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Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (6)

Maintenant Kamal est totalement libéré de ses amants habituels et il va contenter sa Terma là où il trouve un ou des zob à sa convenance. Et justement il va en trouver avec les ouvriers du chantier près de la maison de Si Kaddour. Et sa Terma va se régaler sans compter.

Proposée le 12/04/2024 par DALIDA

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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


J’ai dormi dans le lit de Si Ali jusqu’à 11h et c’est Si Ahmad qui m’a réveillé. Je l’avais quitté en pleine nuit sans l’avertir et il a bien compris que j’étais chez Si Ali. Mais ce qu’il ne savait pas c’est que j’ai passé une bonne partie avec l’inconnu qui vivait dans un gourbi et m’avait niké plusieurs fois dans son cagibi. Heureusement que je me suis douché chez Si Ali. Immédiatement Si Ahmad me demanda de me déshabiller et de me positionner sur le lit, il avait grande envie de me niker tout de suite en attendant Si Ali vers 14h. J’ai enlevé le vieux peignoir et nu je me suis à genoux sur le lit, le cul en l’air.

Il s’est déshabillé et le zob bien pointé, vertical et gonflé, comme d’habitude, Si Ahmad s’est mit derrière moi et je l’entendais cracher dans sa main et se branler pour lubrifier son zob. Puis il me lécha les fesses et l’anus et sa langue me pénétra un peu suivie de ses deux doigts. Puis il enfonça son zob dans mon cul violemment et profondément jusqu’aux couilles. Malgré la brève lubrification, cette brutale introduction dans mon cul me fit assez mal pour que je crie :
« be chwaya ! ya Si Ahmad ! dawar dag3arli qari ! » (doucement ! ya Si Ahmad ! tu veux me défoncer le cul ).
Mais il démarra une série puissante et accélérée de vas et viens de son zob dans ma Terma sans tenir compte de ma remarque.

Et il me nika totalement et en accéléré pendant plus quelques minutes et rapidement il éjacula dans mes entrailles. Je lui fis la remarque de sa rapidité et il me dit que son zob était excité depuis qu’il s’est réveillé et n’a pas trouvé ma Terma à coté de lui. Et il resta une ou deux minutes dans mon cul, puis comme à son habitude, il démarra immédiatement une seconde sodomie dans son sperme qui emplissait mes entrailles.

Et il me nika encore une aussi violemment et en accéléré. Cette deuxième sodomie dura plus longtemps et quant il arriva à son top, ses éjaculations étaient plus puissantes et abondantes que la première. Je hurlais de plaisir et de jouissances.
Il cria lui aussi en projetant son sperme :
« haki ya Terma ! habaltini ya qa7ba ! ochorbi 7lib zebi ! ochorbi ! »
(tiens ô Terma ! tu m’a affolé ô Putain de Terma ! bois le jus de mon zob ! bois !).

Et il resta collé à ma croupe, le zob dans mes entrailles un long moment. Puis il me libéra et j’ai m’enfouir vers les toilettes pour vider mon cul et me laver. Et toujours nu sans le peignoir, je suis revenu l’allonger sur le lit, nu mais sur le dos. Il avait compris.

Il s’installa entre à genoux face à moi, releva mes jambes et cuisses jusqu’à ses épaules, tritura mon anus avec ses doigts sous mes couilles puis enfonça son zob qui continuait toujours à être gonflé, dur et vertical.

Et il me nika une troisième fois face à face. Et encore une fois il me donna le maximum de plaisir sexuel et d’agréables jouissances et me faisait hurler de joie.

Enfin, son zob arriva encore une fois à son top et évacua ses trois ou quatre éjaculations de sperme chaud dans mon cul.
En haletant, le souffle affolé je lui dis :
« ya Si Ahmad ! zebek chaitane ! neikatak daimane harine ! nar fi Teremti ! wa 7louwine 7ssal ! »
( ya Si Ahmad ! ton zob est in diable ! tes neikate sont toujours brulantes ! du feu dans ma Terma ! et délicieuse comme du miel ).

Il ricana bruyamment et retira son zob de mon cul et le sperme se déversa sur mes fesses et mes cuisses et sur le lit du pauvre Si Ali. Puis encore une fois, je suis allé me laver et vider le cul. Et je suis revenu mais cette fois je me suis rhabillé car Si Ali allait apparaitre bientôt, il était presque 14h.

Et en effet voila notre vieil ami qui arrive de ss champs. Dés qu’il a vu Si Ahmad, il s’arrêta pour crier :
« dawar tasskine 3andi ! daimane tasbagni fi Termet sahabna ! »
( tu veux habiter chez moi ! tu me devances toujours dans la Terma de notre ami ).

Si Ahmad ne répondit pas et il s’éloigna pour retourner chez lui. Il a eu ses trois sodomies dans ma Terma pour ce matin et il m’attendra pour le soir.

