Histoire Erotique

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Livraison: 11 heures 15

Keyssie tient une supérette, Anne est son employée...Elles sont aussi amantes...Pour elles, un moment fort: chaque matin, le livreur vient les approvisionner. Tous les trois, ils ont un quart d'heure pour prendre du plaisir dans la réserve...

Proposée le 15/09/2025 par jerome james b

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


LIVRAISON: 11 HEURES 15

Keyssie regarda sa montre...Une heure encore à attendre...Il arrivait toujours entre onze heures et onze heures trente pour sa livraison.
C'était que, dans la supérette dont elle était responsable, les réapprovisionnements avaient lieu le matin. Elle était franchisée, et les produits de la marque étaient livrés une fois par jour, avec des commandes et des réajustements dans l'après-midi pour le lendemain.
Elle avait une employée avec elle, Anne, une petite brune piquante avec qui elle s'entendait parfaitement bien.
Keyssie avait connu énormément de déboires sur le plan amoureux, alors que, paradoxalement, c'était une très jolie fille. A 40 ans, grande, brune, toute en formes, elle resplendissait, avec une sensualité que bien des femmes lui enviaient.
Pour avoir une franchise du groupe C. et tenir une supérette, il fallait obligatoirement être en couple. Le groupe acceptait aujourd'hui les couples de tous ordres.
Installée six ans plus tôt dans ce village de taille moyenne, 2000 habitants, Keyssie s'était installée avec celui qui était son mari et dont elle était aujourd'hui divorcée. La question s'était posée de continuer ou pas, quand son mari était parti du jour au lendemain, mais le groupe avait accepté qu'elle continue avec une employée. Il se trouvait qu'elle connaissait Anne, à l'époque au chômage et qui lui avait fait savoir qu'elle aurait bien aimé tenir une petite supérette.
Cela faisait trois ans qu'elle était seule. Et qu'elle multipliait les aventures sans lendemain, sans compter la liaison qu'elle avait avec Anne. D'ailleurs ironiquement, le plus solide, c'était avec Anne. Il existait entre elles une complicité très forte, sans doute parce qu'elles étaient deux filles. C'était une relation parfaite, parce que sans attentes, elles se donnaient du plaisir selon leurs envies, il n'y avait surtout jamais eu de conflits entre elles, contrairement à ce que Keyssie avait pu vivre avec des hommes...
Et puis il y avait eu ce changement de livreur, six mois plus tôt.
L'ancien était proche de la retraite, chauve et bedonnant.
Le nouveau avait une trentaine d'années en moins, un visage et un corps carrés, il était chaleureux, et il plaisantait toujours.
Ca avait été au bout d'un mois que Keyssie avait attaqué. Il lui plaisait, et elle avait envie de sexe constamment, une envie qu'elle rassasiait avec des relations sans lendemain avec des hommes du village, et tant pis si elle passait pour une putain. Rien, malheureusement, qui puisse lui donner envie de s'installer avec un homme. D'ailleurs, avec le livreur, c'était sûr qu'il n'y aurait rien de stable. Mais elle avait très vite renoncé à de l'affectif pour basculer sur la simple satisfaction de ses envies sexuelles. Comme lui disait son mari 'Tu as le feu au cul!' Pour elle, elle l'aurait d'ailleurs bien reconnu, le sexe était une drogue, et la satisfaction qu'il lui apportait immense.
Elle avait glissé à genoux devant lui, et il ne l'avait pas repoussé quand elle lui avait fait une fellation.
Pour l'heure, et en attendant son arrivée, elle léchait la chatte d'Anne.
Il y avait des moments de creux, et les deux femmes en profitaient souvent, quitte à interrompre leurs câlins pour les reprendre une fois le ou les clients partis.
Contrairement à ce que certains auraient pu penser, s'interrompre au milieu d'une montée vers la jouissance n'était pas un problème...Ca se réactivait très vite.
