Franck a monté un scénario avec son complice Christian. Joëlle va le rencontrer une première fois chastement, mais ensuite Christian lui fera une cour effrénée pour qu'elle revienne le voir à son bureau, sans ambiguïté pour le déroulement de cette visite...
Proposée le 3/02/2018 par Badwell
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FHH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Franck est très complice avec l’éditeur d’une revue dans un groupe de presse national. Il a rencontré Christian chez Chris & Manu, club échangiste de jour fréquenté par des hommes seuls triés sur le volet. Chris étant très sélective, les habitués sont très respectueux des couples et un harceleur se verrait éjecté du club à la moindre incartade. Christian est un sacré loustic, célibataire, toujours très élégant et volubile, il est très disponible malgré ses responsabilités d’éditeur, il fréquente le club plusieurs fois par semaine. Franck et lui déjeunent parfois ensemble dans un restaurant d’une grande enseigne de rôtisserie près des Champs-Élysées dont les serveuses sont réputées ne pas être farouches…
C’est dans ce restaurant qu’ils ont échafaudé le prochain scénario pour Joëlle. Christian et Franck étant censés être en affaires, Franck doit faire parvenir des échantillons en ultra urgence et, ne pouvant trouver le temps, il demande à Joëlle de les lui porter mais elle devra patienter pour attendre une réponse du service artistique sur le choix du papier. Il s’agira d’une mise en relation permettant de poursuivre avec d’autres épisodes.
Joëlle se présente donc à l’accueil et Christian, très prévenant, vient la chercher et la reçoit dans son bureau ; il récupère le colis d’échantillons et disparaît dans le bureau d’à côté, sans doute sa secrétaire, pour qu’elle les remette au service artistique. Il revient et propose à Joëlle de s’assoir en désignant un canapé, pas de ces carpettes inconfortables de salles d’attente… un confortable et moelleux coussin dans lequel son postérieur pénètre profondément, relevant d’autant l’ourlet de sa courte robe, permettant à Christian, avant qu’elle ne se rajuste, de deviner la fine dentelle d’une paire de bas. Puis il propose un jus de fruit, que sa secrétaire apporte.
Christian anime la conversation, se renseignant sur le programme de Joëlle durant son séjour à Paris. Il est très curieux sur son shopping et demander ses magasins de lingerie préférés, en signalant qu’il apprécie beaucoup les femmes en bas, « Comme vous en ce moment » précise-t-il. Il ajoute,
– Si vous voulez, un jour, je vous emmènerai dans une boutique privée somptueuse, mais très sélective, à deux pas d’ici ; leur gamme de lingerie est très étendue, comme celle de leurs sex-toys et il faut voir le confort de leurs salons d’essayage ! Il faut être parrainée et cela me ferait très plaisir de vous y introduire…
Joëlle comprend que ce mot n’est pas choisi au hasard, mais surtout que le client de Franck est un sacré coureur ; et ma fois sa cour enjouée, piquante et taquine quoique très peu équivoque mais sans lourdeur, la stimule et elle se sent assez troublée, au creux de son intime et à la pointe de ses seins dont elle sent les tétons durcir. Elle se demande si Christian les voit s’ériger sous le léger soutien-gorge et obtient sa réponse immédiatement…
– Je vois pointer que je vous mets sens dessus-dessous avec mes allusions à vos atours intimes ; vous aimez cela, donc. Bien sûr, une femme aussi désirable que vous adore nous affoler avec ses dessous coquins !
Joëlle sourit et glisse légèrement sur le coussin pour dévoiler la dentelle noire sur ses cuisses et là, de manière moins fugace. Christian ne fait pas mine de ne pas voir, et fixe attentivement ses cuisses gainées ; imperceptiblement, Joëlle ajoute un peu de matière à sa curiosité…
On frappe, Christian va vite ouvrir afin que Joëlle ne masque pas ce qu’elle lui a déjà dévoilé : « Voilà, nous avons numéroté les post-it sur trois sortes de papier par ordre de préférence, l’imprimeur pourra choisir selon les délais d’appro ». Christian remercie et ferme sa porte, rejoint le canapé, pose le colis sur la table basse et se rassied en face de Joëlle. Ils papotent encore un moment puis Joëlle se lève ; l’a-t-elle fait exprès ?
Christian a, en un éclair fugace, aperçu le rouge vif de sa culotte ; cette image furtive illumine son esprit quand il raccompagne Joëlle à l’ascenseur et l’embrasse sur les deux joues avant de la guider vers la cabine d’une main plaquée, peut-être, un peu plus bas que la taille.
