Dans le dortoir des filles. Il s'en passe de belles !
Proposée le 22/04/2017 par Donatien
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Thème: Femme soumise
Personnages: 2CPL
Lieu: Inclassable
Type: Roman
Je propose à Camille d’aller visiter l’internat désert. Il découvre avec ravissement le passage secret sous les combles et les trous percés par Maheux pour espionner les filles. Il ne peut s’empêcher de trouver ce voyeurisme risible, lui qui a baisé deux jeunes filles en deux jours.
Enfin nous entrons dans la chambre de Violette, les photos de culs sont toujours à leur place. Camille s’en délecte, lui qui la semaine passée ne savait presque rien de l’anatomie féminine. Je remarque bien qu’il bande en regardant les images, mais je fais semblant de n’avoir rien vu. Nous entrons dans le dortoir des terminales. L’endroit est silencieux, et nous ne parlons pas beaucoup. Nous ouvrons quelques armoires, visitons la lingerie sage des pensionnaires. Camille me demande où est l’armoire d’Eulalie.
— Pourquoi celle-ci ?
Il hésite.
— Eh bien, c’est ma voisine de classe. Et elle est… différente.
— En quoi ?
— Elle ne se met pas à rougir et à glousser quand je lui adresse la parole. Et ses yeux verts…
Il se tait et se met lui-même à rougir.
— Seriez-vous amoureux ?
Il détourne la tête mais ne répond pas.
— Voici l’armoire d’Eulalie. Regardez, il y a un petit secret sous l’étagère.
J’envoie ma main sous l’étagère. Les photos sont toujours là. Je retire les épingles. Entre les cartes postales jaunies, une feuille de cahier pliée en quatre. Pour une raison qui m’est inconnue, je fourre le papier dans ma poche sans le laisser voir à Camille. Je lui montre les images anciennes. Il réfléchit un moment.
— Alors, les filles aussi…
— Bien sûr ! Elles cherchent le plaisir par tous les moyens. Certaines le font depuis leur plus jeune âge.
Camille a retourné les quelques affaires qu’Eulalie avait laissées. Une culotte oubliée l’a particulièrement intéressé. Il l’a reniflée longuement.
— Ça sent le pipi, mais pas seulement.
— Donnez. Oui, bien sûr, regardez les taches, du pipi mais ici ce qui s’écoule du vagin des filles quand elles sont excitées. Et qui permet de les pénétrer plus facilement. On nomme cela cyprine.
Nous étions donc très occupés lorsqu’un bruit soudain nous a fait nous lever d’un bond. La porte de l’armoire située vis-à-vis de celle d’Eulalie s’était brusquement ouverte et deux filles qui s’y tenaient cachées depuis sans doute un bon moment s’étaient retrouvées par terre. La crainte d’avoir été surpris s’est assez vite apaisée lorsque j’ai vu que les deux jeunes filles n’étaient autres qu’Ambre et Emma, que j’avais espionnées en train de se masturber dans les toilettes. Ambre était la première et la seule que j’avais vu subir une punition de la part de la mère sup.
Les deux jeunes filles se sont relevées aussitôt. Nous sommes tous restés un instant à nous regarder. Ambre ne portait qu’un porte-jarretelles noir et des bas de même couleur. Certainement pas des dessous agréés par les bonnes sœurs. Elle tenait un bras sur sa poitrine et sa main cachait son pubis.
Emma ne portait que sa culotte blanche de pensionnaire, elle se rongeait les ongles et ne songeait même pas à cacher ses seins minuscules aux aréoles brunes et pointues. Il était évident que nous étions tous dans une situation embarrassante. J’ai décidé de profiter de ma position d’autorité pour prendre l’avantage.
— Mesdemoiselles, peut-on savoir ce que vous faites ici, et dans cette tenue ?
Les filles sont restées silencieuses. Elles auraient pu me demander ce que j’y faisais moi-même, mais l’habitude d’obéissance avait ici du bon.
— Eh bien ? N’êtes-vous pas censées être rentrées chez vous ?
