Un homme vit une relation sexuelle avec une belle créature étrange, dans un salon de massage.
Proposée le 30/10/2017 par Gorgoneyezed
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominé
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme
Depuis quelque temps, que ma chère compagne m’avait quitté, oui j’en était toujours amoureux et je ne m’étais jamais remis de son départ et émettais l’espoirs qu’elle puisse revenir une fois qu’elle aurait terminé sa « promenade » d’avec ce jeune éphèbe qui lui avait fait tourner la tête.
Donc depuis les cinq mois qu’elle était parti, j’avais pris l’habitude d’aller visiter des salons de massages. On trouve du réconfort comme on peut et l’univers du toucher me plaisait bien plus que l’acte purement sexuel que j’aurais pu avoir à travers les services d’une prostitué.
Parfois parfaitement clair quant à ce que l’on est en droit d’attendre des prestations d’un salon de massage, de bien-être et de détente et parfois bien plus exotique dans les gestes proposés que d’autres gestes de détentes sensées libérer la pression, j’aimais l’idée de vivre une aventure des sens lorsque je visitais un nouveau salon. Il est des mondes totalement insoupçonnés dans ces domaines.
Je parcourais le Web, cherchant de nouvelles prestations qui auraient pu m’en apprendre sur ces mondes rêvés de sensations subtiles et ainsi sur une page de recherche qui me proposait sur Paris et la régions plutôt proche de chez moi, je tombais sur un salon de bien-être me proposant des massages aux plutôt farfelus mais évocateurs d’un dépaysement total. Ainsi du massage méduse au massage des dieux ou massage Reptilien et un très intrigant massage Neptunien, je m’imaginais des choses aux degrés improbables. j’étais à la fois Intrigué et intéressé par les noms de ces prestations que je n’avais jamais rencontré auparavant et même si cela ne pouvais être que des accroches marketing, je me devais de tester ce qu’il y avait derrière toutes ces étranges dénominations.
Je me décidais à prendre rendez-vous via un formulaire qui ne fonctionna pas et dû appeler le centre de bien-être afin de prendre rendez-vous pour un massage venant de Neptune, qui sait !?
La jeune femme qui me prit au téléphone ne pu me renseigner sur la prestation qui était une nouveauté du centre, mais me dit en substance que la plupart des clients qui avaient pris cette prestation en était grandement satisfait et que la masseuse qui pratiquait cette technique peu connue avait, d’après leurs dires des gestes magiques.
Je pris donc rendez-vous pour le sur-lendemain car le lendemain était complet et la jeune femme au téléphone m’avait suggéré d’écouter un fichier audio présent sur leur site « qui mettait dans l’ambiance de ce moment de pure détente ». j’écoutais aussitôt le mp3 qu’on m’avait proposé de télécharger.
L’étrange mélopée dont le style m’était inconnu, avait des vertus de grandes détentes puisqu’elle m’endormi le soir de l’écoute et le lendemain soir aussi. La chose était posée et les intrigantes pensées me travaillèrent toute la journée de mon rendez-vous qui avait lieu à 19h00.
j’arrivais un bon quart d’heure à l’avance et la jeune femme qui m’accueilli, me proposa un café ou un thé, ce que je refusais poliment. J’étais déjà bien assez nerveux comme ça et c’était bien la première fois que j’étais dans cet état là depuis bien longtemps. Je lui paya la prestation et alla m'asseoir dans l'un des fauteuils plutôt confortable qu'elle me proposa pour atteindre l'heure de ma séance.
La jeune femme vint me voir une seconde fois, m’expliquant ce que je devais faire avant de rentrer dans la pièce. Elle me demanda mon prénom et me demanda si cela ne me dérangeait pas que je me retrouve seul avec la masseuse durant une demi-heure vu qu’elle terminait son travail a 19h30.
j’acquiesçais sans réfléchir et par politesse. Après réflexion, je fus un peu surpris et je me dis que cela n’était pas très prudent car j’aurais pu m’en prendre à la masseuse.
