Histoire Erotique

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Comment ma nana est devenue celle des autres

Un couple trans/femme organisent une séance de pose avec deux photographes et ces pervers vont débaucher la femme et la soutirer à la trans, puis les partager à des hommes en soirée.

Proposée le 19/11/2017 par roxannets

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Thème: Femme dominée
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


On a beau vous dire qu'il est risqué de jouer avec le feu, les tentations sont parfois trop grandes...

Comment ma nana est devenue celle des autres Voilà, pour vous expliquer ce qui est arrivé, il faut déjà que je vous présente qui sont les deux actrices de cette histoire, afin avoir une idée précise de leur état d'esprit au moment des faits.

Étant l'une d'entre elles et la narratrice, je vais commencer par mon amie.
Elle, c'est une belle femme blonde aux yeux verts de 42 ans, 1m66, belle poitrine 90C, hanches marquées.
De nature assez douce et réservée, elle était souvent hésitante, voire inquiète, à prendre des décisions qui la concernent.

Moi, je suis transsexuelle non opérée, j'ai 51 ans, 1m77, 95B, formes généreuses.
Notre sexualité de couple se limitait à des actes de type lesbiens car je suis hormonée et donc incapacitée de mes fonctions masculines.
En tant que libertine, je lui ai plusieurs fois proposé d'essayer à l'occasion un trio avec un homme, parce que je crois que cette sexualité pourrait venir à nous manquer.
Elle n'avait répondu ni oui ni non, s'interrogeant encore sur sa capacité à accepter cette situation. Alors, ne voulant pas forcer la main, j'ai relancé un peu l'idée quelquefois sans paraître trop insistante.
C'est aussi la raison qui m'a poussée à lui proposer de poser en duo pour des photographes, forte pour ma part d'une bonne expérience dans ce domaine, et pensant que certains nus, voire un léger érotisme posé entre nous, pourraient l'habituer et la décontracter dans cette situation vis à vis d'un homme déjà un peu voyeur.

A travers quelques échanges via un site dédié photo, je finis par tomber sur un photographe amateur éclairé, présentant de belles réalisations, notamment en nu artistique, charme et érotisme.
On échangea par mail, et je lui expliquai un peu la situation comme je viens de le faire, de manière à ce qu'il puisse à la fois se faire une idée de sa timidité et ne pas cacher mes intentions, y compris celle de tirer un certain plaisir à la voir poser nue devant un homme.
Il sembla très emballé à cette idée, ne cachant pas non plus qu'il la trouvait très attirante sur les quelques clichés habillés visibles, et qu'il éprouverait beaucoup de plaisir à la découvrir nue et à l'immortaliser sur des photos.
On conclu de se rencontrer lui et moi pour un dernier point « dans le réel » avant d'envisager la séance en duo et il passa chez moi un samedi matin de cet été.
C'était un plutôt bel homme dans la quarantaine, qui s'intéressa d'abord à moi et sur mon aisance devant l'objectif et me demanda d'un ton assez ferme, alors que je lui proposait un café, de le lui apporter vêtue d'un simple string.
Je m'exécutais comme pour un défi et il souhaita que j'évolue devant lui pour apprécier mes formes, puis il me dit que cela allait être une séance très sympa avec deux belles filles à poil qui vont aimer se montrer.

Je lui rappelais que je ne pouvais promettre qu'elle soit détendue au point d'aimer s'exhiber mais il me donna sa version comme quoi même réservées les femmes aiment cela, qu'elles ont juste quelques barrières éducatives et sociologiques qui les contraignent à trouver cela « pas bien », et qu'il savait plutôt bien faire sauter ces entraves chez les modèles débutantes.
Je m'en réjouissais donc et il m'interrogea ensuite pour savoir plus en détails ce que je ressentais et pensais ressentir à l'idée qu'il la voit nue et immortalise ses seins, sa chatte etc, discrètement en plus des photos posées.
Cela m'excita beaucoup et je lui dis qu'il n'hésite pas à faire de tel clichés pour mon plaisir personnel et le sien.

Une disponibilité commune libre de contraintes horaires tomba sous dizaine, un lundi après-midi.
Je déjeunais avec elle puisque nous avions rendez-vous avec lui à 14h00 chez moi, et elle ne me paru pas plus angoissée que ça.
Je lui rappelais sa totale liberté à évoluer comme elle souhaitais, et que les limites de l'érotisme éventuel qu'elle voudrait montrer avec moi seraient celles du shooting.
Elle savait que j'avais rencontré Guy une première fois pour savoir à qui on avait affaire et avait vu des exemples de son travail, donc tout allait bien.

A 14h00 précise il appela d'en bas car il avait oublié le code et ce sont deux hommes (dont lui) qui se présentèrent à ma, puis notre, grande surprise.
Aussitôt Guy nous rassura en présentant son comparse, Laurent, à qui il avait demandé de passer juste au début pour l'assister à la mise en place des éclairages et matériel, justifié par le chargement important qui était le leur.
Laurent était aussi un beau garçon, la trentaine passée et très souriant, qui s'excusa à son tour de débarquer à l'improviste, mais qu'il avait été sollicité par Guy à tout hasard alors qu'il l'appelait pour autre chose.
Je les rassurais sur le fait qu'il n'y avait pas de mal et les présentait donc à Sophie.
Guy la complimenta sur sa beauté, ainsi que Laurent à son tour, et ils commencèrent à installer le matériel dans la chambre, deux projecteurs équipés de coffres blancs, puis entreprirent de faire des réglages à l'aide de deux appareils photos numériques.

Une fois terminé, on prit un verre ensemble, puis deux de plus, sous le signe de la bonne humeur et du rire, assis sur mon grand canapé d'angle, Sophie près de moi de leur côté.
Nous portions chacune une tenue assez sexy, robes décolletées noires moulantes et assez courtes, lingerie fine soutien-gorges et strings assortis plus bas auto-fixants, talons fins.
Guy, qui était le plus près d'elle, lorgnait dans son décolleté qui dévoilait deux gros seins blancs et m'adressa deux ou trois clins d’œil suggestifs.
Il suggéra d'entamer la séance et Laurent déclara qu'il était préférable qu'il se retire, mais à contrecœur, car il aurait adoré nous photographier aussi.
Subtilement, Guy s'adressa à Sophie et dit qu'il aurait apprécié que Laurent apporte sa contribution, mais qu'il ne voulait pas que la jolie dame prenne peur si il y avait trop de monde, sur un air interrogatif.
Forcément, elle se senti obligée de lui dire que cela ne la gênait pas, surtout que l'ambiance était très fun et du coup Laurent nous redemanda si on était sûres qu'il ne dérangerait pas.
On confirma et on se dirigea vers la chambre pour prendre place sur le lit.

