Histoire Erotique

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Manuela 1

Vincent, 22 ans, très beau et tres timide a emménagé il y a quelques semaines dans son appartement. Sa voisine du dessus est d'origine italienne, 38 ans. Ils se connaissent juste de vue. Ce matin Vincent doit aller faire un achat dans un magasin de lingerie. Im y croise la belle italienne.

Proposée le 14/12/2018 par marc dubois

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Manuela 1
Cette histoire est un peu particulière. Sur la base du début que voici, 2 suites différentes sont proposées : une plus épicée, une plus douce. Laquelle préférez vous?

Manuela

On est samedi, fin de matinée. Après une petite grasse mat', Vincent sort de chez lui. Il faut bien que cette corvée se fasse...Demain c'est la fête des mères, et c'est lui qui est chargé du cadeau. Une robe de nuit molletonnée! Pfff, bien une idée de sa soeur...Et quand il lui a demandé où il pourrait bien trouver ça : "ben dans un magasin de lingerie, tiens!". Il a bien vu la malice dans son regard...Le rose lui est monté aux joues et plutôt que de protester, il a joué les braves.
_ Ah, ok!
Il habite depuis quelques semaines dans un petit appartement dans une rue commerçante. Près de chez lui, une boutique propose divers articles en 2 vitrines distinctes. Une plus coquine, avec porte jarretelles, guêpières, bas, l'autre plus orientée "confort" : robes de nuit, peignoirs. Vincent profite de chacun de ses passages pour jeter un oeil intéressé mais discret aux dessous les plus suggestifs. Son opinion est faite : rien ne surpassera jamais une guêpière noire classique, corsetée, un peu rétro. A 22 ans, il vient de décrocher un premier contrat dans une boite de maintenance informatique, il vole de ses propres ailes. Quitter le douillet cocon familial n'a pas été facile. Il faut dire que Vincent est plutôt timide, peu liant. Physiquement, il n'en impose guère non plus. Il est très mince, presque maigre. Toutefois, la pratique régulière de vélo et de la course à pied lui a donné une musculature très sèche. Mais ce qui marque, ce sont ses grands yeux doux, entre bleu et gris, qui lui donnent un visage d'ange et font fondre les femmes même si Vincent ne l'a jamais remarqué, ou même imaginé.

Avant d'ouvrir la porte de la boutique, il respire profondément pour calmer sa nervosité. Faisant mine de ne pas voir la partie sexy, il se dirige vers le rayon "mémère". Juste avant qu'il réponde au bonjour souriant de la vendeuse, une femme sort en coup de vent de sa cabine. Elle a juste enlevé le haut pour essayer une brassière noire et rouge, qui sculpte son buste généreux. En bas elle porte un pantalon moulant en simili cuir noir, sur des sandales à hauts talons. Vincent la connaît de vue. C'est Manuela, sa voisine du dessus. Vincent sait peu de choses d'elle, sinon qu'elle est habituellement célibataire, qu'elle approche la quarantaine, et qu'elle est d'origine italienne. Ca, elle ne peut guère le cacher. Brune, un brin dodue et pas très grande côté physique. Expansive, volubile, parlant fort, un brin sans gène côté caractère. Et pour l'emballage, toujours tirée à quatre épingles, extrêmement coquette, un rien "bling bling" et sexy juste à la limite du vulgaire. Elle interrompt la vendeuse sans façons. "Franca, c'est pas trop serré ainsi? J'ai l'impression, qu'ils sont un peu à l'étroit!"...Ce disant elle se masse les seins, et c'est à ce moment qu'elle reconnaît Vincent. "ah, Vitchè!!" Le voir ainsi rougir, avec son air de premier communiant la fait sourire. "Qu'est ce que t'en dis toi?" Vincent, ne sait que répondre, contrarié, un peu mécontent d'être ainsi apostrophé alors qu'il voulait faire sa corvée vite et discrètement. Son visage tourne au rouge foncé. Il répond un "je ne sais pas" glacial, et Manuela voit l'espace d'un instant quelque chose de violent au fond de ces yeux d'ordinaire si doux. Car Vincent, bien que gentil et serviable, peut parfois piquer des colères quand il a l'impression d'être moqué. Restée sans voix, ce qui est rare, Manuela retourne à sa cabine. Vincent la suit du regard et se radoucit en observant ces courbes généreuses se mouvoir devant lui dans des circonvolutions sensuelles.

Vincent est intrigué. Il se sent attiré par sa voisine, mais en même temps, lui ce qu'il aime, ce sont les filles discrètes, douces, polies. Pas vraiment le genre de Manuela...Et puis elle est beaucoup plus vieille...Avec les filles, son expérience est limitée. D'un côté sa timidité presque maladive, de l'autre une espèce de peur des filles plus entreprenantes ont limité ses "conquêtes". Mais Vincent est beau...Très beau avec ses grands yeux clairs. C'est ce que se dit Manuela en se rhabillant dans sa cabine. Intérieurement, elle se moque d'elle même et de son attirance pour ce gamin. Ridicule, elle pourrait presque être sa mère. Et puis elle, elle les aime avec un côté un peu voyou, macho. Mais ce regard froid de tout à l'heure... Ca lui a fait...Bon elle ne sait pas trop mais, un "truc". A la fois effrayant et attirant. Puis ces pensées s'estompent et Manuela s'active, encore quelques courses à faire. Elle sort, paie et prend ses paquets. Vincent a disparu... Fanca ne fait pas de commentaires.