A 19h00 la jeune femme me conduisit jusqu’à une cabine plutôt spacieuse, je fis ce qu’elle me dit à savoir fermer la cabine de l’intérieur et me déshabiller complètement et enlever mes lunettes pour les mettre dans leur étui que je mis dans la poche intérieur de ma veste. Oui j’étais toujours très prévenant, ce qui faisait que je ne lâchais pas souvent prise, pour utiliser le jargon un peu cool des spirituels.
je m’installais nu donc, sur la chaude table de massage, positionné sur le ventre, comme elle me l'avait spécifié, avec ma serviette autour des anches enrobant mes parties intimes.
La musique qui chantait en fond et qui m’avait endormi par deux fois les nuits dernières, commença à créer chez moi une douce torpeur et au bout des quelques minutes avant l’arrivé des mains de la masseuse sur mon dos, j’étais totalement détendu, si bien que je ne l’avais même pas entendu entrer dans la pièce. Ce qui était plutôt étonnant vu le niveau de nervosité dans lequel j’étais en arrivant dans ce salon de détente.
La voix plutôt douce et acidulé de la masseuse me fit sursauter quelque peu:
- « Bonsoir David, je me nomme Tullah et je serais votre masseuse durant cette heure, je ne vous propose pas différentes senteurs et huiles essentiels car j’ai mes propres odeurs et mes techniques de massages sont plutôt uniques. »
Son léger accent roulant les r, me faisait penser à celui d'une italienne et sa voix était à la fois légère et très directive.
La musique de fond baissa doucement pour disparaître au profit d’une chanson dont je ne saurais dire en quelle langue elle chantait et cela ressemblait a un doux fredonnement comme une maman qui fredonne une chanson pour aider à trouver le sommeil à son enfant.
- « Cela ne vous dérange pas que je chante, on me dit que j’ai une belle voix ? » Me dit-elle en s’approchant de moi.
- « Non non !» avais-je dit un peu intimidé, soulevant légèrement la tête pour essayer de regarder dans sa direction,
ce que je ne pus faire puisqu’elle replaça doucement ma tête dans le coussin creusé en son centre et prévu pour garder la tête droite et en substance respirer, et à travers lequel je pouvais voir les motifs marins du carrelage au sol.
C'est tout ce que j'eus le droit de voir à cet instant.
Elle commença à faire glisser ses mains sur mon dos tendu. J'eus l'étrange sensation qu’elle pourrait avoir des mains légèrements palmées et que celles-ci sécrétaient la substance nécessaire aux parfaits mouvements de glisses.
La substance qui recouvrait mon dos était à la fois huileuse et tiède, et avait des senteurs d’iodes, de rivages de vacances en bord de mer. Une sensation unique qui m’emportait loin dans des lieux paradisiaques agrémentés de cette douce chanson aux accents indiens, sanskrit peut-être, en tout cas c’est l’idée qui me vint, bien loin de ma bruyante ville.
- « Non, cela ne vous dérange pas ou non, je n’ai pas une belle voix ? Me dit-elle avec ironie essayant de détendre l’atmosphère et sentant sûrement la rigidité de mon dos sous ses doigts.
je ne répondis pas, ne le pouvant pour les quelques raisons que ma tête dans ce coussin entravait un peu ma parole et que les sensations dépaysantes que procurait le massage sur mon dos, m’emportait loin de cette pièce aux lumières tamisées et chaudes. Ses mains parcouraient mon corps comme personne auparavant si bien que je ne me rendis à peine compte quand elle écarta ma serviette pour éliminer tout obstacles à ces glissements sensuels sur l’ensemble de mon dos.
Les phénomènes vibratoires et massant qui tournaient entre ses paumes et ma peau semblait faire résonner mon corps comme un instrument vibratoire. Ses mains dansaient tours à tours sur mes bras positionnés le long du corps et mes jambes, Remontant sur mes cuisses et mon dos jusqu’à la nuque. Je ne pouvais, ni voulais bouger. Je rêvais que cela puisse durer des heures encore. j’étais dans un état proche de bien-être absolu et pas la moindre et infime parties de mon corps n’étaient sous le contrôle de ces mouvements divins et sublimements vibrants. j’étais sous le contrôle total de cette créature qui jouait sur moi une symphonie magique, des mélodies vibratoires inaudibles à mes oreilles, mais bel et bien présente dans les milieux subtiles des fréquences du corps. Je ne connu rien de comparable à cet instant et je crus perdre pied, tant l’émotion que je vivais était intense.
