L'abstinence crée des manques, les manques entrainent des pensées merveilleusement friponnes et les pensées friponnes nous entraine dans la luxure la plus douce à bord de train par exemple. C'est le cas dans cette histoire vraie d'il y a 15 jours...
Proposée le 25/02/2018 par gerbie
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Masturbation
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Histoire vraie
Pour un garçon, ne pas se masturber pendant un certain temps conduit à avoir des pensées pour le moins étranges.
Depuis que je suis tout jeune, je me masturbe tous les jours parfois deux à trois fois par jour. Mes masturbations ont évolué, depuis me frotter juste le bout du gland contre mon drap de lit légèrement râpeux pour être parcouru d’éclair de plaisir irradiant de mon gland jusqu’à mes orteils, pour finir à mes jouets érotiques et les minous de passage ; très serrés ou suffisamment larges pour toucher le fond. Mes masturbations ont changé de genre aussi, je suis passé de l’imagination pure à propos de ma babysitter à du porno japonais hard. Elles ont changé de localisation aussi, je suis passé de mes draps douillets de gamin, en passant par la masturbation dans une libraire face à des ouvrages de Manara ou dans les bois, à une escapade en train dont je me souviendrai longtemps. Voici cette histoire…
J’ai rencontré une jeune fille à un souper de famille. Elle m’a tapé dans l’œil car elle est venue me parler de son projet d’être sexologue, me sachant dans la profession. Elle avait 18 ans à l’époque, toute frêle et blonde. Elle portait ce jour là des habits on ne peut plus normaux mais qui mettaient sans qu’elle s’en aperçoive ses formes en valeur. Un petit pull un tout petit peu court enfermait une poitrine déjà généreuse et que l’on sentait lourde. Son jean noir dessinait impeccablement ses hanches et ses fesses car son string laissait paraître des fesses rondes, fermes et légèrement cambrée. Elle me parla longuement de son envie professionnelle et je lui donnai des conseils tout en sondant le terrain… Elle m’expliqua qu’elle adorait le cul et qu’elle aimait aider les gens avec leurs problèmes, que beaucoup de son âge et plus vieux venaient la trouver pour lui en parler. Elle me raconta certaines de ces questions et ce qu’elle avait répondu. Je commençais déjà à la trouver plus qu’excitante, ce que je remarquai à l’afflux de sang que je percevais dans ma queue, je sentais cette dernière grossir doucement et mon gland commencé à frotter par à-coups sur mon caleçon américain. Je sentais mes couilles se durcir et se serrer contre mes testicules. Je changeais alors de position pour empêcher les éclairs de me traverser. Quand elle du partir, j’en savais assez sur elle pour l’ajouter à mon réseau social et me promis de rester assis encore un instant, histoire que ma queue retombe…
Après quelques semaines d’intense tchat avec cette jeune femme, j’appris à concentrer mon envie en m’épargnant des branlettes, parfois pendant une semaine. C’est durant ces jours là que je sentais mes pensées s’affoler et devenir de plus en plus aventureuses. Je m’aperçu que mes pensées ne devenaient que sexuelles et que je perdais certaines inhibitions pour en parler. Je m’abstenais de toucher à ma queue de toute la journée… parfois quand l’envie était trop forte alors je me décalottais et laissais ma queue se rigidifier et mon gland devenir presque mauve comme pour laisser la pulsion envahir mon corps pour ensuite laisser ma queue dégrossir et laisser échapper de la rosée de désir… C’est uniquement après avoir parlé avec elle que je me branlais. Je me souviens d’une fois où elle m’avait appris que « j’aime beaucoup le regard des gens sur mon corps, j’aimerais bien faire des shooting photo en lingerie, je trouve ça artistique ». Je l’avais encouragé à faire des photos même entre amies. Alors un jour, elle m’en avait envoyé une en noir et blanc: elle était assise sur ses genoux en culotte fine dentelle blanche et se cachait les seins d’une main, l’autre était posée devant ses genoux, le regard fixant