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Figueroa Street

Il n'y a plus de fille dans sa vie depuis un moment. En manque, il part pour une rue réputée, Figueroa Street, où des filles en manque d'argent attendent des clients. Il n'est pas au bout de ses surprises dans les minutes qui suivent.

Proposée le 3/09/2025 par jerome james b

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme


FIGUEROA STREET
C'est parce que je me sentais trop seul que je suis parti pour Figueroa Street.
Je savais que là-bas, toute la ville en parlait, il y avait des filles qui s'offraient contre de l'argent.
Ce n'étaient pas des prostituées au sens classique du terme, en ce sens qu'elles n'étaient pas asservies à un proxénète qui leur prenait tout leur argent, les menaçait et les battait. Mais des femmes du quartier, un quartier pauvre, qui vendaient leurs charmes parce qu'elles avaient besoin d'argent pour vivre. Des femmes qui avaient connu et qui connaissaient la faim, les difficultés, mais qui malgré tout, c'était en tout cas ce qu'on disait, étaient désirables et restaient désirables, plus peut-être que des femmes de la haute société. Il y avait une volonté, une force de leur part.
La nuit tombait quand j'ai traversé la ville pour me rendre dans Figueroa Street, une grande artère de ce quartier, qui, à l'image des gens qui l'habitaient, tenait à conserver une dignité, mixant immeubles de quelques étages entretenus à des pavillons coquets même s'ils avaient quelques années.
J'aimais ce moment où le monde s'apaisait, et où la soirée apportait de la douceur en attendant les nouveaux combats du lendemain.
C'était une longue rue, qui s'offrait, longue et bien droite. Au moment où je suis arrivé, les lampadaires se sont allumés, mais la nuit n'était pas encore tombée, et dans le mélange de ce qui restait de la lumière naturelle et de la lumière artificielle, en avançant doucement, j'ai vu les filles qui attendaient. Elles étaient un peu partout le long de la rue. En évidence. Elles attendaient. Blondes, brunes, rousses, châtains...Grandes, plus petites, fines ou plus épaisses, avec des tenues qui signalaient, pour qui en auraient douté, sans forcément être provocantes, qu'elles s'offraient contre de l'argent. Elles étaient toutes aussi désirables les unes que les autres.
Si j'ai choisi la blonde qui attendait pas loin d'un arrêt de bus, c'était pour une multiplicité de raisons. Mais j'aurais pu prendre l'une des autres pour tout autant de raisons. Et des raisons tout autres. Je reviendrais. Ça j'en étais sûr. Ce que j'avais devant moi, c'était une sorte de caverne d'Ali Baba, avec des filles et des femmes, certainement plus désirables que je n'aurais pu l'imaginer quand j'étais venu.
Si je l'ai choisie, donc, c'est parce que pas mal de détails m'ont séduit. Elle avait une superbe chevelure, blonde, des cheveux très longs et lisses qui lui arrivaient aux fesses. Elle était vraiment très grande, j'aimais les filles immenses, ce qui était son cas, même si les autres formats me convenaient aussi, avec une poitrine tellement ronde et charnue que c'était évident que ses seins n'étaient pas naturels, mais pour moi seul le résultat comptait. Elle était moulée dans une robe noire, simple, mais collante, qui lui arrivait à peu près au genou, mais fendue haut, accompagnée de bas stay-up et d'une paire de bottes à talons aiguille qui montaient jusqu'au genou, noires et luisantes. Mais ce qui m'a le plus séduit en elle, c'était ce mélange entre quelque chose de très tranquille, et une appétence extrême pour le sexe. On voyait bien, en la regardant, qu'elle aimait VRAIMENT le sexe, et que passer un moment avec elle, ce serait passer un bon moment.
C'était la première fois que je venais ici, et je me suis dit qu'il y aurait d'autres fois...Et d'autres moments de plaisir...Sans doute chacun différent dans sa nature...
J'ai ralenti. Il y a sans doute eu du cliché dans ces moments où je l'ai abordée. J'ai décidé de me garer, je suis descendu, et j'ai avancé vers elle, sans doute gauche, pour ne pas dire ridicule. Elle a eu un souvenir encourageant. Je me suis rendu compte que je bandais comme un âne. La frustration, l'envie d'une femme, et le fait qu'elle me troublait énormément.
