Pour une fois, je laisse le clavier à ma belle Louise.
Proposée le 29/04/2015 par Ludwig
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Bonjour à tous, une fois n\'est pas coutume, c\'est moi qui vais vous parler de mon homme, Ludwig. Absent pour raisons professionnelles, il m\'a demandé de vous écrire un petit quelque chose et c\'est avec grand plaisir que je prends le clavier pour vous écrire. Je débute en écriture donc soyez indulgents.
Quelque temps après tout ça, nous dormions enlacés l\'un contre l\'autre, je sentais sa douce chaleur contre mon corps. J\'aime me blottir contre lui, il me protège, me câline tout le temps flattant mes formes. Je l\'ai senti se lever, mais j\'étais dans le lit empli de son odeur alors, je décidais de faire le chat.
Il est revenu plus tard, à genoux contre le bord du lit, il me couvrait de caresses. J\'avais l\'habitude de ne dormir qu\'habillée d\'une légère nuisette, souvent sans rien en-dessous. Il me caressait les épaules, le dos, les bras, ses grandes mains chaudes me faisaient un bien fou. Parfois teinté d\'un baiser dans mon cou, ses gestes tendres me comblaient de bonheur. Je me laissais caresser comme une chatte au coin du feu, ronronnant de ma peau flattée par ses doigts. Quel réveil, mon dieu quel réveil. Il passait sa main dans mes cheveux, embrassait mon front, mes joues, mes épaules. Pas de geste déplacé, juste de la tendresse à l\'état pur.
Mes narines s\'emplirent d\'un délicat parfum, j\'ouvrais doucement les yeux. Je trouvais sous mon regard mon homme torse nu, ses mains partout sur moi. Sur la table de nuit, un plateau, il m\'avait préparé le petit-déjeuner au lit. J\'étais aux bons soins de mon Ludwig. Je me redressais, un large sourire barrait mon visage. Il me contemplait, son regard empli de bienveillance. Il embrassa mon cou et remonta vers mon oreille dont il lécha délicatement le lobe. Je penchai ma tête pour lui laisser plus d\'accès.
-Aujourd\'hui, me susurra-t-il, je suis ton chevalier servant, tu es une femme merveilleuse et tu me combles, alors, on fera tout ce que tu veux.
Pour toute réponse, je l\'embrassai tendrement. Il passait sa main dans mes cheveux ce qui me rendait folle. Il posa sur les draps de soie un plateau rempli de victuailles délicates pour mon petit-déjeuner, un chocolat chaud, des croissants frais, de la confiture. Il a mis les petits plats dans les grands. Il me regarde manger de son air à la fois coquin et amoureux, ces yeux pour lesquels je pardonne tout. Il me caresse les jambes, les bras, les épaules. Je sens monter en moi une certaine sensation, ce plaisir d\'être là et de profiter de la vie. rien de sexuel, enfin, juste un peu.
Il me débarrasse, m\'embrasse en se dirige vers la cuisine pour tout ranger. Il m\'intime l\'ordre de ne pas me déranger et de le laisser faire. J\'enfile une robe de chambre en satin et je me dirige vers la cuisine. Il se tient, torse nu, juste en boxer dos à moi. Adossée à l\'encadrement de la porte, je reste à le contempler, il est beau affairé à sa vaisselle, à son rangement. Les muscles de ses épaules bougent et dessinent des motifs doucement érotiques dans son dos.
Je me dirige lentement vers lui. Il est plus grand que moi et même en me levant sur la pointe de mes pieds, je ne peux lui embrasser que la nuque. Je passe mes mains autour de lui, pose ma tête contre son dos. Je passe mes mains contre son ventre, ses pectoraux. Je me régale de son corps. Sa peau douce malgré une fine toison fait frissonner mon corps. Je sens une chaleur monter dans mes entrailles. Je le caresse de plus belle, lovée contre ses épaules. Je me sens si bien contre lui.
Je lui demande si je peux l\'aider, il me répond que tout est fini et que je n\'ai rien à faire. Il se retourne et me prend dans ses bras. Il me caresse, je me frotte contre lui, la chaleur dans mon ventre se traduit par une franche humidité dans mon petit minou. Je sens qu\'il n\'est pas insensible à ça mais je ne fais semblant de rien. Je continue à passer mes mains dans son dos et sur ses flancs. J\'aime sa peau, cette chaleur du réveil qui se dissipe à peine, les premiers rayons de soleil de ce début mai emplissent la pièce d\'une lumière blafarde, de rayons pastel. Il m\'étreint doucement, passant sa main dans mes cheveux, dans mon dos, rien de déplacé, juste de la tendresse. J\'aimerais un petit peu plus mais je sens que je vais devoir prendre les devants. Je me décolle lentement, je l\'embrasse sur ses lèvres, un baiser doux et passionné, profond et sensuel. Je sens mon ventre qui me demande bien plus. Je descends mes mains vers ses fesses, les empoigne à pleine main, je les pétris et je frotte mon ventre contre cette bosse qui commence à poindre.
-Mais dis-donc, on dirait que tu bandes mon chéri, dis-je avec plein de mauvaise foi, tu ne peux décidément pas rester dans la tendresse, il faut que tu en veuilles plus. Tu es incorrigible.
Je suis d\'une mauvaise foi manifeste mais il se laisse gronder comme un garçon.
-Je suis désolé, je ne contrôle pas trop ce genre de choses, mais je dois avouer que c\'était très doux.
-Moi qui ne voulais qu\'un câlin, tu as tout gâché.
-Je te prie de m\'excuser, je ne voulais pas, qu\'est-ce que je peux faire pour me faire pardonner? Me demanda-t-il en rougissant.
-Eh bien, tu vas devoir me faire passer cette excitation.
Il commence à se tordre et à essayer de l\'agencer de façon à ce qu\'elle ne saille pas trop dans son mince boxer. Je défais le nœud de ma robe de chambre et la laisse tomber à mes pieds.
-Non, pas sur toi mon chéri, tu m\'as excité, tu vas devoir y remédier.
Je le regarde avec un petit clin d\'œil et il se saisit de moi. Il me porte gentiment vers la table de chêne de la cuisine, me pose délicatement, j\'écarte délicieusement les cuisses, je suis bien plus trempé que je ne le pensais. Il m\'embrasse tendrement encore et encore, je me saisis de sa main et la dirige vers mes seins qui commencent à pointer. Il les caresse timidement, ma respiration commence à s\'amplifier, il couvre mon cou de baisers, il me mordille, je sens des petites vagues de plaisir grimper. Je lance ma tête en arrière, il pétrit mes épaules et descend de plus en plus. Je le laisse faire, le satin bordé de dentelle de ma nuisette laisse poindre mes tétons qui pointent. Il descend sa langue sous mes gémissements. Il écarte délicatement la fine bretelle laissant mon sein à l\'air libre.