l’objectif. Son mont de vénus était visible et j’imaginais le temps qu’elle avait du mettre à se raser la chatte. Je regardais ses seins trop imposants pour être caché par un bras aussi fin et délicat ; j’imaginais le poids de ces attributs, je soupesais en tête ses seins mais pu apercevoir un bout de mamelon que j’imaginais rosé…encore presque jamais titillé, mordillé. Quand je l’ai ouvert cette photo, je suis resté tétanisé. Mon sang n’a fait qu’un tour pour rester bloqué dans mon entre-jambe. Je n’avais jamais bandé autant…. Alors, je sortis ma queue de mon jean, et me masturbais tout en tapant à une main… ce qu’elle remarqua puisqu’elle me posa la question « tu tapes lentement aujourd’hui… tu fais quoi ? »… Je répondis que je regardais sa photo avec admiration. J’avais saisi ma queue vibrante de désir et avais frôlé mon gland turgescent ce qui m’avait valu une décharge éclectique qui m’avait fait presque sursauté. Mes couilles s’étaient ratatinée contre mes testicules et me faisaient presque mal. Je fixais la photo et ma main glissait sur mon manche, tirait sur la peau enserrant ma queue pour appliquer un mouvement de va et vient brûlant. Il ne m’a pas fallu longtemps pour sentir la base de ma bite se serrer, sentir un sursaut à l’intérieur de ma prostate, sentir mes couilles me presser et enfin sentir mon gland s’élargir pour laisser sortir un jet bouillant de semence, qui fila droit sur mon bureau… tellement de liquide que j’eu à traire quelques fois ma queue pour faire sortir l’équivalent d’un grand verre à shot… résultat de mon abstinence… C’est à ce moment qu’elle m’envoya un message : « tu l’aimes alors ? »…
C’est durant la semaine suivante d’abstention que je décidai de l’inviter à venir avec moi à une conférence à 4 heures de train de ma maison ; elle accepta. Le jour-même je l’attendais à la gare, j’étais vêtu en costard cravate classy pour la conférence. Elle arriva, avec un sac à dos, les cheveux en queue de cheval, légèrement maquillée, avec un top léger blanc qui laissait voir un soutien blanc à légère dentelle. Son top légèrement trop court laissait voir un nombril profond et le bord d’une culotte bleue clair enchâssée dans un jean moulant slim bleu également. A sa main droite, elle portait une bague argentée et à sa cheville gauche un bracelet de festival de musique. Lorsqu’elle me fit la bise, je sentis son souffle proche de ma joue et son parfum délicat, j’eu l’envie de tourner ma tête pour l’embrasser mais je me reteins. Lorsqu’elle monta les marches du train pour embarquer, je ne pu cependant m’empêcher de regarder ses fesses légèrement dessinées et de me dire « si seulement je pouvais les toucher »…
Je ne m’étais pas masturbé depuis quelques jours déjà ; je ne pu m’empêcher de fermer les yeux et de penser à la femme que j’avais à côté de moi et qui, bientôt, posa sa tête sur mon épaule pour s’endormir. C’est alors que les pensées perverses me traversèrent, je commençai à regretter de ne pas m’être branlé de la semaine car j’étais sûr qu’on devinait une bosse énorme à mon entre jambe à mesure que mes pulsions m’envahissaient. Je commençais à penser que je pourrais peut-être me retourner pour la peloter mais je n’osais tendre ma main. J’imaginais mes doigts se refermer avec douceur mais empressement sur un de ses seins, sentir son poids et sa mollesse. Le malaxer doucement et la sentir soupirer doucement pour sentir son téton durcir… J’imaginais que je pouvais glisser ma main dans sa petite culotte à travers l’espace formé entre son jean et son nombril dû à sa position avachie… j’imaginais enfin me masturber à côté d’elle pendant qu’elle dormait puisque nous étions seuls dans le wagon. C’est ce que je fis, mon abstinence aidant…
