Elle s'appelle Eleanor et elle a 24 ans. Elle raconte son monde imaginaire totalement axé sur le cul avec des fantasmes extrêmes sans aucune honte et aucune pudeur...
Proposée le 19/05/2018 par AliceB
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Nous sommes dans un monde imaginaire, dominé par le sexe. Ici, les gens ont des besoins extrêmes et une pudeur limitée. C‘est un monde comme un autre, si ce n’est qu’ici les gens privilégient les rapports charnels aux usuels politesses. Aucune honte à coucher avec un inconnu. Pas de remords à se faire payer pour une gâterie. Et peut être même une certaine fierté après avoir enchaîné un gang bang.
Je m’appelle Eleanor, je vis dans ce monde depuis toujours. J’ai 24ans, j’ai toujours vécu comme ça et je n’imaginerai pas vivre autrement. Je suppose que les gens d’ici ont des besoins plus accrus que dans d’autres réalités.
Pour trouver des partenaires toujours en adéquations avec nos fantasmes, il y avait quelque chose de très simple : les bracelets.
Chacun portait un bracelet qui signifiait sa disposition, ses envies sexuelles du moment. Ça allait du bracelet blanc : « Merci de me laisser tranquille pour le moment » ou bracelet noir « Merci de me punir comme je le mérite »…en passant par le violet qui appelait à l’inventivité ou le vert qui exigeait que ça ne se passe qu’en extérieur.
Aujourd’hui ma journée était plutôt calme, ennuyeuse… Je n’avais rien de prévu. Je décidai d’enfiler un bracelet rouge. Couleur que je ne portais que très rarement. C’était le bracelet de l’obéissance. Celle qui l’avait devait se soumettre et obéir à tout ce que son prétendant pourrait lui demander.
Obéir à des ordres était tout ce qu’il y avait de plus excitant. Mais ce bracelet avait un inconvénient… Une petite règle en plus pour pimenter le jeu : Il devait être gardé 12h minimum. Pas question de se défiler en plein milieu !
Je m’en allai donc me balader, le poigné fièrement orné de mon bijou.
Les détails de ma journée ne sont que peu excitants dans le fils de cette histoire. Je passerai donc directement à ma rencontre avec un certain…Monsieur.
C’était la fin de ma journée. J’étais sur le chemin du retour. Je marchais à pieds, d’un pas lancinant et rêveur. Quand, une voiture commença à rouler à ma hauteur. Le chauffeur fit mine de me demander une information sur son trajet mais son regard était accroché à mon poignet.
« Il est d’une très jolie couleur… »
Je ne répondis pas, je me contentai d’un regard de défit. Il me scruta de la tête aux pieds. Puis, comme prenant de l’assurance, il me lança d’une voix ferme : « Monte. »
Je m’exécutais, heureuse que la journée se pimente enfin.
Durant le trajet en voiture il me donna diverses instructions ;
« Remonte un petit peu ta jupe…Oui comme ça, parfait.
Touche toi le sein maintenant. Ils ont l’air très agréables au toucher ceux là…
Une fille comme toi avec un bracelet rouge…Et dire que je peux faire tout ce que je veux de toi…je vais adorer cette soirée !
Bon, redescend ta jupe maintenant et arrête de te toucher. On est presque arrivé. Tient toi correctement.»
Il me fit rentrer chez lui. Je savais bien qu’il y avait de forte chose pour qu’on finisse par baiser dans les quatre coins de la pièce et pourtant je ne pouvais m’empêcher de me sentir un peu gênée de ne pas être chez moi. Obéissante…ET polie !
Il ne prit pas le temps de me mettre plus à l’aise…
« Déshabille toi. Là, sur place. Je te veux entièrement nue. Balance tes fringues par terre, je m’en fiche. Comme tu t’appelles ?
-Eleanor
-Très bien moi c’est Monsieur…Monsieur, tout court. Eleanor, dans quelle position préfères tu être pénétrée ? »
Alors là, je n’étais pas à l’aise, mais pas à l’aise du tout ! J’étais nue en plein milieu d’un living room d’une maison que je ne connaissais pas. Et je devais répondre à des réponses intimes à quelqu’un qui ne m’avait jamais touché et qui se tenait 5 m de moi.
Je bafouillai un peu…
« Eleanor, tu sais ce que signifie ce bracelet, n’est pas ? En le portant tu acceptes de m’obéir. Et m’obéir ça passe également par répondre à ma question quand je te le demande !
-Oui Monsieur, pardonnez moi Monsieur. J’aime…j’aime quand on me prend en levrette, allongée, le ventre contre le lit…ou le sol, les fesses cambrées. J’aime sentir le poids de mon partenaire sur mon corps et j’aime la sensation de m’en remettre à lui…
-ça c’est une réponse ! Merci Eleanor. Va donc te mettre dans cette position sur le canapé devant toi. Attention, je veux te voir les fesses bien cambrées, comme tu me la dis.