On commença par quelques poses en solo chacune, allongées lascives, cheveux épars, puis plus provocatrices à quatre pattes regards complices, puis ensemble, face à face de profil, nous étreignant allongées, toujours agrémenté de plaisanteries qui nous faisaient rire.
Guy nous demanda alors de nous embrasser à pleine bouche avec les mains qui parcouraient nos poitrines sur les robes.
Après plusieurs poses ainsi, où les photographes se déplaçaient légèrement pour chercher des angles, il nous suggéra d'enlever nos robes.
Elle le fit sans rechigner, malgré un peu de rose aux joues, dévoilant aux regards son corps, puis on reprit quelques poses solo, illustrées pour sa part de débutante par des requêtes comme « Cambres toi plus ma belle, montres nous cette jolie croupe » ou encore « Soupèses tes beaux seins en nous regardant », ce qui eu pour effet de m'exciter pas mal.
Ensemble à nouveau nous enlaçant, nous embrassant les lèvres, le cou, le haut des seins, le ventre et l'intérieur des cuisses, nous effleurant la poitrine et l'entrecuisse.
Elle pu sûrement constater que mon sexe encore retourné entre mes jambes était en érection et le fait de frôler d'un peu plus près le tissu de son petit string m'indiqua qu'elle semblait très humide.

Puis ce fut une séance similaire les seins nus, toujours aussi excitante et sous les compliments sur la fermeté des miens et le volume des siens.
Et enfin on nous demanda de retirer nos strings.
J'étais imberbe intégralement mais pas elle, qui avait une très courte toison claire au pubis.
Guy le regretta très clairement et déclara sans gêne « qu'une si jolie chatte méritait d'être bien lisse ».
On fit néanmoins une série de photos ainsi, puis Guy dit soudain : « Sophie ma puce, verrais-tu un inconvénient à ce que l'on se débarrasse de ce duvet sur ta belle chatte ? »
Un peu gênée elle ne refusa pas et il me demanda d'apporter le nécessaire.
J'apportais donc une serviette, une cuvette d'eau chaude, un rasoir vénus neuf et de la mousse à raser.
Elle s'installa toute rouge de gêne sur la serviette, et j'allais commencer à lui enduire le pubis de mousse lorsque Guy me dit : « Tu permets ? » en tendant la main.
Je lui tendis docilement la bombe et il se plaça devant elle, dont le regard était à présent vissé au plafond.

Il écarta délicatement ses cuisses, ce qui eut pour effet d'ouvrir ses lèvres en corolle, non sans révéler un orifice trempé, et lui pulvérisa une mousse généreuse sur le sexe, tandis que Laurent photographiait la scène.
Il trempa le rasoir dans l'eau et commença à soigneusement rendre son pubis imberbe, ainsi que les côtés de ses lèvres, l'invitant à la fin à soulever les jambes pour le passer entre le sexe et l'anus, puis autour de ce dernier.
Il lui essuya bien le sexe avec un bout de serviette trempée dans l'eau tiède, puis avec la serviette sèche et s'extasia du résultat qu'il qualifia de « Superbe chatte bien dessinée ».
C'est alors qu'il remarqua que mon sexe était érigé et qu'il débarrassa le lit en me demandant de poser avec elle le masturbant près de son visage.
Pour éviter trop d'interrogations et en quelque sorte la rassurer en la « ramenant à moi », après qu'un homme lui ait tout de même rasé le sexe, je m'approchais à genoux d'elle et allongée sur le côté elle entreprit assez timidement de me branler la verge.
Il lui demanda de plier une jambe en écartant les cuisses et de me prendre en bouche.
Elle s'exécuta pour les jambes mais eut beaucoup d'hésitation à entamer une fellation, ce qui eut pour effet, hormones obligent lorsque l'excitation retombe, de faire flancher mon érection comme un soufflé.

S'en apercevant, elle tenta de me remotiver par des caresses mais rien n'y fit et Guy le regretta aussi, c'est pourquoi il enchaîna en plaisantant à moitié et à notre grande surprise par un « Bon hé bien Laurent il faut que tu te dévoues pour ces dames ».
Ne sachant trop si c'était du lard ou du cochon, je plaisantais en retour sur ce qu'il pourrait bien faire pour nous et Guy me répondit « Mais juste poser ma chère ».
Devant l'ambiguïté de sa réponse, on se retrouva à regarder, un peu hébétées, Laurent se déshabiller entièrement, un gros pénis plus ou moins au repos entre les jambes sur de grosses bourses et le tout sans un poil.
Il se glissa sur le lit en nous souriant et vint se placer entre nous allongé sur le dos.
Interrogatives sur la suite, Guy nous suggéra de nous allonger de part et d'autre de lui pour des poses simulées « comme si nous le câlinions à deux ».
Dressées sur un coude, nous tracions timidement quelques routes des doigts sur son torse musclé, tandis que ses mains s'aventuraient délicatement sur nos seins.
Sophie regardait le torse qu'elle palpait, à présent devenue pivoine, et Guy nous demanda de faire comme si on l'embrassait.

Je me risquais alors à approcher mes lèvres des siennes, les frôlant sans trop appuyer et il passa ses bras derrière nos épaules à travers nos cheveux très longs.
Je m'écartais pour suggérer à Sophie de m'imiter dans cette démarche simulée et elle approcha donc à son tour timidement ses lèvres des siennes, mais il lui imprima un mouvement de pression croissant sur la nuque et je vis la bouche de ma belle se coller de plus en plus fermement à la sienne sans qu'elle semble résister au mouvement.
Il lui administrait quelques baisers bien réels, de plus en plus sonores et je vis son pénis devenir énorme sur son ventre.
« On va commencer la simulation de bisous avec Sophie Laurent ok ? Faites comme si vous vous caressiez doucement » dit alors Guy, et je sentis le bras de Laurent situé sous ma nuque la quitter et décrire un cercle au dessus de ma tête en même temps qu'il déplaçait son corps pour me tourner le dos et lui faire face.
Sa main sur sa nuque lui collait toujours les lèvres aux siennes et l'autre main libérée vint se placer sur son sein qu'il commença à doucement malaxer.
Les cheveux blonds de Sophie retombaient un peu sur leurs visages de profil et je les écartais à la demande par gestes de Guy, pour découvrir que leurs langues étaient à présent visiblement entremêlées dans un baiser appuyé.
La main de Laurent passait de ses seins à sa hanche en appréciant la fesse et je regardais cela à nouveau excitée.

Il lui prit la main qu'il vint placer sur sa verge turgescente, autour de laquelle elle mit un peu de temps à refermer les doigts, et ce fut encore lui qui lui imprima le mouvement de masturbation qu'elle finit par suivre seule mais lentement.
« On recommence la scène précédente les chéris » déclara le photographe et Laurent lâcha son baiser langoureux, se redressa et s'approcha à genoux de son visage aux yeux à présent fermés.
Il prit son gros sexe et en posa le gland sur les lèvres mi closes, puis poussa doucement en lui tenant la tête.
Elle sembla résister un peu, mais soudain je vis lentement mais sûrement le large gland disparaître dans la bouche de ma femme, ses lèvres entourer la tige et sa main venir enserrer sa base.
Ce n'était plus une simulation du tout car elle lui suçait doucement le pénis en lui caressant parfois les bourses.
Laurent me regarda alors et me sourit en me disant qu'elle faisait ça super bien.
Il lui caressait la tête d'une main et de l'autre lui malaxait fermement les seins en étirant et roulant les tétons pincés, puis je vis sa main s'aventurer sur son ventre pour atteindre son sexe lisse.
Elle écarta d'elle-même les cuisses et, d'un majeur appliqué, il entreprit de lui masturber le clitoris, efficacement puisqu'elle s'agitait de petits soubresauts.