L\'air ne sera pas longtemps en contact avec lui, non, il l\'avale immédiatement. C\'est qu\'il est doué le coquin, il le suce, le lèche, le titille, le mordille, l\'autre est sous les bons soins de sa main, il le soupèse, le pétrit, roule le téton entre ses doigts. Je sens le plaisir qui monte, qui monte. Il sait me faire jouir juste avec ça, je suis si sensible, j\'ai envie qu\'il me lèche, j\'ai envie qu\'il me fasse jouir mille et une fois. Il change sa langue de cible, l\'autre sein subit ses attaques si tendres, je ferme les yeux. Les étoiles viennent, je vais jouir, une lente vague inexorable monte en moi, elle s\'écrase sur mon corps, me submergeant. Je jouis dans un cri sans qu\'il n\'ait arrêté de me lécher, mon plaisir dure, dure, comme une note de musique qui se meurt.
Mes jambes sur ses épaules, je ne tiens plus, je m\'affale sur la table, couchée, la chatte à la merci de ses caresses. Il relève si c\'était nécessaire le bas, il embrasse mes cuisses, des tonnes de frissons m\'envahissent, mon orgasme m\'a laissée ailleurs, sur une planète étrangère, où ni le temps ni les évènements n\'ont de prise. Je ne sais si je respire ou je crie, je sais juste que j\'ai mes mains plantées dans ses cheveux, je me laisse faire. Il remonte sa bouche, embrasse mes lèvres, ce n\'est plus une humidité, c\'est un raz de marée. Il m\'essuie la mouille avec sa bouche, très lentement, j\'écarte les jambes encore plus si c\'était encore possible. Je savoure ses baisers, il ouvre mes lèvres avec sa langue, il me lèche de mon anus à mon petit bouton. Chaque coup est une vague de plaisir. Il lape l\'entrée de mon puits, je suis chaude, trempée, des bruits de succion me parviennent et m\'excitent. Je laboure ses cheveux.
Il maintient mes lèvres écartées et remonte petit à petit vers mon clitoris exacerbé, je tremble lorsqu\'il commence à le lécher. Je me tords de plaisir, je me cambre pour aller à la rencontre de cette bouche qui me fait hurler. Il donne des petits coups de langue sur mon petit bouton, il le prend dans sa bouche, il le suce, le malaxe de ses lèvres. Je ne sais plus où j\'en suis ni combien de temps ça dure. Il redescend la pression et revient vers mes lèvres gonflées, il titille mon clitoris avec ses doigts, le roulant comme il le fait avec mes tétons, c\'est si bon.
Il revient vers mon bouton d\'amour, deux coups de langue et je pars, un orgasme me traverse encore une fois, je jouis fort. Sa bouche toujours affairée sur mon sexe brûlant garde ma jouissance intacte. Jamais cet orgasme ne semble finir, il entre timidement un doigt à l\'intérieur de mon minou surchauffé. Je l\'accueille avec toute mon envie. Sa bouche toujours sur mon clitoris gonflé, je jouis encore, il joue avec ma grotte, les affres du plaisir durent, je ne sais si c\'est l\'orgasme précédent ou un autre mais je vois des constellations dans la cuisine, la lumière est irréelle. Il entre deux doigts et me branle franchement, la mouille coule partout, il les bouge à l\'intérieur, me suce toujours, je vais jouir encore. Deux doigts, pas plus, il sait comment me faire partir. La pièce est emplie de mon odeur, de mes cris qui résonnent comme dans une cathédrale. Je me touche les seins frénétiquement, c\'est si bon, si doux. J\'ai envie de me lécher avec lui.
Je l\'encourage à continuer, je sens sa langue titiller mon petit œillet rose. Il ne m\'a pris qu\'une seule fois par là avec Raphaël, depuis, il n\'a pas tenté mais aujourd\'hui, je le laisse faire. Je ne dis rien à part des cris de jouissance. Il rentre son doigt, la sensation n\'est pas désagréable, surtout avec ses doigts en moi. Deux doigts dans ma chatte, un dans mon petit cul, sa bouche sur mon clitoris, je vais jouir encore. Il joue avec tous les leviers de mon plaisir, mes tétons me brûlent, mes seins grossissent je ne sens que mon corps incandescent et mon sexe blanchi de plaisir.
Savamment, il dose ses gestes pour m\'amener à l\'orgasme encore une fois. Je ne sais quand il finit. Il se retire doucement, m\'embrassant le sexe, les cuisses, les seins. Il se tient à côté de moi quand je reprends mes esprits.
-Alors, mon cœur, je suis pardonné?
-Et comment, soufflai-je, tu as été divin.
Je caresse la bosse sur son boxer, ma main tremble encore, ma voix n\'est pas assurée.
-Mais toi, tu as toujours envie n\'est-ce pas? Laisse-moi te soulager.
Je voudrais bouger ma tête vers son sexe tendu mais je ne peux pas. Il se place entre mes cuisses que j\'écarte avec envie, il me pénètre facilement d\'une seule traite. Je crie un peu sous le choc de son gros membre en moi mais je suis tellement mouillée qu\'il rentre sans efforts. Mes genoux coincés sous ses mains, il me pilonne, lentement puis fort, sa queue sortant presque de mon minou béant. Je sens son gland me labourer, ses couilles butter contre mes fesses. Qu\'il est beau quand il me donne du plaisir. Mes seins bougent au rythme de ses coups de butoir dans mon intimité. Pour plus de plaisir, il me caresse le clitoris, ses doigts titillent mon sexe gonflé. Il va me faire jouir encore et encore. Je ne tiens plus, sa queue me transperce, je vais jouir. Je me relève, j\'agrippe ses fesses et je jouis fort autour de sa queue. Je me recouche sur la table. Je cherche mon souffle. Il embrasse mes seins, ils sont presque douloureux à force d\'être sensibles mais il me fait du bien, il me lèche avec application.
De ses mains puissantes, il me retourne, place ses mains sur mes hanches et me pénètre doucement. Je sens sa queue large remplir centimètre par centimètre ma chatte trempée. Il commence des va et vient doux, il sait qu\'il frappe le fond dans cette position. Il accélère, dieu que c\'est bon. Couchée sur la table, mes seins écrasés, je tends mes fesses pour plus de plaisir. J\'aime quand il est comme ça, à moi. Sa queue me pilonne, tantôt douce tantôt forte et puissante. Il me prend par les hanches, flattant mes fesses d\'une petite fessée, je gémis de plaisir quand il caresse la raie de mes fesses avec ses doigts. Il caresse mon petit oeillet rose. La sensation n\'est pas désagréable loin s\'en faut. Il rentre son pouce très doucement en moi. Il accélère ses coups de reins. Je sens qu\'il va jouir, sa queue frémit. Dans un dernier effort il lâche tout son jus d\'amour dans ma grotte d\'amour. Je jouis peu après, pour la dernière fois. Je ne sais plus où j\'en suis, je suis trempée, mes jambes tremblent et ne me soutiennent pas.