— Tu veux qu'on passe un moment ensemble?, elle a demandé.
— J'en ai envie, j'ai reconnu.
— Une fellation c'est vingt euros, me pénétrer c'est cinquante, si tu veux un moment long, une heure, avec une palette de possibilités, c'est quatre-vingt et comme je t'emmène dans un hôtel un peu plus loin, même si je paye une chambre à la journée, il faut donner trente euros de plus que je file au patron. Il ferme les yeux sur ce qu'on fait...D'autant qu'il en profite aussi pas mal. Il aime le sexe...
— C'est dans mes tarifs. Je vais tout te donner tout de suite, comme ça on pourra passer aux choses sérieuses.
J'avais évidemment pris du liquide. Une enveloppe dont j'ai sorti des billets pour lui donner la somme adéquate. Le deal était conclu.
— On y va, elle a proposé.
J'ai repris le volant, elle s'est calée à côté de moi. Son corps et son parfum ont rempli la voiture. Le désir pulsait dans mes veines. Elle est passée à l'action alors que je démarrais. Après tout, ce n'était pas surprenant. Elle était payée pour ça. Et puis j'avais le sentiment qu'elle avait une réelle conscience professionnelle. Elle a sorti ma queue de mon pantalon avec habileté. J'étais à mon avantage. Elle m'a trouvé en pleine érection, la queue gorgée de sang. Elle a approuvé, une forme de compliment, c'en était sans doute un:
— Hmmm...Tu as vraiment une belle queue...C'est plutôt rare, crois-moi.
Et pendant que je conduisais, tout en me donnant des indications, elle m'a caressé. Elle était indéniablement habile, utilisant des surfaces de contact diverses, bien loin de la branlette classique, faite sans savoir ni saveur. Les ongles, la pulpe des doigts, l'intérieur de sa paume, la partie externe de sa main...Elle a tout utilisé, mais elle aussi parcouru toutes les parties de ma queue, y compris les plus sensibles, et celles que d'autres femmes avaient moins caressé. Je me suis encore allongé, durci, et surtout je me suis mis à suinter, mais de manière abondante...Ca faisait longtemps, je m'en suis rendu compte, que je n'avais plus eu de plaisir...
Ce qui m'a semblé décalé, ça a été la manière dont se passait. Le plaisir de la caresse à laquelle je me laissais aller, et en même temps la conduite, avec des indications. Une rue à droite, puis à gauche, et encore à droite. Et devant tout la structure sans étage de l'hôtel, plusieurs cubes. Quelque chose de relativement récent, et en bon état.
Ma queue était sans aucun doute trop dilatée pour la remettre dans mon pantalon. Elle a, en souriant, tiré ma chemise, heureusement longue, par dessus. J'ai aussi fermé mon blouson, qui descendait bas, pour masquer ce morceau de chair dilaté.
On est descendus de voiture, et on a avancé vers l'hôtel. Elle était légèrement décalée par rapport à moi, je l'ai laissée partir un peu en avant. L'occasion de la mater. Elle me troublait décidément. Ses fesses dansaient sous le tissu de sa robe, et ses jambes étaient magnifiques, longues et bien dessinées. Les talons de ses bottes claquaient sur l'asphalte. Elle représentait un hymne à la vie et au sexe.
On n'est jamais sûr de ce que peuvent dire les gens, et je n'avais pas idée qu'en arrivant à l'hôtel, j'aurais l'illustration directe de ce qu'elle m'avait dit, à savoir que l'hôtelier les accueillait en échange de faveurs et d'argent.
Les lieux étaient silencieux. J'ai repéré rapidement leur découpage.
La partie restaurant était vide, bien sûr, à cette heure-ci. Et sombre. Mais éclairée par la lumière qui passait par les baies. Ça m'a permis de tout voir.
Une scène excitante. Une femme, dont je ne voyais que le dos, installée à genoux sur une banquette, tout au fond. Une jupe noire, courte, le nylon de bas stay-up, je voyais bien les accroches élastiquées. Mais on ne voyait qu'une partie des bas, car la majeure partie de ses jambes, longues, interminables, étaient couvertes par le cuir de cuissardes noires à talons aiguille. J'ai remarqué aussi une chevelure très épaisse, blonde.