Keyssie était fascinée par le corps d'Anne. Celle-ci était toute petite, toute menue, rien à voir avec ses formes à elle, opulentes, mais c'était exactement ce qui lui plaisait. Elle était troublée par ses formes, minimes, et pourtant si présentes, comme des joyaux. Et cette merveilleuse petite chatte, qu'elle léchait à ce moment précis. Anne était arrivée dans le bureau, et sans un mot, elle avait défait le bouton qui tenait sa jupe en jean à sa taille, la faisant glisser sur le sol. Dessous, elle avait une paire de bas stay-up, et le ventre nu. Elle avait sauté sur la table nue elle aussi, adjacente au bureau, sur laquelle Keyssie étalait souvent des factures, et s'était basculée en arrière, cuisses ouvertes, offrant un sexe glabre, dont dépassaient ses lèvres, et dont avait jailli un jet de mouille, disant son excitation.
— Viens, j'ai le ventre en feu ce matin.
Keyssie aurait été bien incapable de dire non. Traversée par le désir et l'excitation, elle avait glissé jusqu'à elle, se posant sur un tabouret, attrapant à pleines mains ses petites fesses qui remplissaient parfaitement ses paumes, un signe, et l'attirant à elle pour lécher sa moule avec envie, ardeur, et savoir-faire. Elle aimait voir le sexe d'Anne se métamorphoser, ses lèvres sortir de sa fente, se déplier, s'allonger...Elles n'étaient pas épaisses, très fines, translucides, et très longues, vraiment en avant d'elle quand elles étaient gorgées de sang...Ça l'excitait autant que ce fin gland clitoridien qu'il fallait toujours décalotter, et qu'elle aimait sucer...Anne mouillait abondamment, et Keyssie était toujours surprise qu'un aussi petit corps puisse secréter autant de sécrétions vaginales...
Elle venait de gainer le petit gland clitoridien de ses lèvres, et elle le suçait. En d'autres circonstances, sa maîtresse aurait hurlé, mais là, ce n'était pas possible...
— Je vais jouir, se contenta de dire sobrement Anne.
A ce moment-là, la sonnette de la porte du magasin se fit nettement entendre...
— Finis-moi je suis au bord de...
Son corps se tendit, elle ouvrit la bouche pour un cri muet, et elle éjacula des jets copieux de liquide, qui encore une fois, semblaient étonnants pour un aussi petit corps.
Keyssie se leva. Heureusement, elle avait un tablier, qui avait recueilli les jets de cyprine. Heureusement aussi, mue par l'habitude, elle en avait une provision au magasin, qui lui permettaient de ses changer quand Anne éjaculait sur elle. Dans les premiers temps, ça ne s'était pas passé comme ça. Elle ne pouvait d'évidence pas aller servir les clients avec des vêtements trempés et puant la cyprine.
Après un dernier regard pour le ventre nu, Anne encore groggy, Keyssie se glissa hors de la pièce.
Il fut là sur le coup de onze heures.
Une ruelle séparait le magasin proprement dit de la vaste réserve. En plus, celle-ci était accessible par une porte de garage métallique que l'on pouvait facilement remonter.
Il arrivait toujours en passant devant le magasin. Keyssie était au fond, Anne lui avait crié:
— Il arrive, tu vas l’accueillir?
— Laisse-moi un quart d'heure. Après tu fais une pause...
Le panneau MAGASIN FERME MOMENTANEMENT était déjà prêt.
Keyssie passa dans la réserve et alla faire remonter le rideau de fer. Elle se sentait la chatte ouverte et toute poisseuse, avec le ventre en feu et une envie de sexe qu'elle se trimballait depuis le réveil. Et lécher la chatte d'Anne l'avait plus surexcitée qu'apaisée. Si elles avaient pu se lécher mutuellement...Mais dans la journée, c'était difficile. Il y avait toujours un client. Elles pouvaient vraiment prendre du temps très tôt le matin ou très tard le soir.
Assez curieusement, elles ne s'étaient encore jamais vues HORS du magasin. Comme si leur relation devait seulement être cantonnée à ce lieu. Elle se demandait pourquoi.
