Je rejoins Denis sur un petit parking près de la foret. Sa femme Noy m'attend dans la foret, habillée et installée suivant mes instructions. Cette histoire est aussi écrite à la première personne, vous commencez à en avoir l'habitude.
Proposée le 5/03/2018 par marc dubois
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme
Un petit parking en lisière de la forêt, près du kilomètre 12. Voilà. Une voiture est déjà garée. Suivant la description, c'est la vôtre. Je me parque à côté. Bel endroit, discret à souhait. C'est l'été, mais l'air, en ce milieu de matinée est encore un peu frais, une légère brise fait bruisser les feuilles. Je m'appuie sur une barrière, et j'attends, à la fois anxieux et impatient. Denis arrive presque tout de suite.
_ Marc?
_ Denis?
On se serre la main.
_ Elle t'attend. Après plus ou moins 200 mètres, il y aura un petit sentier sur ta droite. Tu vas arriver à un gros rocher. Tu passes derrière, elle est dans un creux.
_ Vous avez respecté mes instructions?
Nous avons mis ce petit scenario au point avec Denis. Tu dois être vêtue d'un simple body, mais en satin, et soit rose, soit bleu pâle. Tu dois aussi avoir les yeux bandés. Je veux que tu en saches le moins possible sur celui qui va te prendre. Tu ne me verras pas, ne m'entendras prononcer aucune parole. Je sais que tu ne pourras pas t'empêcher de te questionner à mon sujet. Suis je un inconnu, un proche, un collègue? Denis a joué le jeu et ne t' as rien dit de moi.
Je me mets en route, et, rapidement, je trouve les points de repère indiqués. je contourne le rocher, et tu es là, dans le creux d'une petite dépression, parfaitement dissimulée à la vue d'improbables importuns. Je m'arrête. Je te vois tressaillir. Tu sembles extrèmement tendue. Tu arbores un body de satin rose vif très ajusté, peut être légèrement trop petit. Il moule parfaitement tes fesses et tes seins, les révèle, les exagère juste ce qu'il faut. Bien que d'origine asiatique, tu as des formes.
De très jolis seins, ronds, fermes. Tu as pris la position que j'avais demandée : jambes jointes, à genoux, assise sur les talons, mains posées sur les cuisses, dos cambré. Je te contemple quelques instants. Ta poitrine se soulève nerveusement. Mon sexe commence à se dresser. Je m'approche de toi, doucement. Je m'agenouille à côté de toi et mais mains te touchent. Tu sursautes. Je caresse doucement tes bras et tes épaules, puis ton visage. Une main passe dans tes cheveux, ma bouche se pose dans ton dos. Je sens que tu te calmes. De ton dos, mes lèvres remontent dans ton cou. Tu souffles un peu plus fort. Je profite du satin, main gauche sur ton ventre, main droite sur tes fesses. J'adore ce contact, je sens ton corps qui vibre et qui palpite derrière la mince étoffe. Tu tournes le visage, et m'offres tes lèvres. Je les prends délicatement. J'aime les frôler. Taquin, je reviens dans ton cou, près de ton oreille. Ma main gauche apprécie les courbes de tes seins, taquine ces petits tétons qui pointent. Je reviens sur ta bouche, je t'embrasse cette fois goulument. Tu me rends ce baiser avec la même passion. Tu souffles plus fort, laissant échapper un léger "hmmm".
Mon sexe est maintenant complètement dressé, je me recule légèrement, et me déshabille complètement. Je viens face à toi. Je pose cette barre dure et chaude sur tes lèvres. Tu ouvres la bouche. Plutôt que de m'y introduire, je te laisse l'initiative. Ta langue vient se poser délicatement sur mon gland. Hmmmm. Puis effleure tout mon sexe jusqu'en bas. Curieuse, tu viens reconnaître mes testicules. Tu les fais rouler sous ta langue. Je grogne. Tu remontes, puis tu m'engloutis très délicatement, presqu'aussi douce que la brise. Puis, en remontant, tu m'aspires, tout en me donnant des coups de langue. Woaah. C'est excellent. Tu recommences. Puis encore, et encore. Bon Dieu, je vais jouir!! Courageusement, je me soustrais à ta caresse, reprends mon souffle. Je vois un petit sourire satisfait au coin de tes lèvres.