-Alors mon cœur, je suis vraiment pardonné?
-Oui, soufflai-je, tu as été merveilleux, tellement que je ne peux même plus bouger.
Il embrasse mon dos, mes épaules. Il me prend dans ses bras, me redresse doucement et me porte comme une mariée. Il m\'amène à la salle de bain. Il me pose sur une chaise, fait couler un bain chaud et me retire mes vêtements. Je suis nue face à lui, en sueur, trempée de désir, de son plaisir, les yeux brillants. Le bain coulé, il me plonge dedans délicatement et entreprend de me laver délicatement. Je reprends doucement mes esprits. Je l\'embrasse tendrement. Sur son visage, il y a toujours l\'odeur de ma mouille mais je la goûte avec plaisir.
Ludwig prend une douceur folle à me laver, il passe très délicatement l\'éponge sur ma peau, l\'enduisant d\'onguents fins. Il me traite à la fois comme un bébé et comme une reine. Je me laisse faire et mon souffle revient. Dans cette douce volupté, je me laisse bercer. Il m\'abandonne en me laissant un tendre baiser sur mon front et me laisse me délasser.
Bercée par le clapotis de l\'eau, par les odeurs délicates, par ce plaisir qui continue de mourir en moi, je m\'endors presque, entourée d\'une félicité sans pareille. Je ne sais combien de temps je suis resté là. Je sors, je me sèche, je coiffe mes cheveux avec soin, je me pomponne juste ce qu\'il faut et je sors. Ludwig m\'attend.
Il avait rangé la cuisine, la chambre, s\'était occupé de tout. Fraiche comme une fleur, je m’approche de lui, il me donne un doux baiser et va se doucher à son tour. Quand il revient, je suis prête, une jupe légère qui m\'arrive au genou, un chemisier en satin manches longues ouvert juste ce qu\'il faut sur mon décolleté, des bottes en daim et je l’attends dans un fauteuil.
Il a chaussé un pantalon à pincettes, une chemise élégante et un long manteau de cuir. Il est superbe, vraiment élégant et séduisant. Je m\'approche de lui en chaloupant mes pas, un petit regard faussement innocent et il se demande à quelle sauce il va être mangé. Je m\'approche de lui, j\'ai mis mes mains sur son torse, je lui donne un baiser et je le regarde droit dans les yeux.
-Tu es très belle, me dit-il la gorge presque nouée.
-Merci mon cher, tu as bien dit que tu étais à moi aujourd\'hui, n\'est-ce pas?
-Oui, je veux bien faire ce que tu voudras tant que ça te fait plaisir.
-Alors, nous sortons, j\'ai besoin de nouveaux habits et tu vas m\'aider, nous allons faire les magasins tous les deux en amoureux.
-Avec plaisir, je t\'accompagne bien volontiers.
Nous sortons bras dessous-bras dessous, je jubilais à l\'idée de passer une journée de rêve avec lui. Des idées me traversent l\'esprit. Je le guide autant qu\'il me guide, ses pas conjugués dans les miens. Je sens son odeur, sa présence même me rend heureuse. Nous entrons dans une première boutique, une grande enseigne de prêt à porter. Lui me suit et me donne son avis, je choisis des jupes, des robes, des chemisiers, des débardeurs, des vestes, tout ce qui me plait en somme. Ludwig, derrière moi porte ce que j\'ai prévu d\'essayer. Ne pouvant pas essayer tout en même temps, je fais de nombreuses séances demandant à mon homme ce qu\'il en pense. Après quelques séances, j\'essaye de le faire rentrer dans la cabine avec moi. Refus poli des vendeuses, les vigiles veillent au grain. Je continue mes essayages de tenues dans mon tout petit coin d\'un mètre carré. J\'ai une jolie jupe bleue et un débardeur avec des jolies bretelles à essayer.
Je suis presque nue quand le rideau s\'ouvre. Dans un courant d\'air, mon homme tout penaud m\'a rejoint. Il a le sourire du chat qui vient de manger le canari de la voisine. Je suis juste en sous-vêtements devant lui. Il me prend tendrement dans ses bras et m\'embrasse à pleines lèvres. Sa langue cherche la mienne, elles s\'enroulent, se caressent. Ce baiser est si doux. Il passe ses mains autour de moi, caressant mon dos, caressant mes flancs, mes fesses. Je me colle à lui.
Je sens une chaleur m\'envahir, des petits frissons me parcourir, du plaisir monter. Il est tout habillé mais je sens une bosse poindre à travers la fine flanelle de son pantalon. Coquine, je me frotte contre lui comme une chatte. Je l\'embrasse de plus belle, il passe ses mains puissantes sur mon corps et dans mes cheveux. Je tremble comme une feuille, pas par le froid mais par ses caresses qu\'il sait si bien me donner. Je passe une main sur son corps, dans son dos, sur ses fesses, et je finis par toucher doucement la bosse qui point sur son pantalon. Je le sens se crisper légèrement à mesure que je le caresse à cet endroit.
-Laisse-toi faire mon chéri, lui soufflé-je, tu as été un amour avec toi, laisse-moi prendre soin de toi.
Je descends vers cette proéminence que je ne lâche pas de la main. J\'ouvre doucement sa braguette, j\'en sors son membre toujours aussi imposant. Je le tâte de la main, je le branle doucement. Il est très dur, pointé vers moi. Je le savoure dans ma main, le jauge comme si c\'était la première fois que je le voyais. Il est beau, raide, large, long, avec de gland violacé qui me procure tant de plaisir en moi. J\'adore le voir, j\'aime encore plus l\'embrasser.
Je sens que je lui fais de l\'effet, il se tord sous l\'afflux de sang. Je le caresse autant que je le branle le plus doucement possible. Je lui glisse des petits baisers dessus, je caresse ses boules rondes lisses. Je l\'embrasse de la base au gland, dessus et dessous, des tout petits baisers tendres. Mon homme commence à respirer plus fort, il passe sa main dans mes cheveux. Je me sens bien mais je sais que le temps nous est compté et il suffit qu\'une vendeuse rentre pour que le plaisir prenne fin.
Toujours affairée sur son engin, je commence sérieusement à mouiller, je sens une grande chaleur m\'inonder. Une main sur mon string, je suis effectivement très mouillée. J\'ai toujours son sexe dans la main, l\'embrassant dans tous les recoins. Il fait de son mieux pour ne pas faire de bruit qui trahirait son état. Son membre toujours dur m\'excite beaucoup et j\'ai envie de lui faire plaisir après une partie comme celle de ce matin. Je le prends dans ma bouche, enduisant son gland de ma langue. Je l\'aspire, le pousse le plus loin possible dans ma bouche. Il vient cogner contre ma gorge. Je m\'applique de mon mieux, caressant ses couilles entre mes doigts. Il pétrit mes cheveux de manière très agréable quand je le ressors pour couvrir son gland de baisers et de coups de langue dévastateurs. Je titille le frein, le méat pour l\'avaler de nouveau. Je sais qu\'il ne résistera pas bien longtemps à ce traitement. Je le branle de ma main.
