Un homme partage son fantasme, ou plutôt sa vision.
Proposée le 7/11/2017 par chafounette
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Parking
Type: Fantasme
J’ai cette vision. Nous sommes dans une voiture, sur le parking d’un marchand de vin, dans la zone commerciale d’une quelconque ville de banlieue. Il pleut dehors.
Tu es assise sur moi, sur le siège passager et tu bouges les hanches. Nos respirations sont courtes, haletantes, mon visage enfoui dans ta crinière brune, qui sent un peu le café. Je caresse tes seins à travers ton chemisier, ils sont lourds et emplissent parfaitement les paumes de mes mains, je sens poindre tes tétons tandis que j’enserre, que je pétris, que pince à travers le tissus.
Ma main gauche reste concentrée sur ta poitrine, la droite remonte doucement et caresse ton cou, se déploie autour de ta gorge, comme pour faire mine de t’étrangler, puis parcours ton visage. J’enfonce deux doigts-le majeur et l’annulaire- dans ta bouche et je t’entends gémir.
Tu frottes tes fesses contre mon bassin et mon entrejambe. Ma bite est dure et tendue, prisonnière de mon caleçon, de mon jean, souffrant d’être ainsi confinée. Et cette douleur me fait bander davantage encore. Je grogne et déboutonne ton chemisier. Je sens sur mes mains froides la douce chaleur de tes seins. Tu t’agites davantage. Vas-tu jouir ainsi, de te frotter à moi par-dessus tous ces vêtements ?
Mes mains parcourent ta poitrine, ta gorge et ton ventre ; j’essaie de me faufiler dans ton pantalon, je déboutonne ta braguette et m’infiltre dans ta culotte. Je sens ta toison et continue à descendre, trouve enfin ta chatte trempée d’excitation. Il y a peu d’espace pour mes doigts mais ils se fraient un passage, mon majeur est sur ton clitoris et le masse doucement, le fait rouler d’une phalange à l’autre, avec douceur et précaution. Mon doigts explorent tes grandes lèvres, les écartent et sont généreusement lubrifiés par ce qu’ils trouvent là. Mon majeur descend alors et s’introduit sans difficulté.
« Ah !... »
Ses camarades le rejoignent. Tu t’agites de plus en plus. Pendant ce temps, ma main gauche a abandonné ta poitrine et trois doigts se sont introduits dans ta bouche, reproduisant là-haut ce qui se passe en bas.
Tes cuisses se referment sur ma main droite et tes dents sur ma main gauche, tout ton corps tremble sur moi. Dévoré de désir, je te mords la nuque pour accompagner ton orgasme.
Dès que j’ai pu retrouver l’usage de mes mains, je fais glisser ton pantalon jusqu’à mi-cuisse. Tu m’aides en te soulevant un peu. Vite, je défais ma ceinture et ma braguette, libère enfin ma bite endolorie.
Tu redescends, enserrant mon membre entre tes cuisses et ta chatte, dont je sens maintenant les lèvres autour de moi. Mon gland s’abouche à ton clitoris. Nous avons repris nos mouvements de bassin, tout doucement maintenant. Ton humidité se répand sur ma tige, me lubrifiant abondamment. A présent, mes mains sont hors de contrôle, elles parcourent ton corps en tous sens, avec gloutonnerie, pourrait-on dire.
Il faut que je te pénètre tout de suite.
Je glisse mes mains sous tes fesses pour te soulever. Au passage, je profite de la délicatesse de ta peau en cet endroit, j’empoigne cette rondeur tout en te soulevant de quelques centimètres.
Libre à nouveau, ma bite se redresse comme un diable sortant d’une boite. Je lâche tes fesses et te laisse le soin de redescendre à ton rythme.
Je sens une légère résistance, je suis entré. Tu t’arrêtes soudain.
« C’est mon cul ! »
« Je sais. »
Je sers tes hanches fermement des deux mains et te tire vers le bas. Je sais bien que tu acceptes le mouvement, tu l’accompagnes tout en le ralentissant, tu contrôles. Je rentre doucement, doucement. Tu tressailles, remontes un peu, puis termines de t’empaler.
Nous restons un instant immobiles, ma bite palpitant au fond de ton cul.
Mes mouvements de bassin te font remonter et aussi revenir à toi. Depuis tout à l’heure, j’étouffe presque sous ta chevelure, qui sent toujours le café mais aussi l’excitation et la sueur maintenant.
Tu te sers de tes jambes pour monter et descendre légèrement et je reprends mes caresses sur toute la surface de ta peau découverte.
Enfin, je retrouve le chemin de ta chatte et m’occupe d’elle avec soin pendant que tu amplifies tes mouvements. Je sens ton clitoris fièrement dressé, je joue avec lui du bout de mon doigt. Tu gémis de plus en plus fort. Je n’en peux plus, il me faut reprendre le contrôle, j’enfourne trois doigts dans ton sexe et empoigne ainsi ton bassin, ma main gauche est sur ta nuque et ainsi, je dirige le mouvement qui te fait monter et descendre sur mon sexe.
Je sens venir l’orgasme, je te soulève par la chatte et la nuque, ta tête collée au plafond de la voiture et maintenant, c’est moi qui agite mon bassin et qui baise ton cul dans un aveuglement de désir rageur, jusqu’à jouir, enfin, au fond de tes entrailles.
Nous retombons sur le siège, à bout de souffle. Tu es affaissée sur moi, amollie. Mon sexe, ayant perdu sa raideur, est expulsé de son nid et retombe doucement entre mes cuisses ; la semence qui s’échappe de ton anus retombe sur lui goutte à goutte et nous rions doucement tous deux sans raison particulière.
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Commentaires de l'histoire :
Philus
J'adore le style. Essayez d'écrire de vraies nouvelles en imaginant une histoire complète et une ou plusieurs scènes comme celle-ci au milieu.
Posté le 9/11/2017
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