« Goûtes donc à cette belle moule toute lisse mon ami » lui dit Guy, et Laurent s'allongea en 69 sur le côté, pour pouvoir plonger sa langue dans cette vulve offerte qui mouillait comme jamais.
Je voyais mal mais je l'entendais aspirer goulûment ses sucs intimes et lui dévorer le sexe, tandis qu'entre deux râles elle embouchait de plus belle sa grosse queue tendue à craquer.
Ils roulèrent de concert, lui sur le dos, et je pus voir enfin la langue de Laurent parcourir sa fente trempée, aspirer ses lèvres et son clito.
Les cheveux en cascade autour du visage, je ne la voyais pas sucer mais en tout cas elle y mettait du cœur.
Guy m'invita d'un geste à lui écarter les fesses et put ainsi prendre des gros plans de son anus.
Puis soudain elle se cabra et jouit bruyamment en appuyant sa chatte sur la bouche gourmande, la tête relevée criant « Ah oui c'est trop booooon ! », secouée de convulsions.

« Fais donc encore du bien tranquillement à cette belle cochonne blonde mon Lolo, moi je dois m'assurer que notre hôte nous offre tout le temps nécessaire ».
Je ne compris pas trop l'allusion et, tandis que Laurent allongeait une Sophie encore haletante sur le lit et se couchait près d'elle pour la câliner et l'embrasser goulûment, Guy me demanda si j'avais des liens.
Je lui dégottais quelques ceintures de manteaux qui firent l'affaire, mais je compris vite qu'ils m'étaient destinés lorsqu'il me demanda de me placer sur le dos et m'attacha fermement un poignet à chaque cheville.
Curieux et malin, il avait repéré dans une petite commode entrouverte quelques sex-toys que j'y conservais.
Il me mit un foulard en bâillon, me tartina l'anus de lubrifiant et y enfonça méticuleusement un gros gode aussi loin que possible.
D'un œil, j'avais vu en même temps les deux amants s'étreindre à nouveau et Laurent se glisser entre les jambes de Sophie, mais elle semblait réticente à les écarter plus pour le laisser la pénétrer.

Voyant cela Guy lui dit : « Tu t'inquiètes pour l'avis de ta copine petite coquine ? » et il demanda à Laurent de s'écarter un peu, invita Sophie à regarder dans ma direction, pattes écartées et gode fiché dans le cul, et ajouta : « Tu vois ma belle, pas d'inquiétude, ta copine se fait prendre par son mec ! »
Je lui adressais un regard interrogatif, mais elle reposa sa tête en arrière et Laurent lui regrimpa dessus, réussissant cette fois à lui écarter correctement les cuisses.
Je vis ses jambes à elle se plier légèrement et son bassin à lui commencer à onduler, signe que sa grosse bite était enfin entrée dans son vagin.
Il la prit alors bras sous les genoux et lui releva le bassin, et je pus alors découvrir sa queue qui s'enfonçait régulièrement dans sa chatte distendue.
Il lui remonta les jambes sur ses épaules et, en appui sur ses avant-bras, se mit à lui pilonner le sexe sans ménagement, la faisant gémir sans retenue.

Guy se mit aussi à poil et sur le lit, pour les photographier dans leurs ébats, une belle bite bien dure lui aussi tendue devant lui.
De temps en temps, il m'adressait un regard salace en les désignant et tapotait le gode planté dans mes fesses.
Laurent positionna alors Sophie en levrette, de profil pour moi, et se mit à la baiser de plus belle en lui claquant parfois son cul, et Guy décida soudain de s'approcher devant elle et de lui tendre son membre.
Elle fit mine une fois ou deux de l'ignorer mais Laurent la prit par les cheveux comme la crinière d'une jument et la bite de Guy s'enfonça dans sa bouche, tandis que ses gros seins ballottaient sous elle.
Lâchant son appareil, il se mit à apprécier vivement la fellation qu'elle lui pratiquait et déclama : « Mais elle suce comme une déesse cette belle salope ! »
Je la voyais en effet pomper son dard avec application, malgré les mouvements de son corps secoué par les coups de reins.
Il lui trayait littéralement les seins sur le côté et, très expressif, il vantait ses « grosses mamelles de cochonne » et sa bonne « bouche à pipes ».

C'est parti, me dis-je, finis les câlins, ils la baisent comme une chienne, et je n'en revenais pas d'assister à cette scène.
Laurent stoppa sa saillie, s'allongea sur le dos et l'amena à venir s'empaler allongée sur lui.
C'est le moment que choisi Guy pour se placer derrière elle et, avec du gel, la sodomiser alors que son compère lui prenait la chatte.
Elle tenta un petit peu de résister puis finalement céda et le laissa s'enfoncer dans son cul en gémissant et en suppliant sans conviction d'arrêter.
Je me demandais en fait si il l'avait prise en double ou si il la sodomisait, vu que je voyais la scène de profil, mais j’eus vite la réponse lorsqu'il répondit à ses prières en disant : « Mais non ma petite salope, je vais te baiser ton trou du cul et tu vas en redemander ! »
Ne pratiquant pas la pénétration avec elle, je me demandais si elle avait déjà été enculée ou si c'était sa première fois.
Je voyais son visage transpirant de profil, les yeux tantôt plissés tantôt exorbités, la langue dardée hors de la bouche sur un râle rauque et continu, tandis que la queue s'enfonçait lentement tout au fond de ses entrailles.
Lorsqu'il lui eut tout mis, ils commencèrent à la limer doucement puis de plus en plus fort, lui défonçant les orifices et la faisant brailler à tue-tête des oui, des non, des stop et des encore.

Elle jouit à nouveau en miaulant et Guy l'imita, la prenant à bras le corps en grondant, lui annonçant qu'il « lui remplissait son gros cul de pute blonde ».
Il se retira rapidement à la salle de bains et revint demander à Laurent de l'enculer aussi pour quelques photos.
Elle se laissa docilement allonger sur le ventre et écarter les cuisses, avant qu'il ne vienne lui introduire son gros chibre dans l'anus et le lui démonter, en faisant claquer ses grosses fesses sous son bassin, pour finir en levrette afin que Guy ait accès à des clichés explicites.
Il finit par venir vers moi et me tendis son appareil par l'arrière pour que je vois nettement en photo la queue entourée par l'anneau dilaté de son trou du cul éprouvé.
Je pense que ce fut un soulagement pour elle lorsque Laurent éjacula à son tour dans son cul, et elle resta là allongée, respirant fortement, les yeux fermés.

Puis Guy s'adressa à moi et me dit : « Bon salope vu que tu as le cul occupé on va aller boire un verre servis par la petite pute blonde aux gros nichons ! A toute ! ».
Et ils l'emmenèrent au salon, non sans qu'il ait trifouillé à nouveau dans ma commode.
J'entendis qu'ils lui demandaient de bien se baisser, leurs rires et une conversation entre eux deux que je ne comprenais pas trop car ils avaient mis de la musique.
Cela dura environ ¾ heure une heure, puis ils revinrent tous à la chambre, et Guy me montra quelques clichés, dont un où il enfonçait un plug dans le cul de Sophie, d'autres où ils la faisaient boire et d'autres encore où elle était à quatre pattes à leurs pieds à servir de table basse.
Ils la mirent à genoux sur le lit, eux debout et elle dut les sucer à nouveau en léchant bien leurs couilles, puis ils se masturbèrent et elle attendit bouche ouverte langue sortie qu'ils lui arrosent le visage de sperme, frottant leurs bites dessus et ramenant tout sur sa langue.
Elle fut forcée de déguster leurs jus mélangés et de nettoyer leurs bites en disant merci.

