Elle est étudiante, lui est professeur dans la même université. Leur alchimie est évidente dès les premiers mots échangés, mais il faut qu'ils se retrouvent coincés dans un ascenseur exigu pour que leur relation ne se transforme...
Proposée le 13/11/2018 par Emma
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman
Ils s'étaient rencontrés quelques semaines auparavant à l'université. Elle ne savait pas qu'il était professeur, mais lui se doutait qu'elle était étudiante. Mais ils s'étaient si bien entendus dès la première seconde, qu'il avait volontairement effacé ce détail de son esprit. Après tout, ils ne devaient pas avoir plus de cinq ou six ans d'écart.
Et aujourd'hui, ils s'étaient retrouvés dans le même ascenseur, le plus petit du campus. Il n'était pas censé accueillir plus d'une personne, mais étant en retard tous les deux, ils avaient décidé de monter ensemble. Ils se retrouvaient donc très proches l'un de l'autre (se frôlaient même), lui derrière elle. Au bout de quelques secondes dans l'ascenseur, tout s'arrête, et la lumière s'éteint. Surpris, ils attendent quelques secondes en silence, puis se décident à appeler sur le bouton d'urgence. Après un long moment, une voix retentit finalement, et les informe que l'ascenseur est en panne, et qu'il ne pourra y avoir d'intervention avant au moins une heure.
"Oh non...", soupira-t-elle..."Et mon examen...
- Je suis désolé, j'aurai dû te laisser monter la première...
- Ne t'en fais pas, ce n'est pas ta faute !"
Plusieurs minutes passent, au cours desquelles ils demeurent silencieux, toujours elle devant lui. Ils n'entendent que le souffle de l'un et de l'autre. Mais soudain, elle se rend compte qu'elle sent quelque chose la frôler en bas du dos. Elle comprend. Il réagit aussitôt :
"Je suis vraiment désolé ! Je n'arrive pas à m'en empêcher, ça fait un moment que je sens que ça monte et je n'arrive pas à me calmer...C'est juste que me retrouver si proche de toi, ça me donne des idées que je suis incapable de contrôler…
- Bon...et si.... j'essaie de me baisser ?" demande-t-elle en se glissant contre lui pour s'accroupir.
Un "Oooh....", mélange de stimulation et de gêne, lui échappe. "Je crois que c'était moins pire avant !"
Elle fait alors le même mouvement en sens inverse, qui déclenche un gémissement léger chez son congénère.
"En fait, je pense qu'il vaut juste mieux que tu restes immobile..."
Ils se taisent à nouveau, et elle entend que sa respiration s'est accélérée. Au bout d'un moment, elle demande :
" Est-ce que ça va mieux ?
- Non...ça ne s'arrange pas du tout...c'est vraiment embarrassant je suis désolé...
- Tu sais...à force de te sentir contre moi, et d'entendre ta respiration, je commence aussi à ressentir le désir monter malgré moi...
- Vraiment ?"
Lui prenant une main, elle répond :
" Touche mes tétons, je suis prête à parier qu'il sont tout durs."
En même temps, elle accompagne sa main dans son dos et lui fait dégrafer son soutien-gorge. Puis elle lui attrape les deux mains, et les amènent jusque chacun de ses seins. Il commence à lui caresser les tétons pour vérifier ce qu'elle vient de lui dire.
" Oh, effectivement..." Mais, sans s'en rendre compte, il continue son geste. Un souffle de plaisir échappe à l'étudiante, et elle penche la tête en arrière. Lui enfouit la tête dans son cou.
Il descend doucement les mains sur son ventre, puis glisse la main droite dans son jean.
" Qu'est-ce que tu fais ?
- Je te donne de l'avance...parce que vu à quel point je suis excité, je risque de ne pas pouvoir tenir très longtemps...
- Tu sais, je ne suis pas sûre que ça soit la meilleure façon de commencer une histoire...
- Je n'en sais rien, je ne me suis jamais retrouvé dans cette situation...
- De toute façon, tant qu'on sera dans cette position, on ne pourra pas faire grand chose de plus..."
Elle se tourne vers la gauche, puis soulève légèrement sa jambe gauche et la glisse de part en part de son entrejambe, pour se retrouver face à lui, son corps contre elle. Elle pose ses mains derrière sa tête. Et lui, lui passe une main dans les cheveux, et commence à l'embrasser délicatement, puis avec de plus en plus de fougue. Il murmure :
"Si tu veux bien, je préfère qu'on se déshabille, je ne veux pas faire les choses n'importe comment avec toi..."
Alors elle lui enlève sa veste, et soulève son T-shirt avec précipitation. Il s'empresse de lui enlever lui enlever le sien. Ils se retrouvent alors torse contre poitrine, et s'embrassent de plus belle.
