C'est une histoire qui se passe tout d'abord dans un bureau ou j'étais consultant, d'un "collègue" qui lui faisait partie du personnel de la banque et ensuite d'une pièce de théâtre amateur où il était acteur...
Proposée le 25/01/2018 par jpbe01
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: HH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Durant quelques années j’ai travaillé comme consultant externe pour une grande banque Française, nous étions plusieurs de la même société détachés auprès de cette banque en pleine mutation informatique.
Ceci m’amenais à côtoyer directement les personnes du service informatique, j’en avais remarqué un en particulier, très bel homme, la trentaine, cheveux courts, barbe de trois jour très bien entretenue, cet homme quoiqu’en tenue décontractée était toujours impeccable, que ce soit jeans et pull ou costard cravate.
Etant d’un naturel timide je n’osais pas l’approcher, lier connaissance, lui n’étant pas directement dans la branche ou mes services étaient requis.
Mais le destin vous attend toujours au tournant, un beau jour je le vois se pointer dans l’espace de travail ou je me trouvais et le voilà qu’il vient vers moi oupsss, je devais rester calme ne pas montrer mon émoi.
Bonjour me dit-il, je lui répondis bonjour, il m’expliqua pourquoi il venait vers moi, en fait il avait été détaché de son ancien poste et travaillerais à l’avenir avec mon équipe, j’allais donc avoir cet Adonis tous les jours sous les yeux.
De par sa fonction il se fit qu’il devait travailler avec moi le plus souvent, je ne vous dis pas ma joie.
Il c’est révélé que c’était un homme charmant, plein d’humour, toujours prêt à rire mais son travail était impeccable.
Un jour il me dit nous devrions déjeuner ensemble, on fera plus ample connaissance, je répondis avec plaisir, ce midi la nous sommes sortis, il connaissait un petit resto sympa.
Il s’appelait Michel, c’est bête mais jamais nous ne nous étions appelés par nos prénoms moi c’est André dis-je, je le voyais me détailler, ouvertement maintenant que nous étions dans le cadre privé et non plus professionnel, soudain il me dit « je fais du théâtre amateur ça te dirais de venir nous voir jouer vendredi ou samedi ? » « mais avec grand plaisir » répondis je.
Le vendredi en quittant le bureau, il vint vers moi et me tendit un ticket pour la représentation du soir, je lui dis que je voulais payer ma place, « pas question dit’ il c’est moi qui t’invite, à ce soir je compte sur toi, et tu verras tu seras surpris ».
Je rentrai chez moi pris une bonne douche, je soignai mon apparence avec soin, jeans moulant, pull à col cheminée, comme j’ai les cheveux en brosse pas de problèmes de coiffure, enfin une petite touche d’eau de toilette.
J’étais intrigué par ce qu’il m’avait dit « tu seras surpris » enfin j’allais voir.
Il m’avait pris une place au premier rang, je touchais presque la scène de cette petite salle accueillante, il jouait dans une troupe amateur faite de copains aimant déconné, la pièce était hyper drôle et mon ‘collègue’ y tenait un rôle désopilant, pour la dernière scène il était censé être dans une chambre faisant l’amour à une ancienne conquête retrouvée par hasard, mais un des comédien qui dans la pièce était au bord de la dépression criait à Michel de lui venir en aide et que je le vois soudain arriver sur scène entièrement nu ses mains cachant son sexe, j’ai cru tomber dans les pommes, cet homme dont j’admirais depuis le début le corps au travers de ses vêtements était la devant moi nu comme un ver.
Quel corps magnifique, jambes, bras, épaules, torse tout était parfait, harmonieux je senti un émoi particulier dans mon bas ventre, je ne pouvais le quitter des yeux.
Après le spectacle je le retrouvai au bar, tu as aimé me demandât il ? Oh que oui dis-je, je dus dire cela plus fort et avec plus d’émotion que je l’aurais souhaité il me regarda intensément, je devins comme toujours rouge de honte, et il partit d’un grand rire, je compris qu’il avait deviné pourquoi j’avais eu cet excès dans la voix.
Je lui dis je reviendrai surement vous revoir, car j’ai adoré, et puis j’aimerais mieux comprendre certaines scènes, la dernière est facile à comprendre me dit ‘il avec un sourire malicieux, de nouveau j’étais très mal à l’aise et le vit il s’excusa en me disant ‘je plaisante’
Pourquoi pas demain soir dit’ il mais viens dans la cuisine /coulisses tu verras l’envers du décor, viens vers la fin avant que ne n’entre en scène en tenue d’Adam.
