Entreprise par un homme rude qui ne la ménage pas, Myriam, mère de famille docile, continue l'expérimentation d'une relation qui lui révèle son tempérament de coquine et la conduit vers une jouissance qu'elle croyait interdite.
Proposée le 8/07/2018 par aqw12
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
C’est vrai qu’à peine cinquante minutes se sont écoulées depuis mon arrivée dans cette maison et j’ai déjà perdu toute notion de morale et de temps. Il me tarde d’avaler un grand verre d’eau pour faire passer le goût du sperme qui persiste. Toujours allongé sur le dos, il me claque le fessier en disant :
« Bon c’est pas tout ça ! Toi tu viens de prendre ton petit déjeuner mais pas moi. Fini de te foutre à poil et descend à la cuisine me faire un grand bol de café brulant, je te rejoins. »
Debout à côté du lit, je dégrafe enfin mon soutien-gorge qui ne soutient plus rien depuis longtemps ; je retire mon débardeur remonté en bandeau au-dessus de ma poitrine et ôte ma mini-jupe en jean tire bouchonnée sur mes hanches depuis le début de l’assaut. Il me regarde paisible me dévêtir et je le sens fier de lui. Je ne pense qu’à une chose : regagner la cuisine et avaler un verre d’eau. C’est alors qu’il m’interroge : « T’as pas trop l’habitude d’avaler du foutre n’est-ce pas ? »
« Oui, ça ne m’est pas arrivé souvent… »
« Par contre tu suces pas trop mal… Tu suces mieux que ta copine Patricia… mais pas aussi bien que sa copine Audrey ! »
A l’évocation de ce prénom, je sursaute. Déjà effarée qu’il ose comparer ma méthode à celle de ma copine mais voilà qu’il lâche un prénom que je connais. Serait-ce possible qu’il connaisse aussi Audrey, la troisième de la bande.
« Tu la connais Audrey ? » reprend-il.
« Ça dépend : quelle Audrey ? »
« La copine blonde de Patricia… Celle qui s’est mariée il y a environ six mois. Patricia m’a montré quelques photos du mariage et d’ailleurs, vous étiez bien bonnes en demoiselles d’honneur toutes les deux !... Eh bien, moi aussi je la connais : son air de ne pas y toucher, sa peau de porcelaine, son gros cul blanc plein de cellulite, ses seins en poires aux tétons roses pâles à peine visibles et son sourire chevalin ! C’est une bonne grosse chienne elle aussi. Vous formez une sacrée équipe de pétasses toutes les trois ! » Surenchérît-il dans un éclat de rire. «C’est la moins bandante des trois mais c’est la meilleure suceuse. Elle a dû en avaler pour avoir une technique pareille ! Tu vois, Patricia, elle est trop nerveuse, trop sèche dans ses coups de langue, dans sa façon d’aspirer. Toi, t’as pas une grande technique mais on sent que tu t’appliques. Tu es douce et tendre : une bonne maman, quoi. Et puis ta bouche est chaude et tes grosses lèvres de black : c’est du velours ! »
J’ai les jambes coupées, je suis estomaquée et je descends à la cuisine. Arrivée à la moitié de l’escalier j’entends dans la chambre un tiroir qui s’ouvre et se referme.
Mon verre d’eau engloutit, je m’affaire à la cafetière quand il me rejoint. Je ne remarque pas ce qu’il pose en vitesse sur une des chaises de la cuisine rangée sous la table. Lui aussi avale un verre d’eau mais j’observe qu’il lui sert à ingurgiter un comprimé que je devine bleu. Preuve s’il en était besoin que les événements ne vont pas cesser de sitôt. Le café est fumant dans un grand bol mais il me demande de le passer quand même au micro-onde. « Je l’aime brulant » précise-t-il. Il est assis en bout de table et me regarde déambuler, nue (j’ai toujours mes bottes beige à talons !) à sa gauche. « T’as vraiment un bon cul pour ton âge ! Tu dois les faire bander les mecs au bureau ?... Y en a pas quelques-uns qui te grimpent dessus de temps en temps ? » « Sûrement pas ! » J’essaye de répondre en mentant du mieux possible afin de couper court à cet interrogatoire et ne pas être contrainte d’avouer les quelques moments d’égarement qui émaillent parfois ma carrière.
Le « cling » du micro-onde me sauve et je dépose devant lui le grand bol plein de café brulant. A cet instant, je remarque qu’en plus de son verre d’eau, il a fait couler un bol de glaçons du frigo Américain et qu’il est posé sur la table. « Café bouillant et glaçons : quel drôle de petit déj’ ! »... Je ne croyais pas si bien dire.
Comme je me tiens à côté de lui, il me saisit par la hanche et m’invite à m’assoir sur ses genoux. Je passe entre ses jambes et me pose, de côté, sur sa cuisse gauche. Je ne prends ni la peine de croiser les jambes ou de serrer les cuisses car j’imagine que c’est peine perdue. Il passe mon bras droit autour de ses épaules et pose directement sa bouche sur mon sein droit. Il m’aspire le téton et me tète comme un nouveau-né. Lestement, sa main gauche s’empare d’un glaçon et vient l’appliquer sur mon téton gauche. Le froid me transit. La caresse se poursuit et mes seins m’envoient des signaux déroutant. Le gauche, frigorifié, presque douloureux et le droit cajolé, excité au plus haut point. Sa main droite se pose sur ma cuisse et remonte très vite sur mon sexe qu’elle empoigne. Comme à son habitude, deux doigts fouillent très vite mon vagin me ressortent aussitôt, glissent rudement le long de mes lèvres, tirant ma fente vers le haut tandis que le pouce se pose sur le capuchon de me clitoris, appuie en le tirant un peu en arrière pour décalotter mon bouton. Déjà, l’index recroquevillé titille mon petit dard à vif. Son pouce appuyant très fort sur le haut de mon sexe, ma grotte s’ouvre et s’en échappe un filet de cyprine visqueux qui coule sur sa cuisse puis sous mes fesses. Pendant de longues secondes, il me caresse ainsi m’amenant à nouveau au bord de la jouissance. Je suis haletante et animale mais n’ose bouger. Dans un état second, je ne remarque même pas qu’un glaçon a échoué dans sa main droite et il l’applique soudainement sur mon clitoris pourpre, sorti de sa coquille, gorgé de sang et de désir. La sensation de froid m’électrise un je me lève d’un bond mais reste pliée en avant car il tient mon téton droit entre ses dents. Je grogne et il le relâche laissant tomber du même coup le glaçon qui terminait de geler ma tétine gauche.
