Comment parfois ce que l'on croit acquis vous file entre les doigts, il ne faut jamais préjuger une situation, cela risque de tourner à la déception, mais vous verrez cette histoire ne ferme pas la porte aux espoirs.
Proposée le 29/01/2018 par jpbe01
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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Nous sommes en ce moment dans un état de vigilance élevé, ce qui nous donnes droit à avoir beaucoup de militaires dans nos rues.
J’en suis pour ma part heureux, aimant tous les hommes en uniformes, pompiers, policiers, militaires.
Sur le boulevard ou j’habite j’avais remarqué que très, très souvent c’était les deux mêmes garçons qui arpentaient le trottoir, béret vissé sur le crane et cagoule ne laissant voir que les yeux, cela m’excitait à fond.
Un matin les voyant au bas de mon immeuble, je me décidai à descendre pour les mater de près, je descendis et juste au moment ou j’ouvrais la porte ils passaient, me regardant d’un air suspicieux, je leur dis « bonjour » ils me répondirent dans une sorte de grognement vu les cagoules masquant leur bouche.
J’en remarquai un de suite, grand, élancé, mais surtout des yeux d’un bleu incroyable, jamais je n’avais vu des yeux comme ça, ils me subjuguèrent de suite tant ce regard était intense, je me sentais transpercé.
Le dimanche suivant, je les revis tous les deux, il faisait un froid de canard et vu leur équipement ils devaient être frigorifiés, je décidai de leur porter un café brulant, même si cela n’est pas permis.
Me voici donc devant ma porte thermos et tasses en mains, dés qu’ils furent à ma hauteur je leur fis signe en montrant tasses et thermos, ils s’approchèrent de moi heureux apparemment de boire quelque chose de chaud, à nouveau je fus subjugué par celui que j’appelais « regard d’Azur » mais j’allais enfin découvrir son visage, en effet ils baissèrent leurs cagoules, le premier était quelconque ni beau ni laid, mais pas mon genre, je me focalisais sur l’autre, sa cagoule baissée révéla un garçon entre 25 et 30 ans, pas spécialement beau, des traits fins, une peau mate, légèrement bronzée, laissant deviner un homme sans doutes un père ou une mère d’origine nord-africaine, mais il se dégageait de lui un tel charme, une telle douceur qui contrastait avec l’uniforme qu’il portait.
Le café prit ils me remercièrent et continuèrent leur ronde, je vis quand même que ‘regard d’azur’ se retournait pour me regarder.
Rentré dans mon appartement je tentais de me remémorer ce beau visage et surtout ce regard intense, je ne voyais que ça ses yeux.
Comment faire pour en voir plus, comment établir le contact, et bien le destin, la chance comme on veut allait me donner cette opportunité.
Le boulevard ou j’habite est très bien pourvut en boutique et magasin de toutes sortes, quelques jours plus tard je faisais quelques courses, lorsqu’on me tapât sur l’épaule, quelle fut ma surprise, me retrouvant nez à nez avec mon beau militaire « Bonjour, encore merci pour le café » encore une fois j’étais sous l’emprise de son regard, je bredouillai « Mais de rien c’est normal vu le temps qu’il faisait ».
Il portait toujours sa tenue militaire, mais n’était de service qu’en fin de journée, je pus le détailler à fond, environ 1,90 mètre, élancé, on devinait que ce garçon devait être bien musclé, crane rase, et comme je l’ai dit pas un canon à poser pour des magazines, mais un charme fou, une voix douce et mélodieuse qui contrastait avec sa tenue.
Il me demanda comment j’allais, si la présence de lui et ses collègues n’était pas trop stressante pour nous civils.
Ho que non dis-je au contraire nous sommes fiers et reconnaissants que des hommes comme vous veillent sur nous merci.
Sachant qu’il ne pouvait pas entrer dans un bistro ou autre en uniforme, je pris le risque de lui demander s’il serait d’accord de prendre un verre chez moi, il me dit « pourquoi pas j’ai encore six heures de libres » décidément ce garçon me plaisait de plus en plus et son uniforme lui allait à merveille, bien moulé dans son pantalon je pouvais admirer un fessier bien rebondit et sur l’avant le dessin d’une bosse qui me remplissait de joie, le militaire parfait pour moi.
J’avais aussi remarqué qu’il ne portait pas d’alliance mais bon peut être que cela faisait partie des consignes.
Et nous voilà chez moi, je lui dis de se mettre à l’aise, il ôta sa veste et son pull le voilà donc en T-shirt face à moi son torse était parfaitement moulé, décidément ces tenues militaires cachent bien des secrets.
Je lui demandai ce qu’il voulait prendre (à par moi humm) il opta pour une bière, j’en pris une aussi, il regardait partout, chaque coin, chaque bibelot, il vit mon air étonné et s’excusa « déformation professionnel » me dit-il « nous devons être toujours en alerte, regarder partout et tout voir »
Je lui dis que cela n’était pas grave, il planta à nouveau son regard dans le mien j’étais comme un mec hypnotisé par un serpent, ne sachant que dire ou faire.
Il prit les devants, me demandant si je vivais seul, ce que j’aimais, mes loisirs, une éventuelle copine.
Je répondis à toutes ces questions, mais je lui dis « ok mais à vous maintenant »
« On se dit tu non dit’il vas y pour les questions » cet homme me plaisait de plus en plus, je lorgnais sa braguette mais ces foutus pantalons militaires ne laissent rien voir.
Première question marié, fiancé en couple ? Non au trois rien pas de petite copine non à nouveau.
Je me dis alors « vas y jette toi à l’eau sois plus précis »
« Je dois te dire après avoir répondus à tes questions, que je ne suis guère porté pour les femmes » boum j’avais lâché ma bombe, comment allait il réagir, s’enfuir, me mettre un pain dans la figure ??????????????????
Il me regarda longuement ses yeux encore plus captivant « Vous menez la vie que vous voulez, moi ma maitresse c’est l’armée, je n’ai plus aucune famille, alors dans mon régiment je suis chez moi, j’adore ce que je fais, en aucuns cas je ne veux vous juger, moi aussi j’aime les garçons mais je m’interdit des relations d’un jour, des rencontres on baise et salut, je veux de la stabilité, si un jour je rencontre un homme qui me prendra tel que je suis alors je serai entièrement à lui, je le cherche encore »
Et bien pour une baffe dans la gueule là je m’en prenais une, moi qui croyait l’avoir pris dans mes filets ratés, j’étais complètement sonné, mais cet homme inspirait le respect, malgré son jeune âge il avait 26 ans.
Il me dit encore « j’ai accepté de venir chez toi pour prendre un verre sachant que tu espérais coucher avec moi, mais je ne fonctionne pas comme ca, ne m’en veut pas, tu me plais, tu es sympa mais pour l’heure je ne te connais pas assez, je ne suis pas le mec que l’on baise et que l’on jette après comme un vulgaire Kleenex »
Je vais y aller ajouta t’il merci pour le pot, on se reverra je suis affecté dans ton secteur pour encore un mois.
Et il sortit comme ça, sans bisous, sans un geste, je ne vous dis pas ma déception, ma frustration, mais je ne pouvais pas le violer non plus, qui plus est qu’après l’avoir vu sous un autre jour j’en tombais amoureux, que ce corp à peine deviné me tourmentais déjà.
Un mois m’avait il dit, j’avais donc un mois pour lui prouver que ce ne serait pas une aventure éphémère, un plan cul.
A vous raconter la suite si suite il y aura ?????????????????????
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