Le jeune est sexy Romuald a décroché le stage qu’il convoitait mais il déchante rapidement car sa boss prend un malin plaisir à le rabaisser. Lors d’une soirée dans un bar, il finit par se retrouver seul, prit au piège par une dominatrice en tenue de latex qui n’est autre que sa tyrannique supérieure.
Proposée le 3/07/2018 par Ewenn Mathis
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominé
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman
Romuald, jeune homme de vingt-trois ans se présente en ce lundi matin brumeux sur son lieu de stage. Il est très nerveux car à la fois impatient mais aussi angoissé à l’idée de découvrir la rédaction de ce légendaire magazine de mode.
Il est accueilli par une jeune femme un peu boulotte qui l’emmène chez Julianne, une impressionnante trentenaire qui s’exprime avec un accent Californien, elle a d’ailleurs un air de Pamela Anderson avec toutefois une poitrine moins prédominante. Le stagiaire ne peut d’ailleurs s’empêcher de l’imaginer avec un maillot de bain rouge, courant les cheveux aux vents le long d’une plage ensoleillée.
Avant de lâcher la recrue dans l’arène l’hôtesse d’accueil lui glisse à l’oreille :
- Bon courage mon chou, elle est aussi froide que son regard est polaire.
Romuald revient brutalement du rêve à la réalité, déjà sensiblement stressé, il se met à transpirer à grosses gouttes lorsqu’il pénètre dans le bureau, la voix de Julianne lui glace le sang.
- Ferme la porte mon petit…
Il n’en revient pas qu’elle l’ait appelé « mon petit », cela le gêne horriblement, non seulement il trouve cela spécialement déplacé mais en plus il se demande à quoi ça sert d’être major de promo pour être traité ainsi.
Malgré cela, il se garde bien de tenir tête à cette femme qui a le droit de vie ou de mort sur le personnel. Il se jure de tenir bon, même s’il prend conscience à la manière dont elle le dévisage que les semaines à venir seront difficiles.
Le silence devient pesant, surtout que Romuald se trouve toujours debout au milieu de la pièce comme s’il attendait sa sentence.
Cette scène intrigue deux assistantes qui observent plus ou moins discrètement à travers la porte vitrée.
- Depuis quand Julianne accepte des stagiaires ? À tous les coups il est
pistonné !
- Pistonné par sa plastique, oui !
- C’est vrai qu’il est beau, on dirait Scott Eastwood en version timide.
Pendant ce temps Romuald écoute les consignes avec attention, sa bouche est sèche, cette femme l’impressionne terriblement ce qui n’échappe pas à Julianne qui prend plaisir à l’intimidé.
Elle finit son monologue par une phrase qui n’est nullement rassurante et qui va raisonner dans les oreilles de Romuald pendant des heures :
- N’oublies pas qu’ici tu n’es rien, si ce n’est mon esclave, si tu me déçois je te
vire dans la seconde.
Il bafouille un "oui madame" à peine audible, ce qui lui vaut sa première remontrance.
- C’est quoi cette tapette, je n’ai rien entendu !
Romuald rassemble ses forces et répond de façon audible en accentuant le M, sans pour autant oser affronter le regard dévastateur de sa patronne.
- Oui Madame, je ferais en sorte de ne pas vous décevoir.
Dans le couloir les deux pipelettes n’ont pas été déçues par le spectacle :
- Eh bien, pour un peu il se serait pissé dessus le jeunot !
- Le pauvre….
En quittant le bureau le soir à une heure tardive, le stagiaire a une mine défaite. Il savait que ce ne serait pas facile mais il ne s’attendait pas à être traité de la sorte.
Des années d’études pour se retrouver à faire les basses besognes, il y a de quoi être dépité.
Pourtant il le voulait tellement ce stage, Julianne est réputée pour la qualité de son travail, cependant jamais il n’aurait imaginé qu’elle était aussi castratrice. Tout le monde semble la redouter et l’aduler à la fois, ce qui contribue probablement à la réussite de cette agence.
Il choisit de faire profil bas en se montrant discret et utile comme ça lui a été demandé, pourtant malgré ses efforts Julianne ne manque pas une occasion de lui rappeler qu’elle est la boss et lui une petite chose tout juste toléré dans les locaux.
