Jeune banquière, va faire la rencontre de Fred un travailleur. Obligée d'accepter la soirée d’intégration, elle va devoir montrer ses talents en matière de sexe. Entre sensualité, provocation, et drague, notre jeune femme est loin de se douter qu'elle va passer l'une des meilleurs nuits de sa vie.
Proposée le 13/04/2018 par Kerozen Monster
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie
Aujourd'hui c'est le grand jour !
C'est mon premier jours de travail en CDI, en temps que charger clientèle.
Je travaille dans une banque qui fait partie d'une grande surface.
Ce soir, je vais rencontrer tous les supérieurs et chacun des managers qui y travailles, lors d'une réunion.
J'ai pris soin de m'habiller en conséquence :
Une jupe crayon mettant en valeur mes formes, des escarpins pour tromper ma petite taille, un débardeur dos nu et un blazer digne d'un général Napoléonien. J'aime m'habiller sexy tout les jours.
Nous ne sommes que deux femmes dans cette entreprise alors autant se faire accepter dés le début.
Je n'ai jamais eu de mal à me faire comprendre, me faire accepter, et ce, malgré mon jeune âge, effectivement, je n'ai que 22 ans.
Je suis ce qu'on appelle une tête.
Mais Détrompez vous, je ne suis pas ce genre de banquière stricte, bien au contraire, j'ai dû m'imposer dans un monde de procédures, avec des tatouages sur le corps, un écarteur assez gros pour qu'on le remarque et des cheveux rouges comme le feu. Je ne suis pas peu fière de ce look me donnant un air de suicide girl.
Il n'y a de classique chez moi que ma tenue de travail.
La journée ce passe calmement, voir lentement, il me tarde d'enlever mes talons pour remettre mes baskets cachées sous mon bureau, et de rentrer chez moi. Il faudra attendre encore un peu puisque la réunion va commencer dans 10min. Je me presse de fermer mon bureau.
Je retrouve en vitesse le mail m'indiquent la salle de réunion et file directement.
Arrivée devant la porte, je souffle un peu me tient droite et ouvre la porte.
Derrière déjà quelques personnes, le propriétaire, le gérant, le directeur, mon patron et quelques managers.
Mon patron me sourit au loin et me fait signe de venir le rejoindre, je m'exécute, le chemin est retardé par toutes les poignées de mains et présentations.
Nous parlons de ma première journée, son ton se veut rassurant et protecteur, comme un père.
Il m'explique alors que nous sommes placé en fonction de notre nom de famille, cela permet de faire connaissance avec d'autres personnes et de se souvenir pour les prochaines réunions. Astucieux.
Prise dans notre conversation je tarde à me diriger à ma place.
À coté de qui je vais être ?!
Mon voisin de gauche s'appelle Frédéric, il n'est pas bavard, discret, semble avoir la trentaine, je dirais 32 ans. Reste collé sur instagram.... OK, pourquoi pas.
Celui de droite par contre est assez différent, il s'appelle Tom, c'est un bavard, il s'intéresse beaucoup aux gens, (à l'inverse de moi).
Ses yeux sont noirs comme les miens, il est grand, très grand, de ce que j'en vois, c'est un manager du rayon informatique, il m'explique toute sa vie avec passion.
Je l'écoute attentivement sa voix est douce.
Il continue de me parler encore et encore puis m'évoque son célibat.
"Oh! Excusez-moi, je crois que la réunion va bientôt commencer !"
Pourquoi me parle-t-il de ca ? Il est con, ou en manque ? ,
Je m'assois et jette un regard subtil à gauche.... Ah, toujours sur son portable.
La réunion se passe bien les actions marketing proposé sont pertinentes, mais ne me concerne pas vraiment, la fin de la réunion est consacré aux managers, je me lève pour rentrer chez moi, prend soin de saluer avec mon plus beau sourie Tom, le chemin est étroit, mais cela ne me gêne de me coller à lui.... On ne sait jamais après tout.
Une fois sortie, je me dirige vers mon patron pour le saluer et le remercier, la vague part et tout le monde est à présent à l'extérieur.
Je me retrouve donc seule dans les couloirs, parfait, je vais pouvoir mettre mes baskets !