Tullah approcha son visage près du mien et me chuchota doucement près de l’oreille en ralentissant le mouvement de ses mains magiques sur mon dos:
- « Je pourrais vous hypnotiser ? » Le son suave et mélodieux était venu danser dans mon esprit et résonnait comme le carillon d’une église portant l’écho. Je fus plutôt étonné de la proposition et j’ouvris vaguement un oeil, que je refermais aussitôt tant mon état extatique m’avait rendu totalement offert à toutes propositions. Elle reprit:
- « Oui, chez vous on appelle souvent cela hypnotiser les gens, alors que chez moi on dit plutôt fasciner et normalement je n’ai pas le droit de proposer ce service mais vu que nous ne sommes plus que tous les deux, j'ai pensé que ça pouvait être une bonne expérience pour vous et comme vous répondez bien à mes massages je crois que je peux avoir confiance en vous. Vous ne me dénoncerez pas, J’espère ? »
Je captais à nouveau le ton ironique qu’elle avait fait passée, et je pense qu’elle savait que je ne pus rien lui refuser à cet instant. J’étais sous son emprise totale et voluptueuse et l’appréhension qui aurait pu s’emparer de moi à cet instant n’avait plus lieu d’être.
Sans même que j’eus le temps d’acquiescer, ou de réagir, elle attrapa mon regard vague et assoupi de ses yeux étrangement fascinants qui semblaient lentement s’agrandir pour presque doubler de taille. maintenant happé par son regard ainsi que son large sourire, je ne pus me détacher d’elle et de ce visage étrange qui absorbait absolument toute mon attention. En fait je me rendis compte à cet instant que je n'avais pas vu réellement son visage et pus mettre une vision sur le nom qu’elle m’avait donné. Et bien que sans mes lunettes j’étais plutôt dans le flou, ce qui semblait être accentué par l’état de semi-conscience dans lequel j’étais, j'eus le droit de la voir. Tullah semblait tout droit sortir d’un film de science fiction ou la créature était un hybride, croisement d’un femme humaine et d’un... poulpe ?! C'est ce qui me venait là.
L’ensemble pouvait sembler pertubant ou même repoussant, mais ce n’était pas du tout ce que je vis d’elle à cet instant et les dessins phosphorescents qui ponctuaient son visage bleu-gris et lisse semblaient avoir la volonté d’attirer les humains comme moi à faire l’expérience d’une rencontre du troisième type et à vrai dire la confusion régnait en moi à cette instant car j'étais attiré par elle et même sexuellement excité .
Cette créature hybride au regard étrange et dont le bas du corps était celui d'une pieuvre tandis que le haut semblait un mélange génétiquement modifié d’humaine et de poulpe, provoquait en moi l'envie furieuse de me laisser enivrer par son odeur perturbant mes sens. Des visions étranges d'elle me prodiguant ses bienfaits, envahissaient mon esprit et m'incitaient à me laisser subjuguer par ce regard magnétique.
A travers son regard, je recevais des images de scènes sexuelles complètements renversantes qui me montraient ce qu'elles pouvaient me faire vivre charnellement.
Je la voyais me caresser la verge de ses mains étranges, palmées et vibrantes, alors que j’étais maintenu en l’air par ses tentacules flexibles. Dans d'autres images elle me chevauchait empalée sur mon sexe puissamment dressé, tout les deux dansants dans les aires de mouvements à la limite du possible dans un ballet de milles lumières s'allumant sur sa peau bleue translucide.
Avec elle, tout était possible, ses tentacules puissantes étaient des outils incroyables pour animer le désir, au autre forme de sexualité beaucoup plus aérienne.
Intensifiant sa réalité hypnotique, sa voix entra dans ma tête de manière télépathique. Elle me proposait d'entrer dans son monde de fantasme:
- « Regardes au plus profond de mes magnifiques yeux verts David… »
Mon regard tomba littéralement dans le sien et lorsque ses yeux se mirent à changer de couleurs et des petits points lumineux firent leurs apparitions de manière cyclique sur son iris prenant une large place autour de sa pupille minuscule, la sensation de bien être m’empêcha de m’en détacher.