Plusieurs jours durant, Christian appelle régulièrement Franck, le soir, à son domicile, la presse tourne jour et nuit, il faut se contacter tout le temps ! Le papier arrive-t-il ? quand va-t-on pouvoir imprimer ? etc. À chaque fois Christian lance à Franck : « Embrasse Joëlle », ce que Franck ne manque jamais de lui répéter « Christian t’embrasse, ma chérie ». Joëlle ne peut s’empêcher alors de retrouver et profiter des moments équivoques qu’elle a vécu chez l’éditeur. Et Franck profite de ce jeu, car elle est vraiment plus câline ces soirs là… Plus …entreprenante, un poil plus perverse.
Et puis, un après-midi, Joëlle reçoit un appel de Christian.
– Bonjour Christian, je suis désolée, mais Franck n’est pas à la maison, vous pouvez le contacter à Paris
– Je sais Joëlle on vient de se quitter, nous avons déjeuné ensemble…
– …
– Il m’a rapporté que vous aviez été comme enfiévrée par notre rencontre à mon bureau ; que vous lui semblez plus chatte, plus effrontée, plus sensible à ses avances et même plus encline à le provoquer…
– Mais Christian…
– Qu’hier vous aviez enfilé cette culotte rouge que vous portiez dans mon bureau
– Comment savez-…
– Que vous aimez la portez pour le provoquer quand vous souhaitez faire l’amour avec lui…
– Il vous l’a dit ?
– Pas exactement. Mais quand je lui ai dit : « Joëlle avait un string rouge », il a répliqué : « Ce n’est pas un vrai string, mais LA culotte rouge » et bien sûr j’ai compris… Ce n’était donc pas pour moi que vous portiez ce slip rouge, puisque vous êtes venue impromptu à mon bureau ; mais alors c’était pour qui, ce slip fétiche, Joëlle ?
– Je ne sais plus, Christian, un hasard sans doute
– J’aime ce hasard, Joëlle ! J’ai dit à Franck que je voulais vous revoir ; il m’a répondu qu’il vous aime libre de vos décisions, aussi je vous propose, et il connaît ma démarche, de revenir me revoir à mon bureau. Quand l’accompagnez-vous à Paris ?
– Je ne sais pas…, Christian… L’idée me plaît mais je la crains à la fois
– Ça c’est bien ! vous savez que vous serez très bien accueillie » répond Christian, insistant sur « très »
– Je n’en doute pas, je sais ce que vous voulez Christian et crains de très mal savoir vous résister
– À la bonne heure ! qui songe à la bagarre ? Ne résistez pas, Joëlle docile, j’impose et vous verrez comme vous serez récompensée
– Mais comment ? » implore Joëlle
– Par exemple, Joëlle je vous ordonne de défaire le premier bouton de votre corsage et vous l’ouvrez sans hésiter, c’est tout et ce n’est pas grand-chose »
– Jusque là…
– Non !, Joëlle, on n’argumente pas : on dit oui, Joëlle !
– Oui pour le bouton, Christian
– Bon début, Joëlle, appelez-moi pour prendre ce rendez-vous à mon bureau ; ah au fait ! Vous arriverez avec une nouvelle enveloppe à la main, cachetée et remplie
– Mais de quoi ? » demande Joëlle
– De ta culotte rouge, que tu porteras depuis le matin et que tu enlèveras juste avant de me retrouver ! Je t’attends, Joëlle ; ne me fais pas trop attendre, je t’embrasse viens vite
Et Christian raccroche.
Franck rentre de Paris en fin de journée heureux de retrouver Joëlle et sa maison. Ils papotent auprès de la cheminée en partageant un apéritif. Joëlle raconte sa conversation avec Christian.
