Notre jeune Kamal va maintenant s'envoler vers la ville et avec les africains qui l'avaient niké. Sa Terma ne pouvait plus se passer de ce plaisir. Et il ne va pas se contenter et se satisfaire de ses amis mais sa Terma en folie sa se déchainer et il ne peut rien lui refuser.
Proposée le 7/05/2024 par DALIDA
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Je suis passé chez Si Ali pour niquer avec lui cet après midi. Mais en passant du coté de chez Si Kaddour, j’ai constaté que le travail de la route était terminé et que les ouvriers ramassaient leurs affaires et doivent partir tout à l’heure avec le camion vers la ville. Et j’ai entendu Si Kaddour dire au chef portugais qu’il ira demain en ville pour payer l’entreprise et les travailleurs.
J’arrivais juste au moment ou les ouvriers africains déposaient tout le gros matériel de travail dans le camion. Ils rigolaient entre eux et m’ont demandé d’aller en ville avec eux et ils pourront m’héberger pour la nuit. Et ils m’ont dit qu’ainsi ils pourront encore me niker toute la nuit. Belle perspective qui m’enchantait. Si Kaddour discutait à coté du camion avec leur chef portugais et ils ne m’ont pas remarqués.
Et moi, j’hésitais mais si peu, car je savais que j’étais libre et que personne ne ferait attention de mon absence ni mon grand père, ni Si Ali et ni Si Hamad. Je pouvais donc aller en ville pour ce soir, y passer la nuit avec les zobs de mes africains et revenir le lendemain dans la journée.
Les deux portugais sont montés dans la cabine du camion et les trois ouvriers africains sont montés derrière dans le camion et sous la bâche, avec le matériel. Ils m’ont encore fait signe tous les trois et avec des gestes encourageants, alors je suis monté avec eux. Et le camion s’est mis en route. Les africains étaient contents et riaient et blaguaient entre eux. La ville se trouve à une quinzaine de kilomètres en bas de la montagne par rapport aux fermes. Je pourrais revenir soit à pieds, ce n’est si loin, soit faire de l’auto stop et j’ai un peu d’argent pour la circonstance.
Les portugais n’ont pas remarqués ma présence car le mur de la cabine nous cachait bien et le bruit du camion était trop fort. Par camion on devait faire une demi heure ou peu plus pour arriver en ville. Soudain l’un des africains sortit son zob de sa braguette et me demanda de le sucer et de le branler.
On avait le temps et je me sui penché sur lui pour lui sucer et branler le zob. Soudain un autre africain passa derrière moi et glissa mon pantalon en dessous de la croupe, dénudant ma Terma qui n’avait pas de slip. Et immédiatement j’ai ressenti son zob qui se glissait dans mon anus et ensuite il s’enfonça dans mon cul jusqu’aux couilles.
Et il commença à me niker en accélérant ses vas et viens pendant que je suçais le zob de l’autre. Et rapidement le plaisir et les jouissances envahirent mon corps et ma Terma. Dix minutes tout au plus et il éjacula dans mon cul et se retira.
Le troisième africain ne perdit pas de temps, il avait déjà sorti son zob et passa derrière moi. Il poussa son zob dans le sperme de son copain et s’enfonça dans mon cul jusqu’aux couilles lui aussi. Et il démarra sa série accéléré de vas et viens. Ma Terma n’a pas eu le temps de respirer ou de refroidir.
Les conditions étaient peut être difficiles mais le plaisir et les jouissances étaient présentes. Les gros calibres de leurs zobs ont bien écarté mon anus et mes entrailles et c’était cela qui maximisait mon bonheur. J’avais lâché le zob que je suçais et je gémissais à pleine gorge. Heureusement que les secousses et le bruit du camion empêchaient les portugais de se rendre compte de ce qui se passait derrière.
Et le deuxième arriva rapidement à éjaculer pour laisser la place au troisième qui sr glissa vite derrière ma croupe et enfonça son zob dans ma Terma lui aussi profondément. Et il me nika aussi fortement et vigoureusement que les deux autres. Et lui aussi arriva vite à l’éjaculation dans mes entrailles.