Il y avait un homme derrière elle. Avec des gestes, calmes, posés, il a commencé à la dénuder. Il a soulevé la jupe, tassant le tissu au niveau de sa taille. Dessous, elle avait un string noir bien planté dans sa raie, et une croupe très charnue, vraiment pleine, comme pas mal d'homme aimaient. Moi en tout cas. Une croupe qu'on avait envie de prendre à pleines mains, sans y parvenir totalement, vu le volume, et de prendre du plaisir à cette étreinte. Sans attendre, mais sans hâte, il a attrapé le string au niveau de sa taille, et il l'a tiré vers le bas, dévoilant sa nudité la plus intime. Même d'où j'étais je voyais tout. Assez curieusement, mais je ne m'en suis rendu compte que plus tard, la courtisane à mes côtés était aussi figée que moi, et regardait avec autant de plaisir. Elle aimait autant hommes que femmes...Avec une manière particulière d'aimer, mais ça je l'ai aussi compris après. On distinguait bien sa muqueuse anale, aux plissements multiples, au creux de sa croupe, et plus bas, une grosse moule, dont l'état disait son excitation, entrouverte pour laisser sortir un gros paquet de lèvres auxquelles étaient accrochés des filaments de mouille qui pendaient.
On a vraiment tout vu, parce qu'on se trouvait sur le côté par rapport à eux. Le gars a mis à nu une queue vraiment volumineuse, gorgée de sang, longue, épaisse, et décalottée sur un gland très gros. Je me suis demandé comment il allait pouvoir rentrer en elle, mais il ne fallait sans doute pas se poser la question.
La question que je ne m'étais pas posée par contre, concernait sa pénétration. Pour moi il allait rentrer dans sa chatte. Peut-être dans son anus après.
Je me trompais totalement.
Il a amené son gros gland contre sa muqueuse anale. Je me suis dit que ça n'allait jamais rentrer. Et ça a été tout le contraire. Il a glissé en elle avec une facilité déconcertante. D'évidence ce n'était pas la première fois qu'il la prenait par le cul. Et cela supposait une certaine complicité. On n'encule pas une fille comme ça. Je me suis demandé si c'était une courtisane, même régulière, mais ma complice d'un moment m'a glissé:
— Elle tient l'hôtel avec lui. Ils ne sont pas mariés, et le désir est, pour ce que j'ai pu voir, un moteur de leur relation.
Difficile de dire le contraire. La fille avait émis un long gémissement pendant qu'il poussait sa queue en elle, et ce n'était pas un gémissement de douleur. Ils s'étaient immobilisés un instant, le temps pour eux de bien avoir les sensations, la queue la remplissant pour elle, le délicat de sa muqueuse anale pour lui.
Et puis il s'est mis à bouger en elle. Un moment intense. On a senti très vite qu'ils étaient possédés par l'envie de jouir, de donner du plaisir à l'autre, mais aussi qu'il y avait entre eux une réelle complicité qui n'existait pas forcément entre amants. La queue allait et venait, elle semblait grossir encore plus à chaque aller et retour...Ce qui ne l’empêchait pas de s'insérer dans la muqueuse anale de la jeune femme.
Là où on voyait clairement que la jeune femme avait vraiment du plaisir, c'était à son sexe. Déjà elle le frottait avec intensité, pour augmenter son plaisir, lui donner plus d'ampleur. Et il se métamorphosait, disant son excitation. Elle ruisselait avec régularité, ça coulait le long de ses jambes, et puis elle éjaculait régulièrement.
On aurait du passer notre chemin, mais on restait, aussi fascinés l'une que l'autre.
La fille a lâché une sorte de cri rauque, Elle a éjaculé d'une manière différente, un liquide blanc qui ressemblait à du sperme, plusieurs jets copieux et rapprochés qui ont marqué tout ce qui l'entourait de manière visible, ses bas, sa chair, mais aussi la banquette. Ça a sans doute entraîné l'homme de la jouissance. Il a extrait sa queue, une queue qui avait quasiment doublé de volume et de longueur du rectum de la femme d'âge mûr. Il était déjà entrain de jouir, et le premier jet de sperme, copieux, est parti en travers de la cuisse de la femme, marquant d'un trait crémeux le sombre du nylon, et rejoignant les jus de la même teinte qui avaient eux aussi souillé le nylon. Elle serait bonne pour aller se changer. L'homme avait repris la maîtrise de sa queue, et il arrosait copieusement la croupe de la femme, cible parfaite pour tout homme. Le sperme, qui n'en finissait pas de jaillir, poissait les deux hémisphères bien charnus, mais venait aussi remplir sa raie.