Emma a fini par répondre.
— On a écrit à nos parents qu’on était collées.
— Collées ? Je vois. Et à quels jeux pouviez-vous jouer dans cette armoire ?
— On s’était cachées en vous entendant arriver…
J’ai enfin remarqué le lit défait près de l’armoire. Les filles ont suivi mon regard. Emma a baissé la tête, au bord des larmes. Ambre m’a jeté un regard de défi.
Camille est intervenu avec une candeur qui m’a surpris.
— Vous vous aimez ?
Les deux filles sont restées interloquées. Puis Ambre a répondu :
— Mais non, on s’amuse seulement.
Camille n’a pas répondu, mais il s’est rapproché de moi. Jouer les père-la-vertu devenait difficile. C’est Ambre qui a pris l’initiative. Elle nous a regardés avec un sourire.
— Vous savez, on peut jouer tous ensemble, nous on dira rien, hein, Emma ?
Camille a répondu :
— D’accord, mais vous aurez la punition.
Ambre a baissé ses bras délibérément, découvrant ses jolis seins ronds aux pointes roses, et une touffe couleur de miel. Elle a posé une main sur sa hanche, m’a lancé un regard sournois, plein de sous-entendus.
— D’accord…
Emma avait l’air un peu perdue, elle regardait tout le monde avec ses yeux noirs grands ouverts, sous sa frange à la Louise Brooks, l’air de ne pas comprendre comment son week-end de caresses entre camarades allait tourner.
Puis Camille s’est tourné vers moi et a commencé à défaire ma ceinture. Je l’ai laissé de bonne grâce prendre le contrôle. Mon pantalon menaçant de tomber, j’ai décidé de m’en débarrasser, ainsi que du reste d’ailleurs. Quand je n’ai plus rien eu sur moi que mon caleçon qui révélait un début d’érection, Camille s’est adressé à Ambre.
— Tu as déjà sucé un homme ?
Ambre a fait oui de la tête.
— Tu t’es déjà fait enculer ?
— Oui, mais c’était il y a longtemps. Quand j’avais douze ans.
— Ça t’avait plu ?
— Oui.
— Je le savais que tu étais une salope. Maintenant, suce-le.
Ambre a commencé à s’agenouiller, mais Camille l’a retenue.
— Non, tu te penches en avant, le cul en arrière. Comme ça. Écarte un peu les jambes. Toi, viens ici. Regarde de près comment elle fait, après ça va être à toi.
Emma s’est mise à genoux. J’ai fait descendre mon caleçon. Ma queue était tendue. La petite Emma avait les joues écarlates et le souffle oppressé en découvrant mon membre de si près. Ambre l’a embouché. Je l’ai saisie par les cheveux et j’ai commencé à baiser sa bouche lentement. Camille l’a avertie.
— Attention, la punition arrive.
La ceinture s’est abattue sur les fesses tendues d’Ambre. J’ai senti sa bouche se refermer sur ma queue, comme si la douleur se changeait en plaisir en traversant le corps de cette fille. Camille a continué à la fouetter, lentement, régulièrement, les coups de ceinture résonnaient dans le dortoir désert, des ondes de plus en plus fortes entraient en moi à travers mon sexe. Puis Camille a lâché la ceinture, il a défait son pantalon et l'a fait descendre sur ses cuisses. Sa jeune queue était bien dressée. Il s’est placé derrière Ambre et l’a prise en levrette, d’un seul coup, elle devait être trempée. Ambre a gémi plus fort et m’a sucé de plus belle, mais je n’étais pas décidé à lui donner mon sperme tout de suite.
Camille a ordonné à Emma :
— Viens ici, maintenant, je veux que tu voies de près comment je baise ta copine. Plus près. Tu vois comme ma queue est mouillée ? Tu sens l’odeur de sa chatte ? Toi aussi tu es excitée, pas vrai ? Tu vas y a voir droit aussi, tu sais ? Allez, Mets ta main dans ta culotte, tu en meurs d’envie. Regarde, maintenant je vais entrer dans son cul. Regarde bien.