Ce que je fis le lendemain, ayant pris encore plus de soins sur mon apparence, cette fois j’avais opter pour un jeans taille basse et un T-shirt qui me mettait en valeur.
La pièce se déroulait comme la veille, juste avant sa dernière apparition, il entrouvrit la porte donnant des coulisses/cuisine et me fit signe, j’allai donc le rejoindre, il était en peignoir, je fus un peu déçu espérant le voir se déshabiller devant moi, le moment de sa montée en scène arriva il laissa tomber son peignoir me montrant ainsi un fessier parfait, comme toujours le public hurlât de rire et des sifflets complimentant sa plastic jaillir.
Ses autres partenaires étaient déjà entrain de se changer comme si je n’étais pas la tantôt l’un en slip, une autre en soutien.
Enfin il arriva mais ses mains ne cachaient plus rien, je pus admirer un beau sexe circoncit reposant sur une belle bourse bien ronde, il était complétement rasé, et pas l’ombre d’une repousse il devait se faire épiler, c’était une vision de rêve, je ne pouvais détacher mon regard de ce garçon si beau, si désirable, jamais je n’avais eu une attitude pouvant trahir mon homosexualité, là je m’en fichais c’était dans un cadre privé et cet homme me faisait bander.
Il commença à s’habiller, mais pas par son shorty comme tous le monde l’aurait fait non il commença par son Marcel, ensuite ses chaussettes, je pouvais toujours voir se beau sexe, enfin il mit son shorty masquant ainsi à ma vue ses trésors, il m’entraina vers le bar évidemment les spectateurs encore présents le félicitèrent je vis parmi certains garçons et évidemment toutes les femmes des regards de concupiscence, lui à l’aise et naturel comme toujours.
Après une dizaine de minutes, il me dit ça te dis de prendre un verre au calme chez moi, évidemment je n’hésitai pas une seconde, j’allais enfin entrer dans son antre, je savais qu’il rechignait à recevoir chez lui j’étais donc un privilégié, mais je ne pouvais m’ôter de la tête le scénario que je me faisais depuis des semaines celui de nous deux faisant l’amour.
Il habitait au second étage d’un petit immeuble, en entrant on voyait directement de part la décoration sobre mais raffinée que c’était un homme de gout, et je compris qu’il ne voulait pas que ce lieu soit livré à n’importe qui.
Il me fit faire le tour, tout était impeccable, rangement, disposition des objets, cependant l’un ou l’autre détails attira mon attention, comme le calendrier dans la cuisine du style « Dieux du stade » ou encore une statue en marbre représentant le David de Michel Ange, et quelques autres détails qui me mirent la puce à l’oreille.
Il me servit un verre, et me demanda de l’excuser car après le théâtre il était important pour lui de se doucher j’en ai pour 10 minutes maxi me dit-il, je comprenais parfaitement mon seul regret était de ne pouvoir profiter du spectacle.
Effectivement une dizaine de minutes plus tard il était de retour torse nu, avec un simple short long en tissu très souple, je devinai de suite qu’il ne portait rien dessous, à chacun de ses pas je pouvais voir son sexe se balancer de gauche à droite, et il me semblait plus imposant que tout à l’heure.
J’étais confortablement installé dans un fauteuil, ne s’arrêtant pas il passa derrière moi se pencha vers moi et m’embrassa, j’en lâchai mon verre qui heureusement était vide et ne cassa pas.
Il revint sur le devant je vis qu’il avait une érection d’enfer son sexe à angle droit tirait sur son short, au point que l’élastique de la ceinture ne touchait plus son ventre, il me fit lever, et dit tu vois dans quel état tu me met, je ne sais combien de fois je me suis branlé en pensant à toi, en plus j’adore les jeans taille basse et toi tu le porte à merveille.
Il m’attira vers la chambre, je ne marchais plus, je volais m’attendant à tout moment de me réveiller en sueur et couvert de sperme ayant jouis dans mon sommeil.
A coté de son lit d’une rigueur monacale juste un sommier posé à même le sol pas de tète ni de pied de lit, un matelas posé dessus et des draps de soie, le lit pouvait recevoir sans peine au moins trois personnes sans se gêner, il me dit que c’était un lit Japonais et qu’il avait mis beaucoup de temps pour le trouver de chaque coté deux énormes lampes à abat-jour sur lesquelles il avait jeter un fin foulard rouge, toute la pièce respirait maintenant la volupté et tendait aux plaisirs charnels.
