. J’arrêtais mes vas et viens mais continuais à aspirer son membre tout en contenant en moi sa semence chaude et épaisse. Martin contractait ses abdominaux saillants tout en gémissant de plaisir tandis que j’avalais méticuleusement son nectar. Il posa finalement son téléphone sur la table de chevet en me disant qu’il connaissait la suite, puis m’admira le sucer et récoltant ses dernières gouttes de sperme.
- T’es vraiment une coquine Sabrina, me dit-il en me caressant la joue. Je t’avais pourtant dit de ne pas faire de bêtise en mon absence, ajouta-t-il.
- C’est vrai, dis-je en léchouillant son gland pour le maintenir dur. J’aimerais me confesser davantage si je peux, lui proposais-je avec un petit sourire malicieux.
- Quoi ? s’exclama-t-il bouche bée en attendant de plus amples explications.
Je commençais à lui raconter la masturbation de Léon dans la salle de bain tout en le masturbant doucement. Martin buvait mes paroles sans mot dire puis je lui parlais de Léon qui m’avait rejoint à côté de la piscine et de mon idée d’enlever le haut de mon maillot. A ce moment-là, son sexe reprenait de la vigueur et son oreille m’écouta avec une toute autre attention. Je me mis sur lui pour l’empêcher de bouger et enfonçais son sexe dans le mien. Je lui contais comment Léon et moi nous étions embrassés puis comment je l’avais sucé et il m’avait léché tout en m’empalant sur son membre en rythme avec mes phrases. Mon homme ne semblait pas me croire dans un premier temps mais les détails que je lui fournissais le convainquirent peu à peu. Je lui dis ensuite comment le quinquagénaire m’avait fait l’amour et lui parla de la présence de Maxime, le cadet de la famille, qui nous observait depuis la maison. Je lui détaillais ensuite la façon dont Léon m’avait sodomisé puis avait éjaculé sur mon visage. Je sentais la jalousie de Martin au travers de ses coups de rein de plus en plus véhéments et poursuivais mon récit de cet après-midi passé avec notre client. Lorsque j’en arrivais à la levrette sur les marches de la piscine et à la seconde éjaculation de Léon en moi, je sentis Martin atteindre de nouveau l’orgasme et finir en moi avec fougue. Il me communiqua son excitation et j’atteignis à mon tour un énième orgasme. Je me retirais ensuite et vins me blottir contre lui. Malgré sa jalousie, Martin ne semblait pas très frustré et il me caressa tendrement. Nous discutâmes un petit moment en nous jurons mutuellement de recommencer ce genre d’expérience et de s’en parler. Puis mes yeux se fermèrent naturellement tandis que je sombrais dans les bras de Morphée.
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