Emma avait maintenant la main dans sa culotte et se masturbait frénétiquement. Ambre a poussé un cri et a lâché un moment ma bite quand Camille a pénétré son anus sans ménagement, mais elle s’est remise à me sucer pendant que Camille la pilonnait. Nous nous sommes regardés. Ensemble nous avons décidé de nous laisser envahir par l’orgasme. J’ai retiré ma queue de la bouche d’Ambre qui résistait et voulait la garder, Camille s’est retiré de son cul, Ambre s’est laissé glisser sur le sol. Nous avons attrapé ensemble Emma par les cheveux et approché nos queues de sa bouche. La petite était bien incapable de les accueillir ensemble, elle s’est contentée de les sucer maladroitement l’une après l’autre. C’est moi qui ai le premier commencé à décharger, mais Camille m’a rejoint presque aussitôt. Nos jets de sperme ont inondé la bouche de la petite, son visage, ses yeux, nos foutres mêlés coulaient le long de son menton pendant qu’elle se branlait de toutes ses forces, dans un grand orgasme silencieux.
Je me suis laissé tomber sur le lit voisin, anéanti par cette décharge. Mais Camille, avec ses seize ans, avait déjà repris son souffle. Il a d’abord commandé à Ambre de nettoyer le visage d’Emma. Ce qu’Ambre, encore excitée, a accompli de bonne grâce, lapant de sa langue agile jusqu’à la dernière goutte de foutre. Le nettoyage s’est vite transformé en baiser et les deux filles ont repris ce qu’elles avaient commencé avant notre arrivée. Je leur ai suggéré de venir s’allonger sur le lit. Nous les avons regardées un moment, enlacées, leurs jambes mêlées, s’embrasser chacune frottant sa chatte contre les cuisses de l’autre. Emma n’avait toujours pas ôté sa culotte.
Je m’approche, sépare les deux filles et entreprends de lui enlever ce dernier rempart. Surprise, elle résiste, se tortille et retient l’élastique.
— Non ! Non ! S’il vous plaît.
Évidemment, ses supplications me laissent froid.
— Allez-vous cesser de faire la sotte ? Vous savez bien qu’il va falloir nous donner tout ce que vous avez caché là-dedans.
Elle renonce enfin à résister, mais cache son visage dans ses mains pendant que je fais descendre la culotte sur ses cuisses. Elle cache aussitôt son sexe de ses deux mains, mais je les écarte d’une tape.
Délicieuse surprise, sa chatte est totalement imberbe. Je m’approche pour voir comment cela s’est produit, mais je ne vois aucune trace de rasage. À presque seize ans, Emma ne serait pas encore pubère ? C’est un véritable abricot de fillette qui s’offre à mes yeux. Lisse, renflé, orné d’une tendre fossette qui s’enfonce profondément dans le coussinet. Je suis d’autant plus surpris qu’à travers le judas du père Maheux, je n’avais pas deviné cette particularité.
— Qu’avez-vous fait de vos poils, jeune fille ?
Emma finit par répondre :
— Je les ai enlevés.
— Mais comment ?
— Avec une pince à épiler. Quand j’avais dix ans, ils ont poussé, je croyais que c’était pas normal. Alors je les ai enlevés. Chaque fois qu’ils poussaient, je les arrachais. Après, ils n’ont plus poussé.
Et la voilà qui sanglote.
— Mais voyons, ne pleure pas. C’est très joli ainsi ! Je suis sûr que ton amie Ambre ne te suce que mieux !
— Qu’elle me quoi ?
— Mais enfin, Ambre ne te suce pas le minou ? Mais à quoi jouez-vous avec cette petite, Ambre ?
Ambre paraît presque choquée.
— Je suce pas des chattes, moi ! Je suis pas une gouine !
— Mais alors, que faites-vous avez Emma ?
— On fait semblant que c’est un garçon !
— Eh bien maintenant, je veux vous voir la sucer. Vous avez assez profité de sa naïveté.
— Non, je veux pas !