J’étais presque étourdi de plaisir et je sentais ma Terma et mon anus complètement ouverts et le sperme coulait entre mes fesses et me cuisses et sur le sol du camion. Je me suis accroupi pour vider mon cul au maximum et ils ont été gentils et m’ont donné deux grands mouchoirs pour me nettoyer les fesses et le cul.
Puis j’ai remis mon pantalon et eux aussi ils replacé leurs zobs dans leurs braguettes. C’était juste au moment où le camion arrivait à destination. Ils m’ont demandé de descendre avant que les portugais ne me voient et j’ai sauté du camion rapidement pour m’éloigner. Et un peu plus loin j’ai observé le groupe. Les ouvriers ont descendu le matériel du camion et l’ont mis dans le local que le chef portugais leur a ouvert, puis il a fermé le local. Ensuite les deux portugais se sont éloignés pour entrer dans un grand bâtiment pas très loin.
Les ouvriers sont restés un moment près du local fermé, certainement pour m’attendre. Et dès que j’ai vu les portugais disparaitre je suis allé auprès des africains qui venaient de me niker dans le camion. Et on est allé de l’autre coté de la route vers un autre bâtiment qui me semble plus ancien et à moitié construit seulement. On est entré par la porte principale et l y avait un hall très sale et des escaliers aussi très pollués.
On est monté jusqu’au troisième étage et ils ont frappé à la porte.
Le gars qui nous a ouvert était aussi africain et on est entré dans un appartement pas très propre et plein de vêtements dispersés un peu partout. Mes africains ont ouvert une chambre dont ils avaient la clé et on a pénétré leur logis.
C’était un grande chambre avec trois lit contre le mur et des affaires un peu partout par terre et d’autres épinglés aux murs et il y avait aussi quelques valises sur le coté et quelques tabourets et une grande table ronde. Ils m’ont que c’était leur logis et que nous passeront la nuit ici sur ces lits ou par terre selon ma convenance.
Ensuite on m’a fait visiter les autres pièces de l’appartement et la cuisine commune et les sanitaires bien bizarrement très propres. J’ai constaté des affaires dans les autres chambres et ils m’ont dit que c’étaient leurs copains et compatriote, travailleurs émigrés comme eux, qui habitaient dans ces chambres et qu’ils seront là ce soir à la fin de leur travail. Ils m’ont dit si je voulais faire un tour en ville avec eux et j’ai refusé.
J’étais ici seulement pour me faire niker au maximum par leurs gros zobs. Alors l’un d’eux est allé à la cuisine pour préparer le diner des trois et un autre a fermé la porte de la chambre pendant que le troisième enlevait son pantalon et me faisait signe de faire de même. Et dès que ma Terma apparut ils éclatèrent de rires joyeux.
J’ai enlevé tous mes vêtements et à poil, je me suis positionné à genoux sur l’un des lits. Et en rigolant encore plus ils m’ont imité.
Ensuite l’un d’eux m’a présenté son gros zob pour le sucer et le branler pendant que l’autre s’est mit derrière moi.
Et rapidement son zob m’a pénétré et s’est enfoncé dans mon cul jusqu’aux couilles. Puis il a démarré une série parfois accélérée et parfois lentes de vas et viens de son zob dans mon cul. Et rapidement ma Terma s’est échauffée et le plaisir avec ses agréables jouissances m’ont envahi le corps.
Je gémissais doucement et parfois je criais quant le gars me donnait un coup de rein violent par un choc de désir brusque. Et il me nika longuement malgré qu’il m’avait aussi niqué dans le camion. Ensuite il éjacula abondamment et en puissance par quatre jets de sperme brulant.
Et puis il me passa à son copain auquel j’ai longuement lubrifié le zob par mes lèvres et branlé par ma main. Il se mit lui aussi à genoux derrière moi et enfonça son zob dans mon cul sans tenir compte du sperme de son copain qui suintait entre mes fesses et descendait vers cuisses.
Et lui aussi me nika lentement et parfois violemment selon les chocs de désirs brusques qui montaient de son zob et m’obligeaient à gémir et à crier parfois. Et au bout d’un bon quart d’heure il arriva au top et éjacula par quatre fois de son sperme brulant et visqueux.