Je me penche et m'empresse de les mettre, je me relève l'air de rien, je regarde autour pour vérifier si je suis toujours seule.
"Je vous trouvez mieux en talon, si je peux me permettre !"
Je sursaute de peur, me retourne et fais un bond en arrière, un homme se trouve devant moi, il est immense, la carrure d'un taureau, les lumières de la ville caresse son visage au travers des fenêtres.
"Frédéric, ces ca ?, vous m'avez fait sursauter !
-oui, je fais souvent cet effet-là.
Il est immense, et prétentieux, je le préfère coller à son portable.
Il s'avance lentement vers moi, m'obligeant ainsi à me reculer contre un mur. Il m'intimide, mais attise ma curiosité à la fois.
Je me concentre pour tenter de sortir des phrases audibles telles que :
“Vous n'aviez pas vraiment l'air intéressé par la réunion ?
-Ne me dites pas que vous êtes l'intello première de la classe ?
-Non, je suis la banquière dis-je d'un ton sur de moi, il me trouble, sa voix est grave et rauque, le moindre de ses mots me parcourt le corps comme une caresse assassine.
-On va très bien s'entendre, c'est votre premier jour ?
-Oui, pk ?
Il se penche un peu plus vers mon oreille pour chuchoter : il faut qu'on fête ca alors, disons que ce sera votre soirée d'intégration privée.
Il m'excite, j'ai envie qu'il m'intègre contre un mur.
-Ca tombe bien, je viens de mettre mes baskets, vous avez un endroit en tête ?
-Oh même plusieurs, vous suivez ?
Nous quittons le bâtiment ensemble et arrivons dehors, mon envie de lui, de son corps, de sa voix monte crescendo au rythme de nos pas.
Il me signe de s'arrêter contre un mur, pour fumer.
Une jambe pliée contre le mur, il mit sa cigarette à la bouche sans me quitter du regard. Il vient de lancer la machine de mon excitation sans le savoir, je fais deux pas pour me rapprocher un peu plus de lui, je prend sa cigarette de la bouche pour y déposer mes lèvres.
Et c'est avec surprise que sa bouche s'entrouvre légèrement comme pour autoriser ma langue à entrer en lui. Nos langues s'entremêlent et se cherhcent.
Son bras fait le tour de mes hanches, tandis que sa main vient se coller contre ma nuque pour mieux me rapprocher contre lui. J'entreprends, mais lui, domine. Il me domine.
Sa force qui me serre contre son corps me fait pousser un gémissement, je brûle, j'en veux plus, se baiser devient trop long pour la chaudasse qu je suis.
Je mets mes deux mains sur le bas de son bassin, l'une de mes mains s'aventure entre ses cuisses, et caresse lentement son sexe. Je devine une gaule si forte au travers de son jean, qu'instinctivement mon bassin ondule au rythme de nos langues, toujours en action.
Il aime ça et me sert un peu plus contre lui où je ne manque pas de gémir un peu plus.
Sa main tente de caresser mes hanches avec fermetés.
Je suis excitée et mouillée, mes jambes vacillent, je suis à sa merci.
Ma main est de plus en plus entreprenantes mes caresses sur sa queue de moins en moins timides, et de plus en plus subjectives. Il commence à râler de plaisir, à prendre ma main sur sexe pour il donner le rythme de vas et viens de celles-ci.
S'en prévenir, il m'empoigne et me retourne d'un coup, c'est à présent moi qui suis collée contre ce mur, coincée face à lui une deuxieme fois, je sens ma mouille couler le long de ma cuisse.
Je gémis de plus en plus fort, sa main fait la taille de ma cuisse, et vient s'aventurer sur celle-ci.
Ma jupe ne lui permet de remonter plus haut, je le sens frustré et ne peux m'empêcher de sourire face à cette défaite.
Mais je dois avouer que je le suis aussi, je veux que sa main joue avec ma petite chatte.
Pour le soulager, je décide de remonter ma main pour lui retirer sa ceinture et pouvoir accéder enfin à l'objet de mon désir.
Je la veux, elle m'excite et il me tarde de jouer avec.
Il prend ma main et la stoppe net.
“Je connais un endroit plus approprié pour ça.
