Une randonnée pédestre à quatre dans les Alpes! Histoire vrais, mais j'y ai ajouté un peu de poivre et de sel. L'amour de deux femmes et une passion voisinage!
Proposée le 4/05/2017 par maximilien7
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
IL est neuf heure du matin, les sacs sont prêts, Clara vérifie les dernières affaires. Le groupe est constitué, pour cette marche de deux heures quarante cinq et un dénivelé de deux mille cent cinquante quatre mètres.
Il y aura des efforts conséquents à fournir, quelques gouttes de sueurs, et un plaisir fou, d’arriver le haut et de pouvoir contempler la région d’un point de vue aussi aérien.
Jenny, Paméla, Clara et moi, chacun portant ses affaires. Nous avons souvent déjà gravies ensemble cette montagne, pour arriver au Pic du Chasseur, un endroit sublime au milieu des Alpes, un petit refuge protégé par un encaissement montagneux. Une source qui ruisselle et la fontaine en tronc d’arbres, vieille de plusieurs décennies ou coule une eau limpide.
C’est là qu’on fait sa toilette le matin, tous ensemble comme aux premiers instant de l’humanité, nus et sans tabou, réchauffés par les premiers rayons du soleil. Puis, petit déjeuner commun pris à la table en bois, dans cet univers unique, un paradis de silence et de solitude.
Dès les premiers mètres le sentier escarpé ne vous ment pas, il grimpe presque à pic et chemine à travers les grands sapins. Cette magnifique cathédrale végétale est impressionnante de sérénité, et de silence, seuls nos pas réguliers se répercutent sur les rochers qui surplombent nos têtes. Les bruissements des feuilles qui forment un tapis si doux puis plus haut, le sensation ouaté de la mousse, dont le pelage dense et doux me rappelle Clara.
L’image si belle de son petit triangle de sa toison intime, magnifiquement bouclée, ressemble à cette mousse, je ne peux m’empêcher de m’arrêter, de toucher et mes doigts transmettent cette sensation, qui se répercute dans mon corps éveillant instantanément mes envies.
Ma sœur marche en tête, nous profitons d’un arrêt pour nous désaltérer à la source qui serpente pour retrouver la vallée, huit cent mètres plus bas se profile le village qui se miniaturise au fur et à mesure de notre montée.
Jenny est une fille merveilleuse, douce et sensible, mes sentiments pour elle, n’ont pas été altérés lorsqu’elle m’a avouée sa préférence pour les femmes. Je ne la verrais pas avec un homme, elle n’aime pas les contraintes et les brutalités masculines. Son amie Paméla est si douce et attentionnée, oui, je préfère la voir avec elle, elles se complètent merveilleusement.
Un secret en vaut bien un autre. Un jour, je lui ai confié ma passion secrète pour notre voisine Clara, et elle à découvert un soir, moins surprise que moi, mon érection provoquée par une pensée amoureuse dédiée à cette femme, qui fait le double de mon âge. Un sexe érigé qui se rebelle, et dont je ne savais pas quoi faire, du moins à cette époque de ma prime jeunesse.
Ma fierté de jeune garçon a été prise en otage dans sa main, pendant qu’elle m’écoutait décrire la découverte d’une jeune fille, qui s’est lascivement débarrassée de ses vêtements pour plonger nue notre piscine !
L’effet de cette masturbation improvisée ne s’est pas fait attendre et ma semence s’est répandue par jets successifs dans sa main éclaboussant de sa gluante chaleur mon ventre. J’ai appris ce soir là, que m’on enfance finissait là, et que devrais m’habituer à connaître de nouvelles sensations. J’entrais de faîte, guidé par la main de ma sœur, au domaine réservé des sens et de la volupté.
Les femmes n’ont pas de secrets, l’une pour l’autre, Jenny et Clara ont échangées quelques uns des leurs, et nous avons chacun de notre côté profité du résultat.
Clara séduite par les aveux de ma sœur, s’est laissé convaincre de passer quelques nuits saphiques avec elle. J’ai appris plus tard que l’expérience lesbienne des deux femmes que j’aime le plus au monde avait été d’une surprenante intensité.
Un incident mineur au domicile de Clara m’a jeté dans ses bras, nous avons fait l’amour à même le sol furieusement, intensément. C’est Jenny qui avait été à l’origine de ce magnifique cadeau, Jenny qui s’est mise d’accord avec elle pour improviser un scénario torride ou je serai impliqué !