Puis Guy lui demanda de me débâillonner, de sortir le plug de son cul et de me le mettre dans la bouche, ainsi que de retirer le gode du mien et de bien le sucer.
Puis on lui dit de mettre le plug dans mon cul et de répéter à haute et intelligible voix un certain nombre de phrases qui devaient décrire la soirée que l'on allait passer ensemble.
Je compris d'une part qu'elle semblait vraiment soumise, et d'autre part que cela ne faisait que commencer.

Ainsi, elle répéta ce qu'il lui dicta :
« Je m'appelle Sophie et j'étais la copine de Sélène »
« Je ne suis plus la copine de Sélène car je préfère être la pute de Guy et Laurent »
« Si Sélène veut continuer de me voir ce soir, elle doit leur obéir et rester bien sage »
« Sélène vas tu obéir et rester sage si on te détache ? »
Un peu chamboulée par cette situation, je compris que si je refusais ils risquaient de partir en me laissant là et j'opinais de la tête.
Tu peux la détacher dit Guy à Laurent, et il me libéra de mes liens.
Je restais donc sagement assise pour entendre la suite.
« Moi, Sophie, je m'engage à assumer mon rôle de salope dévergondée, de modèle et actrice pornographique et de putain blonde sans jamais discuter des tenues, des lieux et des actes qui me seront imposés par mes maîtres. »
« Je déclare que je suis parfaitement encore libre de refuser cet accord partiellement ou en totalité, que si je choisis de m'y opposer c'est maintenant et ils se retireront sans conséquences, et que si j'en accepte les conditions en me taisant à la fin de cette déclaration, c'est que souhaite réellement être leur pute. »
Elle baissait le regard tout en répétant et resta muette ensuite.
Guy ricana en paraissant très satisfait de ce silence, me regarda et déclara :
« Ma chère Sélène, merci de nous avoir offert cette petite pute sur un plateau. Veux-tu bien à présent répéter quelques phrases à ton tour ? »
J'opinais à nouveau et je répétais :
« Je m'appelle Sélène et j'offre Sophie à Guy et à Laurent »
« Ils peuvent en disposer comme bon leur semble sans que j'ai le droit de donner un avis »
« Je les remercie de m'accorder le droit d'assister ce soir à son baptême du cul »
« J'accepte de me plier à leurs ordres moi-même, sans discuter des tenues, lieux et actes qu'ils décideront de m'imposer à moi aussi, d'être une grosse pute de bas-étage et un bon travelo obéissant. »
« Je déclare que je suis parfaitement encore libre de refuser cet accord, que si je choisis de m'y opposer, les trois se retireront sans conséquences, et que si j'en accepte les conditions en me taisant à la fin de cette déclaration c'est que je souhaite réellement être aussi leur pute. »
Je regardais une dernière fois vers Sophie qui avait toujours les yeux baissés, puis l'imitais et me tus.

« Hé bien voilà une bonne affaire de faite mon Lolo n'est-ce pas ? Deux putes dociles rien qu'à nous pour bien s'amuser ! »
Laurent rit de bon cœur et proposa d'aller fêter ça à l'extérieur, ce que Guy trouva être une excellente idée.
Il me fit sortir des dizaines de vêtements qu'il examina en se rhabillant, après avoir pris une douche et pendant que Laurent prenait la sienne.
Il fit faire des essais à Sophie et se décida pour nos tenues.
Chacune eut droit à un string à enfiler, un tanga noir pour elle et un rose fluo pour moi.
Elle dut ensuite mettre une micro jupe blanche très serrée, ainsi qu'un petit débardeur à fines bretelles blanc et étroit en lycra qui contenait difficilement ses gros seins.
Ses sandales à talons blanches complétèrent idéalement l'ensemble.
Pour ma part c'est un legging blanc qui s'arrêtait à mi-mollet et super moulant que je dus mettre, assorti du même débardeur blanc qu'elle, que je possédais en double.
Par contre ce sont des cuissardes à talons blanches rabattues en corsaire que je dus mettre à mes pieds.
La transparence des vêtements était telle que nos mamelons et nos strings étaient parfaitement visibles sous les tissus.
Guy nous expliqua en souriant qu'on était habillées en blanc pour que leurs deux putes soient bien repérables la nuit et que l'on ne se doucherait pas, parce que de vraies bonnes putains doivent sentir la chatte.


Après s'être coiffées les cheveux libres, je dû me remaquiller de manière plus appuyée, fard smoky noir et gris sur les paupières, liner noir appuyé, mascara noir fourni et rouge à lèvre rouge vif, et faire de même sur elle.
On quitta l'appartement vers 20h pour se diriger vers leur voiture, une grosse Audi grise plutôt luxueuse, en croisant quelques passants du quartier qui ne manquèrent pas de nous dévisager ainsi que notre accoutrement voyant.
Il faisait très bon et Laurent qui conduisait prit la direction de Paris, avec moi en passagère avant, et le néo couple Sophie et Guy à l'arrière.
Il la tenait contre lui et ils s'embrassaient souvent, puis il sorti son sexe et invita Sophie à se positionner pour le lui gober.
Laurent me regarda à un feu et me dit : « Tu veux sucer salope ? ».
J'acquiesçais et il sorti son membre.
Je me penchais sur le côté et happais sa verge encore semi-érigée, qui ne tarda pas à devenir très dure sous l'effet des coups de langue et des aspirations.
« Mmm Guy il faudra que tu l'essaye ! Les travelos ça pompe vraiment trop bien et notre petite travelotte là c'est une vrai pro ! ».
Guy rit et cela dura ainsi jusqu'à ce que l'on doive s'engouffrer dans un parking souterrain arrivés à destination.

On sorti du parking pour débarquer vers la Bourse, puis on se dirigea vers le restaurant « Le Vaudeville » où l'on fit une entrée remarquée par la clientèle et certains serveurs.
On nous plaça à une table vers le fond, à côté d'un groupe de quatre messieurs visiblement très enjoués, qui ne manquèrent pas de nous reluquer en se faisant du coude.
On commanda des plats simples, la faim s'étant faite ressentir pour ma part depuis déjà un moment, et on mangea en souriant, sous les taquineries de Guy, résolument peu discrètes, ce qui permit aux hommes de la table d'à côté de faire connaissance par échange de blagues coquines, sur les blondes entre autres.
Sympathisant de plus en plus, ils proposèrent de joindre les tables, et Sophie qui était près de Guy se retrouva assise à côté d'un certain Richard, grand costaud dans la cinquantaine et moi près d'un Sammy, marocain un peu rond dans les 35 ans, les deux autres étant Momo, la quarantaine et Julien, que je pensais d'âge similaire.