-Je vous suis....”
Mon souffle est coupé et prononcer ses trois mots semble être une torture.
Il se recule pour me laisser passer, je cherche sa cigarette confisqué tout à l'heure la mets dans ma bouche, j'aurai pu l'allumer à la chaleur de mon cul. Mais il était préférable de fouiller dans sa poche arrière, toucher son cul bombé et musclé pour trouver son briquet. Je ne le quitte pas des yeux, mon regard l'hypnotise, je vais le faire bander jusqu'à notre prochaine destination.
Il me sourit du coin de la bouche, et reprend lui aussi une clope.
Nous l'allumons chacun notre tour et prenons la route.
Le chemin se passe sans un mot, heureusement, il dura moins de 10min. Mais l'excitation est toujours là, je suis toujours chaude et j'ai envie plus que jamais qu'il me prenne comme une chienne.
Arrivé devant un grand portail, il me fit signe d'entrer. Je franchis le portail, mais ne vois aucune maison, seulement un petit chemin au milieu d'une forêt c'est plus loin que j'aperçois une veille maison de campagne.
Nous entrons, à peine la porte fermée, Frédéric me pris et me porta pour m'emmener jusque dans son lit où il me jeta. Debout, face à moi, il enleve son tee-shirt. Et merde, il est dosé, beaucoup trop gaulé pour moi.
J'en viens à complexer, ses yeux me fixent, j'ai l'impression qu'il va me bouffer, j'ai envie qu'il me bouffe, je commence à onduler, mais il reste debout à me fixer.
“Maintenant, je m'occuper de vous, si vous voulez bien”
Je me releve me mets à genoux, enlève mes vêtements pour me retrouver en jupe et soutient gorge, je met mes mains derrières le dos, pour lui faire comprendre que je serai sa petite chienne soumise toute la nuit, mes mots se transforment en battements de cils. Mon regard lui donne le feu vert pour qu'enfin, il reverse mon corps sous son poids.
Je soupire de plaisir, commence à mordiller son cou, il en fait de même, se met à genoux et me fait tourner, m'obligeant à me mettre sur le ventre.
Ses doigts s'activent alors sur la fermeture de ma jupe jusqu'à ce que celle-ci se retrouve par terre. En string, mon cul se retrouve offert à lui.
Il commence les hostilités en me donnant une fessée si forte que j'en tremble de plaisir, un courant électrique me parcours le corps.
Sa main vient me caresser la fesse comme pour la récompenser, tandis que l'autre s'oriente vers ma chatte parfaitement lisse, je mouille tellement que je sens ses doigts jouer avec ma mouille, il caresse maintenant mes lèvres jusqu'à s'orienter vers mon clitoris gonflé de plaisir. Il joue avec de manière ferme, je n'en peux plus, j'ondule, je rale, j'ai le souffle coupé, mais il accelere et voilà que sa deuxième main entre en moi de manière brutale, je crie, je hurle de plaisir, il ralentit arrete de jouer avec mon clitoris, mais ne laisse pas ma chatte tranquille, ses doigts joue en moi, comme un virtuause. Jamais un homme m'a donné autant de plaisir.
Son odeur m'envoute, ma croupe se dresse et je lui offre mon cul.
Il me retourne encore, je suis une nouvelle fois face à lui, il me demande de me mettre à genoux,et j'obéis. Il se positionne debout devant moi. Je ne tient plus je veux goûter à sa bite, j'entreprends ce que je faisait dehors, je m'approche de lui, prend la boucle de sa ceinture et défait son pantalon, je commence à caresser sa queue au travers de son boxer. Elle est grosse et gonflé et dur comme du bois.
J'ai envie de la voir et baisse son boxer pour faire jaillir la bête.
Elle me donne tellement faim, je m'active sur elle est commence à la branler sensuellement, mes mains sont douces, mes doigts sont fins et glissent parfaitement le long de son chibre. , je vois le visage de Fred se tendre de plaisir et gémir, je ne m'arrête pas en si bon chemin et accélère de plus en plus pour l'exciter.
Je commence à mordiller son torse... puis ses cotes... puis ses hanches... puis son ventre... pour arriver à mordiller le commencement de son sexe, je descend un peu plus pour embrasser ce piquet qui se tient fière devant moi, il n'en peut plus râle de plus en plus.