J\'adore le sucer, j\'adore cette odeur de plaisir, j\'adore sentir cette première goutte de suc qui annonce une excitation terrible. Je le regarde dans les yeux, accroupie, soumise à lui. Il me regarde avec amour et passion. Je suis sa petite coquine. Sa queue emplit ma bouche et j\'aime ça. Au chaud entourée de ma langue, je la gobe avec passion. Ses mains me tirent presque les cheveux, il va jouir.
Je le branle de plus belle, je le suce avec frénésie, son sexe est parcouru de petits spasmes, son gland sur ma langue, je sens qu\'il vient. Il plisse les yeux, il jouit des flots de sperme salé sur ma langue. J\'avale tout avec envie. Sa queue explose en moi, tremble, rejette des giclées de nectar au fond de la gorge que je m\'empresse de nettoyer. Je l\'aspire pour que les dernières gouttes soient à moi. Il me regarde avec émotion, je le lèche encore et encore.
Il sort pour ne paraître de rien. Pour la forme, j\'essaie et lui montre une petite robe noire avec des bordures en dentelle qui a l\'air de lui plaire. Je me rhabille, nous faisons un petit signe à la vendeuse retorde et nous sortons des cabines. Je me décide pour quelques articles qu\'il règle pour moi. Je l\'embrasse en sortant le remerciant de cette après-midi avec lui.
-Ce n\'est pas fini pour aujourd\'hui mon cœur, me dit-il coquin, tes dessous ont subi une petite explosion tout à l\'heure, il va t\'en falloir des neufs. Suis-moi.
Il me prend par le bras, son autre main chargée des sacs de mes achats. Dans cet automne qui reste clément, nous marchons tous les deux. Il m\'offre un thé dans un salon cossu avant de poursuivre vers un magasin de lingerie huppé. Nous entrons, Ludwig salue la vendeuse qui vient à nous. Une jolie blonde, grande, très mince, coiffée à la mode, se présente.
-Bonjour, je suis Elsa, puis-je vous aider?
-Bonjour mademoiselle, nous venons pour madame qui a besoin de nouvelle lingerie, pouvez-vous lui trouver chaussure à son pied?
-Bien entendu monsieur, je m\'occupe d\'elle, voulez-vous un café ou un thé messieurs-dames?
-Deux thés seront parfaits mademoiselle Elsa, répondis-je.
-Madame, veuillez me suivre, vous allez me dire ce que vous recherchez.
Je laisse mon homme avec mes paquets et je suis la jolie Elsa dans les méandres du magasin. Une fort jolie échoppe, discrète, des murs rouges, des présentoirs avec des dizaines de modèles de fort belle facture dans toutes les tailles et toutes les couleurs. Il y en a pour tous les goûts. Je pose mes affaires, une serveuse tout aussi jolie qu\'Elsa, une jolie blonde nous apporte deux tasses de thé. Ludwig m\'a rejoint et nous dégustons un thé assis sur une banquette en compagnie de la jolie vendeuse qui me questionne sur ce que j\'aime. Je suis un peu gênée de parler de ce genre de choses à une inconnue mais elle me détend et le magasin est désert. Au premier coup d\'œil, elle a deviné mes mensurations ce qui me trouble vraiment.
-Vous avez des proportions parfaites, me dit-elle, nous n\'aurons pas de mal à trouver quelque chose à votre taille. Nous avons de jolis modèles en fonction de ce que vous aimez. Tout vous ira, j\'en suis persuadée. Une taille 40 et un 90D à ce que je vois, ça sera facile.
Ces compliments me font un peu rougir, je me sens presque draguée mais la sensation est agréable. Ludwig reste assis sur la banquette, me faisant entièrement confiance. Il feuillette un des catalogues de la maison et je commence à déambuler dans le magasin avec la jolie vendeuse. Je lui dis ce que je préfère: la dentelle. Une fois le tour du magasin effectué, j\'ai dans le panier des shortys, des strings, un bustier, des porte-jarretelle, des soutien-gorge, des bas fins, il y a là de la dentelle à profusion. Elsa me dirige vers les salons d\'essayage. Ce ne sont plus les cabines étriquées du grand magasin mais des alcôves où l\'on est plus à l\'aise. Derrière un paravent très années trente, je me déshabille et passe un premier ensemble en dentelle et tulle. Elsa me découvre, je rougis à l\'idée de me montrer dans cette tenue face à elle.
Elle me contemple, se rapproche de moi, elle passe ses mains autour de mes hanches, dans mon dos pour régler le soutien-gorge, ses petites mains si douces me font frissonner.
-Eh bien, on dirait qu\'il a été taillé pour vous. Vous êtes parfaite dans cet ensemble. La taille des bonnets est bonne?
-Très bien, bredouillai-je, c\'est très bien.
-Ils ne vous empêchent pas de respirer? Me demanda-t-elle en passant sa main sur mes seins. On peut essayer plus grand sinon.
-Non, non, c\'est parfait, je le prends.
-Vous vous sentez bien madame? Je vous gêne? Si c\'est le cas dites-le moi.
-Je n\'ai pas vraiment l\'habitude qu\'on soit comme ça avec moi, mais ça va passer.
-Si ça peut vous aider, je peux me mettre sur un pied d\'égalité avec vous.
Elle se recule, se tourne dos à moi, enlève les boutons de son pantalon, le laisse lentement tomber à ses chevilles en se penchant me laissant voir ses jolies fesses, elle le chasse d\'un coup de pied me laissant découvrir de jolies jambes roses lisses. Elle se retourne face à moi et d\'un geste sensuel, elle enlève son haut. Elle est en string et en soutien-gorge devant moi. De la lingerie sobre mais très jolie sur son corps. Elle est beaucoup plus grande que moi, des formes plus fines que je lui envie. Elle a des petits seins, un bonnet B je pense, une peau douce. Je reste interdite en la découvrant.
-Voilà, il n\'y a plus de raisons d\'être gênée maintenant, me lance-t-elle.
Je passe derrière le paravent, je chausse le bustier et un shorty coordonné. Je me présente devant elle.
-Il vous va à ravir, vous n\'êtes pas trop serrée dedans? La taille semble bien.
-Oui, je me sens bien dedans. je vais vous le prendre.
Elle me tourne autour, passant ses mains partout pour vérifier que tout est bien ajusté mais assez lâche pour me laisser respirer. Chaque fois que sa peau touche la mienne, je sens un frisson qui me parcourt. J\'ai la sensation que ses yeux me transpercent et ses mains semblent prêtes à me dévorer. Elle reste professionnelle et a jugé avec talent ma taille.