- " Regardes-moi, c'est ça. Fixe attentivement toutes ces lumières qui dansent dans mes yeux. Écoutes ma voix te guider vers l'extase, tu ne le regretteras pas mon homme, mon très bel humain !" Ses voix me subjugaient. Les deux voix, intérieur et extérieur s'accouplaient produisant une conjonction gracieuse et extrêmement dominatrice qui verrouillait son emprise sur moi.
- " Laisse toi envahir par mon esprit bien plus fort et imaginatif que le tien. Regardes, fixes les lucioles qui s'animent sous tes yeux en perdition !" L'ensemble des effets de fascinations de son regard et les flash d'images montrant des positions sexuelles hors normes m'emprisonnèrent dans un état de plaisir que mon corps n'avait jamais vécu auparavant.
J’entendis sa voix dans ma tête m'assener cette phrase étrange: " je vais te posséder et me délecter de toi ! »
Comme un soubresaut de peur devant un moment de vulnérabilité évidente car je recevais ces mots par la pensée, comme un viol mental, je balançais entre la crainte et le désir, et comme si elle l’eut compris, elle hochât légèrement la tête lentement et à plusieurs reprises, acquieçant du message mental puissant et me démontrer ma situation de proie face à quelque chose que je ne comprenais pas.
Je m’aperçus que la tête élancée était fixé sur un long cou plutôt flexible car son buste était tournée vers le bas de mon corps toujours allongé, alors qu’elle me fixait de son regard fascinant. j’étais pris au piège d’une créature qui, je le sus à cet instant, allait faire ce qui lui plaisait de moi, et j’allais sûrement comme elle l’avait dit, finir en je ne sais quoi pour cette créature venant d’un milieu aquatique. Son regard me paralysait totalement maintenant. Pourtant la peur disparaissait de mon corps, le sentiment qui m’animais à présent était une soif de sexe.
Le désir monta en moi puissamment et lorsque Tullah m’ordonna par télépathie de me mettre sur le dos, je m'exécutais sans la moindre hésitation. Mon esprit s’extasiait sous la mélodie de mots captivants qui venait caresser mes oreilles et qu’elle fredonnait tout doucement. Les couleurs, lumières et formes que prenaient ses deux yeux magnifiques, formant à ce moment pour moi un écran de cinéma qu’elle avait positionné à quelques dizaines de centimètres de mon regard, me subjuguait totalement, contribuant à augmenter mon désir charnel pour cette créature totalement éblouissante. Son visage resta face au mien, parfaitement géré par la souplesse de son long cou flexible, lorsqu’elle monta sur moi, passant ses tentacules à califourchon au dessus de mes cuisses. je ne pouvais alors, faire le moindre mouvement, que celui de la fixer intensément.
- « Oui, c’est çà David, continues de fixer mes yeux hypnotiques. Regardes ces belles couleurs qui s’animent devant toi ! » Disait la voix douce et suave dans ma tête pendant que tout le processus de fascination s’animait devant moi comme une mécanique implacable de prise de contrôle de mon esprit. Je sentais son corps et ses seins me caresser dans une douceur moite et chaude. Ses mains palmées m’avaient avalé la tête, empêchant tout mouvement qui pourrait interrompre le processus et ne laissant que mon visage dépasser de ce cocon de caresses vibratoires. Sa voix continuait a s’adresser a moi télépathiquement:
- « laisses ton esprit libre de venir dans mon monde et mon pouvoir de fascination t’offrir ce doux voyage vers mon univers de plaisir. »
Je ne pouvais qu’entendre ces phrases qui dansaient dans ma tête et le mot « plaisir » devint pour moi un mot clé orgasmique, j’eu du mal à contenir mon désir qui voulait se libérer contre elle. Tout son corps était sur moi un objet de délice charnel. Toutes les formes glissaient, se coulaient, et se balançaient pour mieux imposer cette emprise délectable que je ne voulais absolument plus refuser. j’étais à elle, Tullah, cette créature amazone venue du fond de je ne sais quelle mer. j’étais son partenaire sexuel maintenant, totalement à elle. Elle aurait pu me dévorer à cet instant, sans que je n’eus pu faire quoi que ce fut contre cette fatalité. Je comprenais enfin les récits sur les sirènes échouant les bateaux de marins perdus, si ces créatures étaient de la même espèce que celle qui était sur moi à cet instant, et que je fus marin, je n’aurais pu lui refuser quoi que ce fut.