J' accueil enfin son membre chaud dans ma bouche et entreprend des vas-et-vient, il chope ma crinière de feu et me pousse à lui fait une gorge profonde. La fellation m'excite au plus au point. Le bout de ma langue chatouille son gland, à la manière d'un cunni. Je sens son membre gonfler sous la torture de ma langue. Comprenant son envie d'aller au fond et de me baiser la bouche, je me penche de plus en plus jusqu'à engloutir son sexe au fond de bouche.
Sa bite est énorme et m'excite si fort que je prend une main pour m'occuper de ma chatte qui ne cesse de mouiller.
Je goûte à son liquide, j'ai envie qu'il me finisse dans la bouche, je veux goûter à son foutre.
Je le sens râler, serrer de plus en plus fort ma nuque contre sa bite, je décide alors de me retirer, frustrer, il me regarde avec provocation.
Les larmes aux yeux à cause de cette fellation si intense je le supplie de me baiser comme une chienne.
Il se dirige vers sa table de nuit où je peux apercevoir une photo de lui en smoking embrassant une femme en robe de mariée.
Savoir que je baise avec un homme marié me donne encore plus de plaisir. Il déchire un papier de préservatif et l'enfile, il me retourne une fois de plus sur le ventre en me donnant une claque sur la fesse qui me fait crier de surprise et de plaisir. Il prend soin de faire glisser son phallus avant de me prendre d'un coup en levrette, je sens sa grosse queue me remplir et me baiser violemment. J'aime ça, et je me rend compte que j'aime être baisé de la sorte, il se retire quasiment entièrement pour mieux me prendre en profondeur, je n'en peux je sens que je viens, je crie, je hurle, je le supplie, mais c'est trop bon et mon deuxième orgasme est si fort que j'en tremble, râle de plaisir et je sens ses couilles se heurter contre mon cul, je lui offre ma croupe, il introduit ses doigts dans ma bouche comme pour me faire taire, je lui suces avidement, il les retires pour venir les introduire dans mon petit cul qui lui est offert.
C'est trop bon :
-Oh oui prenez-moi, plus fort !
Sa main chope fermement mes cheveux les tires en arrière, il accélère je sens sa hampe qui me baise le cul, sa bite est si grosse pour mon petit qui lui non plus ne tarde pas à être lubrifier de plaisir. Sa bite est en moi et me prend avec force. Mes cris sont aigus et s’enchaîne à chaque coups de reins. Ses hanches et son bassin se cognent contre le bas de mon dos. Je me fais littéralement sodomiser par un inconnu et je hurle de plaisir , jusqu'à obtenir notre ultime orgasme.
Il se retire juste après et s'allonge sur le dos épuisé. Je lui enlève sa capote pour sucer une dernière fois sa bite dure et fière. Je le pompe jusqu'à la dernière goûte et avale goulûment sa semence.
Je l'embrasse tendrement avec sensualité. Il se retourne vers moi et me prend dans ses bras, la chaleur de son corps m’apaise et fait redescendre mon rythme cardiaque. J’entends le siens. Il me tarde de rentrer chez moi, je suis épuisée.
Je le regarde avec curiosité et lui dit :
« Elle va rentrer, je vais y aller »
« Non reste, elle ne rentrera plus jamais ».
Confuse je n'ose imaginer la raison de son départ, un jours peut être je vais le savoir, mais en attendant je tire la couette me colle à lui pour avoir chaud. Et attend de m'endormir au rythme de ses caresses dans mes cheveux.
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Commentaires de l'histoire :
Lilas
Histoire très sympa Dommage pour les fautes d’orthographe effectivement mais récit bien construit et qui donne envie d’en lire la suite !
Posté le 26/06/2018
Anonyme
Cool...
Posté le 1/06/2018
sexe girl
j ai ai trop aime cette story elle m a fait mouillee et je me suis masturbee
Posté le 18/04/2018
Anonyme
Dommage pour les quelques fautes mais sinom super !
Posté le 15/04/2018
Soda
C'est comme du bois dans mon caleçon après lecture de votre histoire
Posté le 14/04/2018
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