Bob descendit du camion. Toujours agréable, et souriant. Irrésistible. Keyssie eut l'impression que son sexe s'étirait jusqu'à devenir béant, et qu'elle lâchait des jets de mouille en continu, comme si elle s'était fait pipi dessus. Heureusement qu'elle avait une culotte pour absorber la mouille, sans quoi ça lui aurait dégouliné le long des jambes.
Il y avait toujours une première partie fastidieuse...Et une seconde qui l'était nettement moins. Keyssie arrivait toujours avec la tablette sur laquelle étaient listés les produits commandés, qu'elle vérifiait au fur et à mesure qu'il les descendait avant de les ranger. Le nombre, l'état du produit. Elle notait tout ce qui ne collait pas, et envoyait un bilan au siège. Il repartait avec ce qu'elle refusait, ce qui était rare. Il faisait toujours attention dans le transport, et si par hasard quelque chose était abîmé, c'était bien en amont.
Une fois le côté business bouclé, il était temps de passer aux choses futiles, ou plus sérieuses, ça dépendant comment on voyait les choses.
Anne avait un sixième sens pour arriver pile au bon moment.
Elle rejoignit Keyssie d'un pas tranquille, vint près d'elle et les bouches des deux filles s'accrochèrent pour un baiser bouches ouvertes, langues se frottant. Le genre de tactique que deux filles savent utiliser pour allumer un homme. Sans aucun doute, même si elles ne l'avaient pas déployée, il aurait quand même eu envie d'elles. C'était une sorte d'assurance.
Keyssie tendit la main vers son pantalon et put constater, baiser entre filles ou pas, qu'il était de toute façon prêt.
Keyssie et Anne descendirent un étage pour aller chercher sa queue dans son pantalon et se la partager. L'une comme l'autre, elles aimaient ces moments où elles étaient unies pour donner du plaisir à un homme et en prendre...Elles avaient le sentiment que cela contribuait surtout à les rapprocher, et à développer la complicité forte qui existait entre elles, une complicité qui se raffermissait de jour en jour.
Complicité qu'elles ressentaient quand elles baladaient leurs langues sur la queue de leur partenaire, et que ces langues se rejoignaient pour se frotter...Avaient-elles plus de plaisir à lécher la queue, à laper les liquides qui sortaient du méat, à frotter des grosses couilles gonflées de sperme ou à se caresser mutuellement de la langue, ou encore à glisser la main contre le sexe de l'autre pour le frotter, le fouiller, pendant cette première étape, ou aux suivantes, quand elles complétaient ce que l'homme, qui ne pouvait prendre qu'une femme, ne pouvait lui donner, une langue sur une chatte ou des doigts dans la chatte pendant que son anus était rempli par une queue, par exemple...
Des moments forts, très forts même...Ensemble.
Bob y trouvait en tout cas son compte. Comme à ce moment précis où Keyssie faisait aller et venir sa bouche sur sa queue pendant qu'Anne lui mordait les couilles.
Elles s'efforçaient, y arrivaient-elles?, à varier chaque fois, et pourtant à raison de six moments ensemble par semaine...Ce n'était pas évident.
Sans doute que leur atout c'était la rapidité. Une position, deux au maximum, dans le laps de temps qui leur était réservé...C'était que Bob avait non pas un horaire fixe, mais l'obligation d'amener les marchandises sur des créneaux préétablis et qui ne variaient guère, avec pourtant une marge. Tel magasin l'attendait sur le coup de quinze heures, tel autre sur celui de seize heures...
Il y avait un gros plateau avec une base métallique solide...Keyssie y entraîna Anne, qui l'accompagna, bien sûr...C'était une position pour s'offrir, totalement, et le regard, l'attitude, et la queue frémissante du chauffeur disaient que cela l'inspirait, évidemment.
Keyssie remonta la jupe en jean de sa complice jusqu'à la taille, dévoilant son cul menu mais très rond, ouvert sur ses plissements anaux, et sa vulve aussi dilatée que ruisselante, avant de s'offrir elle aussi, en baissant son caleçon et la culotte blanche qu'elle avait en dessous. Deux culs de femme de formats différents, deux fois plus de plaisir pour le chauffeur-livreur...Et pour elles. Car, elles en avaient l'habitude, il allait glisser sa queue dans leurs vulves, en tournant. Et peut-être aussi dans leur anus.