Ils complimentèrent Guy et Laurent sur leurs jolies femmes et Guy rectifia en précisant que nous n'étions pas leurs épouses, juste deux poulettes rencontrées ce jour pour faire la fête, ce qui poussa les autres à leur dire qu'ils avaient beaucoup de chance.
Les quatre hommes visiblement aisés commandèrent deux bouteilles de champagne pour nos tables et Guy nous demanda de les remercier avec un gros bisou.
Je me penchais donc au dessus de Sammy pour atteindre Momo qui me gratifia d'un smack appuyé alors que j'allais lui tendre la joue, et je sentis une main de Sammy me coiffer un sein discrètement.
Sophie fit de même au dessus de Richard pour embrasser Julien, qui n'osa pas prendre l'initiative de lui embrasser les lèvres, mais lui déposa deux bises appuyées à la commissure de celles-ci.
On dut se lever pour faire de même aux extrémités croisées, en se faisant flatter la croupe de manière très libérée par nos accompagnateurs.
Après ce fut le tour de nos voisins en croisé puis en direct, pour deux smacks assez appuyés eux aussi.

Ils renouvelèrent leurs compliments à notre égard et Guy leur expliqua que nous avions eu la bonne idée de vouloir poser pour eux, et qu'ils avaient bien baisé la « petite blonde » à deux, devant la trans que j'étais.
Les quatre hommes n'en revinrent pas de l'apprendre, surpris que je sois « un mec » en étant aussi féminine et mignonne.
Ils me demandèrent si j’avais toujours ma bite, je répondis timidement que oui, et Sammy dit : « Oui mais t’es un trans puisque tu as des seins ? ».
J’opinais mais Julien, qui paraissait être un peu le « Monsieur je sais tout » du quatuor enchaîna par : « Ah non si il a encore sa bite c’est un trav, les trans ont une chatte opérée »… « J’espère que ça ne te vexe pas Chouchou ? » ajouta-t-il en me fixant.
Je lui répondis que le plus souvent on disait trans opérée ou trans non opérée quand il y avait prise d’un traitement hormonal.
Julien sourit et secoua négativement la tête, puis dit : « Chouchou quand tu es tout nu tu as peut-être de jolis seins, mais la différence des genres masculin et féminin c’est au sexe qu’on la voit. La belle blonde ici présente a une chatte donc c’est une femme. Toi tu as une bite et des coucougnettes donc tu es un homme. Mais cela n’ôte en rien que tu sois bluffant rassures-toi, même moi je ne l’ai pas remarqué au début, mais pour moi tu es… un beau travelo on va dire. Il y a plein de mecs qui aiment les trav efféminés mais moi perso je ne suis pas gay, j’aime les vraies femmes, sans t’offenser. »

Guy et Laurent semblaient très amusés de la situation, Sophie baissait les yeux, Richard adhérait aux propos de Julien en opinant du chef à chaque affirmation, et ce furent Sammy et Momo qui prirent un peu mon parti en disant à Julien que ce n’était pas très sympa de dire ça.
Momo lui dit : « Arrêtes Julien t’as vu le bijou ? Ce n’est pas la cage aux folles non plus t’es aveugle ou quoi ? »
Sammy surenchérit en déclarant en riant à Julien : « Je voudrais bien savoir combien de meufs tu as levé qui étaient aussi bonnes que Sélène mon pote ! En tout cas ton ex, excuses-moi, elle lui arrivait pas à la cheville question physique… »
« C’est ton avis, pas le mien et en tout cas je peux te dire qu’elle avait une belle chatte elle » lui rétorqua Julien, un peu vexé mais révélant de plus en plus une certaine transphobie.
« Te fâches pas Loulou ! » dit Sammy en riant, puis il passa son bras autour de mes épaules et m’attira à lui en ajoutant : « Ben moi pour moi cette belle gosse c’est une meuf alors arrêtes de l’embêter espèce de rabat-joie ahah ! Tu vas nous la faire pleurer la pauvre bichette avec tes critiques, hein la puce ? » et il me regarda en souriant.
Je fis mine d’afficher un air très triste et il rit en attirant ma tête sur son épaule, en me caressant la joue et en me disant que j’étais sa pauvre chérie tout en riant, ce qui fit rire aussi tout le monde, même Sophie qui m’adressa le premier franc regard et sourire depuis que la séance photo avait dérapé.

« Tu vois ma grande, tu as deux admirateurs et la blonde en a deux autres hahaha ! » dit Guy.
« Hé les gars on taquine hein, on ne veut pas vous piquer vos nanas ! On n’est pas des voleurs de poules ! » s’esclaffa Richard, suivi de près par tous les hommes.
« Ah mais messieurs, c’est justement parce que ce sont des poules qu’il ne faut pas hésiter à vous servir sans avoir besoin de notre permission ! Ce genre de filles n’est à personne et à tout le monde ! » répondit Guy en affichant un large sourire aux quatre hommes qui semblaient partagés entre la violence de la seconde phrase et la tentation de la première.
Je suppose que, voyant que nous ne réagissions pas, ils en déduisirent que nous acceptions d’être appelées des poules et des filles à tout le monde.
C’est Julien qui, le premier et après avoir recommandé une bouteille de champagne, prit l’initiative de vouloir complémenter cet état de fait par les actes.
Une fois les verres remplis et après avoir trinqué tous ensemble à cette joyeuse rencontre, il lança à l’adresse de Guy et Laurent : « Donc les amis, si je vous ai bien suivi, si je demande à la petite blonde de venir boire sa coupette sur mes genoux ça ne dérangera personne ? »
« Si moi ! » enchaîna Richard en mimant la colère, et tous rirent à nouveau de concert, puis Laurent confirma à Julien qu’il pouvait demander ce qu’il voulait.

Alors Julien dit : « Sophie c'est ça ? Viens donc t'asseoir ici avec ton verre ma belle ».
Sophie prit sa coupe et se leva, observée religieusement de tous et s'assit sur l'une des cuisses ouvertes de cet homme à la mine satisfaite, si prétentieux et sûr de lui qu'elle ne l'aurait même pas calculé la veille.
Sa jupe ultra courte révélait à présent le tissu de son string noir et ses tétons étaient proéminents sous son débardeur.
Julien lorgnait dans son décolleté et brisa le silence qui s'était installé en sortant : « Ben dis donc tu en as une sacrée paire vu de près ! Je peux toucher ? »
J'avais envie de rétorquer qu'il ne la méritait pas mais j'avais fait une promesse.
Elle se contenta de rougir et Guy d'ajouter : « Laurent te l'a dit cher ami, avec ces filles on ne demande pas, on se sert ».
Alors Julien posa son verre et avança la main vers sa poitrine jusqu'à poser sa main sur son sein gauche qu'il se mit à malaxer sur le tissu.
« Oh la la les gars ces nichons j'adore ! » dit-il en passant au suivant.

De dos à la salle qui se vidait, le geste était aussi discret pour le public que flagrant pour notre table et elle ferma les yeux tandis que ses mamelles étaient soupesées comme pour une inspection vétérinaire.
« En plus elle a les bouts tout durs, elle a l'air d'aimer ça cette petite cochonne ! » déclara Richard en lui pinçant un téton à travers le lycra blanc.
Sammy dit alors que eux aussi ils toucheraient bien des nibards et il me demanda d'échanger sa place avec la mienne.
Je m'exécutais et j'eus rapidement sa main et celle de Momo sur chacun de mes seins.
De l'autre côté, Julien avait fait pivoter Sophie à califourchon sur ses cuisses face à lui et sa langue était à présent en train d'explorer sa bouche dans un baiser passionné, tandis que ses mains lui massaient le cul sans pudeur et que la jupe qui remontait sous la pression lui découvrait à présent au moins la moitié des fesses.
Richard caressait la partie basse dénudée et pris soudain la liberté de tirer sur le bas de la jupe pour la remonter à la taille.
Guy et Laurent observaient en souriant, et Momo et Sammy cessèrent momentanément de me peloter pour se pencher et reluquer son cul en string.