-Avec un corps comme le vôtre madame, tout vous va. Il y en a beaucoup qui doivent se retourner sur votre passage.
-Ça arrive quelques fois, avoué-je en rougissant.
Je repasse derrière le paravent, j\'essaie un nouvel ensemble avec un soutien-gorge qui ne cache rien de mes seins, elle voit très bien mes tétons pointés malgré la relative chaleur du lieu. Elle tourne encore autour de moi me touchant et jaugeant la lingerie sur moi.
-Eh bien celui-ci aussi vous va parfaitement.
-Il n\'est pas trop osé vous pensez?
-Il est parfait, je vous assure.
J\'essaye un nouveau soutien-gorge, elle m\'a fait essayer un modèle qui s\'ouvre par le devant, entre les seins. Je me présente devant elle, il est confortable, je l\'aime bien et par devant, c\'est plus pratique que chercher l\'agrafe derrière. A peine s\'est-elle approchée que l\'attache cède et je me retrouve seins nus. Mouvement de réflexe, je cache ma poitrine. Elle sourit.
-Vous n\'avez pas l\'habitude de ce genre de modèle, je vais vous montrer.
Elle attrape les deux bonnets, écarte doucement mes mains, pose la dentelle sur mes seins avec beaucoup de douceur. Elle agrafe doucement les deux pans et me glisse à l\'oreille:
-Vous voyez, il faut bien le clipser sinon, il se détache, mais une fois qu\'on a pris le coup de main, ça va tout seul. Essayez, vous verrez.
Comme une idiote, je me retrouve à apprendre à attacher un soutien-gorge devant une si jolie fille. Après une dizaine de manipulations, je trouve le coup de main.
-Je vais vous en prendre trois comme ça, un de chaque couleur, j\'aime bien le concept.
-Avec plaisir madame. Je pense qu\'on a tout essayé, voulez-vous autre chose?
-Non, non, répondis-je timidement, ça ira pour cette fois, je reviendrai de toutes façons, mais merci.
-Je vous recevrai avec plaisir madame, merci pour cette après-midi en tous cas.
Elle vient vers moi, elle glisse un baiser sur ma joue et une main sur ma hanche.
-Nous cherchons des modèles pour des photos ou des petits défilés, vous seriez intéressée?
-Moi? Mais je n\'ai rien d\'un mannequin, regardez, je suis toute petite.
-Vous avez des formes et vos proportions sont très bien, toutes les femmes ne mesurent pas 1m80 et ne pèsent pas 50 kilos. Pour moi, une femme qui a une silhouette aussi jolie que la vôtre est nettement plus belle. Je vous laisse la carte du magasin. En attendant, vu le montant de vos achats, je vous fais une réduction de 10%.
Je me rhabille, nous sortons, je retrouve mon homme en pleine discussion avec un autre mari accompagnant sa femme. Il me fait cadeau de mes achats de la journée. Elsa nous encaisse, elle me fait un sourire coquin et souhaite que j\'accepte la proposition de modèle.
Nous saluons et nous sortons. J\'ai la tête qui tourne, je me sens comme après avoir fait l\'amour. Cette Elsa m\'a troublée et j\'ai une immense envie de tendres moments avec mon homme pour chasser cette sensation.
Sortis du magasin de lingerie, j\'ai la tête qui tourne, le sexe en feu, les yeux qui brillent. Ludwig me prend par le bras, je me love comme une petite chatte contre son bras. La tête sur son épaule, je savoure cet homme qui me ravit au plus haut point. Son bras est chargé de paquets, il veille sur moi, son pas lent me permet de retrouver mes émotions. Nous marchons dans la ville et le soleil, revers de l\'automne se meurt à l\'horizon dans l\'axe de la grand-rue en un camaïeu de rose et d\'orange. Les boutiques s\'illuminent, les passants se pressent, nous avons la soirée pour nous. Nous passons devant un petit cinéma de quartier.
-Mon chéri, lui demandai-je, tu veux bien que nous allions voir Match Point de Woody Allen?
-Bien entendu ma petite femme, on en dit le plus grand bien.
-Oui, en plus, m\'asseoir me fera le plus grand bien après toutes ces émotions.
-Ces émotions, quelles émotions?
-Eh bien, dans la cabine d\'essayage avec toi et puis tout à l\'heure avec Elsa, avouai-je rougissant.
-Mmmh, il va falloir que tu me racontes ça dans les détails ma petite coquine.
-Si tu es sage petit coquin, répondis-je minaude en glissant un baiser sur sa joue.
Pas de queue à cette heure, nous savourons un thé dans la minuscule salle du cinéma. Le film que nous allons voir est déjà paru depuis longtemps et personne ne va dans les petites salles. En attendant, je savoure les vieilles affiches de films, de vieux classiques à l\'époque où elles étaient peintes. Des films des années cinquante, soixante. Le bar très rétro lui aussi est en vrai zinc, tout respire une atmosphère d\'un passé excitant. Des portraits de vedettes tapissent les espaces restants, certains dédicacés comme cette photo de Gabin fort jaunie même sous cadre. Je regarde Ava Gardner, Lauren Bacall, Sofia Lauren, Humphrey Bogart, Sean Connery. Peu d\'attente, quelques spectateurs se joignent à nous. Nous entrons. La salle est clairsemée, dans notre rangée, nous sommes seuls. Ludwig pose nos vestes et mes paquets sur le siège adjacent au sien. Nous nous installons dans ces vieux fauteuils en cuir qui ont vu défiler des dizaines de milliers de projections. Les nôtres ne grincent pas, une chance. Au mur, des vieilles statues égayent l\'épaisse tapisserie rouge bordeaux. L\'écran est masqué par un rideau rouge comme dans les anciens théâtres.
Le noir se fait, je me blottis contre mon homme ce qui n\'est pas bien dur au vu de la petitesse de l\'accoudoir. Quelques annonces pour des films à sortir, des petits films d\'auteur, indépendants, à l\'image de la programmation de la salle. Le halo de lumière illumine la salle et vient mourir sur l\'écran blanc. Le film commence. Mon petit homme passe sa main autour de moi, sur mon épaule. Le film est excellent, je savoure Scarlett Johansson tout autant que Jonathan Rys-Meyer. Le bras de Ludwig me caresse l\'épaule, le dos de manière si douce que j\'en ronronne de plaisir. Je l\'embrasse de temps à autre sur la joue, il me rend mes baisers et caresse mes cheveux, ou me donne des jolis baisers d\'amoureux sur les lèvres. Ma main descend sur lui, passe de son épaule à son torse. Je défais un bouton de sa chemise et je passe ma main sur sa peau douce. Il se laisse faire.
Sa main caresse mon épaule, mon dos, mes cheveux et une lente chaleur monte en moi. Je me sens câline, je savoure ces instants. Il me prend la main et la serre avec bienveillance. Je regarde la belle Nola faire l\'amour avec Chris et je me sens de plus en plus troublée. Je revois Elsa me toucher délicatement avec ses petits doigts.