Ensuite, l’un d’eux est sorti en me disant qu’il allait finir la préparation du repas. Et juste après alors que j’étais resté couché ventre à terre et à récupérer de cette double neika, voila le troisième africain qui revenait de la cuisine. En me voyant allongé à plat ventre et nu avec la Terma bien offerte et qui pulsait du sperme, il se déshabilla en vitesse.
Et affamé de désir, il plongea sur moi, sur mon dos et sur ma Terma.
Il me monta dessus avec un cri de désir sonore et il poussa son zob déjà gonflé et dur sur mon anus. Et j’ai soulevé ma croupe légèrement pour permettre l’enfoncement de son zob dans mon cul.
Et son zob me pénétra profondément en poussant le sperme des autres dehors t en prenant toute la place dans mes entrailles. Ce fut un enfoncement délicieux et qui me fit gémir et crier de plaisir. Ensuite il me nika lui aussi longuement et souvent violemment pendant encore plus d’un quart d’heure. Enfin il se vida les couilles dans mon cul par quatre énormes éjaculations qui remplirent encore une fois mes entrailles.
Ensuite, il se retira et les gars me dirent d’aller me nettoyer dans la petite salle de bain. J’y suis resté presque une demi-heure car j’en ai profité pour me laver et me doucher complètement à cause des niker et du voyage. Puis je suis retourné dans la grande chambre à poil.
Ils étaient là tous les trois et avaient dressé notre repas sur la table et en partie sur terre. Ils avaient changé de vêtements et n’avaient chacun qu’une grande gandourah africaine sur le corps nu.
Dès qu’ils m’ont vu, nettoyé, lavé et nu ils ont applaudit et en frottant leur zob à travers la gandourah ils ont crié hystériquement que la princesse était arrivée. Ils parlaient de moi bien sur et ils m’ont proposé une gandourah et m’ont dit de la mettre rapidement sinon ils risquaient de me violer à la seule vue de mon corps nu qui les emballait et les enflammaient de désir.
Effectivement je voyais bien que leurs zobs étaient gonflés et pointaient par devant leurs gandourah visiblement tous les trois. Alors, moi aussi pour les aguicher et me faire plaisir, j’ai tiré ma gandourah vers l’avant pour la coller sur mon derrière, et ainsi le dessin clair de ma croupe, e mes fesses et de ma Terma étaient devenus presque visibles à travers la fine toile du vêtement.
L’un d’eux ; poussé par le désir courut vers moi et se colla debout à ma Terma et les autres rigolaient. Son zob piquait la gandourah mais aussi la mienne et pénétrait le sillon de mes fesses et c’était merveilleux. Les autres étaient assis et leurs zobs étaient verticaux dans leurs gandourahs. Celui qui collait à moi s’est aussi assis car on allait manger notre diner.
En m’asseyant, l’un d’eux a glissa sa main sous mes fesses et je me suis assis sur elle. Cela me chatouillait et excitait ma Terma. Mais je me suis soulevé pour éviter cela et enfin on m’a laissé m’assoir normalement. Assis, je voyais bien visiblement que leurs zobs gonflaient leurs gandourah verticalement et étaient prêts pour me niker au premier arrêt.
Puis on a mangé dans la joie, les rires africains et les blagues dont je ne comprenais rien. Mais je comprenais parfaitement leurs éclats de rire et leurs gestes amples et signifiants. Notre repas très varié, soupe de légumes et poulet pour chacun et pommes de terre farcie avec je ne sais plus quoi, puis salade et fruits divers à profusion. De l’eau bien sur et des boisons, curieusement toutes non alcoolisées, étaient aussi à profusion.
On a diné pendant plus d’une heure et ils m’ont dit qu’ils allaient faire un tour dehors pour la digestion et prendre des nouvelles auprès de leurs compatriotes. J’ai refusé d sortir avec eux.
Je savais que si j’étais avec eux, rapidement, les gens comprendraient que mes compagnons étaient là pour ma Terma, pour me niker. Et d’autres auront le désir de gouter ma Terma et cela pourrait dégénérer en dispute. Donc je reste à les attendre dans la chambre. Et ils sont partis.
