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Érine

Jeune rebelle de 17 ans, Érine passe des vacances forcées chez son père dans la contrée de la choucroute et des bretzels. Autant dire que c’est le bagne ! Pourtant ce qui s’annonçait comme le pire été de sa vie va prendre une tournure bien plus excitante.

Proposée le 13/05/2018 par Ewenn Mathis

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Roman


Agée de dix-sept ans Érine déprime en ce bel été au fin fond d'un bled Alsacien au nom imprononçable.

La jeune fille adore son père mais n'est pas convaincue qu'il perçoive l'énorme effort qu'elle a fait en acceptant de passer le mois de juillet chez lui.

D'une part à son âge la plupart des enfants de divorcés ne partagent plus les congés scolaires entre les parents. D’autre part, passer d'une grande ville en mouvement perpétuel et culturellement riche, au folklore Alsacien c’est carrément du délire !

D’ailleurs la jeune gothique à encore du mal à comprendre qu’on puisse tout sacrifier pour une femme.
En effet pour rejoindre sa nouvelle petite amie son paternel a demandé cette mutation improbable, laissant derrière lui sa famille, ses amis ainsi que des collègues incrédules.

Il y a vraiment de quoi s’interroger, le cher papa aurait pu avoir l’élégance d’emménager à Strasbourg ville pittoresque, néanmoins pourvu de salles de concerts et de bars sympas !

Érine en est arrivée à se demander si ce n’était pas mieux avant,quand ses parents passaient leurs journées à s’engueuler. Pourtant à l’époque elle assimilait l’ambiance familiale au purgatoire mais cela lui semble dérisoire à coté de ce qu’elle a enduré depuis son arrivée.

Tout d’abord le déferlement de géraniums aux couleurs vives à chaque rebord de fenêtres lui donne la nausée, le noir étant son crédo.

Par la suite elle a failli crever d’ennuie dans l’énorme jardin calme et reposant qui conviendrait parfaitement aux besoins de son arrière-grand-mère.

Enfin, pour couronner le tout elle s'est vue contrainte de manger une tarte flambée à la fête du village, événement classé dorénavant en tête de liste de ses plus horribles souvenirs de vacances.

Ce soir-là elle s’est cru téléportée dans la quatrième dimension car impossible lorsqu’on a choisi d’étudier l’Anglais et l’Espagnol de déchiffrer ce dialecte à forte consonance germanique.

De plus l’ensemble folklorique chargé d’animer la soirée était limite pathétique, il semblerait que les litres de bières consommées par individu favoriseraient la tolérance au ridicule de la population locale.

Lorsque deux jours plus tard le fils de sa nouvelle belle mère lui propose de l’accompagner à une soirée entre potes elle accepte dans l’idée de se ressourcée et de laisser son vieux roucouler loin de son regard.

Pourtant elle n’a pas d’atomes crochus avec ce garçon grassouillet,probable séquelle du régime régional.

Les deux jeunes se rendent dans une minuscule maison à colombage très mal agencé ou une quinzaine de jeunes poivrots s’entassent dans le salon bas de plafond.

Un stock impressionnant d’alcool est entassé en vrac, une chose est sur : ils aiment la picole dans cette région !

Pas de chance, son truc à elle c’est la fumette mais il est préférable de ne pas en parler, surtout qu’elle ne sait pas encore si Kevin est digne de confiance.

Il ne faudrait surtout pas qu’il fasse des révélations à son père qui pour le moment malgré son look déjanté la considère encore comme son irréprochable fillette.

À peine arrivée Érine goûte au Kirch, réserve personnelle de leur hôte. Les toquards à l’autre bout de la pièce pensaient surement lui faire une mauvaise blague, mais c’est mal la connaître : dans le Rhône on sait boire !

Par contre musicalement elle ne sent pas en phase avec ce style soi-disant festif.

En fin de compte ce n’était peut-être pas une bonne idée d’accompagner l’autochtone boutonneux car elle se sent très seule, la plupart des mecs sont déjà sérieusement éméchés et les filles la regardent de travers.

Il faut dire que sa dégaine piercings et maquillage décalé contrastent avec les Fashion victimes de la campagne.

De toute façon que ce soit ici ou ailleurs Érine n'a jamais compris qu'une meuf puisse se rabaisser au point de rester docilement installer toute la nuit à se faire chier à regarder son keum se bourrer la gueule.

Finalement elle se demande s’il n'aurait pas été plus sage de passer une soirée de plus avec un livre et de la bonne musique dans les oreilles.

Quel bonheur quand vers minuit débarque un autre intrus : beau gosse, métisse, certainement l'ainé de cette misérable soirée.

L'adolescente se fixe comme objectif de pécho ce gars. Ce qui s'avère plutôt facile car en tant que profanent ils se rapprochent rapidement :

- Bonjour je m’appelle Olivier, tu ne dois pas être du coin ?
- Salut moi c’est Érine, dans le mille, je suis ici en vacances, enfin si on
peut appeler ça ainsi.
- En tout cas tu es sympa, je suis content de faire ta connaissance, j’avais
peur de m’ennuyer mais je crois que çà ne sera pas le cas.

Pour fuir la communauté et sous prétexte de chercher des glaçons le duo se rend dans la cuisine où une complicité naît au fil du dialogue. La fille n’en revient pas quand elle réalise qu’il a un lien de parenté avec le propriétaire de la maisonnette, les deux individus sont diamétralement opposés.