A partir de ce jour nous avons fait l’amour aux endroits les plus improbables, Clara m’a initié dans l’art de séduire, utilisant tous les instruments en son pouvoir de femme. Nous avons joués ensemble aux fantasmes les plus interdits. Mon jeune âge faisant croire au fils amoureux de sa mère, a donné lieu à un inceste imaginaire dont fut témoin la verrière du jardin d’hiver.
Clara jouait ses rôles avec passion, m’interdisant longuement de la voir nue ou de ne m’autoriser quelques attouchements que ce soit, un rôle difficilement supportable pour moi ! Elle s’amusait à pratiquer des fellations, et des masturbations improvisée, au court des desquelles je rendais mon âme au diable !
Des fessés de gamins pratiquées au jardin culotte baissée sur les mollets, puis des douches en commun, et d’autres sucreries sexuelles qui me faisaient éjaculer les dernières sèves de mon corps.
Quand enfin elle ne pouvait plus résister aux trop puissantes tensions, je me faisais un plaisir de jouer à l’agresseur pervers ! Elle hurlait alors a rompre ses artères, offrant sa vulve gonflée par le désir, au violeur imaginaire qui la brutalisait sans pitié au sous-sol de la maison !
Mes assauts étaient alors d’autant plus fougueux, les mains liées sur le dos, je la prenais par derrière et quand elle demandait pitié, je m’en prenais au sphincter. C’est un plaisir insoutenable de la voir rendre ses sucs, les membres tremblants par l’orgasme, se recroqueviller pour calmer les pulsions de son sexe d’où jaillit la semence !
Elle est toujours en attente et moi aussi, nos passions sont quelques fois dangereuses, quand nous les pratiquons sans précautions cédant à une impulsion soudaine, dans un garage de super marché ou dans un parking un peu paumé.
Nous sommes encore à une heure de marche de notre but, tout au bout de cette marche si situe le refuge du Pic du Chasseur !
Paméla marche en deuxième position, je ne vois que ses mollets de l’endroit ou je suis, la finesse de ses traits est un joyau de beauté, son short est adapté au galbe des ses fesse. Il en sort une paires des cuisses à croquées. Paméla est une fille réservée, dotée d’une aura qui vous enveloppe d’une agréable séduction.
Le respect que j’ai pour elle, ne m’empêche pas de la désirer, j’en ai fait part à Clara, qui s’est offerte pour satisfaire mes incontrôlables pulsions. Mais, Paméla, c’est le domaine réservé de Jenny, jamais je ne dérogerais à cette règle !
Je comprends que jenny en soit tombée amoureuse, tout en elle est fait pour séduire, cette fille est toujours de bonne humeur et rayonnante. Elle à un charisme qui n’autorise aucun dérapage. Elle nous parle pourtant sans ambages des ses préférences sexuelles, et je me fais chahuter quand les trois femmes détecte une érosion dans mon entre-jambes.
Leurs amour est passionnel, elles ont décidées de vivre ce sentiment ensembles. Il y a quelques mois, j’ai surpris leurs jeux amoureux, un peu par hasard sur le banc de la gloriette. C’est un tableau de maître qui s’est offert à mes yeux, deux nues enlacées passionnément, une lumière discrète sous le feuillage des branches de vignes, ne permettaient qu’une vue fragmentaire sur la scène.
J’ai écouté sans me dévoiler leurs chants de sirènes, et les bruissements des feuilles agitées par le vent. Entendre Jenny soupirer, haleter et gémir est une musique divine. Cela me fait penser à l’œuvre de Ravel, le boléro sensuel appliqué avec dextérité sur le corps de Jenny par Paméla, la tête entre les cuisses.
Nous arriverons vers midi au but de cette escalade, et le refuge nous attend. Le repas sera festif doté de tous ce qu’un ventre affamé puisse souhaiter. Un peu de vin pour rehausser l’ambiance, puis la petite sieste de l’après-midi, bercé par un soleil radieux.
Cette fois, nous ne sommes pas montés au Pic du Chasseur dans un simple esprit touristique, mais pour accomplir un rituel, un accomplissement.
Celui –ci aura lieu demain matin quand le soleil aura réchauffé l’atmosphère. Jenny et Paméla nous ont parlées de leurs alliance qui ne peux se faire officiellement, mais elle aura lieu ici sur le toit des Alpes, et nous serons leurs témoins Clara et moi.