– Oui j’ai déjeuné avec lui et il m’a dit qu’il avait très envie de te revoir. Je le connais s’il a très envie… il a une idée derrière la tête. Je lui ai dit que je respecte ta liberté. Il n’y a pas concurrence Joëlle tu es mon amour et tu peux être sa partenaire sexuelle
– Mais je pourrais tomber amoureuse, il est très séduisant…
– Certes, il est plus drôle que moi et gagne mieux sa vie, de plus il est célibataire ; mais crois-moi il n’a aucune envie d’un fil à la patte ; Christian est un jouisseur et il va te faire jouir, c’est également un égoïste, il va te donner du plaisir et des tas de situations très excitante. Moi j’ai bien envie que tu les vives, mais lui il s’en fout, c’est son plaisir à lui qui compte ; et puis quand il aura bien profité de toi, toi tu auras vécu ce que peu de femmes vivent dans leur foyer. Alors profites-en et tu m’en feras profiter ; puis il se lassera et espacera vos rencontres. Tu n’auras pas l’option, avec lui, pour tomber amoureuse : Christian est un dominateur, soft, mais dominateur. Tu ne seras qu’un objet pour lui, objet très bien récompensé de jouissances, d’orgasmes et de situations au summum de l’excitation, mais juste comme si tu devenais pour lui un godemichet pour mec. Tu ne tomberas pas amoureuse, ma chérie. Mais pour toi ce sera une parenthèse éblouissante, il a du temps, de l’argent et de l’imagination à revendre
Joëlle reste songeuse… Mais dès que Franck approche la main de sa cuisse, un feu d’artifice de caresses et de jouissances commence. C’est ce soir là que Joëlle s’est laissée baiser la bouche pour que Franck jouisse après l’avoir prise et sodomisée alternativement.
*
Quinze jours plus tard, Joëlle accompagne Franck à Paris. Dans la voiture, il annonce à Joëlle qu’il a rendez-vous avec un collègue de Christian aux bureaux du groupe le surlendemain et lui propose d’appeler Christian pour le retrouver par la même occasion.
– Comme ça on déjeune dans le coin toi et moi, et on va chacun à notre rendez-vous, puis on se retrouve le soir à l’hôtel
Plusieurs kilomètres de silence. Puis Joëlle sort son calepin, décroche le Radiocom 2000 et appelle Christian.
Du bol ! Christian est disponible tout l’après-midi… pas la moindre fâcheuse réunion, pas le moindre représentant sur le carnet de rendez-vous ? …C’est juste le jour où Christian n’a jamais aucune obligation l’après-midi pour pouvoir se rendre à son club échangiste favori : le jeudi est toujours un bon jour chez Chris&Manu ; avec le lundi où les couples tenant des boutiques de mode en province viennent s’y encanailler après leurs appros chez les grossistes. Et bien Christian aura sexe libertin dans son bureau ce jeudi !
Après un déjeuner pas trop copieux mais correctement arrosé, Joëlle est de bonne humeur mais commence à se crisper quand la voiture de Franck se gare dans le parking des bureaux du groupe. Alors il l’embrasse à pleine bouche en caressant ses seins, ce qui la détend. Et puis il sort une enveloppe. « Tu as bien mis ta culotte rouge ? Il te faut la mettre là-dedans. » Il soulève sa jupe : elle y avait bien pensé ce matin ! Elle soulève le bassin quand il la lui retire. Il inspecte l’entrejambe rouge, assombri de quelques gouttes de cyprine…
– Tu es bien une adorable salope ! J’ai écrit un mot pour Christian, n’oublie pas de lui dire
Et Franck, glisse la dentelle rouge et cachète l’enveloppe. Un dernier bisou et elle se dirige vers l’ascenseur.
Elle ne porte plus sa culotte et n’a pas mis de soutien-gorge ce matin. Elle est vêtue d’une courte jupe plissée rayée d’un camaïeu de gris, celle qu’elle porte souvent quand elle va danser, avec et parfois sans culotte en boîte de nuit et qui tourne si bien ; un corsage de dentelle noir très transparent qui laisse deviner les pointes et le galbe de ses petits sein 90B, et une veste boutonnée parme tient cette offrande à l’abri de regards non autorisés. Sans oublier les mêmes bas que la dernière fois : Christian a dû être frustré de ne pas les mater jusqu’en haut !
Christian vient à nouveau la chercher à l’accueil et la guide dans ce dédale de couloirs en enserrant parfois ses épaules, parfois ses hanches sans jamais retenir ses mains de s’égarer vers ses seins ou ses fesses. Elle retrouve ce bureau qui lui procure de bonnes ondes, rien n’a changé, le canapé, les deux fauteuils, la table basse, le bureau, la porte de la secrétaire, entrouverte. Elle entend le déclic du verrou que Christian ferme côté couloir. Il s’approche derrière elle, colle tout son corps contre le sien en le retenant pas les épaules, lui donne un baiser dans le cou, puis :
– Vous me devez encore une enveloppe cher ange !
