Première expérience en club échangiste 3

Sonia m'avait fait oublier l'abandon de Virginie en s'emparant de moi. Ma surprise fut d'autant plus grande lorsque je vis arriver un inconnu, le sexe tendu, fermement décidé à participer à nos ébats.

Proposée le 10/12/2017 par kiphilou

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Thème: Première fois
Personnages: FHH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Histoire vraie

La première frayeur passée, je me sentis bientôt rassuré, parce que cette partie de mon anatomie demeurait inaccessible puisque j’étais couché sur le dos.
Cependant, sans se préoccuper davantage de moi et de mes craintes, l’inconnu grimpa sur le lit et se positionna derrière ma partenaire. Comme je l’observais avec attention depuis son apparition, il me sourit d’un air complice et entendu, comme si nous avions convenu d’une quelconque stratégie.
Puis il fléchit les jambes, et pointa son sexe vers les fesses que ma partenaire maintenait écartées dans une totale impudeur. Son gland violacé et boursouflé fut dirigé avec soin vers l’anus complaisamment offert.

Et alors que je savourais la douce chaleur des seins généreux qui m’enveloppaient d’une chaleur maternelle, je sentis un corps étranger se frayer un chemin tout contre ma verge. L’homme commençait à s’introduire lentement dans l’anus de ma partenaire. Celle-ci relâcha aussitôt ses fesses pour se mettre en appui sur les mains et se cambrer davantage, pour offrir sa croupe sans retenue au nouvel arrivant.

Celui-ci continua sa lente progression dans le fourreau intime de la femme. Je ressentais à travers la mince paroi, en plus de l’emprisonnement dans son vagin, la compression de ma verge par celle de l’inconnu. Lorsque ce dernier arriva en fin de course, il s’immobilisa un instant durant lequel les palpitations de sa verge se transmettaient à la mienne, et réciproquement. Sonia demeurait elle aussi immobile, savourant chaque instant de cette double pénétration. Elle était complètement remplie, bourrée, distendue et je sentis soudain s’écouler sur moi ses jus intimes. Nous étions tous les trois embrochés l’un dans l’autre, et cette sensation de trio soudé par le sexe me fit bander encore plus fort.
L’homme commença alors à s’animer en doux allers et retours, puis de plus en plus violents. Je sentais ses testicules chauds frapper ma queue à chacun de ses coups de boutoir. Son pubis claquait contre les fesses de Sonia avec violence.
Alors il me donna une légère tape amicale sur l’épaule en me disant avec un sourire :
- Vas-y aussi, elle n’attend que ça !

Trop attentif à cette nouvelle intrusion, j’en avais oublié qu’elle attendait certainement de moi que je la besogne aussi.

Alors, j’ai essayé de trouver le bon tempo avec notre nouveau partenaire pour ne pas risquer de déjanter, et faire honneur à ma partenaire d’un soir. Comme cet inconnu était doux et expérimenté, nous avons rapidement pris un bon rythme complémentaire, et des sensations nouvelles commencèrent à inonder mon bas-ventre. Sonia m’encourageait par un « ouiiii » à chaque fois que je la pistonnais, et je redoublai alors de vigueur.
La chaleur du soyeux fourreau bien lubrifié, à laquelle s’ajoutaient les frottements du sexe de l’inconnu contre le mien et l’effleurement de ma poitrine par les tétons de Sonia qui se balançaient au rythme des assauts, eurent bientôt raison de mon obstination à me retenir.

Soudain Sonia se redressa et hurla en libérant instantanément des jets de liquide puissants et brulants sur ma queue, mon ventre et mes cuisses, signes annonciateurs d’une femme fontaine qui jouit.
Son orgasme, ses cris, ses éjaculations et les contractions spasmodiques de son vagin déclenchèrent immédiatement ma jouissance, et je crus défaillir lorsque l’orgasme me terrassa. Je me déversais alors en longs et interminables jets de semence qui devaient cingler le fond de son vagin si un préservatif n’y avait pas fait obstacle.
Et je sombrais brutalement dans un trou noir, inerte et pantelant………

Cependant, l’autre homme, imperturbable, continua encore ses va-et-vient avec la régularité d’un métronome, sans faiblir.
Il avait de l’endurance, le gaillard……….ou bien s’était-il déjà masturbé lorsqu’il nous observait. Je sentais que mon pénis perdait lentement sa rigidité, alors que je commençais à reprendre mes esprits. Seule la compression de mon sexe par le sexe animé de l’inconnu le maintenait encore dans le doux fourreau.