Je sentais le bas de son corps positionné au dessus de mon bassin, et ses tentacules s'enrouler autour de mon buste et de mes jambes, mais rien ne touchait mon sexe. On aurait dit qu’un dôme formé par son bas ventre séparait son corps du mien au dessus de ma verge rougeoyante de désir.
- « Tu es à moi mon homme, mon bel humain et je vais t’offrir tout ce que je désir. »
Ses mains autour de ma tête, son corps coulant tout autour de moi faisaient comme une combinaison sur ma peau. Comme un cocon moite et chaud dont la puissance semblait insurmontable. Tout ses membres constitués de ventouses, à la fois me ligotaient vigoureusement et vibraient pour me conduire à l’extase.
- « je vais te faire l’amour comme tu ne l’as jamais connu auparavant mon bel humain. Chez nous les Neptuniens, nous accordons une énorme importance à atteindre une désir incommensurable. Nous sommes dans la jouissance parfaite. »
Le grand écran de son regard panoramique devant le mien, continuait à me montrer les images des délices sexuels qu’elle se préparait à me faire vivre. Ses tentacules glissaient contre moi comme si tout mon corps était un sexe et la sensation de chaleur et de moiteur mélangé à ce parfum de bord d’océan me fit entrer dans un niveau de désir charnel que je ne pouvais maintenant retenir. J’allais éjaculer sous peu et comme si Tullah l’avait lu dans ma tête à cet instant, je sentis jaillir de son bas ventre un petit jeu de tentacules beaucoup plus petites que celles qui lui servaient a se maintenir debout, et qui s’attachèrent fermement à ma verge sur le point d’exploser.
- « non pas tout de suite ! » s’écria-t-elle dans mon esprit sans perdre pour autant la maîtrise de l’instant. Je senti les petites tentacules s’enrouler autour de ma verge et serrer fermement mon sexe, ce qui m’empêcha d’éjaculer. La compression dura le temps de faire descendre mon éjaculation. Le film des images qu’elle m’insufflait afin de maintenir mon désir devint flou mais sa voie qui me parlait intérieurement continua pour autant à maintenir la flamme du désir comme si elle ne voulait rompre le signal télépathique et de fascination:
- « Tu vois David, je fais ce que je veux de toi, j’ai tout ce qu’il faut pour être ta déesse de l’amour ! »
La phrase renforça le lien étrange de nos deux esprits connectés au même rythme.
Aussitôt mon désir d'éjaculation passé, le mouvement des images pleines de voluptés reprit de manière plus soutenu en même temps les tentacules de son sexe relâchèrent leur prise, m’emmenant dans un second voyage plus loin encore.
Ayant quitté quelques secondes son regard, par l’émotion que je venais de traverser, Tullah reprit en main la séance:
- « Regardes mes yeux David, reste dans le flot d’informations que je te transmets, je vais t’emmener beaucoup plus loin dans la connaissance de toi et de ton être vibratoire. »
Les images devinrent plus intenses, me montrant ce qu’était son sexe, son anatomie redoutablement agencé et qui semblait être conçu pour offrir un plaisir sans limites. Une oeuvre d’art du sexe on pourrait dire. Le cloaque rempli de petites tentacules vibrantes rougeoyait dans une moiteur dégoulinante. La verge y était avalée en quelques secondes par les excroissances tentaculaires, tandis que le fond du cloaque était animé d'une longue excroissance, comme une langue qui caressait, glissait ou s'entortillait autour du sexe qui y était happé ou le visage. La bouche notamment m'était montré dans des images où le visage était attrapé par les tentacules ou plutôt les ventouses de celles-ci et on y voyait la longue langue trouver son chemin dans les différents orifices et offrir tous ses bienfaits. Les images étaient agrémentés du parfum du désir d’un sexe féminin, mais avec un "je ne sais quoi" de plus qui se mélangeait, comme une odeur de vacances. Si on pouvait mettre une odeur sur la cool attitude des vacances et du sexe, et bien c’était cela.