Je m’exécutais. Le cuir était froid sur ma peau. Je m’allongeais sur le ventre, puis je relevai au maximum mon fessier. J’étais dos à lui, je ne savais même pas si il me regardait. Il ne disait rien… En espérant l’attirer d’avantage je mis mes mains sur mes fesses pour m’offrir tout à lui.
Toujours pas un commentaire.
Une minute passa, puis j’entendis des bruits de vaisselles et de micro-onde. Il se faisait son repas ! J’étais à poils dans son salon, le cul en l’air et lui…Il faisait tranquillement sa bouffe.
Enfin, j’entendis des bruits de pas venir vers moi.
« Allez, bouge maintenant, fais moi de la place ! »
Je me levai…ramassant mon orgueil au passage et alla m’asseoir sur le tapis à côté de lui.
Il regarda mon visage surpris et ce mis à rire.
« T’inquiète pas, je m’occupe de toi juste après ! Je vois que tu es une bonne fille obéissante. Tu seras récompensée promis ! En attendant, ne reste pas là à m’observer. Montre moi dans quelle autre position tu aimerais être baisée. »
Rassurée, je retrouvai ma motivation. Le regard espiègle, je m’allongea sur le dos, plia les genoux et me cambra un maximum. Je laissais mes mains se balader à l’intérieur de mes cuisses sans jamais, pourtant, oser toucher mon sexe. Je commençais d’ailleurs à sentir que je mouillais.
Monsieur mangea tranquillement, sans se presser. On avait passé le stade d’esclave sexuel…j’étais comme un objet sexuel. Un truc qu’on laisse sur le côté et qu’on prend quand on en a envie. C’était long…
Et finalement…
« Allez ma belle, tu l'as bien mérité. Viens là ! »
Il déboutonna son jeans, sorti son sexe et s’enfonça dans le canapé. J’approchai ma bouche de sa verge. Je voulais bien faire les choses. J’espérais que ça lui donne d’avantage envie de me récompenser. De manière plus profonde…
Je le pris d’une main. Commençai à le caresser doucement d’abord. Puis en en variant la pression de mes doigts. Enfin je tentai une langue timide. Je léchai le bout de son gland. Je le faisais languir. Puis je passais ma langue sur toute la longueur de sa verge et finalement je la pris dans ma bouche. J’y faisais aller et venir son sexe doucement. Ma langue continuait à lui caresser le frein et mes doigts reprenaient leurs vas et viens. Ça dura quelques minutes. Ça lui plaisait, il commençait à s’agiter un peu. Et là j’enfonça d’un coup sa bite au fond de ma gorge et attendis quelques secondes, qu’il lâche un premier soupir de plaisir et puis je recommençai mon manège. Doucement d’abord, Intense ensuite, puis profond enfin.
« Oh putain…toi…Je ne vais pas en avoir finis de toi tout de suite ! »
Il finit par comprendre mon numéro et rentra dans mon jeu. Il me caressait doucement les cheveux d’abord, me les attrapait intensément ensuite, puis me pénétrait la gorge profondément enfin.
Ces vas et vient, ces gémissements, tout ça commençait a me donner très chaud. J’espérais qu’il finisse vite et qu’il s’occupe de moi.
« Cette fois je vais jouir… »
Il m’empala la bouche de son sexe et , quand je cru finir par perdre mon souffle, je sentis son liquide chaud s’écouler au fond de ma gorge.
Il se rallongea dans le canapé, haletant.
Je restais a genoux devant lui. Nue et les cheveux ébouriffés. J’attendais les prochaines instructions.
« Tu as été un bonne petit chienne obéissante. J’ai besoin d’une petite pause maintenant. J’aimerais que tu m’attendes dans ma chambre…
Mais je suis obligé de te dire que ton bracelet expire dans 10min. Dans 10min, si tu le souhaites, tu peux retirer ce bracelet et rentrer chez toi, te coucher tranquillement.
Ou, tu décides de le garder. Dans ce cas, je te demanderai de m’attendre sur le lit. La croupe tendue vers la porte. Ton petit cul m’excite. Depuis le depuis de la soirée, j’ai envie de le faire rougir à coup de corrections !
C’est à toi de choisir… profite s’en, c’est surement le seul moment de la soirée où tu as le choix… »
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Commentaires de l'histoire :
Titus
Très encourageant, j'adore.
Posté le 13/08/2018
Fleur de Sel.
Fantasmes intéressants. Assisterons nous a la correction ?
Posté le 5/06/2018
Anonyme
Superbe histoire ! J'attends la suite avec impatience... et je partage la remarque de Libretin : je vais regarder les couleurs en pensant à vous Alice...
Posté le 21/05/2018
Libretin
Merci pour ce texte. ça va être excitant désormais de croiser des filles avec un bracelet rouge dans la rue :)
Posté le 19/05/2018
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