Ils avaient joui tous les deux. Groggy, ils étaient encore loin de la réalité, et on en a profité pour s'éclipser.
La blonde a avancé, traversant le hall, dans le long couloir en face. J'imaginais bien qu'elle ne demandait pas sa clef à chaque fois.
Le spectacle qui nous avait été offert, inattendu, avait poussé d'un cran mon envie de sexe. Mais je sentais bien que, même si c'était une professionnelle, elle avait aussi été remuée. Mon erreur était sans doute de penser qu'elle aurait souhaité se faire sodomiser par l'homme. Mais ça je l'ai compris plus tard.
Elle a glissé la clef dans la porte, a ouvert. Une chambre d'hôtel, mais très propre, entretenue, avec un grand lit. Elle y a laissé glisser son sac, puis s'est posée et m'a attiré à elle, me caressant de sa bouche. Elle se débrouillait aussi bien qu'avec sa main, il n'y avait pas de doute à ce sujet, et le plaisir a été tout de suite très fort, alors qu'elle tournait sur moi de la langue, me prenait dans sa bouche, puis me sortait et me caressait de nouveau de la langue. Je n'étais pas volé sur la marchandise. J'avais bien fait de venir.
Si elle me donnait du plaisir, j'avais aussi envie, en tout cas, ça faisait partie de ce que j'attendais, de découvrir son corps, de le toucher.
Je suis tombé à genoux devant elle, et je suis venu caresser le cuir des cuissardes, froid et lisse, prenant mon temps. J'aimais la sensation du cuir...Et celle aussi du nylon des bas, quand je suis enfin monté plus haut.
Elle avait une petite culotte rouge, qui enveloppait son sexe.
Je voyais bien un renflement, mais il y avait quelque chose qui ne collait pas...
On est parfois naïf.
Au-delà de la lisière du bas, de la jarretière élastiquée, il y avait sa chair nue.
Elle a compris que je voulais soulever et remonter sa robe, qui avait déjà glissé le long de ses cuisses quand elle s'était assise.
Je n'ai même pas été surpris par ce que j'ai découvert.
Non que je m'y attendais, mais j'étais dans un contexte où la surprise n'avait aucune place.
De la petite culotte de satin rouge dépassait une verge en pleine érection, gorgée de sang, pas loin d'un stade ultime de dilatation, qui disait en tout cas, son excitation. Je me suis demandé si elle était excitée par le rapport sexuel éventuel, par le moment dont on avait été témoin, ou les deux.
Sa queue était aussi longue que celle du propriétaire de l'hôtel, mais moins large, tout en restant bien épaisse. Elle suintait, un liquide visqueux coulait de son méat confirmant son excitation.
Des hypothèses s'étaient dessinées dans ma tête. Avait-elle pensé que je l'avais abordée parce qu'elle était trans? Ou bien qu'elle était une fille plus classique avec une chatte, et donc que j'étais déstabilisé par la situation ?
Elle n'a pas eu de question à me poser. J'ai plongé ma bouche sur le gland, et je l'ai lapé, la saveur amère me remplissant la bouche. Si elle avait pu avoir une inquiétude, que je casse le contrat moral mais aussi financier établi entre nous, elle était rassurée.
C'était que, même si je m'étais rendu dans ce quartier avec l'espoir de trouver une prostituée avec une chatte, j'avais toujours été fasciné par les trannies. J'avais été un très gros consommateur de porno, et j'avais eu une prédilection pour les trans, fasciné jusqu'au trouble par ces filles qui n'avaient absolument rien de masculin...Sauf une queue de 20 centimètres qui leur allait parfaitement bien. Un troisième sexe, totalement troublant...
Dont je n'avais jamais pensé pouvoir profiter. Pour moi, c'était un fantasme de film porno.