Les images m'avaient totalement ensorcelées, je voulais et rêvais de subir cela. je ne pouvais penser à autre chose tant le flot m’avait à nouveau totalement endoctriné sous son charme exotique et fascinant. Je compris le mot fascination, cette forme de sexualité était à la fois brutal, jubilatoire et incroyablement érotique. Un voyage aux confins de la volupté, du désir et de la mort extatique peut-être. J’étais prêt à en payer le prix.
Elle devait lire dans ma tête, car les mêmes mots que je venais de penser à ce moment, dansaient dans mon esprit accompagné du sentiment décuplé de désir. C’était comme si son langage savait interpréter nos mots pour mieux les transfigurer, les décupler. Avec elle je ressentais les mots, ainsi volupté, extatique, charnel, plaisir sexuel, sexe devenait des sensations intenses pour mon pauvre cerveau jamais préparé à cela. Le désir allait à nouveau reprendre le chemin du départ pour mon liquide de vie, et fut rattrapé à nouveau télépathiquement par son sexe tentaculaire qui vint juguler la monté de plaisir, pour remettre ensuite dans ma tête les images de langues glissantes, de vulves moites et animées de tentacules , de clitoris étranges et rougeoyant, de seins aux longs tétons déversant des flots de liquides étranges dans ma bouche. Ça glissait, frottait, coulait et saisissait de partout comme un déluge orgasmique et multiple.
La tête me tournait pour la première fois de ma vie, il me semble, et l’info que je reçus aussitôt fut orgasme féminin. Et effectivement impossible à comparer avec celui d’un homme.
Son corps qui glissait sur moi de manière méthodique, calculé, étudié avec précision et ses mains palmées qui faisaient vibrer ma tête et mes cheveux moites de sueur. Et comme pour me montrer l’implacable pouvoir qu’elle détenait à faire vivre à ses victimes du sexe, elle me saisit les bras fermement de ses mains palmées, souleva son buste de déesse des mers, me dévoilant une poitrine dressée de longs tétons pointus comme sur les images que son esprit m’avait bombardé.
Sa bouche emplit la mienne d’une langue ferme, humide et chaude qui dansa langoureusement et de manière cyclique synchronisée avec le mouvement de son bassin qui glissait sur mon bas ventre. J'avais les yeux fermés et elle me laissa partager ses images mentales sublimes, des ébats qu’elle avait eu avec d’autres créature plus étrange les unes que les autres. Un vrai bestiaire extraterrestre. En même temps elle m'écarta les cuisses de ses puissantes tentacules et son longs sexes en forme de langue se fraya une chemin entre les tentacules de son sexe, et pénétra en moi par la voie arrière en faisant un mouvement de vague s’élargissant et se rétrécissant pour s'offrir un chemin et entrer profondément en moi.
Le mouvement fut si délicieux et incroyablement puissant et délectable que je ne pus laisser échapper des gémissements de plaisirs. Les tentacules de son cloaque glissaient, pressaient et sécrétaient du liquide lubrifiant contre ma verge. Son sexe extérieur trouvait son chemin dans ma partie arrière avec la même fonction de sécrétion. Sa bouche et sa langue dansait sur la mienne prodiguant les mêmes soins excitants que pour mon sexe. Tout glissait, serrait vibrait sur moi pour me faire vivre l'extase ultime. J'étais en totale et parfait synchronisme avec elle cette créature.
Sa voix résonna en moi:
-" viens ! Jouis en moi ! Tu es maintenant tout à moi mon bel amant ! "
Je m'exécutais et jouissais comme jamais auparavant. Je sentis qu'elle jouissait aussi car tout se contracta en elle et les images sexuelles s'accélérèrent pour s'interrompre d'un seul coup.
Je perdis connaissance et dans mes rêves, durant quelques secondes, j’entendis sa voix intérieur me susurrer:
« je vais te montrer d’ou je viens, ma belle créature. Endors-toi maintenant, je te prépare d’autres surprises ! » Elle porta ses lèvres moites sur les miennes mais je n’étais déjà plus là.
Fin de la première partie.
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Commentaires de l'histoire :
bourshard@outlook.fr
la suite svp c'est un régal de sensualité et d'érotisme merci de tout coeur bernard
Posté le 1/01/2024
Rémi Chris
J'ai hâte de lire la suite, cela va sans dire.
Posté le 7/12/2017
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