Richard, qui avait passé la main entre ses cuisses, dit alors : « Oh la vache elle est déjà trempée la salope ! » et il tendit vers nous deux doigts poisseux de cyprine transparente.
« Mmmm ça c'est de la bonne milf comme j'aime ! » dit Sammy en voyant ça et d'ajouter : « Dommage qu'on ne puisse mater la croupe de notre Sélène aussi discrètement... et d'ailleurs les gars faites gaffe le serveur revient ! ».
Richard rabaissa la jupe rapidement et dit à Julien et Sophie qui s'embrassaient toujours : « Hé les tourtereaux faites donc un break de la langue, on va peut-être pas tarder à y aller ».
En effet, le serveur venait pour réaliser les encaissements et chacune regagna sa place initiale le rose aux joues, tandis que les hommes redevenus sérieux réglaient la note.
Sentant en effet que les signaux de départ lancés par le personnel devenaient impérieux, Richard proposa à Guy et à Laurent de poursuivre dans sa garçonnière située à 200 mètres à pied, promettant champagne et musique.
Ils acceptèrent avec joie et nous prîmes congé de la brasserie, non sans que je remarque les regards envieux de certains serveurs, qui semblaient avoir compris que la soirée n'allait pas se terminer sur ces discrets batifolages.

On marcha une dizaine de minutes avant de nous arrêter devant un grand porche fermé d'une grille, où Richard composa un code, puis un autre dans la cour devant un escalier.
Deux étages plus haut, il ouvrit une porte et nous fit entrer dans un coquet studio de belle taille avec cuisine à l'américaine, qui proposait un énorme canapé d'angle où on s'assit, Sophie d'un côté entre Julien et Guy, Laurent à côté de ce dernier, et moi de l'autre entre Momo et Sammy, tandis que le maître de maison s'activait à ouvrir du champagne et servir des coupes, après avoir mis un fond musical lounge / deep house agréable.
L'appartement sentait bon, un parfum orientalisant d'encens aux épices, le champagne était frais et délicieux, les mecs étaient suaves avec nous en nous flattant sur notre beauté et le plaisir qu'ils avaient de cette rencontre inopinée, Sophie riait aux plaisanteries et j'oubliais un instant que nous étions les proies des uns et les esclaves des autres.

Richard s'était assis dans l'angle du canapé au milieu de tous et Guy annonça : « Merci Richard pour cette invitation et ce traitement royal, je propose que la blonde nous fasse un petit strip-tease pour le plaisir des yeux, qu'en pensez-vous ? ».
Je le remerciait intérieurement de ne pas m'avoir jointe à cette demande, car j'imaginais déjà me sentir horriblement gênée si j'avais du ôter mon string devant l'assemblée.
Les mecs applaudirent la proposition et Sophie fut conduite par Laurent face à nous tous, debout derrière la table basse, puis il vint se rasseoir.
« Allez salope, montres-nous un peu la marchandise en ondulant ton gros cul de blondasse ! » lui ordonna Guy.
A nouveau les joues cramoisies, elle se mit à danser sensuellement en ondulant, les yeux mis clos, et commença par ôter lentement son débardeur, libérant ses seins lourds sous les encouragements et quelques sifflets de la bande d'hommes excités.
Tournant lentement sur elle-même, elle fit ensuite glisser sa jupe au sol, offrant à la vue de tous son cul scindé par une bande noire et fine et devant un triangle noir qui recouvrait juste sa chatte.
Sa danse était très sexy et elle la prolongea sans toucher au string un peu trop longtemps au goût de Guy, qui dut lui rappeler que le strip-tease était intégral.
Elle le fit alors glisser à son tour à ses pieds, révélant la nudité de sa chatte imberbe sous les rugissements croissants et les rires.

Elle dansa ainsi toute nue un moment, jusqu'à ce que Richard, qui s'était levé pour remplir les verres à nouveau, ne pose sa bouteille et ne s'approche d'elle, passant dans son dos pour danser contre elle en l'attirant à lui, ses grosses mains de rugbyman lui massant les mamelles, pour ensuite la retourner et lui planter à son tour sa langue dans la bouche et en lui écartant les fesses face à nous.
Elle l'enlaçait les bras autour du cou, bien cambrée, et nous pouvions voir apparaître, par alternance d'écartement, son trou du cul tout plissé.
C'est alors que Sammy me regarda et me dit : « Ma puce, je vais juste lui bouffer un peu le cul, j'ai trop envie d'y goûter, et je reviens vite pour m'occuper de toi ok ? Momo, frérot, prends bien soin d'elle hein ? »
Du coin de l’œil, je regardais Julien qui semblait un peu maussade de n'avoir pas été assez prompt à prendre d'initiative avec sa proie désignée, et qui se faisait un peu damer le pion par son camarade enthousiaste.
Sammy s'agenouilla alors derrière elle et enfouit son visage entre ses fesses charnues, la faisant tressaillir.
Ses mouvements de tête indiquaient qu'il léchait ardemment la raie de la belle Sophie, que Richard embrassait toujours aussi goulûment quelques centimètres plus haut.
Momo avait passé sa main dans mon décolleté tout en continuant de mater la scène, comme toute l'assemblée, et pressait mes seins fermement.

Il semble que Sammy fut plus excité qu'il ne le pensait par ce cul à lécher, car lorsqu'il se redressa, au lieu de nous rejoindre, il ôta ses vêtements en totalité, dos à nous, et commença à se frotter contre le dos de Sophie.
On le devinait lui écarter les fesses pour mieux y frotter son sexe, et il fit soudain un signe d'une main sur le côté, qui mimait comme une pression sur un aérosol.
Guy, qui avait compris, se leva et se dirigea vers son manteau, dont il fouilla une poche et en sorti un tube de lubrifiant Durex, qu'il lui tendit au retour.
Le tube tomba ensuite au sol, et Sammy plia plusieurs fois les genoux, puis remonta enfin lentement en tenant Sophie cambrée par les hanches.
Elle interrompit son baiser pour enfouir son visage dans le poitrail de Richard, en laissant échapper de petites plaintes étouffées.
Il ne faisait aucun doute qu'il était en train de la sodomiser, même si la demande de gel en avait très explicitement annoncé la couleur.
Richard en profita pour se déshabiller lui aussi, et invita les autres à faire de même et à enlever la table pour disposer les grands coussins du canapé en forme de lit, puis il appuya sur la tête de Sophie pour la pencher en avant et venir emboucher son sexe tendu, que je vis de taille respectable, avec surtout de très grosses couilles lourdes pendant en dessous.