Elle commence à faire des mouvements de haut en bas contre lui.
" Je ne pense qu'à une chose, c'est de me frotter contre toi..."
Aussitôt, il déboucle sa ceinture et enlève son caleçon et son pantalon. Puis il lui enlève son jean, et elle se retrouve en culotte. Agrippant ses bras à son cou et ses jambes à ses jambes, elle se frotte énergiquement contre son pénis et ses testicules. Son érection se fait de plus en plus forte. Elle, pousse des soupirs de plus en plus incontrôlables, et lâche même quelques "oh..." timides. A force de mouvements, sa culotte finit par lui tomber sur les pieds. Il sent les poils de son pubis contre son pénis, ce qui ne fait que renforcer son excitation.
" Il faut que je te dise, au point où j'en suis, si tu ne me dis pas d'arrêter, je pense pas être capable de le faire...
- D'accord."
Après un silence, il souffle :
" Je ne pense qu'à une chose... c'est d'entrer en toi...
- Et je veux te sentir en moi."
Il la plaque alors contre la paroi de l'ascenseur, et marque une pause, la tête dans le cou de sa partenaire.
" Je t'en prie, remplis moi !" Ne peut-elle s'empêcher de crier dans un souffle.
N'attendant pas plus longtemps, il prend son pénis et la pénètre profondément. Il pousse un hurlement de plaisir. Elle a le dos collé contre la paroi de l'ascenseur, et les pieds posés contre le fond. Le poids de son partenaire contre elle l'empêche de tomber. Il commence des va-et-vient affirmés à l'intérieur de son vagin. L'un comme l'autre perde la conscience de ce qui est en train de se passer, et poussent incontrôlablement des gémissements de plus en plus forts. Ils transpirent de plus en plus, cette odeur animale ne fait que les exciter davantage. Leurs corps presque collants sont en véritable symbiose. Ils ne se concentrent plus que sur leurs sensations.
Les va-et-vient se font de plus en plus rapides, mais se sentant proche de l'orgasme, il se retire et se glisse à genoux sous l'étudiante. Il entreprend alors de lui lécher l'entrejambe, tandis qu'elle lui tient la tête doucement. Il commence par parcourir toute la zone entre son vagin et son clitoris, puis porte de plus en plus d'attention au clitoris en lui-même. Il se lèche, le suce, l'embrasse. Les gémissements de l'étudiante se font stridents :
"Oui, aaah, oui...s'il-te-plaît ne t'arrête pas...vas-y, plus fort..." soupire-t-elle en appuyant la tête de son partenaire contre son entrejambe. Son dos se cambre, elle est au bord de l'orgasme. Alors, il se relève, et la pénètre aussitôt, cette fois avec beaucoup plus de puissance, et fait des mouvements de bassin tellement rapides que l'ascenseur est presque secoué. Leurs cris s'entremêlent, jusqu'au moment où il s'exclame :
" Je n'en peux plus, je vais jouir en toi !
- Je suis prête !"
Dans un dernier râle, il éjacule violemment en elle, tandis qu'elle sent son corps se raidir, puis l'orgasme parcourir tout son être. Elle qui n'avait encore jamais expérimenté cette sensation, est surprise de se voir capable de ressentir quelque chose d'aussi intense. Leur orgasme est long, ils ont l'impression que le plaisir ne cessera jamais. Puis peu à peu, leurs corps se détendent, leurs respirations se font moins fortes. Il reste quelques instants à l'intérieur d'elle, comme s'il voulait que ce moment dure toujours.
Au bout de plusieurs longues minutes de parfaite harmonie, elle finit par dire :
" C'était extraordinaire...
- Je n'en reviens pas de ce qu'on vient de vivre...
- Il va quand même falloir qu'on essaie de se remettre dans une tenue décente avant qu'on ne nous sorte de là", dit-elle en riant.
Ils essaient tant bien que mal de récupérer leurs vêtements dans le noir, et se rhabillent comme ils peuvent. C'est à ce moment que les lumières se rallument, et que l'ascenseur descend. Les portes s'ouvrent, et ils se retrouvent face à face avec deux ouvriers. Ceux-ci ne font aucune remarque, mais comprennent aux regards des amoureux et à leur allure, que quelque chose s'est passé.
Enfin dehors, ils se quittent en se donnant rendez-vous le soir même à la sortie des cours. Cet épisode a été le début d'une histoire d'amour longue et passionnée.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
L'écriture est légère et fluide, mais la situation est très banale et amenée sans finesse. Une 1ere? si oui continue de travailler, car la lecture est agréable.
Posté le 16/11/2018
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