Contrairement à toute attente, ce dernier ralentit soudain son rythme pour n’en garder qu’une extrême lenteur, et ponctua chaque fin de course par une poussée plus violente et soutenue. En même temps, il grimaça de plaisir en renversant sa tête en arrière.
Je sentis alors Sonia tressaillir de bonheur à chaque jet de semence qui jaillissait dans son fondement.
L’inconnu savourait les douces décharges électriques provoquées par chacune des longues giclées qu’il expulsait à chaque fois qu’il heurtait les fesses de Sonia.
Puis après le dernier jet, il resta longuement collé contre les fesses de sa maitresse, et ferma les yeux en un rictus de satisfaction et de soulagement.

Malgré ma perte de rigidité j’avais ressenti à travers la fine paroi, chaque coup de fouet de la violente éjaculation de notre partenaire. Sensation extraordinaire et exquise de la contagion de son plaisir, que dis-je, de leur plaisir ! Malgré un âge proche de la cinquantaine, il avait des ressources insoupçonnées.
Puis il retira son sexe encore bien tendu, et un flot de semence chaude s’écoula sur mes testicules.
Il s’empressa de prendre sa serviette pour essuyer les traces de son plaisir qui avaient dégouliné sur mon corps. Et, chose étrange pour un hétéro convaincu que je suis, je me laissais faire, appréciant au passage sa douceur et sa dextérité.
Puis il se redressa et disparut dans l’obscurité comme il était arrivé.

Sonia s’était allongée sur moi, et reposait de tout son poids sur mon corps.
Alors mon sexe quitta lui aussi la douce chaleur du vagin distendu de ma partenaire, et glissa sur ma cuisse.
Sonia avait reposé sa tête sur le creux de mon épaule, et semblait assoupie.
Je restais là immobile, apaisé, vidé, évitant tout geste qui aurait pu mettre fin à cet instant magique où nous flottions dans l’espace.

Lorsque Sonia se releva, souriante, et complice, elle se dirigea vers les douches sans se retourner, m’abandonnant à mes rêveries. La pièce était redevenue calme ; je devais être le seul rescapé. Et là, subitement, fouillant l’obscurité, je me suis demandé avec une certaine angoisse ce que Virginie était devenue.
Je me levais brusquement, et me mis en quête de la retrouver.
Après avoir lorgné tous les coins câlins, les douches et les saunas, je l’ai enfin aperçue au bar, juchée sur un tabouret haut, avec un verre à la main. Elle conversait tranquillement avec d’autres couples comme s’ils étaient de vieux amis. Et ce n’est que lorsque nous prîmes le chemin du retour en voiture, qu’elle me raconta son escapade depuis le moment où elle avait ouvert la porte à ces inconnus. La voici enfin qui allait me livrer son aventure, alors que je trépignais d’impatience et de crainte. Et voici ce qu’elle me raconta :

« Lorsque j’ai vu ton hésitation à ouvrir la porte, j’ai compris que c’était maintenant ou jamais le moment de concrétiser notre fantasme, et c’est pour cela que je t’ai un peu forcé la main. Je craignais que l’on ne loupe le coche. Par ailleurs, je dois t’avouer que j’ai trouvé très excitant d’ouvrir à des inconnus, et d’obéir aux démons qui m’ont titillée. J’étais en confiance, parce que je me sentais convoitée, désirée, et aussi excitée parce que tu m’avais caressée longuement. J’avais trop envie de calmer ce feu qui me dévorait de l’intérieur, et de l’éteindre en découvrant de nouvelles sensations. Au risque de te blesser, j’avais envie d’être le jouet de plusieurs mâles ensembles, et j’avais très envie d’un extra qui me laissât des souvenirs.

La suite à venir....

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