Joëlle tourne sur elle, et presque collée à lui, la glisse dans sa main.
– Franck y a écrit un mot à votre attention.
Christian s’écarte, ouvre le pli ; il hume la culotte, partout et à l’entrejambe…
– Vous l’avez ôtée il y a peu de temps, coquine ! C’est en pensant à moi que vous l’avez mouillée ?
– Ça doit être ça…
– Oui ou non ? tonne Christian !
– Oui, …cet instant me trouble depuis ce matin » susurre Joëlle
« Moi je vois qu’il vous fait mouiller comme une salope et je m’en réjouis pour la réussite de notre après-midi. »
Puis il lit le mot, l’œil qui frise, un sourire à la commissure des lèvres.
– L’avez-vous lu ?
– Non, Christian
– Voulez-vous que je vous le lise ?
–Je n’en suis pas sûre…
– Il fallait répondre non ! donc je vous le lis vous n’avez plus le choix : - Recevez bien Joëlle, et occupez vous bien de ses 4 rondeurs, de ses trois boutons accélérateurs et de ses trois orifices accueillants -
Il lui lit ces mots de mémoire, en la dévisageant de la tête aux pieds avec insistance.
Joëlle est un peu paniquée de la crudité des termes de Franck, mais à la fois c’est son mari qui lui donne carte blanche pour s’abandonner ! Christian lui propose la même place dans le canapé et elle sait qu’elle va se retrouver retroussée, mais elle ne rectifie pas la position cette fois-ci, ne cherchant pas à vérifier ce qu’elle exhibe à son hôte installé face à elle et qui la surplombe, le regard juste dans l’alignement de ses cuisses.
Il propose un café et réclame à la cantonade : pourriez-vous nous apporter deux cafés, je vous prie ce serait très gentil. On entend la secrétaire s’affairer, mais c’est un arabe, genre kabyle, la trentaine, baraqué et beau gosse qui apporte le plateau.
– Je vous présente Karim qui est mon assistant très fidèle tous les jeudis ; Karim, voici la fameuse Joëlle, vous l’avais-je correctement décrite ? »
– Tout ce que je vois là est parfaitement conforme, Monsieur, et il pose le plateau sur la table basse, les yeux à trente centimètres des cuisses gainées de fine dentelle.
Les présentations sont faites et fort peu ambigües…
– Karim, pouvez-vous prendre ceci en photo pour mes archives ? ordonne Christian, lui remettant la culotte rouge et le mot de Franck.
Joëlle voit bien que l’assistant, très méticuleux, renifle à son tour le slip et s’imprègne des odeurs de sa propre intimité. Ces deux-là sont bien de connivence pense-t-elle… Espère-t-elle ?
Christian ne se cache pas de reluquer les jambes et les cuisses de sa visiteuse. N’y tenant plus, il s’approche d’elle, défait le bouton de la veste et la retire en disant « Ces locaux sont trop chauffés ». Il se rassied en matant sa proie de la pointe des seins au triangle sombre entre ses genoux. Le spot du plafond éclaire très justement le buste de Joëlle déshabillant quasiment sa poitrine et n’attend qu’une ouverture pour inonder son entrecuisse d’une lumière voyeuse.
Aussitôt que Joëlle repose sa tasse de café, Christian écarte le plateau (que l’assistant, très attentif et surtout mateur, vient aussitôt débarrasser) ; alors il se penche en avant et ordonne :
– Ouvre les cuisses ! Que je vérifie ton obéissance. »
Joëlle, surprise mais subjuguée par cette soudaine autorité, tétanisée par le tutoiement, se soumet à la sommation qui l’excite terriblement et entrouvre les cuisses, commandée par un esprit qu’elle ne maîtrise plus.
– Ouvre plus largement et remonte ta jupe que je voie bien !
La toison blonde, délicatement bouclée et strictement entretenue s’offre au regard de Christian.
– Karim ! Ça va te plaire, clame-t-il à l’adresse du bureau d’à côté. Elle n’est pas épilée mais dotée d’une fort belle toison blonde impeccablement jardinée… tu vas adorer l’arroser mon salaud !
Déjà terriblement allumée, cette promesse attise encore les sens de Joëlle, qui écarte encore plus les cuisses repliant les genoux pour exhiber encore plus sa fente luisante et sa pastille foncée. Sur l’injonction du maître elle caresse son sexe, se concentre sur le clitoris. Christian alors se lève, ouvre le chemisier, prenant ses seins à pleines mains et sa bouche à pleine langue.