Sammy lui donnait à présent des coups de reins un peu plus forts, et elle gémissait en suçant l'autre.
Je me dis à cet instant que pour une fille qui n'avait plus connu de bites depuis quelques années, le temps la rattrapait en lui en offrant un bon nombre en une seule journée.
Visiblement, elle aimait bien plus la queue des mecs que j'aurais cru, et peut-être même qu'elle l'eut crû elle-même.
Les garçons s'activèrent à préparer le lit et se mirent à poil sans pudeur, naturistes sans érection, et Momo m'attira soudain à lui et m'embrassa à pleine bouche en retirant mon top, pressant sa poitrine contre la mienne, puis me susurra à l’oreille : « T'en fais pas ma puce il t'a pas oubliée, il va revenir pour toi et on va bien s'occuper de toi aussi. Moi je te trouve super belle alors enlèves ton pantalon et allonges toi, j'ai envie que tu me fasses bien bander. »
J'ôtais alors le legging, sentant mon pénis retourné palpiter d'excitation entre mes cuisses.
A ce moment, j'entendis la voix de Julien dire : « Waouh ! Putain de cul quand même le Chouchou ! » et je lui adressai un sourire en tournant la tête dans sa direction.

Je jetais un œil vers la première scène et Sammy était toujours en train de limer le cul de Sophie en reculant son bassin, certainement au point de sortir sa bite, pour s'y enfoncer à fond d'un seul coup, lui arrachant des cris aigus et en commentant chaque coup de boutoir par des « Tiens salope ! », « Prends ça chienne ! », « Je t'explose ton gros cul de blonde ! ».
A chaque cri, Richard la tirait par les cheveux pour lui replacer la bouche sur son sexe.
Momo me tira le bras pour que je m'allonge et il prit place à mes côtés, se mettant à me téter les seins et frottant sa bite contre ma cuisse, qui grossissait régulièrement.
Ma main vint a sa rencontre et je saisis son membre pour le caresser.
A présent en érection, sa queue était juste énorme dans ma main, longue et très épaisse.
Cela faisait longtemps que je n'avais pas tenu une aussi grosse bite.
Affairée à cette découverte, je sentis une main se poser sur ma joue droite et tirer mon visage sur la gauche, me retrouvant soudain face à une tige en érection, très longue mais étonnamment fine, pas plus de trois centimètres de diamètre.
Derrière cette bite se tenait Julien, qui me dit : « Allez Chouchou, suces moi ça, on m'a toujours dit que les pd pompaient bien je veux pas mourir con ! » et il dirigea son gland sur ma bouche.

J'hésitais à l'ouvrir mais je me rappelais à nouveau ma promesse, alors je me mis à sucer sa bite avec application, tout en continuant de branler Momo.
Il y eu du mouvement dans le coussin sous ma tête, je sentis deux genoux l'entourer et Julien retira sa queue de ma bouche pour que Guy puisse y déposer ses couilles, que j'avalais en l'ouvrant au maximum, les léchant soigneusement une fois bien entrées, mais il se retira après s'être un peu masturbé, sans trop que je comprenne pourquoi il avait souhaité faire ça.
Julien me remit son sexe en bouche et je l'aspirais docilement.
Il me pelotait le sein gauche, et me confirmais que les pédales avaient un vrai talent pour la pipe, puis il dit à Momo : « Hé mec, vires lui sa culotte au pd il ose pas montrer sa ptite bite ! ».
Momo ne répondit pas, mais il se releva et saisi les bords de mon string aux hanches et le tira vers le bas, me le retirant des pieds.
Écartant les jambes par réflexe pour l'aider à l'enlever, mon sexe moyennement érigé par l'excitation quitta mon entrejambe et vint se poser sur ma cuisse.
« Ah ça c'est vraiment une bite de tafiole ! » dit Julien en ricanant et à ce moment j'entendis de grands râles un peu plus loin et sa queue quitta ma bouche.

C'était Sammy qui jouissait dans le cul de Sophie.
Julien s'écarta alors, et je vis Georges murmurer un truc à Momo, puis lui et Laurent me manipulèrent pour me positionner en levrette bien cambrée.
Ils amenèrent ensuite Sophie en compagnie de Richard, placée elle aussi en levrette, d'abord devant moi et on m'ordonna de nettoyer son cul.
Bien refermé malgré cette longue sodomie, du jus blanc s'en échappait lentement, et j'obéis en le léchant soigneusement,
Son trou sentait fort le sperme et l'anus mais je le nettoyais sans discuter.
Puis ils la passèrent derrière moi et elle dut aussi me lécher le trou tandis qu'on m'écartait les fesses au maximum et j'entendis malgré tout Guy lui dire à voix basse : « Prépares bien le cul de ton ex, tu vas le voir se faire niquer ».
Elle fut ensuite écartée et placée toujours en levrette, perpendiculaire à moi au niveau des fesses.

Je sentis qu'on me tartinait copieusement l'anus de gel, deux mains saisirent mes hanches et un objet dur et très large vint appuyer sur mon œillet.
C'était la bite de Momo qui poussait sur mon cul.
Lentement, celui-ci s'écartait sous la pression et le gland pénétrait doucement dans l'orifice.
« Regardes salope, regardes bien ton ex se faire enculer son trou de balle de gay par une énorme queue ! » dit Guy.
Elle ne répondit pas et soudain le gros gland fut dedans, ce qui m'envoya une décharge qui me fit me cabrer un peu, mais il me maintenait par les hanches et stoppa un peu sa progression, le temps que je relâche mon sphincter.
Puis il s'enfonça à nouveau dans mon conduit de plus en plus élargi.
Richard s'était quant à lui placé derrière elle et limait doucement sa chatte, faisant passer ses cheveux régulièrement sur ma croupe.
Guy repris : « Alors petite pute, ça te fait quoi de voir son gros trou se faire baiser ? Il a du sacrément servir aux bites pour être aussi large ! Alors dis moi, ton ex c'est un quoi ? »
Elle ne répondit pas et alors il lui gifla un sein et elle prononça quelque chose d'inaudible pour moi.
« Répètes pétasse, qu'il entende bien ce que tu penses de lui maintenant que tu as ouvert les yeux. Répètes à voix haute je te dis ! » et elle reçu une autre claque sur le sein.

« Un PD ! » dit-elle presque en le criant.
J'étais abasourdie d'entendre ça de sa bouche, elle qui avait toujours prétendu tout le contraire, mais me fis une raison en le mettant sur le compte des gifles.
La queue de Momo était entrée en plein et me limait à présent lentement le cul.
Mon anus était si écartelé que je pouvais plus réprimer de rauques gémissements.
Mais Guy n'en resta pas là et surenchérit en disant : « Ah non femelle, pas un PD... Un GROS PD ! Tu entends comme il aime se faire éclater le cul ? Alors salope, dis lui à ton ex que c'est un gros PD et que toi tu préfères être une grosse pute pour mecs virils ! Allez dis lui ! ».
Ils se décalèrent et la positionnèrent en levrette tout contre mon côté, les deux baiseurs commençant à nous limer à présent très fort.
Je couinais comme un petit cochon, et une petite claque de plus la décida à parler, paroles entrecoupées de râles profonds et de hoquets, tandis que le costaud lui ravageait le vagin : « Tu es un... gros PD... en fait Sélène... j'ai vu ton... trou du cul... tu as du te le... faire beaucoup baiser... alors moi je... préfère les vrais... mecs virils... et être leur pute... mais une vraie femme... là il me baise... trop bien la chatte... mmm oui encore ! »

C'est vrai que je m'étais faite plutôt souvent prendre le cul à diverses périodes et que n'avais jamais pu la baiser ainsi.
Elle redécouvrait réellement le plaisir de son vagin, expérimentait (ou pas) son anus en tant que seconde chatte, suçait de beaux membres et recevait des compliment sexuels osés qui semblaient lui plaire.
Néanmoins, je ne pouvais trop me concentrer sur cette idée car derrière moi, Momo me défonçait littéralement le fion, son énorme bite entrant et sortant d'un trou que j'imaginais très béant, vu la facilité avec laquelle il replongeait dedans.
Ce fut au tour de Richard de jouir en elle, presque aussi tôt remplacé par Julien, qui n'en pouvait plus de baiser cette femme qu'il avait été le premier à chauffer au restaurant.
Il pénétra sa chatte de sa longue queue fine et raide en lui disant : « Toi ma poulette tu vas prendre cher dans ta grosse moule baveuse ! » et la baisa immédiatement très fort.