Je viens m'agenouiller derrière toi. Mes cuisses emprisonnent les tiennes. Tu viens t'appuyer sur moi, et nous nous embrassons de nouveau passionnément. Tes bras autour de mon cou, tu sens ma bite appuyer fortement sur une fesse. Tu aimes sentir ce désir, le pouvoir de ton corps sur un homme. Je prends tes seins, les triture, les masse. Soudain, tu romps l'étreinte. D'une main habile, tu dégrafes le body qui remonte illico sur tes hanches, comme enfin soulagé. Mon sexe a émigré entre tes fesses. Par quelques va et vient, je te sens très humide. Mon gland vient se poser sur ton anus. Tu pousses un grand "hommmm", je sens ton corps se détendre. D'une pression sur tes hanches, je te fais comprendre que c'est toi qui assumera cette pénétration. Tu appuies ton anus contre mon gland, tu tournes. Je te sens t'ouvrir progressivement.
Soudain, mon gland passe la première barrière. Tu souffles, puis reprend ton travail méthodique. Je décide de t'aider un peu, et pousse mon sexe dans l'étroit conduit. le petit cri aigu que tu pousses m'excite terriblement. J'ai envie de pénétrer d'un coup, bestialement. Je me contrôle et je te rejoins dans tes ondulations sensuelles. Petit à petit, je progresse jusqu'à ce que bientôt mes hanches rejoignent tes fesses. Tu pousses un long "ooo-ooooo-ooohhhh" très léger, presqu'un souffle. Puis tu t'appuies de nouveau sur moi, tes bras enlacent mon cou. Très sensuellement, tu fais coulisser mon sexe dans ton cul. Tu gémis. Tu te dilates. Nos langues se cherchent.
Sans vergogne, je profite de ces seins que tu pousses en avant. Doucement, je substitue mon mouvement au tien. Moins sensuel, plus fort. Cette domination du mâle, tu la veux et tu la sollicites en te penchant vers l'avant. Te voir ainsi prosternée devant moi fait déborder mon excitation, et je commence à te pilonner très fort. Un "han" volontaire précède le "clac" de mes hanches sur tes fesse, et le "hon" qui sort de ta gorge évoquant le plaisir plus que la douleur. Les han et les clac se font plus forts, et plus rapides. Le hon plus aigu, jusqu'à devenir un hiii. Dans un éclair de lucidité, je me vois enculer une femme superbe prosternée devant moi, et je me demande si j'ai mérité cette chance.
Mais presqu'immédiatement, le plaisir et l'excitation reprennent le pouvoir sur moi. Comme fou, je te pilonne de toute mes forces, et tu cries, sans discontinuer. Je sens plaisir monter en moi. Encore un coup de butoir, et un autre, puis je m'immobilise, et j'envoie de longues giclées de foutre brûlant s'écraser au plus profond de toi. Quand cette onde brûlante se diffuser, la boule de feu qui couvait au creux de ton ventre explose, te propulsant comme hors de toi même. Cette vague de plaisir t'inonde, comme un tsunami. Long, puissant, inarrêtable. Doucement j'atterris. Je me couche sur toi, te prends dans mes bras. Tu trembles. Pendant de longs instants, nous restons comme ça, revenant doucement à la réalité.
Après un dernier baiser, je me rhabille et vais retrouver Denis. On se salue, puis il retourne te chercher dans la forêt. Encore un peu sonné, je reprends ma voiture. J'ai du mal à embrayer, ma jambe tremble. Je souffle. Heureusement la route est déserte.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
J'ai bien aimé. Belle description, et des actes en douceur comme j'aime.
Posté le 28/04/2022
Anonyme
merci julos2 mais 7/10, tu cotes vache si tu trouves ça super... Marc
Posté le 26/04/2018
julos2
super
Posté le 17/04/2018
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