Au bout de dix jours Romuald a perdu trois kilos, mais sa motivation reste intacte. Réduit aux tâches les plus ingrates, il finit même par s'habituer, d'autant plus que tout le monde rit aux blagues sexistes de Julianne.
Malgré tout le jeune homme apprend beaucoup sur les ficelles du métier, chaque soir avant de s’endormir il retranscrit les informations emmagasinées dans la journée.
Il s’est juré de tenir bon pour venir à bout des vingt semaines, ce n’est certainement pas une splendide tortionnaire qui le fera rompre.
Un weekend en traînant dans les bars avec Florian, un invétéré noceur, ils atterrissent dans une soirée privée. Les deux hommes ont largement abusés de bières spéciales et leurs sens du discernement en est de ce fait affecté.
Lorsque son meilleur ami le délaisse pour draguer une jolie antillaise, Romuald reçoit un billet lui indiquant de se rendre à l’étage.
Intrigué par cette invitation il gravit l’escalier en colimaçon après avoir montré patte blanche à un colosse Russe.
Une fois arrivé le changement d’ambiance est flagrant. Les personnes présentes semblent aisées et sont bien plus âgées que lui.
Il se rend au fond du couloir comme stipulé sur le billet parfumé.
Une fois dans la petite pièce il a l’étrange impression d’être pris au piège. Une femme s’approche silencieusement, lorsqu’il perçoit sa promiscuité le jeune homme se retourne et reste tétanisé par cette rencontre qu’il n’attendait pas aussi surprenante.
Devant lui se trouve Julianne dans une tenue de dominatrice qui lui va comme un gant. Dans l’imaginaire du cinéphile Barbe Wire a remplacé la sirène de Bea Watch.
Cependant le ton employé par l'autoritaire reste inchangé:
- Bonsoir petit esclave …
- Bonsoir Julianne.
Elle lui répond sèchement:
- Qui t’a permis de m’appeler par mon prénom ?
Il bafouille :
- Pardon Madame.
Romuald ne sait pas analyser ce qu’il ressent à ce moment précis. Cette créature le tyrannise depuis plusieurs semaines mais elle est vraiment bandante dans cette tenue en cuir.
La féline s’approche au plus près de sa proie puis critique :
- Tu as bu ?
Se sentant immédiatement pris en faute il essaye de se disculper :
- Un peu Madame, mais je ne travaille pas aujourd’hui.
- Tu dois être irréprochable !
Paniqué par la peur de ne pas finaliser son stage il supplie :
- Désolé, Madame, je ne le ferais plus c’est promis.
L'impérieuse reste stoïque pourtant la situation l’enflamme, tout se passe comme elle l’espérait.
- Tu penses vraiment que je vais te croire ?
Elle continu de lui tourner autour en l’effleurant subtilement du bout des doigts de manière à éveiller les sens du jeune mâle.
La tactique fonctionne à merveille, Romuald ressent un désir qu’il ne connaissait pas. En effet, il prend plaisir à être sous l’emprise de cette beauté sournoise au parfum exaltant.
S’il vous plait Madame, j’ai vraiment besoin de rester jusqu’au bout de mon contrat.
- Vraiment….
Le langage corporel de Romuald en dit long, Julianne comprend qu’il est prêt.
Elle lui donne un coup de cravache sur son petit cul de jeune premier.
Il pousse un cri de surprise et de douleur, mais il n’a pas le temps de réfléchir que fuse une nouvelle directive:
- Déshabille-toi !
Le jeune homme obéi, il réalise que cette femme pourrait lui demander n’importe quoi.
Une fois qu’il est totalement dénudé, elle l’observe de façon hautaine. Ce garçon est tel qu’elle l’avait imaginé, dommage qu’il ait un peu maigris, toutefois son corps l’inspire.
Elle lui remet un coup de baguette.
- Aie ! Mais j’ai obéi !