Mais cinq minutes après la porte de l’appartement fut ouverte et deux autres africains sont entrés et m’ont salué. Ils m’ont dis des choses mais je n’ai pas compris dans leur langue.
Mais l’un d’eux s’est approché de moi et a mis sa main contre ma croupe et l’a caressée durement. Et parmi ce qu’ils disaient j’ai cerné deux ou trois fois les mots « niker » et « Terma ».
J’avais compris que ces deux gars voulaient aussi me niker. Et c’est ma Terma qui m’envoyait des signaux de démangeaisons urgentes et j’ai accepté.
Alors j’ai retiré ma gandoura. Et dès qu’ils ont vu ma croupe ronde et blanche et ma Terma ils ont crié victoire de façon hystérique et rapidement ils ont enlevé leurs pantalons pour me montrer leurs zobs. Ils étaient de mêmes tailles et volumes que ceux de mes gars et ils bandaient forts presque verticaux.
Rapidement je me suis mis à genoux et l’un d’eux s’est glissé derrière moi. Et très vite son zob a trouvé mon anus et il s’est enfoncé dans mon cul jusqu’aux couilles comme les autres.
Et rapidement il me nika un bon moment par des cas et viens énergiques et des « han han » bruyants. Moi aussi rapidement il m’a mis en chaleur et je haletais de désir et de plaisir.
Il me nika donc pendant dix minutes et recula en sortant son zob. Et il éjacula par trois fois dans ms entrailles et se retira pour laisser la place à son copain. Celui-ci, rapidement, se glissa derrière moi et plongea son zob dans le sperme e son copain et s’enfonça dans mon cul profondément. Il me donna lui aussi autant de plaisir et de jouissances.
Il me nika aussi pendant une dizaine de minutes et éjacula autant que son copain, puis il se retira. J’étais sûr que ma Terma a été contente que j’aie accepté les zobs de ces inconnus.
Ensuite je me suis levé pour aller à la salle de bain. L'un d’eux me suivi et à l’intérieur, et il se colla à mon dos nu et son zob se glissa rapidement dans mon anus. Il avait encore envie de ma Terma et moi aussi j’avais encore envie de son zob.
Et debout contre le mur de la salle de bain il me nika une deuxième fois avec des gémissements et des cris de désirs et moi des halètements de jouissances et il éjacula encore dans mon cul. Puis il est parti.
J’ai attendu con copain pensant que lui aussi voulait une seconde nikée mais il n’est pas venu. Alors je me suis vidé le cul et lavé en attendant mes vieux amis.
Dix minutes plus tard, ce sont encore deux autres africains inconnus qui sont entrés. Et j’avais compris qu’ils se sont donné le mot pour ma Terma. J’ai compris qu’eux aussi désiraient me niker.
D’ailleurs je suis descendu en ville uniquement pour ma Terma pour qu’on me nike le plus possible et avec des gros zobs et ça marche.
Alors, sans un mot de ma part alors qu’ils parlaient et gesticulaient beaucoup, j’ai enlevé ma gandoura et me suis mis en position à genoux. Ainsi les gars se sont tus et ils ont tirés leurs zobs gonflés de leurs braguettes.
Ensuite un premier a pris position et rapidement j’ai ressenti son gros zob dans mon cul lavé. Il me nika comme les précédents rapidement pendant dix à quinze minutes et me remplit le cul de son sperme chaud et visqueux.
Puis il laissa son copain tenir sa place derrière moi et me niker avec autant de vigueur et de vas et viens. Et il resta aussi dans mon cul un quinzaine de minutes et éjacula dans le sperme de son copain et se retira.
Je suis allé encore dans la salle de bain et j’ai attendu un peu croyant que l’un d’eux allait venir me niker debout contre le mur car j’aimais bien cette position et cet enfoncement dans ma Terma, mais personne n’est venu, dommage.
Je me suis encore vidé, nettoyé et même douché un peu. Puis j’ai remis ma gandoura et je suis retourné dans la grande chambre.
Heureusement car cinq minutes plus tard ce sont mes trois amis qui sont de retour.
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