J'ai baissé le slip partiellement puis totalement pour pouvoir accéder à une plus grande surface de queue et j'ai baladé ma langue dessus. J'avais léché bien des chattes, sucé des glands clitoridiens, c'était la première fois que je bouffais une queue, mais ce n'était pas une queue d'homme...Une queue de fille...Et ça faisait une sacrée différence.
Elle s'est mise à gémir.
— Normalement...C'est moi qui suis supposée te donner du plaisir.
— Tu m'en donnes. En m'offrant ta queue et en me laissant la bouffer.
Elle coulait de plus en plus. Tout en continuant de parcourir sa tige, je suis venu masser ses couilles, toutes gonflées. Elle a gémi.
— C'est bon. Laisse-moi faire maintenant...Je vais faire quelque chose qui va te donner du plaisir.
Mes caresses n'avaient pas été inutiles. Sa trique avait pris du volume et de la longueur.
Moi aussi j'étais très dilaté. La situation, inédite...Me surexcitait.
Elle s'est redressée, et elle venue se coller contre moi. Elle a pris ma bouche, l'a fouillée de sa langue. J'ai répondu et nos langues se sont caressées mutuellement. Ses seins s'écrasaient contre les miens. J'ai senti sa queue venir se coller contre la mienne, chaude, brûlante, même. J'ai baissé les yeux. Deux tiges gorgées de sang, glands décalottés et suintants. Sa main est venue entourer nos queues, et elle nous a masturbés très lentement. Une expérience inédite, qui a additionné le plaisir du frottement d'une main à celui d'une queue contre la sienne. Non, je ne regrettais vraiment pas d'être tombé sur elle, d'avoir porté mon choix, sans le savoir, ou peut-être que je le savais au fond de moi, sur une trans. Elle était pleine d'envie, imaginative, elle me bouffait la bouche, et frottait sa langue contre la mienne...Je n'aurais sans doute pas connu de moments aussi forts avec une fille.
Elle a reculé, m’entraînant vers le lit. Faisant en sorte qu'on ne rompe pas le contact. Me gardant près d'elle. Elle a tiré de son sac posé sur le lit une boite de préservatifs, en a récupéré un, emballé dans une enveloppe d'argent qu'elle a déchirée. Elle l'a habilement faite glisser le long de ma queue, et a posé mes mains sur mes hanches pour que je la pénètre. Ce dont, à ce moment, j'avais envie plus que tout. J'avais bien sûr déjà sodomisé des filles consentantes, qui aimaient ça, mais pas une fille qui à la place d'une déchirure dans le ventre, avait une énorme verge collée contre.
J'ai glissé vers elle de quelques centimètres de plus. Ça me plaisait qu'elle soit ainsi offerte. De mon gland, je suis venu frotter la partie antérieure de sa queue, offerte, puisqu'elle était collée contre son ventre. Elle a gémi. Et eu un spasme dont la manifestation la plus éloquente a été un jet de sperme qui a atterri au milieu de ses seins.
J'ai fait glisser mon gland jusqu'à sa muqueuse anale. Je n'avais plus qu'une envie à présent : la pénétrer.
Cela faisait longtemps que je n'avais pas baisé de fille, et encore plus longtemps que je n'avais pas pris une fille par le cul. Une sorte de recommencement. J'ai posé mon gland enveloppé de latex contre la muqueuse anale. Je savais que ça rentrerait tout seul...La force de la pratique avait dilaté sa muqueuse...Et effectivement j'ai glissé en elle sans m'en rendre compte et sans lui faire mal. Une sensation très différente de celle qu'on pouvait ressentir dans une chatte, et que je retrouvais avec une joie infinie. Son rectum a avalé les trois quarts de ma queue, et j'ai éprouvé quasiment tout de suite la sensation, très forte, quand on était avalé par une muqueuse anale. Une étroitesse chaude et bienfaisante. Du plaisir à l'état pur. Plaisir dans les deux sens, car apparemment, ma queue frottant ses muqueuses lui donnait autant de plaisir que j'en avais à être caressé par les muqueuses étroites.
Je la fouillais avec ardeur quand la porte de la chambre s'est ouverte.
La femme, qui, un quart d'heure plus tôt, se faisait sodomiser, à genoux sur une banquette, nous rejoignait.