De plus elle est épatée par la culture musicale du jeune homme. Qu’il s’intéresse au Cure passe encore mais qu’il soit totalement fan de Deftones la dépasse.

Au fil de la conversation la jeune femme apprend également qu’il a un tatouage sur la cuisse.


Érine saute sur l’occasion :

- Tu accepterais de me le montrer ?

Olivier hésite un cours instant puis ferme la porte à clef.

- Ok, soyons prudent car si on nous surprend ils pourraient imaginer des
choses….

Ils éclatent de rire puis le garçon défait son jean pour laisser apparaitre une magnifique tête de mort ornée d’un motif tribal, ce qui fait forte impression :

- Wow, trop classe !
- Merci.

Lorsqu’il remonte son pantalon Erine se rapproche sournoisement.

- Tu n’es pas obligé de te rhabiller tout de suite, personne ne peut entrer.

La température monte aussitôt, sur la même longueur d’onde, les corps sont irrésistiblement attirés, Olivier la serre dans ses bras et commence à la galocher fiévreusement.

La jeune femme ne peut s’empêcher de caresser les cheveux à la texture crépue qui lui picotent délicieusement la paume de la main.

Touts deux ressentent un violent besoin de sexe malgré l’agitation des passages répétés des autres convives dans le petit couloir attenant.

Le plus compliqué sera de se frayer une place, l’espace étant limité et de nombreuses bouteilles vides sont entassées un peu partout.
La seule solution qui s’offre à eux c’est de s’allonger par terre. Par précaution elle défait son chèche et le pose au sol.

Olivier s’installe et enlève immédiatement son t-shirt, rejoint par la ténébreuse qui se frotte à ses abdos d’Apollon.
Il glisse ses mains sous le top pour dégrafer le soutien-gorge très stylé afin de s’approprier les seins pulpeux avant de pincer subtilement les mamelons qui le nargue.

Le procédé plaît beaucoup à la jeunette qui s’humidifie instantanément.

N’y tenant plus elle se débarrasse des vêtements devenus encombrant, laissant apparaître des formes parfaites, subjugué Olivier ne tarde pas à en faire de même. Au même moment quelqu’un essaye d’entrée mais cela n’a plus d’importance, en cet instant un tremblement de terre ne les ébranlerait pas.

À la fois excité par le corps si bien dessiné de son bel amant et la proximité de la fête, Érine veut sentir la superbe teub au fond d’elle au plus vite.

- Prends-moi…

Quel délice quand l’engin l’assailli avec force, elle se trouve à quatre pattes au-dessus de cet homme qu’elle connaît à peine, pourtant elle adore la manière dont il la nique sans équivoque.

Malgré le nombre limité de possibilités ils s’agitent en harmonie, leurs langues s’entremêlent frénétiquement.

Incontestablement la technique est parfaite, c’est la première fois qu’elle s’envoie en l’air avec un gars capable de la baiser plus de quelques minutes ce qui donne une autre dimension à sa sexualité : une multitude de sensations nouvelles parcours tout son corps et lui donnent la chair de poule, l’extase est enfin à sa portée.

Érine ne se reconnait plus, elle se trouve très vite en apesanteur et ne peut s’empêcher de gémir, pourtant encore un peu pudique ce n’est pas son genre d’exprimer son plaisir.

Le beau black la bascule sur le côté pour la bourrer de plus belle mais coincé contre le mur la position devient prématurément inconfortable pour chacun.

Olivier prend les choses en mains :

- Allonge-toi à plat ventre bébé.

Il la recouvre, la pénètre vigoureusement, les coups de zob profond répétés la surprennent :

- Mmhmm, oui, oh putain tu me fais quoi mhh, oui, oui…

L’effet qu’il fait à cette gamine le stimule, il accélère la cadence et pose la main sur la bouche de la déchainée pour éviter qu’elle n’ameute tous les invités.

Ses assauts son puissant pour le plus grand bonheur d’Érine qui n’a jamais été chevauché de la sorte.

Olivier s’effondre sur elle en silence, après une intense jouissance il est envahi par une triste pensée : dommage que cette fille soit juste de passage.

Érine est joviale mais l’euphorie est de courte durée car on tambourine à la vieille porte :

- Bordel vous allez enfin ouvrir, on a soif !

Ils se rhabillent en catastrophe, Olivier déverrouille et se trouve nez à nez avec son cousin, ce dernier comprend ce qui vient de se passer :

- Tu ne te fais pas chier mon coco !

Il le bouscule, récupère quelques bouteilles de bibine et rejoint sa bande de copains.

Érine s’alarme :

- Il va cafeter tu crois ?
- Non, t’inquiète, on est lié par le serment des soirées de beuverie.

Rassurée, la gothique se blottit contre le formidable métis, elle est songeuse : qui aurait cru que c’est dans le terroir Alsacien qu’elle vivrait une expérience sensuelle aussi exaltée qu’inoubliable.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Je trouve que c'est un bon début d'histoire, continue .
Posté le 14/05/2018

Anonyme
Hello, je ne sais pas qui a mis une sale note à ton texte mais c'est pas sympa. J'aime bien le principe de l'histoire. Continue STP, développe comment se sent Erine les jours suivants, revoit-elle Olivier ? ...
Posté le 14/05/2018


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