J\'embrasse mon homme qui passe sa main dans mon cou, je frissonne quand le dos de ses doigts frôlent ma poitrine. Je me saisis de sa main et la guide vers mes bonnets de dentelle. Surpris, il se laisse faire. Ses mains se font inquisitrices avec une lenteur qui me frustre autant que m\'excite. Ses doigts frôlent la dentelle, je me rapproche de lui, l\'embrasse dans le cou et ses mains parcourent la lingerie en petits cercles autour de mon téton que je sens durcir. Je caresse toujours son ventre chaud et doux, je me sens si bien.
Je déboutonne mon chemisier pour l\'inciter à aller plus en avant dans son exploration, il passe d\'un sein à l\'autre toujours avec lenteur. Je suis folle quand je sens ses doigts titiller mes tétons, j\'aurais envie qu\'il les prenne à pleine bouche. J\'écarte un peu la dentelle, libérant un peu plus mes seins qui ne demandent que de l\'attention. Il s\'enhardit et en prend un entre ses doigts, il le roule, le touche, le caresse et me rend folle. Je fais de mon mieux pour retenir mes cris mais la situation m\'excite au plus haut point.
Vient une scène où les deux héros font l\'amour dans un champ, trempés de pluie, je fonds devant cette scène. Une vague de plaisir me gagne, elle arrive, très lentement, retenue depuis ce matin. Je me saisis de sa main et la glisse entre mes cuisses, j\'ai envie qu\'il me fasse jouir. Je remonte ma jupe et je le guide vers mon string surchauffé.
Il caresse mes cuisses de l\'orée de mes bas à mon intimité, ses doigts m\'enflamment, ma peau n\'est que plaisir, mes sens se mélangent. Je ne sais si je respire ou si je crie, mon esprit part. Ma main n\'est plus sur lui, je suis incapable de bouger, à travers la force de son amour, il me donne du plaisir, de la tendresse. Ses doigts se jouent de mes ressentis, ils vont et viennent sur cette peau lisse et si sensible. Je me tortille pour l\'attirer vers mon sexe gonflé, opprimé, il consent à remonter vers ma fleur en éclosion. Mes cuisses incandescentes l\'attirent vers leur sommet. Je mords sa chemise pour ne pas hurler quand son doigt caresse l\'étoffe. C\'est comme si son amour me touchait, il n\'est plus réel, il est plaisir, plaisir qu\'il me donne, il est concentré tout entier au bout de ses doigts, la pulpe digitale est un brasier qui marque au fer rouge mon sexe. Je me sens fondre, je me sens glisser inexorablement vers ce destin, vers cet orgasme libérateur. Je ne me débats pas, j\'accepte, je veux.
Il glisse sur les côtés et j\'écarte mon string pour qu\'il ait accès à mon petit minou. Je suffoque de plaisir en mordant sa chemise. Il touche mes lèvres, je l\'embrasse à pleine bouche. Mon clitoris sort de sa cachette et le premier contact me fait partir. J\'explose entre ses doigts, je retiens ma respiration, les ondes de plaisir me traversent, mon corps brûle, vole, cabriole dans l\'éther. Je jouis fort, très fort, longtemps comme rarement. Ses doigts fouillent encore mon sexe incandescent, prolongeant mon plaisir, j\'ai des étoiles devant les yeux, mes oreilles sont bouchées, je n\'entends que mon cœur qui veut sortir de ma poitrine tambourinant dans tout mon être.
Je ne sais combien de temps s\'écoule, je suis en apesanteur, flottante. Je ne sais si j\'ai les yeux ouverts ou fermés. Les secondes sont des heures, chaque contact est un tison exacerbant mes sens. Je redescends doucement, les étoiles quittent mes rétines, ma perception revient. Je peux constater que mon amoureux remet mes vêtements en place avec une douce prévenance. Il me donne un baiser au coin de mes lèvres et m\'étreint comme au début de la séance. Je plane encore, je ne sais où je suis mais je n\'ai pas suivi le film, c\'est certain.
Enlacés, nous suivons la fin du film, les dix dernières minutes, il me semble que je ne réussirai jamais à me lever. Le générique arrive, avec lui la lumière, les quelques spectateurs se lèvent, rassemblent leurs affaires et partent. Je reste figée à ma place, lovée contre cette épaule mouillée de ma morsure. Il me relève tout doucement, mes jambes tremblent un petit peu, l\'entrejambe est encore collant de mon excitation.
-Viens, me dit-il, on rentre à la maison, une bonne douche et un bon repas te feront du bien.
-Mon dieu quel pied mon amour, si tu savais comme tu m\'as fait du bien, c\'était divin. Merci mon amour, merci.
-Tu n\'as pas tout vu, ce soir encore je suis ton chevalier servant.
Il me glisse un baiser dans le cou, m\'aide à passer ma veste et nous sortons bras dessus-bras dessous. La nuit est tombée et avec elle une petite brise fraiche qui nous resserre encore plus. Nous arrivons à notre appartement. Il m\'ouvre, me fait rentrer, me débarrasse de ma veste, me guide vers notre salle de bains, me fait couler un bain chaud et entreprend de me déshabiller. Il fait glisser un à un mes vêtements. Il enlève mon chemisier, il embrasse mon cou et mes épaules, ses mains douces caressent mes bras. Il fait jouer la fermeture éclair et la jupe tombe sous un concert de baisers sur mes fesses. Mes bas tombent sous ses lèvres enduisant mes cuisses de tendresse. Il remonte et dégrafe mon soutien-gorge en pétrissant mes tétons du bout de ses doigts. Ses mains passent autour de mon ventre, sur mes hanches et atteignent mes fesses. L\'élastique de mon string cède sous ses assauts et me voilà nue pour lui. Mon corps encore tendu de mon orgasme, je me laisse aller. Il me guide vers la baignoire où l\'eau chaude et des sels m\'entourent sensuellement. Je me laisse dorloter. Il me glisse un baiser sur mes lèvres et me quitte sur la pointe des pieds.
Je sors de ma torpeur, je me lave et je sors de la baignoire. Je me sens bien, si bien. Je me sèche, et enduis mon corps de divers onguents. Je me parfume et je pars m\'habiller. En traversant le couloir, des odeurs de cuisine fine me viennent aux narines, mon homme a encore mis les petits plats dans les grands pour moi. Je décide de lui faire honneur. Sur le lit, les sacs de mes achats, je passe un soutien-gorge de dentelle rouge avec le shorty associé, et le porte-jarretelles assorti. Je passe une robe noire qu\'il affectionne, j\'arrange ma coiffure, un brin de maquillage et me voilà prête.