Il se lève lui aussi derrière moi, je suis penchée en avant sur la table de la cuisine, les jambes ouvertes et les genoux légèrement fléchis, je tremble et tente de reprendre mes esprits. Il ne m’en laisse pas le temps. Sa main droite se crispe su ma nuque m’empêchant de redresser plus. Sa main droite rapproche le bol de café fumant sous ma poitrine, saisit mon sein gauche glacial et il m’oblige à plonger mon globe dans le bol de café qui déborde. Je ne saurais décrire avec justesse la sensation que j’ai ressentie, délicieuse et terrifiante à la fois. Je sens sa verge tendue blottit contre mes fesses. Il se penche sur mon dos, et murmure en me suçant l’oreille : « Tu ne crois pas que je t’ai sucé le cul pour ne pas m’en servir ma gentille Myriam ? C’est l’heure de l’enculade ma pétasse ! »
Mais pourquoi diable redresse-t-il la tablette numérique posée sur la table depuis des heures et pourquoi l’allume-t-il alors que son projet est de me sodomiser. Il ouvre un fichier vidéo et je comprends. Sur l’écran, le visage de Patricia dans la même position que moi et au même endroit. Elle est filmée en gros plan mais on voit ses minuscules seins aux tétons bruns très tendus qui pendent modestement. On devine l’homme s’activant derrière elle et en voyant les différents rictus et les différentes grimaces de ma copine, on n’a aucun mal à imaginer ce qu’il est en train de faire. Toujours penché sur mon dos, en se redressant, il saisit un objet sur une chaise voisine mais je n’ai pas le temps de voir de quoi il s’agit. Je vais le comprendre bien vite. Sur la vidéo, le son est bien audible. « Allez ma petite pute, je te la rentre cette fois dans ton petit cul serré ! » Le visage de Patricia se crispe, ses mains s’agrippent à la toile cirée. On devine que le cylindre s’enfonce dans ses chairs. La connaissant, je ne peux pas imaginer qu’il s’agisse de sa première sodomie mais peut-être avec si peu de préparation et d’égards…
Au même moment, tandis que je ne me soucie plus du tout de ma mamelle baignant dans le café, je sens que c’est mon anus à moi que sa tige est en train de forcer. Mais ce n’est pas tout, je sens un objet que je reconnais tout de suite pour un gode me pénétrer la chatte. Les deux gourdins s’enfoncent en moi simultanément si bien que la progression du gode dans mon sexe m’empêche de pousser mon anus confortablement pour le rendre accueillant. En face de moi, Patricia est maintenant pilonné, défoncé et elle crie, gémit, se mord les lèvres, bouge sa tête dans tous les sens. En moi, le gode arrête d’avancer mais d’un coup de rein sauvage, il pousse son gland en fond de mes entrailles. Ce coup de boutoir me secoue et mon sein renverse le bol de café qui se répand sur la toile cirée. Puis c’est la bite qui recule et le gode qui s’enfonce brutalement, au plus loin. Et ainsi, pendant de longues minutes, il va me prendre les orifices en alternant l’action des deux matraques. Sa main gauche sous ma chatte pour diriger le gode et sa main droite me plaque sur la table et j’écrase mes obus dans la marre de café. Patricia se fait besogner de plus belle et il se déchaîne dans son fondement. Mais je ne m’en soucie plus, je suis toute à mon traitement de choc.
Je commence à avoir l’arrière des cuisses tétanisés, alors je me risque à monter mon genou puis ma cuisse gauche sur la table en restant bien entendu écrasée sur cette dernière. Il prend cette initiative pour une provocation : « T’en as pas assez ma grosse ? Tu ne te fais pas assez remplir ? » Au lieu de s’alterner, les deux pistons qui me perforent avancent et reculent ensemble désormais. Au plus profond de moi je sens leurs extrémités qui râpent la paroi qui les sépare et j’ai l’impression qu’il me fend en deux. Je suis maintenant vautrée sur la table, sans aucune pudeur puisque mes poils pubiens trempent désormais dans la mare de café. Et il me lime de plus belle. Le traitement est trop rude pour que j’atteigne l’orgasme mais mon partenaire, de son côté, y arrive très bien. Je sens sa verge sortir d’un coup de mon conduit et très vite de longs jets chauds se posent sur ma colonne vertébrale.
Je suis en sueur et me sens humiliée et brisée. En face de moi, Patricia n’a pas encore connu la délivrance et elle continue de se faire secouer comme une poupée gonflable. Il éteint la tablette et la referme. Son habituelle claque sur mon cul marque la fin du deuxième acte.
« File prendre une douche le temps que je range un peu parce que t’as fait du propre ma salope ! »
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