Demain nos scellerons l’union de ces deux femmes, c’est sur ces hauteurs qu’aura lieu leur mariage, souhaité depuis deux ans, maintenant le moment est venu. La décision a été prise solennellement entre nous quatre.
Le but ultime de ce couple est d’avoir une enfant et c’est Paméla qui portera cet enfant !
Demain nous ferons l’amour ensemble, pour procréer et accomplir les vœux de Jenny et de Paméla ! Un cérémonial digne de ce nom a été décidé avant notre départ, un cérémonial au plus prêt de cette nature sauvage, au milieu d’une flore posée là par dame nature elle-même. Des milliers de petites fleurs multicolores égayent de belle manière l’endroit ou se fera l’union.
Au refuge, une atmosphère sensuelle s’est installée, préliminaire à l’acte que nous accomplirons demain. Gestes intimes, baisers volés, chuchotements amoureux, se succèdent et se confondent.
Le bruissement de nos couches de paille, éclairés seulement par la lune, et le silence interrompu par l’unique suintement de la source et du chant de la fontaine. Les peaux effleurées, les corps qui se lobent lors d’étreintes amoureuses, je me repais de cette douceur sensuelle.
Les lèvres de Clara parcourent mon ventre, et finalement s’en prennent au pénis. Paméla qui gémie, les suffocations de Jenny, je pénètre la vulve satinée de Clara avec dans mon oreille son souffle qui s’accélère, puis ses mugissements de bonheur ! Enserré entre ses cuisses je m’épanche et me repaît des ses soubresauts et de la chaleur de son ventre !
Un rayon de soleil qui réchauffe mon visage me réveille, les filles sont déjà levées, je les entends rires.
Je sorts du refuge et éblouis par la clarté du l’astre flamboyant, je découvre un tableau de Raphaël :
L’Allégresse, l’Abondance et la Splendeur, cette œuvre profane du grand peintre est là, exposée en grandeur nature ! Les filles font leurs toilettes nues autour de la fontaine en bois, je suis sidéré par la beauté de cette image en cet endroit unique ! Les Trois Grâces, les déesses romaines, pures et uniques, inoubliable vision d’un matin de ma vie !
« Maintenant le moment est venus… ! »
Jenny se couche dans les herbes et entre ses jambes elle accueille Paméla les deux poitrines se touchent. Clara laisse ses doigts courir sur la croupe offerte de Paméla, puis elle descend entre la raie des fesses, pour arriver aux lèvres de la fille.
Les deux amoureuses ne se quittent pas des yeux, dans lesquels se lis l’envie, le désir charnel. Mon amie active ses attouchements s’introduit dans la fente, cherche à déclencher une jouissance.
Elle sait faire, je la connais, sa douceur est angélique, elle connaît les moindres subtilités sensuelles et Paméla réagit, pose sa tête sur l’épaule de Jenny qui d’un geste maternel caresse ses cheveux.
Paroles amoureuses, paroles secrètes, Paméla ouvre ses cuisses elle sécrète les preuves de son excitation, Clara masse, et triture les lèvres qui se gonflent, l’ouverture se fait, le vagin est maintenant sensible, je suis en érection et j’impatiente, je désire cette fille que je ne pourrais satisfaire qu’une seule fois.
Dans le regard de Jenny, je sais que c’est maintenant, Clara s’est écartée, je positionne le gland entre les lèvres qui suintent, je glisse doucement dans l’écrin, Paméla gémit, je commence le va et vient dans ce vagin qui se contracte et me masturbe.
Elle est si douce, si belle, sous mes mains ses fesses, et ce dos qui miroite au soleil. Je monte en puissance, j’ai besoin de m’acharner et je ne m’en prive pas, Paméla étouffe ses cris dans le cou de Jenny dont l’émotion est visible.
Puis je sens que je vais venir, l’orgasme sera fort, puissant, encore quelques mouvements, je m’accroche aux hanches de la fille, et l’éjaculation se fait, nous crions tous les deux, le sperme coule sur ses lèvres boursouflées, je percute encore cet entre-jambes qui suintes !
Paméla s’est couchée sur Jenny, qui l’embrasse et la caresse, Clara s’est associée aux amoureuses et couvre la future maman de baisers, quelques larmes coulent sur le beau visage de Paméla, elle se retourne vers moi, et ses yeux expriment ce qu’il est inutile de dire !
Neuf mois plus tard naîtra ‘Alysson’ une petite fleur alpestre, aussi jolie que ses deux mamans et qui fera la fierté de son père et la joie de sa tante Clara.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email