Je me dirige vers le salon, mon homme est là, il s\'est changé pendant que je dormais dans le bain et a dressé une table qui fleure bon le romantisme. Deux verres de vin sont placés, deux assiettes contenant une salade de légumes joliment agencés. Il m\'attend assis dans le fauteuil, il arbore une jolie chemise, un pantalon de flanelle fine. Il m\'invite à boire à nous deux, à ce couple qui dure, à notre amour, à notre passion jamais éteinte.
Une bouteille de Loupiac, le vin sucré vient à mes narines et à mon palais. Le repas s\'annonce grandiose, nous dégustons les légumes délicatement cuisinés arrosés de vinaigrette fine. La conversation est plaisante, il me presse d\'accepter cette offre de mannequinat pour la boutique, j\'hésite encore, je ne suis pas vraiment à l\'aise avec l\'idée de me montrer presque nue devant des inconnus. Je pourrais commencer par des photos, histoire de me mettre à l\'aise. Le dîner aux chandelles est somptueux puisqu\'en dessert, j\'ai un véritable coulant au chocolat. Je me délecte de ce goût exquis, de ce fondant. Tout a été parfait.
Pour séduire mon homme, je nous dirige vers le salon où nus nous étreignons en dansant sur Still Loving You de Scorpions. Je me frotte doucement contre lui, ses mains sur mes hanches, ma tête contre son épaule, je me sens si bien. Le slow qui tue continue je me sens bien contre lui. Il m\'enlace si tendrement, ses mains caressent mon dos et mes cheveux. Je me frotte à lui assez pour sentir une bosse poindre sur son pantalon.
-Ce soir, enfin, toute la journée, tu as été merveilleux pour moi mon amour, lui murmuré-je, ce soir, je te réserve une surprise, je suis toute à toi.
-Je t\'aime, je ne fais pas d\'efforts pour toi, prendre soin de toi est un tel plaisir. Tu es la meilleure femme qu\'un homme puisse rêver.
Nous nous embrassons tendrement, je me frotte à lui et cette bosse vient me chatouiller le ventre. J\'aime savoir que je lui fais de l\'effet. La chanson se termine et une autre tout aussi douce commence, je le pousse vers le canapé. Je l\'enjoins de rester où il est, je me déhanche, lentement, fais jouer mes formes et je le regarde dans les yeux, je me tourne en me cambrant, je me baisse pour le laisser admirer mes fesses, je me relève et libère la fermeture de ma robe, je fais glisser les bretelles et elle tombe au sol. Il me dévore des yeux, la lingerie que je porte semble lui plaire tant il semble prêt à me sauter dessus. Minaude, je le regarde dans les yeux, faussement innocente.
-C\'est ce que j\'ai acheté cet après-midi, ça te plait?
-Oh oui, comme t\'es belle.
-Tu aimes vraiment?
-Tu es superbe dedans, ça te va à ravir.
Il est un petit peu rouge, je le rejoins, enjambe ses cuisses et me présente face à lui, ses mains puissantes m\'enserrent, il m\'embrasse à pleine bouche, picore mon cou ce qui me donne des tas de frissons, je sens mes seins pointer. J\'ai envie de lui, je sens contre mon minou la bosse qui déforme son pantalon. Je me frotte contre lui et mon clitoris se gonfle petit à petit. Je passe mes mains dans son dos, sur son torse alors que ses lèvres descendent vers ma poitrine. Je le déboutonne et passe mes mains sur son torse. Sa peau clairsemée d\'une fine toison fond sous mes mains. Je lèche ses tétons roses et je savoure ce corps qui me plait tant. Telle une amazone je suis juchée sur lui, le dominant pour mieux m\'offrir.
De mon sexe, des clapotis de plaisir me viennent par le frottement de son excroissance. Je me sens si bien entre ses grandes mains, ma peau s\'anime de milliers de stimuli. Je l\'embrasse de toute mon âme, je le caresse de tout mon cœur, lui, m\'enserre contre lui et j\'aime vraiment ça.
Je descends vers cette queue si dure qui me donne tant de plaisir, je m\'agenouille entre ses jambes, je descends son pantalon, le fais valser à l\'autre bout de la pièce et je passe mes mains sur ses cuisses musclées. Je savoure ces jambes puissantes pour remonter vers son boxer déformé par une érection dont je me plais à être la cause. Je jauge à travers le tissu cet organe de plaisir. Sa taille me correspond parfaitement, je m\'approche par des dizaines de baisers de ce monument à mon plaisir. Je me saisis de l\'élastique et le boxer subit le même sort que le pantalon, dans mes petites mains, son engin sera toujours immense.
Je le branle doucement, cette peau douce fuyant sous mes doigts. Je le caresse de haut en bas, des couilles au méat, il est magnifique, tendu, altier. Je glisse des bisous tout doux tout autour me rapprochant, je sens son souffle s\'amplifier. Je le regarde dans les yeux, ses joues se parent de rose. Mes lèvres à quelques centimètres de son gland je le branle alors qu\'il se tend et se crispe.
Je glisse des petits baisers partout sur cette magnifique verge, je sens le sang affluer et le membre est parcouru de petites convulsions. Je le savoure du bout des lèvres, je vois ses mains se crisper sur les coussins du canapé. Je le branle toujours lentement, d\'un geste ample, mes baisers parcourent son engin sur toute sa surface, il se retient de me supplier de le prendre dans ma bouche, je prends un malin plaisir à le faire mariner.
Je sens son souffle court, ma main sur ses testicules, je remonte ma bouche doucement en un millier de baisers pour le prendre en moi. Je ne parviendrai jamais à l\'avaler en entier, il m\'emplit jusqu\'à la gorge, je l\'enduis de salive avec ma langue. Son gland dans ma bouche, je le branle doucement, je le lèche, il est si dur. Je sais qu\'il ne va pas tenir longtemps à ce rythme. Je me dégage, je souffle le chaud et le froid, je le regarde dans les yeux alors que ma langue caresse ses boules lisses.
-Tu aimes mon cœur?
Il gémit plus qu\'il ne répond, je le rentre à nouveau en moi et je sens ces petites convulsions, il va jouir, signe confirmé par ses mains qui caressent mes cheveux. Je sens des giclées de doux nectar qui m\'inondent la bouche, son suc crémeux emplit ma gorge et je nettoie tout consciencieusement. Je suis la maîtresse de ses émotions, de son plaisir et j\'en tire une satisfaction folle. Il se crispe sur mes cheveux alors que je finis de lustrer son membre. Les dernières gouttes sont pour moi, je la laisse redescendre un peu avant de retourner l\'embrasser.
