Dans la station de Morzine,Alain a offert à sa femme un cadeau magique.Un lutin du père Noël aux pouvoirs très particuliers. Sa femme en a bien profité mais maintenant son mari doit aussi s'en servir s'il veut lui aussi retrouver ses vingts ans.
Proposée le 17/12/2017 par mlkjhg39
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
J’ai retrouvé mon corps de vingt, svelte et élancé. Mais j’admire ma poitrine où les pamplemousses bariolés de sa semence se sont transformés en de beaux petits melons bien fermes.
Je cours faire une bise au lutin, reluquant avec envie la tige pharaonique d’un diamètre phénoménal qui se dresse toujours.
Mais mon mari affolé vient me tirer par les épaules.
-Ne le touche plus, je ne veux pas que tu retombes en enfance. Mais que vais-je devenir maintenant, avec une femme de trente ans plus jeune que moi ?
Il fixe le lutin d’un regard triste, quémandant une réponse.
Le lutin le regarde droit dans les yeux puis baisse la tête pour fixer la poutre dressée. Plusieurs fois ses yeux font ce manège avant qu’Alain ne comprenne ou il veut en venir.
Lui aussi doit en passer par là. Il a comme un choc mais je vais vers lui pour l’encourager.
Je le prends par la main et le mène vers le lutin. Je pose ses doigts sur l’énorme excroissance mais même la main d’un homme ne peut plus en faire le tour.
Doucement, il caresse le jonc vigoureux mais il faut que j’insiste pour qu’enfin il le prenne en bouche.
Alain ne peut en prendre que quelques centimètres entre ses mâchoires distendues à l’extrême, le gland cramoisi déforme sa joue droite. Je l’aide dans cet exercice, nous avons chacun une main sur cette flamberge et l’astiquons de plus en plus vite. La langue d’Alain est coincée tellement la place libre est restreinte dans sa bouche.
Quelques minutes plus tard, le lutin se vide à nouveau mais le volume a baissé bien qu’encore très conséquent. Alain s’étouffe et avale une grande quantité d’élixir avant d’expulser cette lance de ses lèvres. Il crache ses poumons et met un bon bout de temps avant de pouvoir reprendre sa respiration.
Le miracle a lieu à nouveau. Les cheveux grisonnants d’Alain ont repris leur couleur d’origine, il semble avoir perdu du ventre. Le lutin n’a toujours pas débandé mais son sexe a rétrécit.
On dirait que le phénomène s’inverse avec les hommes, à chaque jouissance, son pénis régresse.
Mais le lutin informe Alain :
-Pour poursuivre la transformation, je ne peux pas deux fois de suite jouir de la même façon, si vous voulez encore rajeunir, il faudra……………………..
-Comment-ca ? Lâche Alain, il faut que ?
Il me regarde, implorant mon aide. Je le console en lui répondant :
-Ce n’est qu’un mauvais moment à passer… comme ta coloscopie, mais quand il faut, il faut !
Il retire doucement son habit de Père Noël et se dénude mais quand il voit les transformations de son corps il reprend courage devant l’obstacle. Comme pour moi, il constate ravit que sa verge à gagné en taille.
- Ça ira mieux comme ça, je le rassure en ramassant une bonne dose d’élixir dans une flaque de sperme sur le sol et en en enduisant copieusement son anus.
Pendant qu’il sent ma main appliquer entre ses fesses et sur son anus cette gelée miraculeuse, il remarque comme une anesthésie très localisée.
Le lutin le fait mettre à quatre pattes et approche son boutefeu vers l’orifice fripé.
- Oh non ! Pas ça ! Sa queue est trop grosse ! Il me supplie.
Le lutin n’a que faire de ses lamentations. Il appuie ses mains sur le dos d’Alain et approche du sphincter son énorme gland. Il tente de pénétrer par cette porte étroite à deux reprises, sans succès.
- Ça ne rentrera pas, murmure douloureusement mon mari espérant le faire abandonner.
Mais le lutin est tenace et recommence le forage qui finit par dilater légèrement le sphincter en poussant de son piston.
Je pousse un petit cri de peur devant cet enculage dantesque. Alain serre les dents avant de grommeler :
- Vous me faites mal… Mais...
Imperturbable, le lutin continue sa progression, le gland gonflé à bloc continue à dilater peu à peu l’anus avant de disparaître dans l’antre.
La suite de la verge monstrueuse, comme des wagons suivant la locomotive dans un tunnel, s’engouffre entre les fesses d’Alain.
La douleur fulgurante du début est vite apaisée par les pouvoirs de l’éjacula du lutin.
La moitié puis pratiquement la totalité du mandrin s’effacent à ma vue.
Alain n’ose plus bouger. Le lutin en profite pour pénétrer encore plus avant jusqu’à ce qu’il ne puisse plus avancer.
Alain est hagard, paraissant ne plus rien ressentir. L’idée de ce cylindre de chair formidable lui fouillant les entrailles déclenche chez lui une érection comme j’en ai rarement vue.
Le lutin commence alors une folle farandole entamant des allers et retour de sa poutre dans le rectum de mon mari.
La douleur est oubliée, il est si excité qu’il jouit puissamment sur les sol en poussant un cri bestial quand le lutin lui remplit les boyaux de son onguent miraculeux.
Quand le lutin se retire, des contractions incontrôlées du sphincter de mon mari refoulent une quantité impressionnante de laitance qui coule le long de ses fesses et de ses cuisses, zébrée de quelques traces rougeâtres.
L’effort a été intense mais la récompense est là. Il n’a plus de bide, les muscles flasques se sont raffermis et son pénis commence à avoir une taille respectable.
Comme il ya a encore une décennie d’écart entre nous, il n’hésite plus et saute sur le pieu du lutin qui a encore dégonflé mais est toujours aussi raide.
Et comme le phénomène est inversé avec lui contrairement à moi, le lutin ne met pas une minute avant qu’une unique goutte de sperme n’apparaisse au bout du gland. Elle hésite un instant et chute tombant en plein sur la virilité de mon homme. L’effet est immédiat.
Alain retrouve ses vingt ans et un chibre d’une vingtaine de centimètre bat maintenant sur deux belles bourses gonflées.
Soudain, le lutin se met à rétrécir et disparait dans un « plop », nous laissant seul.
Nous nous regardons, admirant notre plastique et la jeunesse retrouvées. L’envie nous reprend comme aux premiers jours et nous copulons comme des bêtes.
Neuf mois plus tard, grâce au lutin, Alain m’offrit le plus beau des cadeaux, un beau bébé.
J’espère qu’un jour, vous rencontrerez le lutin, qui sait ???
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