J’ai commencé à me déshabiller mais Si Ali m’arrêta pour me demander
« gadah mine neika 3atayte halou ? ma takdhabach 3alya ! goul ! »
(combien de sodomie tu lui as donné ? ne ment pas ! avoues !).
Et moi pour enfoncer le clou :
« nakni tlatha marate ! zouj milour ou wa7da mine goudame »
(il m’a niké trois fois ! deux par derrière et une par devant).

Et Si Ali semblait désabusé, découragé et il est allé se laver dans la chambre à coté. Quant il est revenu il m’a dit qu’il n’avait pas envie de ma Terma et que je pouvais partir. C’était nouveau mais il paraissait effectivement très fatigué.

Alors je suis parti vers la zone où se trouvaient les maisons de mon grand père et son frère Si Kaddour. J’ai eu une envie d’aller chercher mon nikeur de la nuit mais j’ai abandonné.

En descendant de la colline, je voyais un véhicule à l’arrêt et des gens près de la maison de Si Kaddour et je me suis rapproché. Il y avait Si Kaddour et cinq hommes dont trois de couleur avec lui et ils discutaient.

Dès qu’il m’a vu il m’a appelé et s’est approché. Il m’a expliqué que c’étaient des ouvriers de la route qui devaient dégager un tronçon embourbé par les dernières pluies depuis quelques jours et barrait la route à son véhicule immobilisé.

Il avait appelé l’entreprise responsable et ils sont venus ce matin. Mais les deux blancs parlaient portugais et les noirs une langue africaine et lui ne les comprenait pas. J’ai discuté avec eux et on a compris qu’on avait un peu en commun.

Il m’a expliqué ce qu’il voulait leur dire et je leur ai expliqué. Ils ont pris leurs outils et sont allés commencer le travail et Si Kaddour avec eux pour contrôler.

Puis il m’a dit que si je n’avais rien d’autre à faire je pouvais rester chez lui car il pouvait avoir encore besoin de moi.

Je suis entré dans sa maison et à la cuisine j’ai pris un peu de café. Et ensuite j’ai lavé mon verre et quelques vaisselles qui étaient sur l’évier. Soudain l’un des travailleurs noirs pénétra dans la salle. Il me demanda de l’eau pour les gars. J’ai pris un seau d’eau vide à coté et je me suis penché sur le robinet pour le remplir.

Soudain, il se rapprocha de moi et mit sa grosse main sur ma croupe, sur mes fesses. Et il me fit es caresses insistantes.

J’ai voulu m’écarter, mais c'est ma Terma qui a répondu à son geste et je suis resté penché sans m’éloigner. Il me regarda et sa main insista encore et descendit pour me tripoter le sillon des fesses et l’endroit de mon anus.

Comme je restais immobile, il se colla à mon derrière, à ma croupe et j’ai ressenti son zob gonflé et dur sur ma Terma. Je n’ai pas pu m’empêcher de reculer le cul pour me coller encore mieux à son zob.

Il m’a dit dans un mauvais anglais, mais j'ai bien compris, qu’il avait tout de suite remarqué ma Terma et son zob a bondi. Depuis qu'on me faisait des sodomies, ma croupe a en effet augmenté de volume qui est visible nettement par derrière. Mon pantalon serré collait et profilait bien la forme de ma Terma. Et ce gars, amateur de Terma l'a bien remarqué et son zob s'est gonflé.
Il veut me niker et m’a donné rendez vous pour le soir derrière la maison. J'ai bien compris son langage et son geste.

Ses mains sont aussi allées me tripoter la poitrine et les seins à travers les vêtements. Puis une de ses mains s’est introduite par derrière sous mon pantalon et s’est accroché à la chair de ma Terma puis immédiatement vers mon anus et son doigt m’a pénétré.
J'ai touché avec ma main la grosse bosse que faisait son zob dans sa braguette et j’ai gémis sans volonté :

« Ahhhh ! ya Teremti ! hadha khchine ! chahi inikake laila »
( Ahhh ma Terma ! celui la est gros ! il voudrait te niker ce soir).
Et les démangeaisons reçues m’indiquaient qu’elle était d’accord pour ce soir.

Puis il s’est éloigné et je lui a donné le seau d’eau et il est parti. Je suis sorti pour voir et il avait rejoint les autres et s’est intégré à eux pour le travail.
Je suis descendu rapidement vers la maison de mon grand-mère et j’ai dis à sa vielle fille Mebarka que Si Kaddour avait besoin de moi pour ce jour et la nuit pour qu’elle le dise à mon grand père.

Et je suis remonté vers le groupe de travailleurs. Vers 17h ils se sont arrêtés et Si Kaddour les a amené vers sa zriba derrière la maison et leur a indiqué qu’ils pouvaient passer la nuit à ce niveau.