Je me frotte toujours sur lui et il ne semble pas perdre sa virilité aussi rapidement. Il m\'embrasse tendrement et me susurre à l\'oreille comme il m\'aime et comme il aime ce que je lui fais. Il est nu contre moi, sa peau contre la mienne, ses mains se placent sur mes fesses. D\'un coup, il me soulève et me place couchée sur le canapé. Sans autre forme de procès, il embrasse mes jambes, et remonte doucement vers mon puits de plaisir. Il frôle la dentelle de sa bouche puis remonte vers mon ventre qu\'il caresse très doucement, faisant monter une grande chaleur qui part de mon sexe. Il remonte vers mes seins qu\'il libère de leur étreinte. Il les embrasse très doucement, sur toute leur surface, il roule mes tétons entre ses doigts, il les lèche, les embrasse, les suce avec avidité, je sens un orgasme qui monte à mesure que ses mains descendent vers mes cuisses, je respire plus fort, le pétris ses cheveux, je me tortille à mesure que le plaisir monte.
Je suis couchée sur le canapé et lui est à genoux sur le sol, sa main descend vers mon shorty et caresse doucement mon pubis qui s\'échauffe de plus en plus. Je sens ses lèvres passer d\'un sein à l\'autre, mes tétons sont durs, dressés, j\'ai envie de jouir mais il fait redescendre la pression dès qu\'il sent que ça vient. Il parcourt mon corps et il descend sa langue délicatement vers mon intimité brûlante. Je me laisse aller mais maître de lui, il m\'amène aux frontières du plaisir suprême dans jamais franchir la limite.
Ses lèvres embrassent l\'intérieur de mes cuisses, ses doigts pétrissent mes seins, je ne sais plus où j\'en suis déjà. Je sens ses mains qui me retirent délicatement mon shorty, il lèche toute mon intimité sans y aller franchement, juste un coup de langue sur mes lèvres. Je me tortille et je le supplie de me faire jouir, ce qu\'il refuse d\'entendre, il continue à prendre le même rythme, je balance mon bassin d\'avant en arrière pour l\'encourager à aller plus loin. Très lentement, sa langue se fraie un passage entre mes lèvres gonflées de plaisir. Il passe sur mon clitoris et je ressens le plaisir de mille orgasmes, je décolle pour de bon, lui, garde le rythme, je n\'en peux plus.
Je jouis fort et sa langue parcourt toujours mes lèvres plus profondément, il s\'attarde sur mon clitoris rouge de désir. Je mouille comme une folle, mais je suis ailleurs, ses mains sur mes seins, sa bouche contre mon sexe, c\'est trop bon, j\'en veux plus, encore plus. Il laisse un de mes seins de côté et présente un doigt à l\'orée de ma petite chatte. Je voudrais l\'encourager mais je ne contrôle plus rien, mon orgasme dure encore et encore.
Sa langue est dardée sur mon clitoris et il le suce avec avidité. Il est doué, très, il le lèche, le titille, le suce. Je le sens entrer délicatement un doigt en moi, il joue avec mon minou et à peine ai-je pu me remettre de mon premier orgasme qu\'un deuxième me terrasse. Il me laisse reprendre mes esprits, je suis loin, si loin, mes yeux sont constellés d\'étoiles, mes jambes tremblent, mon corps n\'est que plaisir, mon sexe est en feu.
Je sens son sexe se présenter à l\'entrée de ma chatte, je sens mes lèvres qui s\'écartent, son gland force mon passage avec tendresse, il est en moi, il m\'emplit, il me fait beaucoup de bien, il s\'active en moi, sa queue laboure mes chairs et je sens mon intimité trempée lui faire un accueil de roi. Il me donne un plaisir fou, je sens son sexe entrer en moi avec une facilité déconcertante. Je viens sur lui, j\'imprime mon rythme, c\'est si bon, mon clitoris frotte contre lui augmentant encore mon plaisir.
Un nouvel orgasme me prend, je reste tétanisée quand la vague de plaisir vient me prendre une troisième fois. Je reste interdite, plantée en lui, à la merci de mon plaisir. Je retrouve mon souffle alors qu\'il me caresse tendrement.
-Tu te souviens que je t\'avais dit que j\'avais une surprise pour toi mon petit coeur?
-Oui, je me souviens, qu\'est-ce que c\'est?
-Eh bien, ce soir, je voudrais que tu me prennes par derrière.
-Tu veux dire en levrette?
-Non, gros bêta, je veux que tu prennes mon petit trou, mais tu me promets d\'être doux hein?
-Oh, mon petit cœur, t\'es un amour, tu me guideras, tu me diras si je te fais mal.
-Oui, sois doux parce que tu en as une grosse toi.
Il m\'embrasse tout tendrement, ses mains sur mon corps me font un bien fou. Je me retire de lui, je me présente à quatre pattes face à lui. Il lèche mon petit trou en caressant en même temps mon clitoris. Sa langue si douce vient détendre mon œillet. Il glisse un doigt lubrifié de mouille et la sensation n\'est pas désagréable. Je n\'ai que peu pratiqué la sodomie, la dernière fois, c\'était avec Raphaël, son ami. Il fait coulisser son doigt dans mon anus et en rentre un deuxième. Ils glissent bien, lubrifiés par ma chatte en feu. Je lui fais signe et il approche son gland de ma petite porte.
Je me détends le plus possible et il entre petit à petit en moi. Un peu de douleur au début puis un franc plaisir. Sa queue entre en moi avec une pression constante, et au bout d\'un moment, il se retrouve enfoncé jusqu\'à la garde. Je me sens remplie, pleine, il commence de lents va et vient, sa grosse queue coulissant sans efforts. Je lui fais signe, il accélère doucement. Les sensations sont différentes mais ce n\'est pas désagréable. Il s\'active dans mon petit cul et je me caresse en même temps le clitoris. Il est doux, caresse mes fesses, je le regarde avec amour. Je sens qu\'il va jouir, il accélère et se fige. Je sens un flot de crème me couler dans l\'anus. Il s\'effondre à mes côtés, heureux et repus.
Nous nous embrassons encore et encore, enlacés, essoufflés, trempés de sueur, nous savourons une tendre étreinte après cette journée riche en plaisirs. Lovée contre lui entre ses bras, je ronronne comme un petit chat, aujourd\'hui, j\'ai eu une dose de plaisir comme rarement avant et comme jamais avec un autre homme. Même cette dernière expérience ne me laisse pas un mauvais souvenir.
-Merci ma chérie pour ce joli cadeau, merci, tu n\'as pas eu trop mal?
-Au début un peu oui, mais c\'est pas désagréable. Merci à toi pour cette superbe journée. Je t\'aime.
-Moi aussi je t\'aime, tu es une femme délicieuse. Merci pour tout.
Ludwig me porte jusqu\'à la salle de bain où nous prenons une douche rapide tous les deux ponctuée de baisers et de caresses. Secs, il me porte dans la chambre, il me couche délicatement sur le lit et je m\'endors tendrement lovée dans ses bras. Dieu que cette journée a été merveilleuse.
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Commentaires de l'histoire :
Fred51
Je viens de lire cette très belle histoire sexuelle ou j'en ai pas perdu une ligne cela ressemble ma vie avec Chris depuis deux ans pleins de sexy J'ai écrit une histoire et d'autres vont bientôt arriver
Posté le 9/12/2020
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