Le jeune homme s'est installé dans son petit confort et samedi fin de matinée, il va se chercher un petit sandwich au snack du bout de la rue. Il y a du monde, ça prend un peu de temps. L'image de la croupe de Manuela est tenace. Il essaie de la chasser, mais elle revient, sans gène elle aussi! Il repense surtout à l' échancrure très marquée entre la taille plutôt étroite et les hanches assez larges, qui s'harmonisent avec un fessier bien rond. Et cette démarche en arabesques...A moins que ce soit ce côté sur d'elle? Il déglutit difficilement avant de passer sa commande. Puis, sans se presser, il retourne à son appartement. L'image de Manuela revient encore. Ses fesses, bien moulées dans le pantalon serrant, luisant. Présentées agressivement par une cambrure marquée. Puis ses cuisses. rondes, bien pleines. Et ses mollets fuselés, bien dessinés. Sans s'en rendre compte, Vincent sourit. Une onde tiède envahit son bas ventre. Il va arriver devant l'appartement quand une Fiat 500 s'arrête brusquement devant l'entrée. Manuela en sort, comme toujours précipitamment. Elle voit Vincent et va pour lui faire un grand signe mais, distraite, elle trébuche sur un pavé disjoint et s'étale de tout son long. Sa tête fait un bruit mat en heurtant le sol.

_ AAAie!!! Putain!

Elle hurle. Vincent accourt, la relève doucement.

_ Ca va?
_ J'ai mal! Butana!

L'humidité sur ses yeux montre qu'il ne s'agit pas que de comédie. En se relevant, elle re-trébuche, rattrapée de justesse par Vincent. Elle crie de nouveau. C'est sa cheville. Il faut dire que les hauts talons, ça n'aide pas...Vincent la tient à la taille. Il sent ce corps qui palpite, respire nerveusement.

_ Ca va mieux? Je vais vous aider...
_ Oh! Arrete avec tes vous hein!

Elle n'est pas à prendre avec des pincettes, Vincent laisse aller. Il ramasse les paquets étalés par terre puis reprend Manuela sous les épaules pour l'aider à monter les escaliers doucement. Elle sent la chaleur de Vincent contre elle, et elle aime ça. Puis sa force aussi. Elle ne le pensait pas si vigoureux, n'imaginait pas des muscles si durs. De son côté, Vincent profite de la souplesse et de la générosité des hanches de l'italienne. Après 5 bonnes minutes d'effort, l'appartement de Manuela est enfin là. Vincent l'aide à entrer, puis pose ses paquets sur une chaise. Manuela claudique, grimaçant de douleur.

_ Si vous voul...

Le regard noir foncé de Manuela l'arrète immédiatement.

_ Si tu veux je peux t'installer et jeter un coup d'oeil, je suis secouriste...

Manuela n'a pas la force de résister. Ni l'envie? Vincent vient la reprendre par les épaules, l'amène près du canapé en la tenant par le dos et sous les fesses, l'aide à se coucher, non sans lui avoir enlevé sa veste. Ils échangent un regard. Compatissant et rassurant pour Vincent, reconnaissant pour Manuela. Ils se sourient.

_ Je pense qu'il faudrait enlever les chaussures...
_ Oui vas y...

Avec beaucoup de délicatesse, Vincent débride la sandale droite. Il touche les mollets, dans une caresse involontaire. Manuela sent une vague de douceur la prendre, la calmer. Elle respire profondément, se détend. Vincent enlève la chaussure lentement, avec beaucoup de douceur. Il sent le pouls de Manuela a travers sa peau. Leurs regards se croisent de nouveau. Il y a autre chose dans ce regard que tout à l'heure. Intérieurement, Manuela nie. Mais non, pas ce gamin! Vincent aime ce regard tendre de Manuela, à la fois ardent et doux. Mais bien sûr, impossible que cette femme le désire, c'est juste la douleur. Il a quand même envie de faire durer le moment.

_ Est ce que tu aurais de la glace?
_ Oui, dans le congel...

Vincent se lève et revient avec un sac en plastique contenant des glaçons.

_ Attention ça va être froid...