Ses bras étaient près de ma cuisse, je du légèrement les pousser pour ne pas risquer de la réveiller. Je la regardai pendant que j’ouvrais la braguette de mon pantalon de costard, le plus silencieusement possible. Je sentis ma queue tressaillir sous mon caleçon américain… mes gestes étaient précautionneux comme si je devais sortir un oiseau de son nid ; après avoir ouvert la braguette, ma main droite enserra ma queue à travers le tissu de mon caleçon, je la senti extrêmement douce, vive, brûlante et gonflée de désir. Je passai ma main sous mon caleçon à travers le bouton de sa braguette et commençai à soupeser ma queue. Je la sentais grosse et j’entrepris de caresser mes couilles avec un soupir léger. Je pris alors ma queue en main et la sorti droite à l’air libre. Je sentis le souffle environnant la caresser. Je me décalottai alors d’un coup sec et je me surpris à pousser un « oooh ». Je regardai Charlotte mais elle semblait dormir paisiblement. Je souri et me branlai… doucement, calmement mais avec envie et volupté. La sentir tout proche de moi et m’imaginer lui caresser la chatte ou l’imaginer à quatre pattes moi derrière la pilonnant, m’excita terriblement et je senti la jouissance poindre… A ce moment là, j’entendis le « pschiiit » caractéristique d’une porte de wagon qui s’ouvre… Pris de panique, je débandai un peu et entrepris de mettre ma veste sur mon entre jambe pour couvrir ma queue tout en réveillant Charlotte. Je sorti mon billet et le tendis au contrôleur, Charlotte suivi. Quand il fut parti, je poussai un soupir de soulagement, suivi d’un « oough ! »…
Je senti un métal froid sur mon entre-jambe : Charlotte tenait fermement ma queue… de ses doigts fins et délicats, elle explorant ma queue, mon gland, tenant ma queue à deux doigts comme pour la jauger et passant un doigt calmement sur mon gland… cette danse des doigts avait fait engorgé ma lance et elle du la sentir grossir car elle encercla de son pouce et son index sa queue comme pour l’empêcher de grossir… je la regardai… « je le savais ! » me dit-elle… Elle entreprit d’enserrer ma bite de sa main gauche et d’appliquer un mouvement de va-et-vient radical de sa main gauche tandis que la droite glissa le long de cette matraque gonflée jusqu’à mes couilles pour les frôler et les agacer de ses doigts puis de la paume de sa main… je sentais ses doigts glisser sur ma peau et resserrer leur étreinte tous les quelques mouvements… Je sentais l’envie mais l’inexpérience rendre cette expérience totalement excitante… A chaque mouvement, je sentais son poing toucher voire enchâsser mon gland puis celui-ci toucher le tissu de ma veste qui amplifia mon plaisir… Je le regardai parfois pantois la bouche ouverte, ne boudant pas mon plaisir… Elle me regardait avec des yeux à demi fermé, concentrée à me donner du plaisir et envahie par la luxure… Tandis que je haletais comme une bête sauvage et que je me tortillais sous ses coups de mains proches de la brutalité inexpérimentée, elle accéléra le mouvement tant et si bien que je ressentis une douleur sexuelle et un plaisir tourmenté car à présent, de son poing refermé, elle remontait sur mon gland qui touchait le tissu de ma veste puis redescendait avec fougue pour cogner contre mes couilles qu’elle tenait bien en main… Content qu’il n’y ai personne dans le wagon, j’en profitai pour déclamer « je vais jouiiiir »… ce à quoi elle demanda « je continue ? » « n’arrête surtout pas Charlotte ! »... Elle fronça les sourcils et continua plus fort de me branler…J’oubliai de relever mon manteau, trop concentré à jouir intensément, traversé par des éclairs profonds et intenses… Je senti mon sperme chaud inonder mon manteau et ses mains puis ma queue… elle continua de me branler tandis que je me tenais la tête de plaisir. Quand elle retira sa main, elle était remplie de liquide blanc… je voulu sortir un mouchoir pour l’essuyer mais n’en ayant pas, elle me dit qu’elle allait en chercher aux toilettes. Elle me donna un bisou sur la joue et me dis « j’arrive mon cœur ».
La suite au prochain épisode ?
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Commentaires de l'histoire :
Pierre Degand
"Mes couilles s’étaient ratatinée contre mes testicules et me faisaient presque mal". pas mal! Mais comment on arrive à ça?
Posté le 5/03/2018
Anonyme
la suite au prochain, oui, s'il vous plaît ! ;-))
Posté le 26/02/2018
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