Ils avaient apporté leurs affaires et le groupe s’est divisé en deux pour faire chacun sa petite cuisine sur des petits réchauds. Les deux portugais ensemble et les trois africains ensemble. Ils ont tiré un fil entre les deux parties et mis deux draps de séparations. Moi je les observais car je devais diner avec Si Kaddour dans sa cuisine avec le petit repas qu’il était entrain de préparer.

Après, j’ai mangé avec lui, puis il a installé un petit matelas pour lui dans la grande salle et m’a dit que sa chambre à coté était pour moi. Et rapidement il s’est couché et s'est endormi, fatigué.

Moi je suis sorti faire un tour vers la zriba. J’ai vu les portugais qui mangeaient dans leur coin puis je suis passé de l’autre coté et j’ai vu les trois africain qui dinaient aussi.

Mon dragueur m'a fait un signe et je suis allé m'assoir à son coté dans son coin. Rapidement, ses mains se sont emparés de ma croupe et il commença à me tripotait les fesses sans gêne, devant ses camarades.

Il a même introduit sa main sous mon pantalon pour toucher la chair de ma croupe. Je lui ai désigné ses copains mais il m’a dit que ce n’était pas grave et qu’ils savaient qu'il allait me niker devant eux. Puis il colla sa bouche contre ma joue et me chuchota:

"wa houma thani edawrou inikouk !" (et eux aussi veulent te niker).

Il me regardait comme pour demander mon avis et j'ai hoché de la tête pour donner mon accord. Ils ont tous souri largement et ont retiré leurs zobs de leurs pantalon pour les astiquer et les branler devant moi. Ma Terma était enchantée et me démangeait de plus en plus.

Ensuite mon gars a retiré son pantalon et m’a montré son zob. Gros, large et très long, il était à moitié gonflé et il m’a demandé de le sucer et branler. Je me suis penché sur son zob et je l’ai saisi et enfourné dans ma bouche.
Lui m’a retiré rapidement mon pantalon et a continué à tripoter ma Terma. Et rapidement son gros zob s’est gonflé en totalité et durci à point.

Alors, il s’est mis derrière moi et a pris son zob à la main et, rapidement, il l’a enfoncé dans mon anus, au fond de mon cul. Il m’a fait un peu mal car son zob était bien plus gros que ceux des gars qui m’avaient niké précédemment. Mais c’était délicieux et il est rentré dans mon cul et il me remplissait bien ma Terma.
Et, à genoux derrière ma Terma, il commença doucement ses vas et viens, sans se presser.

Il me nika ainsi, fortement et amplement, devant ses amis et nous soufflons et haletons fort. A tel point que nos voisins portugais sont venus voir ce qui se passait.
Et ils ont bien vu le gars en train de me niker à genoux et son gros zob dans mes entrailles et les deux autres noirs qui astiquaient leurs zobs, attentant eux aussi leurs tours dans ma Terma.

Alors, l’un des portugais nous dit, lui aussi dans un anglais châtié :
« Terma smina ! baydha ! » (Terma grosse ! et blanche) .
Il a rigolé avec son ami et a demandé au noir qui me nikait :
« ta3tina nikouh mine ba3ade ? »(tu nous donnes pour le niker ensuite)

et le noir toujours haletant lui a répondu tout de suite :
« ki ennikouh 7'na tlatha ! ana wa s'7abi ! rah laykoum !»
(quant nous l’aurons niké nous trois ! il sera à vous ).

Ainsi, j’étais devenu la putain qu’on échangeait pour me niker. Mais je crois que ma Terma aimera cela et sera ainsi rassasiée de zbouba de toutes couleurs et dimensions.

Le gars continua à me niker vigoureusement maintenant et en haletant bruyamment et rapidement il arriva à son top. Et, s’agrippant à mes hanches il déversa son sperme par trois ou quatre éjaculations dans ma Terma puis il se retira.

Ce fut formidable avec ce gros zob noir. Il était large et surtout très long et atteignait tous mes endroits cachés de mes entrailles. Mon plaisir et mes jouissances ont été formidables et je criais autant que mon nikeur. J'étais presque épuisé après cette première joute.

Puis il me passa à son copain qui branlait toujours son zob devenu vertical et gonflé depuis un moment. Alors, il se pointa derrière moi et en vitesse son zob me pénétra jusqu’aux couilles et il démarra sa série de vas et viens accélérés et vigoureuses. Ce furent des étincelles dans ma Terma, comme son copain.

Et rapidement il se mit à souffler fort et à haleter bruyamment. Il me nika lui aussi rapidement et éjacula par trois fois dans mon cul. Il devait être excité depuis un moment. Et je continuais à hurler de jouissances.