Même si elle s'y attendait, Manuela sursaute au contact de la glace. Vincent ressent ce tressaillement, il caresse doucement la cheville blessée pour atténuer le froid, puis, distraitement, remonte sur le mollet, les yeux dans le vague. Manuela n'y prend attention que quand le genou est près d'être atteint. Elle pose sa main sur celle du jeune garçon, doucement. Ils se regardent et Vincent, comme perdu, la prend dans ses bras et l'embrasse.
Immédiatement, leurs langues s'enlacent, leur souffle se mélange. Leurs lèvres se frottent plus qu'elles ne se caressent, dans un tourbillon trop longtemps réprimé. Vincent les goûte, les lèche. 2 fruits bien murs, juteux, pleins de saveur. Pas rassasiée, sa langue retourne se nourrir de celle de Manuela, si abondante, gourmande elle aussi.
Vincent bande immédiatement. Fort. Son jeans lui fait mal. A travers le lycra du top, ses mains prennent deux seins bien ronds, si ronds que ces mains n'y croient pas, doivent le vérifier et re-vérifier sans cesse. En les pressant, les pinçant, les massant. Incidemment, Manuella a la main sur la cuisse de Vincent. Elle remonte, sent ce sexe déjà si dur, prêt à exploser. A ce contact, Vincent soupire, Manuella gémit de satisfaction, puis le masse doucement. Le désir la submerge. La main de Vincent descend sur son pubis. Elle écarte les cuisses autant qu'elle peut, son bassin se lève à la rencontre de la caresse, la provoque, l'encourage. Le sexe de Manuela est protégé par le pantalon, et Vincent la caresse avec force, et un brin de maladresse. Mais Manuela n'en est que plus excitée. Sa culpabilité alliée à une certaine perversité ne fait que renforcer son envie de lui. Elle prend la main et la guide, lui imprime un mouvement circulaire rythmé. Elle commence à gémir. Nerveusement, elle défait la ceinture et la braguette de Vincent, sort son sexe fébrilement et le caresse. Ils gémissent en même temps. Manuela s'occupe maintenant de son propre pantalon, impatiente, puis reprend la main de Vincent et la plonge sous sa culotte.
Vincent touche cette toison douce, puis les lèvres gorgées d'un jus abondant, coulant à la moindre pression. Manuella le guide sur son clitoris, refait tourner sa main, et gémit encore plus fort. Sur le sexe dressé, sa main est plus forte, plus présente. Elle l'attire vers elle. Il s'approche de sa bouche, et, n'y croyant pas, Vincent pose sur ces lèvres bien dessinées, sensuelles, son vit palpitant, décalotté, brûlant. La langue de Manuela sort pour l'accueillir. Impatient, le long dard enfonce la porte et s'installe. C'est la première fois qu'il entre dans une bouche de femme. C'est si chaud, si doux, si caressant!

_ ooooh! MMMMMmmm

Manuela gémit à l'unisson. Vincent a pris son autonomie, pénètre de son doigt son sexe dégoulinant. Il tourne, s'enfonce, revient. Le sexe semble s'ouvrir toujours plus fort. Les gémissements se font plus aigus, plus intenses. Du bas des reins de Vincent, le plaisir vient. Puissant, subit. Expérimentée, Manela le sent. Elle veut ce foutre! Elle veut le faire jouir! Et elle suce soudain plus fort. Dans un grand "aaa ooo hhhh", Vincent se fige. Aveuglé par un grand flash, il sent son sperme se déverser dans cette bouche qui l'aspire sans s'arrêter. Les jets brûlants qui frappent le palais de Manuela ouvrent les portes de sa jouissance. Tout son corps se contracte autour de cette main qui la branle. Ses reins montent, puis se reposent sur le canapé. De longs soupirs gémissants s'échangent, puis s'estompent. Sur une dernière caresse de la langue de Manuela, Vincent retire son sexe, puis sa main, groggy. Ses grands yeux doux plongent dans ceux de son amante. Elle fond, prend sa main et l'embrasse avec une grande tendresse. Quelques instants de bonheur pur, puis la gène s'installe doucement. Manuela le sent.

_ Viens!

Se relevant tant bien que mal, elle l'attire dans sa chambre, le couche dans son grand lit, puis, délicatement, enlève un à un ses vêtements, en geisha caressante. Il est maintenant complètement nu. Elle le regarde droit dans les yeux en enlevant son top et son soutien. Vincent est fasciné. Il serait presque drôle avec sa bouche grande ouverte. Mais Manuela n'y voit qu'une sorte de vénération. Pour son pantalon serrant, elle se retourne, à quatre pattes et le fait glisser tout doucement sur ses fesses rebondies. Vincent en a le souffle coupé. Puis, elle aussi complètement nue, vient se coller à lui, et rabat la couverture. Blottis l'un contre l'autre, ils échangent peu de mots, beaucoup de caresses, très douces, très légères. Des baisers qui ne sont qu'effleurements, et une douce chaleur qui les emporte dans un demi sommeil.

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Commentaires de l'histoire :

Popjl
Une belle mise en bouche. Toujours aussi bien écrit et agréable à lire. Direction les 2 suites pour continuer cette chaude rencontre.
Posté le 11/04/2019

marc dubois
Bonjour! C'est quoi un "zeugma"? Merci pour ton commentaire Marc
Posté le 17/12/2018

Anonyme
Un zeugma en plus, chapo!
Posté le 14/12/2018


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