- Et alors ! N’oublies pas que je fais de toi ce que je veux …
Romuald se sent honteux de se trouver nu comme un vers au milieu de cette pièce en étant totalement incapable de réagir alors qu’il a la réputation d’être une forte tête. Cette femme a réussi en quelques jours à changer sa personnalité du tout au tout.
Il se prend un nouveau coup, la douleur commence à prendre une nouvelle tournure : sa jeune queue se durcit sous les yeux affamés de Julianne.
Cette réaction physiologique déstabilise le soumis, ce qui fait bien l’affaire de la correctrice qui le sermonne avant de le claquer à nouveau :
- Sale petit pervers ! Comme ça ta patronne te fait bander !
Romuald subit la situation sans broncher. Julianne se plante devant lui, l’oblige en lui appuyant sur l’épaule à se mettre à genoux, puis glisse longuement la cravache entre ses fesses crispées avant de lui remettre un coup puissant pour le stimuler.
- Bouffe-moi la chatte pour te faire pardonner !
Le subordonné glisse sa langue dans la fente partiellement épilée, son goût est fantastique. Il est grisé comme jamais auparavant. Sa bitte lui fait terriblement mal, si seulement Madame daignait la branler pour le soulager.
Mais Julianne n’a pas prévu de le toucher autrement qu’avec son accessoire, elle continue à alterner de frotter le bâton sur l’anus de Romuald avant de frapper sa croupe.
Il est excessivement stimulé par ce qui lui arrive, sa queue est ultra tendue, ses couilles frissonnent de plaisir.
Cette tension est à la fois insoutenable et délicieuse.
La position n’est pas confortable, ses genoux le font souffrir mais l’excitation est à son paroxysme.
L’exigeante se met à gémir sous les léchouillis de son esclave qui est obligé de se contorsionner pour la satisfaire.
Bien mal lui en a pris de s’agripper à elle pour garder son équilibre.
- Petit bâtard, de quel droit oses-tu poser tes mains sur moi ?
- Pardon Madame.
- Surtout ne me déçois plus ! Mets tes mains derrière ton dos.
Le jeune adore ce petit jeu inversé où la belle blonde n’est pas la potiche mais celle qui ordonne et profite de sa position sociale pour assouvir ses fantasmes.
Elle afflige à nouveau le postérieur rougit qui trésaille sous les coups.
Romuald ne savait pas que son fessier était une zone érogène aussi puissante, son fion vibre avec complaisance, il serait prêt à accepter tous les outrages du moment qu’il y a moyen de délester cette violente tension sexuelle.
Quant à Julianne elle prend beaucoup de plaisir à l’attiser à l’extrême, tandis que sa moule s’inonde sous les stimulations buccales variées.
L’obéissant est très inspiré, car malgré la raideur de sa nuque, il broute avec ses tripes le pubis taillé en forme d’étoile.
Traverser par des contractions la femme fatale se concentre pour maintenir sa posture dominante tout en jouissant dans la bouche de Romuald qui gicle puissamment, incité par le suc qui se déverse dans sa bouche.
Cet orgasme est le plus étonnant qu’il n’ait jamais connu.
Malheureusement il n’a pas le temps d’apprécier que déjà il subit les remontrances de Julianne :
Petit morveux, tu viens de saloper mon tapis !
- Pardon Madame.
- Sors d’ici et surtout n’oublie pas : ce moment n’a jamais existé !
Romuald enfile ses vêtements au plus vite et s’enfuit sans demander son reste.
Julianne est comblée, baiser de beaux jeunes hommes c’est son pécher mignon et il faut reconnaître que le sujet qu’on lui a livré sur un plateau a un sacré coup de langue en plus d’avoir un corps parfait.
Elle envisage, si les circonstances le permettent, une nouvelle session plus poussée et trésaille à la simple idée de le posséder à nouveau.
Pendant ce temps le docile se dépêche de rejoindre son meilleur ami qui est en train d’embrasser goulûment sa conquête du soir.
- Viens, on se casse !
Florian le suit avec un sourire en coin, sans poser de question .
Étonner que le fêtard n’oppose aucune résistance, Romuald est pris d’un horrible doute :
- Tu étais au courant ?
- Ne m’avais-tu pas dit que tu étais prêt à tout pour bosser dans cette boite ?
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