Joëlle retire ses escarpins pour prendre appui sur le canapé et tendre encore plus son bassin, pendant que Christian s’occupe de ses tétons érigés ;
– Oui tends-moi ton sexe, offre-moi ta vulve, tu veux ma main qui te pénètre !
– Je veux vos doigts, Christian, mais… votre main… ?
– Pas moins de quatre doigts pour une salope comme toi ; prépare-toi à être fistée chienne bourgeoise réplique-t-il enfonçant deux doigts directement au fond de son vagin, puis un troisième alors que le majeur plie et trouve le point G, décuplant les caresses que Joëlle donne à son clitoris. Un quatrième doigt dilate encore cette moule gluante et tourne dans son con, pendant que le pouce donne des impulsions à l’index de la femelle qui perd toute notion du réel et projette ses tout premiers flots de femme fontaine…
C’est alors que Christian, tout en secouant le bassin de Joëlle en tous sens appelle Karim à la rescousse :
– Apporte vite du linge et viens immortaliser ce moment, Franck aura sa sextape !
Toute à sa jouissance éperdue et continue, Joëlle ne perçoit pas vraiment qu’elle va être filmée. Karim arrive aussitôt et tourne autour du couple en plan serré sur les deux amants pour éterniser toute la scène, l’homme fourré dans la femme, leurs attitudes, et surtout celles de Joëlle, ses postures obscènes d’une femme rangée devenue nympho, ses seins tendus tripotés, giflés recevant des pichenettes, des pinçons, ses cuisses levées et totalement écartelées, sa cramouille défoncée par la large paume de Christian, le linge mouillé de sa jouissance, sous ses fesses.
Joëlle jouit très longuement sur cette main et son jet intermittent vient à se tarir alors qu’elle semble sombrer dans le coma. Une pose s’impose et Karim pose la caméra sur un pied bien focalisée sur le canapé et Joëlle alanguie.
Il apporte de l’eau et tend un verre à la femme de chiffon qui boit, reprend ses esprits, se redresse légèrement et sourit à son violeur. Christian présente tous ses doigts à la bouche de Joëlle :
– Lave moi, cochonne, j’ai les doigts trempés à cause de toi, suce et avale
Elle s’exécute, reprenant son souffle, tournant sa langue autour de chacun des doigts. Et essuie sa main avec une partie sèche du linge.
– Christian ?
– Oui ?
– C’est quoi : fistée ?
Christian et Karim pouffent et rient de bon cœur !
– Tu verras bien le moment venu, mais vu ce qu’il vient de se passer tu vas en raffoler ; demande donc à Franck, comme ça tu sauras pour la prochaine fois. Tu n’en as vraiment pas la moindre idée ? Mais il te sert à quoi, Franck ? Il ne t’apporte pas des films porno ? Je vais lui faire la leçon, c’est de sa faute si tu es une oie blanche alors que tu viens de prouver quel trésor que tu as entre les cuisses… Je vais lui faire une liste des films culte et tu vas vite rattraper ton retard de mal-baisée ! Voyons comment tu te sers de ta bouche à présent…
Christian présente alors sa queue, de belle taille, assez fine, devant la face de Joëlle et tapote les joues, les lèvres, le menton avec sa bite, puis la présente à ses lèvres et se statufie. Joëlle enserre la tige entre le pouce et l’index, lèche le gland, tournant sa langue et en prend la mesure en glissant tout le long jusqu’à humecter les bourses. Puis elle la prend en bouche avec de petits vas-et-viens de plus en plus profonds. Quand le membre est entièrement englouti, quand les lèvres de Joëlle sont chatouillées par les poils du bandeur, quand la langue darde vers les bourses, Joëlle retire ses doigts et se fige à son tour. Christian, alors prend la femelle par les cheveux et lui impose le rythme auquel il veut que la bouche le branle. Joëlle se laisse ainsi manipuler, alors que le bassin de Christian s’anime en rythme.
Entre langue et palais, la tige qui la baise est d’une incroyable dureté, du métal, un mandrin tiède et soyeux mais d’airain et cette sensation de sucer une machine animée affole ses sens, elle grogne au rythme de la profonde pénétration, yeux fermés pour s’abandonner à ce robot, cette mécanique du plaisir. Puis le piston d’acier voit sa navette cadencée troublée de soubresauts annonciateurs d’une imminente lubrification… Et Joëlle aidée de son clitoris, jouit au moment où les giclées tièdes et gluantes tapissent le fond de sa gorge.