Puis il se retira et me passa au troisième africain qui se branlait lui aussi et dont le zob était déjà vertical et gonflé de désir.
Lui aussi me pénétra en vitesse et me nika vigoureusement et en accéléré pendant un bon moment. Et enfin lui aussi éjacula trois ou quatre fois dans mes entrailles. Ils m'ont étourdi, ensemble, de jouissances. Un trio de gros zobs que j'aimerais reprendre plus tard.

Leurs spermes suintaient et coulaient depuis un moment sur mes fesses et sur mes cuisses et même par terre. Pendant les trois sodomies, je suis resté dans la même position et le sperme coulait chaque fois durant les passages de l’un à l’autre et pendant que chaque gars me nikait. Eux, le fait de me niker dans les spermes de leurs copains, ça n'avait pas l'air de les gêner. Et leurs zobs glissaient aisément dans mes entrailles, mais le plaisir était continu.

Enfin les deux portugais son venus et m’ont amené dans leur partie. Mais ils m’ont demandé de me vider le cul et de me nettoyer. C’est ce que j’ai fais dans un coin et avec un peu d’eau qui restait dans le seau.

Ensuite je me suis encore positionné et le premier, tenant son zob qui était assez intéressant, mais nettement moins gros que ceux des africaines. Il tritura mon anus et même colla ses lèvres dessus pour me lécher et faire pénétrer sa langue.

Il me dit :« Teremtek mazalate skhouna ! wa qarak ma7loul »
( ta Terma est encore toute chaude ! et le cul Ouvert).

Et il me pénétra lui aussi mais moins violemment que les trois africains. Ensuite il me nika gentiment, moins violemment que les africains. Bizarrement ma Terma a préféré les sodomies violentes des africains à celle, gentille du portugais. Il resta plus longtemps dans mon cul et enfin il arriva à éjaculer trois fois.

Puis il me passa à son copain qui se branlait depuis un moment. Lui aussi avait un zob moins gros que les africains et il me nika comme son copain, gentiment et éjacula aussi trois fois dans mon cul. Ensuite, le me suis vidé et nettoyé et je les ai quitté sans regret.

Je suis passé à coté et j’ai fais signe à mon premier dragueur. Il rigola ayant compris que ma Terma l’avait choisi et qu’elle avait encore envie de son gros zob.

Puisque Si Kaddour m’avait donné sa chambre pour coucher, j’ai pris l’audace d’amener mon noir dans cette chambre. Je lui ai fait signe de ne pas faire de bruit et, nu, je me suis positionné dos sur le lit et j’ai levé mes jambes et cuisses. Il a enlevé son pantalon et s’est mis en position. Il a soulevé ma croupe avec l’une de ses grandes mains et pointé son zob avec son autre main sur mon anus juste en face.

Je n’avais aucun poil et mon anus palpitait. Je le sentais et il me chuchota :
« hake ya zebi lamtanane ! Qare sahbi abiadh mine barra wamlass bla sqab wa a7mar mine dakhal ! rah yakhfag bi chahwa ! hatli nikak ya qa7bate zbouba »
( tiens ô mon zob gonflé ! le cul de notre ami est blanc au dehors et lisse sans poil et rouge de l’intérieur ! il palpite d’excitation ! donnes moi te niker ya putain des zobs)

Et il me pénétra doucement cette fois pour ne pas faire de bruit car Si Kaddour dort à coté dans la grande salle. Ensuite il me nika parfois doucement presque au ralenti et c’était délicieux et je me mordais pour ne pas crier de plaisir
Et parfois les mouvements de son zob étaient violents et rapides surtout quant il s’enfonçait en moi et cela aussi me donnait des jouissances étourdissantes et je me mordais pour ne pas hurler.

Il me nika ainsi pendant presque un quart d’heure et quant il allait juter il m’avertit. Alors, pour ne pas polluer le lit de Si Kaddour, on changea de position.

Je me suis mis à genoux et lui derrière moi et son zob me pénétra jusqu’aux couilles. Puis il me nika un bon moment et enfin il s’accrocha à mes hanches et son zob me bombarda de ses quatre abondantes et puissantes éjaculation pour remplir mes entrailles.

Puis je lui ai demandé de partir vite et de se laver dans leur coin. Et il est parti. Moi, je me suis levé et je suis parti dans la chambre des toilettes et je me suis vidé et me suis lavé et nettoyé puis je suis retourné me coucher dans le lit de Si Kaddour.

Fatigué de ces longues et multiples sodomies, je me suis endormi rapidement et c’est Si Kaddour qui m’a réveillé le matin, de bonheur pour m’offrir le café qu’il avait préparé. Puis il est parti rejoindre les ouvriers déjà au travail.
Moi je suis d’abord allé voir le chantier et les ouvriers me jetaient des clins d’œil complices.

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