— Hum, cette obstination mérite une autre punition.
Ambre ne demande apparemment pas mieux.
— Allongez-vous sur le dos. Camille, tenez ses jambes relevées. C’est Emma qui va la punir.
— Oh, non ! Pas moi !
— Oh, si. Et vous allez adorer ça. Tenez, prenez la ceinture ainsi.
Je me place derrière elle comme un professeur de tennis pour lui montrer le bon geste. Ce faisant, je palpe son jeune corps ferme. Mes mains frôlent ses pointes de seins qui réagissent aussitôt. Bientôt, je n’ai plus besoin de l’aider et elle prend apparemment beaucoup de plaisir à cingler les cuisses d’Ambre qui rougissent rapidement.
— Je suis sûr qu’elle est mieux disposée maintenant. Allez, placez votre minette au-dessus de sa bouche.
Emma comprend vite la position. Elle s’agenouille sur le lit, les jambes largement écartées, et colle son minou sur le visage d’Ambre. Apparemment, celle-ci travaille bien de la langue sur son clitoris, car Emma ouvre de grands yeux étonnés et ne tarde pas à pousser de petits gémissements charmants. Je reprends la ceinture et continue à cingler les cuisses déjà bien rouges d’Ambre. Je vois bien comment Emma capte comme moi par le sexe les ondes de la douleur infligée à Ambre. Mais Camille arrête soudain mon bras. Il se débarrasse du reste de ses vêtements. Dans la lumière pâle du dortoir, il est beau, nu et en pleine érection. Il s’agenouille au pied du lit. Il est à la bonne hauteur pour retourner dans le cul d’Ambre et il ne s’en prive pas. Pendant qu’il l’encule, celle-ci s’occupe de son clitoris avec ses doigts et de celui d’Emma avec sa langue. Emma et Camille se rejoignent dans un baiser farouche. Ce faisant, elle relève un peu son cul. Mon érection est revenue de plus belle, mais comment la pénétrer à sec, sachant qu’elle est totalement novice ? Camille voit mon embarras. Il me souffle : « Dans les affaires d’Eulalie, étagère du haut. »
Je m’y précipite, remarque dans la trousse de toilette un tube de vaseline. Pas le temps de me demander ce qu’Eulalie en fait. Je me précipite après du trio qui gémit et s’agite avec un bel ensemble. Je me présente derrière Emma, dépose une grosse noisette de pommade sur mes doigts. Elle semble apprécier quand j’étale la crème sur son œillet sombre, pendant qu’Ambre continue à la sucer, le menton et les joues inondés de mouille et de salive. Mais quand je commence à pousser mon gland congestionné contre son anus, elle essaie de m’échapper. C’est chose impossible, avec Camille et Ambre qui l’immobilisent. Tout d’abord, je ne parviens pas à entrer dans ce trou du cul contracté. Ma queue glisse autour à chaque tentative. Je m’écarte et envoie quelques grandes claques sur ses fesses. Elle crie, plus de surprise que de douleur, mais à la tentative suivante mon gland franchit le passage. Désormais elle a beau me supplier d’arrêter, pleurer et gémir, je la pilonne sans merci. Et quand je fais signe à Camille que mon orgasme est proche, il se retire du cul d’Ambre et debout, vient fourrer sa queue dans la bouche d’Emma. Et au moment où j’éjacule, ma queue serrée dans l’étroit conduit comme dans un étau, je vois sur son visage qu’il décharge lui aussi dans la bouche de la brunette.
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Commentaires de l'histoire :
Donatien
Anonyme, clique sur mon pseudo et tu auras la liste des épisodes. Je te conseille de commencer par le début. Si j'ai bien travaillé, on verra jusqu'où tu tiens avant d'avoir besoin d'un kleenex !
Posté le 13/05/2017
Erotica
À quand la suite donatien ? Je me languis ! Vos histoires me stimulent !
Posté le 1/05/2017
Anonyme
mais ou sont les parties 7 , 8 qand et c est qui camille votre recit : tres riche en jouissance
Posté le 29/04/2017
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