Momo ralentit soudain, puis se retira de mon conduit supplicié, pour laisser place à Sammy qui rebandait déjà et lui réclamait mon trou.
Sa bite, que je n'avais encore vraiment vue, s'enfonça jusqu'à la garde dans mon cul et me sembla plutôt standard dans les proportions, mais après celle du précédent, tout aurait paru inférieur en taille.
Celui ci vint justement se placer devant nous, qui étions collées l'une à l'autre et baisées en cadence, et il attira nos têtes vers sa grosse queue palpitante.
Je me retrouvais à lécher ses couilles lourdes, tandis que Sophie s'écartelait la bouche pour gober sa tige.
Je souris en réalisant qu'elle était en train de me sucer le cul, car ce sexe venait à peine d'en sortir !
Je remontais et nos langues vinrent se rencontrer plusieurs fois autour du gros gland.
Cette situation sembla l'exciter au plus haut point, car il ne tarda pas à nous exploser au visage, nous aspergeant de grosses giclées de sperme épais.

Il se releva et Laurent pris sa place devant moi et Guy devant Sophie, et nous mirent leur bites dans la bouche.
Tout n'était plus que râles, gémissements, bruits de succion et sons de hanches frappant des culs.
Soudain Guy rompit le silence des mots en disant : « Alors les gars ? Satisfaits de ces deux trous à bites ? »
Sammy répondit aussitôt : « Ah oui carrément merci les mecs ! Je les aurai bien enculées toutes les deux ! J'adore enculer alors trouver deux cochonnes qui aiment ça d'un coup c'est loto gagnant ! » et il redoubla de coups de reins.
Julien ajouta : « Oui merci Guy ! Cette blonde me plaît avec ses bonnes grosses miches bien offertes là ! D'ailleurs, le pote à raison, je vais lui tester le trou de balle aussi ! » et il se retira de sa chatte pour la lui mettre dans le cul.
Des flots de sperme de Laurent inondèrent mon palais quelques instants plus tard et je l'avalais directement.
Guy le suivi de près, maintenant la tête de Sophie bien enfoncée sur sa tige et en lui disant : « Bois bien petite pute, régales toi et avales bien tout le jus ! », ce qu'elle fit très certainement.
A présent les bouches libérées, les deux mecs nous éclatant le cul de plus en plus violemment, semblant rivaliser de vitesse à aller et venir dans nos tuyaux dilatés, nous ne pouvions plus contenir nos miaulements de femelles en chaleur.

Je donnais mon cul avec envie, cambrée l'extrême, ce qui poussa rapidement Sammy à me remplir le trou.
Épuisée, je me retournais pour mieux voir la dernière scène et la vis comme jamais je n'aurai imaginé la voir, le visage constellé de sperme et de sueur, les cheveux collés, la bouche dardant une langue pointue autour d'un râle grave, ses gros seins battant la chamade sous elle, tandis que Julien la sodomisait brutalement en lui branlant le clito d'une main, lui aussi transpirant et rouge sous l'effort.
Puis elle se mit à jouir comme une folle, les cuisses ruisselantes de mouille en abondance, balbutiant des mots peu compréhensibles, entrecoupés de petits cris aigus.
Julien l'imita presque en même temps, le visage congestionné et se libérant de sa semence dans son trou écartelé, et en disant : « Oh ouiii je te remplis ma grosse truie ! Putain t'es trop boooonne ! ».
Il s'affala sur elle et ils roulèrent sur le côté, face à face, ce qui lui permit de l'enlacer très amoureusement et de lui entrer la langue dans la bouche en lui caressant doucement les fesses.
Je pensais que pour un type qui critiquait les « PD » il avait oublié un peu vite que la bouche de sa chérie devait être encore passablement imprégnée de sperme...

Je pris une dernière coupe avec les autres, les laissant tous deux à se câliner, malgré les appels amusés à nous rejoindre de la part de Richard.
Puis Guy annonça que nous prenions congé après avoir chaleureusement remercié ce dernier pour son accueil, et dû lui-même aller la chercher, au grand regret de Julien qui demanda même si on voulait bien la lui laisser pour la nuit, ce qui déclencha les rires et les quolibets de ses camarades qui le traitèrent de sentimental.
Une fois Sophie rhabillée, on put enfin repartir de ce lupanar et nos deux photographes pervers nous raccompagnèrent à mon adresse, nous laissant en bas en nous promettant de vite nous recontacter pour continuer notre entraînement de putes.
Il me félicita pour mon obéissance totale à ses souhaits et me déclara que j'avais prouvé que je pouvais faire partie du jeu qu'il allait mettre en place pour un certain nombre de grosses salopes.
Il encensa ensuite Sophie pour avoir été une élève remarquable de A à Z, d'avoir aussi vite compris et accepté le fait qu'elle était désormais SA chose soumise à 100%, prête à toutes les cochonneries possibles pour mériter fièrement le titre de « Meilleure pute de l'année ».

Lorsque l'on entra dans l'appartement, je lui demandais si elle voulait prendre un verre ou aller dormir, et elle me répondit qu'elle était HS et qu'elle préférait rentrer chez elle dormir.
Je lui proposais de dormir ici, mais elle déclina en s'approchant doucement de mon visage, me disant plutôt tendrement : « Ma chérie, j'ai compris plein de choses ce soir, sur toi, sur moi, sur nous, sur la vie. Ne m'en veux pas mais je préférerai que nous restions copines, se voir pour sortir et s'amuser et pourquoi pas pour nous faire sauter ensemble si tu le souhaites, par eux ou d'autres. »
Je lui répondis que je comprenais et que j'étais contente qu'elle ne me tourne pas le dos après cette expérience.
J'ajoutais que je serais ravie qu'elle n'hésite pas à me faire elle-même des propositions, ne voulant pas donner l'impression que j'étais la seule à en faire.
Elle acquiesça sans hésiter et repartit après s'être changée, me laissant quand même un peu interrogative quant à ses véritables intentions par la suite, qui me prouva qu'elle était très sincère, mais cela fera l'objet d'autres récits...

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

nnours64
En offrant sa copine notre trav l’a perdue et lui a révélé sa nature Beau récit A suivre
Posté le 13/11/2020

nnours64
Merci de ce formidable récit très bien relaté et d'autant plus excitant que c'est du vécu prêt à lire la suite
Posté le 6/04/2018


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