Anne se retourna et examina la situation. Ce qui la tracassait, ce n'était pas la taille de la queue de leur partenaire, il était en pleine érection, mais plutôt qu'il s'en serve bien, en la gainant d'un préservatif. Elle avait une peur panique, obsessionnelle, de choper une sale maladie, et elle exigeait de ses partenaires masculins qu'ils enveloppent leur verge de latex. Elle se sentait alors rassurée et pouvait se laisser aller au plaisir.
Il s'approcha, et sans attendre, l'horloge tournait et il devait partir, les trois partenaires en étaient conscients, il se glissa dans la vulve d'Anne. Il connaissait bien maintenant leurs chattes, il savait que celle d'Anne était plus serrée, celle de Keyssie plus ouverte, mais il aimait autant être dans l'une que dans l'autre, et s'il avait du choisir entre une des deux, cela lui aurait été difficile. Pourtant chaque matin où ils les voyait, et même s'il était souvent sur ce schéma qui leur plaisait à tous les trois, il n'allait pas forcément d'une chatte à l'autre, mais plutôt d'une chatte à une bouche, ou d'une chatte à un anus...
C'était sans doute le plaisir le plus simple qui soit, mais un des plus forts. Une verge dans un sexe de femme qui la fouille, dans des mouvements et selon des rythmes très divers. Au plaisir d'Anne se conjuguait celui du chauffeur, heureux d'être enveloppé par cette vulve délicate qui le caressait si bien...Pourtant, il s'en arracha, pour venir se planter dans le sexe de Keyssie...Une sensation différente, pour un sexe pourtant bien humide, mais plus large, et très caressant...
Il glissa de l'une à l'autre, s'enivrant de ces deux sensations ultra-différentes, dans une expérience qui compressait ce qui autrement se serait déroulé sur un temps plus long. Paradoxalement, cette limite dans le temps, imprimée dans leurs têtes, n'empêchait en rien l'intensité, bien au contraire. Les filles gémissaient et mouillaient abondamment, preuve de leur plaisir, leur ventre un brasier, mais pour le gars c'était bon aussi, et sa queue se dilatait au contact de ces muqueuses hyper souples...
Il avait, malgré tout, le souci de leur donner du plaisir, à l'une comme à l'autre, ne pensant pas qu'au sien. Dans les mouvements qu'il exerçait dans leur vagin, il voulait les caresser et qu'elles profitent de ce moment comme lui en profitait.
Si tout était toujours différent, il y avait bien un rituel qui était identique. Une fin qui cassait le rythme adopté, avec l'une des deux filles. Elles ne risquaient pas de se sentir jalouses, d'abord parce qu'elles s'entendaient parfaitement, ensuite parce que celle qui n'avait pas été honorée l'était le lendemain.
Il avait d'abord pensé enfoncer sa queue dans l'anus de l'une des filles, mais il opta pour autre chose. Il vint appuyer son gland dans le début de la raie de Keyssie et frotta. Les deux filles avaient déjà amené leur main sur le sexe de l'autre pour le masturber, et faire exploser leur bonne copine...Il se mit à jouir, et les jets de semence coulant dans son sillon et contre sa muqueuse anale firent jouir Keyssie, qui se tordit, se retenant de hurler, le contexte ne s'y prêtait pas, Anne lui pinçant le gland clitoridien pour prolonger son plaisir. Anne était elle au bord de la jouissance...Keyssie qui avait jusqu'alors masturbé son gland clitoridien changea de technique et réunit trois doigts pour la pénétrer et la fouiller...Anne jouit en éjaculant autour des doigts.
Le livreur jeta un coup d'oeil à son portable...16 minutes, il était bon...Il s'éclipsa sans un mot, laissant les filles, toujours dans la même position, se remettre de leurs orgasmes.
Il ne leur restait plus qu'à attendre le lendemain.

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