Karim, tout en filmant attentivement, a sorti sa monstrueuse queue de noir, un braquemard brun foncé plus massif que long, d’une épaisseur incroyable… un diamètre qui écartèle ! Et quand Christian s’écarte pour se déshabiller, caméra en main, il engouffre son gland entre les lèvres de Joëlle, qui soudain rouvre les yeux et les écarquille, découvrant la taille de cette massue…
– Tout doucement ! implore Joëlle
Karim ne répond pas, tend la caméra à Christian et prend les mains de Joëlle pour qu’elle se protège en tenant cette verge dantesque. Ses petites mains n’en font pas le tour… Alors elle se redresse et lèche toute la tige engobant chacune des couilles pendante du kabyle, puis embouche le gland et prudemment commence ses allées et venues, mâchoires distendues. La pine de Karim est souple et tendre comme les mouvements qu’il impose à Joëlle qui veut l’avaler jusqu’au fond. Quand elle est au bord du haut le cœur, le nœud au plus loin, un quart de la verge se morfond au dehors ! Quand Joëlle semble habituée à ses mensurations inconnues, lentement, Karim se branle dans cette bouche offerte qu’il déboite, bien conscient de l’inconfort de cette pénétration. Alors il sort et se masturbe énergiquement devant les lèvres que la salope tient entrouvertes. Il est endurant le bougre ! Puis, enfin, un premier jet épais, puissant jaillit sur la langue, un second sur les joues et le nez, alors, prestement Karim s’accroupit pour se terminer sur la belle toison dorée de Joëlle. Christian a immortalisé cet arabe habillé qui impose une fellation et souille la jolie épouse de son pote.
Puis il repose la caméra sur son pied, cadrée correctement pour la suite, et rejoint Joëlle sur le canapé, il la place en levrette devant et pénètre sans préalable sa moule bien lubrifié, ses doigts rejoignent sa pine pour s’enduire de cyprine et humecter sa rosette ; deux, puis trois doigts la préparent et la lubrifient. Alors Christian présente son chibre d’acier et la pénètre lentement dans le cul, pendant que Karim se redonne de la vigueur sur la langue de la petite sodomite.
Joëlle aime cette tige dure comme un god qui envahit son anus et tourne dans ses profondeurs. Puis Christian, sans cesser de l’embrocher profondément, la soulève par la taille, s’assied, puis s’allonge sur la table basse. Elle s’accroche des deux mains au bord de la table et se fait aller et venir sur la queue qui l’encule. C’est alors que Karim présente son mandrin à la cramouille de Joëlle. La pénétration est bien plus aisée et Joëlle, remplie des deux bouts reçoit avec bonheur cette double pénétration. Elle feule, geint, pousse des cris de plus en plus rapprochés, les deux sexes la baisent jusqu’à la garde.
Karim s’offre une alternance de fournaises : quand il est dans sa bouche, Joëlle ronronne, dans sa chatte elle hurle son extase. Pénétrée par derrière par la tige d’automate, par devant par ce kabyle alternatif elle s’imagine objet, ustensile, chose, instrument et ce vide la propulse dans une chute éperdue où elle tourbillonne dans l’extase. La caméra enregistre cette navette et les hurlements stridents de Joëlle ; Franck sera comblé ! Karim sort une dernière fois de la connasse, allonge Joëlle sur Christian et se masturbe au-dessus d’elle pour lui éjaculer sur tout le corps, cette douche abondante attisant la jouissance de la chienne arrosée.
C’est alors que Christian se redresse, Joëlle toujours empalée par le cul, la redépose au sol et entreprend de la pilonner sévèrement au plus étroit sans omettre de lui donner des claques sonores sur les fesses. Joëlle hurle de plus belle de cette chevauchée et des gifles que Karim lui assène sur les seins ballotés. Puis Christian se relève et, d’un pas, contourne la pute et poursuit sa chevauchée dans sa bouche pour, enfin dans un grand râle libérateur décharger dans sa gorge.
Elle en aura à raconter à Franck !
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Commentaires de l'histoire :
Badwell
Narrateur ! L'histoire est en grande partie vraie, les prénoms détournés et Franck raconte comment il a monté tous ces scénarios pour enfiévrer la vie de Joëlle, son épouse adorée.
Posté le 6/02/2018
fandu21
Merci au narrateur ou à la narratrice. Vivement la suite!
Posté le 6/02/2018
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