Il enleva mon T-shirt, me déposa un baiser sur les lèvres, ce mit à genoux et enleva ma ceinture, dégrafa mon bouton il se mit à caresser mon sexe au travers du jeans j’étais déjà en extase.
C’est bien comme je l’imaginais et m’y attendais dit’ il, lentement il fit glisser la mini fermeture éclair et baissa mon jeans, il commença à lécher et sucer ma queue au travers du tissu hmmmmm j’adore dit’ il, il se mit debout j’enlevais mon jeans qui entravait mes jambes, j’étais presque nu devant lui, il m’embrassa fougueusement, je caressais son torse, son dos, il avait une peau d’une douceur incroyable, ce garçon prenait très grand soin de lui.
N’y tenant plus je me mis à mon tour à genoux et baissai son short, un sexe fin et long raide comme un bout de bois jaillit devant mes yeux, je le pris en bouche léchant et suçant se beau gland dépourvu de peau, il gémissait passant et repassant ses doigts dans mes cheveux, il me remit debout repris possession de ma bouche et de mon sexe par des caresses expertes, je lui touchai les tetons il fut pris d’un violant spasme, j’eu peur, c’est normal c’est une zone très érogène chez moi dit-il, mais n’hésites pas j’adore ça ca décuple mon orgasme.
Il me coucha sur son immense lit, il me lécha partout, sa langue sur ma bourse me faisait gémir comme un fou, il mit mes jambes autour de son cou et commença à fouiller ma rondelle avec sa langue, je croyais que j’allais m’évanouir tant il me procurait du plaisir, ses mains allant de mon sexe à mon torse, il me dominait complétement mais c’est ce que je voulais que ce garçon me possède entièrement je ferai tout ce qu’il me demanderait.
J’adore ta queue, tes couilles ton cul me dit ‘il, donne-moi tout. Je suis à toi entièrement prend moi, je t’attend depuis si longtemps dis je, il remonta me regarda dans les yeux et m’embrassa, ensuite il me mit sur le ventre ses intentions étaient claires, je sentis quelque chose de froid sur ma rondelle il me lubrifiait, soudain sa longue tige se mit à me pénétrer, je ne ressenti aucunes douleurs, mai déjà un plaisir intense, vu la taille de son sexe je ressenti dès les premiers coups de boutoirs qu’il touchait ma prostate ce qui allait décupler mon plaisir je le savais, je mordais dans les draps, m’agrippais, tant mon plaisir était intense je savais que Michel aussi prenait son pied, soudain il sortit je croyais qu’il jouissait mais non il essuya sa queue et me la planta en bouche jusqu’au fond de la gorge je crus étouffer, il se mit à me baiser la bouche avec ardeur, moi je le branlait d’une main de l’autre je caressais ses tetons il hurlait presque tant son plaisir était intense, tout en me baisant la bouche il me branlait, je ne tiendrais plus longtemps j’étais en extase, lui n’était plus là non plus mais dans le plaisir intense que je lui procurait, soudain il poussa un grand cri, je reçu dans ma bouche plusieurs giclées de foutre, j’avais du mal à avaler tant il y en avait cela déclencha mon propre orgasme, je crois que je n’avais jamais jouis aussi fort de ma vie, inondant mon propre torse de ma semence, en belle quantité, lui ne bougeait pas, sa queue encore dans ma bouche, soudain il ouvrit les yeux me regarda comme si il me voyait pour la première fois, il me dit tu es un amant génial, quel pied j’ai pris, il remarqua mon sperme étalé sur mon ventre, mon torse sans hésiter une seconde il se pencha et me lécha goulument n’en perdant pas une goutte.
Les draps de soie étaient tachés je lui fis remarquer mais il s’en fichait complètement, après un bon quart d’heure il me proposa de prendre une douche à deux, celle-ci se passa juste avec baisers et caresses, nous avions encore du mal à redescendre sur terre après nos jouissances aussi puissantes.
Nous sommes repassés au salon pour cette fois vraiment un dernier verre, je me rendis compte que nous étions encore complètement nus, je me levai pour ramasser mes affaires et les enfilés, Michel me demanda que fais-tu ? je m’habille dis-je, hooooo non reste pour la nuit demain c’est dimanche dors avec moi me dit-il, je n’attendais que cela.
Je me dirigeai vers lui et l’embrassai, au lit nous nous sommes blottis l’un contre l’autre, nus bien sûr, en fin de nuit je senti une main me caresser le ventre, j’ouvris les yeux, il me regardait tu es beau me dit-il, je répondis par un baiser et lui dit prend moi.
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