Je n'ai même pas été surpris. J'avais bien intégré que son patron et elle, ou son mari et elle, je ne savais pas, aimaient l'un comme l'autre le sexe, et que, pour eux, toutes les occasions étaient bonnes. Ils venaient prélever leur dime sur les couples formés par prostitué(e)s et clients de bien des façons possibles. Et c'était certainement une habitude pour elle que de rejoindre la tranny et ses partenaires Je supposais, sans réelle crainte de me tromper, que l'idée de profiter d'une fille dotée d'une queue, l'excitait, et tout autant, de baiser aussi avec le client.
Je la voyais de face pour la première fois. Elle avait un joli visage, plutôt poupin, avec de particulièrement belles lèvres, bien dessinées, et bien charnues, et de grands yeux bleus. L'expression et le regard d'une petite fille candide, une expression bien trompeuse, alors que je savais déjà qu'elle aimait particulièrement le sexe. D'ailleurs, ce qui se passa dans les secondes qui suivirent le mis en évidence amplement.
Elle s'était changée. La robe avait été remplacée par un caleçon extrêmement moulant, qui soulignait le dessin de son corps de femme, bien plein, avec des courbes bien marquées...Des cuisses bien pleines, des hanches marquées, un pubis qui tendait le tissu, un sexe qui se dessinait dans les moindres détails...Elle avait passé un T-shirt noir, simple aussi, mais on voyait quand elle bougeait qu'elle n'avait pas de soutien-gorge dessous, ses seins bougeaient sous le tissu, et le tendaient, ses tétons durs marquant de leur pointe le coton.
Elle s'est glissée près de nous sans opposition, et sans qu'on la repousse. Avide de sexe, sans doute jamais rassasiée. Elle est venue caresser de la langue la queue de la catin, qui s'allongeait toujours sur son ventre, mais dépérissait, parce que sans soins ni affection. Elle se débrouillait bien pour faire une fellation, mais je n'en aurais pas douté le moins du monde. Elle a pris la queue du bout des doigts, l'a redressée, et s'est mise à caresser le gland avec une langue souple et avide. La blonde a crié:
— Ah, putain!!!
Et elle s'est mise à jouir, dépitée de ne pas avoir tenu. La compagne du patron était redoutable, il était vrai. Le premier jet de sperme a frappé le visage de la femme, en travers, sur sa joue jusqu'à ses cheveux. Elle a vite refermé sa bouche sur la queue, en avalant un tiers, et le sperme a rempli, saccade après saccade sa cavité buccale, partant directement, je l'imaginais bien, dans son gosier. Moi je continuais de fouiller la blonde, mais, avide, et certain qu'elle ne refuserait pas, j'ai tendu la main vers le caleçon pour le baisser. Sans surprise, elle n'avait pas de slip dessous. Mon regard a été ravi, ma main aussi. Elle avait exactement ce que j'aimais, une grosse moule, avec de grosses lèvres, un gland clitoridien bien épais et bien long. Son sexe était encore béant du rapport qu'elle avait eu avec le patron, et l'excitation l'avait saisie à nouveau. Elle dégoulinait, trempant ses aines...Ma main s'est baladée sur elle, à la rencontre de sa chair. Elle ne m'a pas repoussé, poussant au contraire son ventre contre ma main, pour que je la caresse bien et que je la fouille bien. Des lèvres très épaisses, un gland clitoridien qui était une véritable petite bite, la béance d'un sexe inondé dont les muqueuses étaient visibles et accessibles. Ma main a été partout, la faisant gémir et se cambrer...
Mais je savais qu'elle voulait plus. Elle avait deux queues à disposition, et elle avait envie de profiter de l'une comme de l'autre. Car, même si elle avait joui, la courtisane blonde avait gardé son érection intacte.
Elle l'a formulé clairement.
— Je veux que vous me baisiez tous les deux en même temps.
Je n'étais pas venu pour ça...Mais cette perspective m'excitait prodigieusement.
Je me suis retiré du rectum de la blonde. Le préservatif était souillé. J'en ai glissé un autre le long de ma queue, plus distendue encore que quand j'avais pénétré la blonde, et j'en ai fait passer un autre le long de sa verge. Ainsi on était opérationnels.
Dans le temps, indéfini pour moi, on a multiplié les jeux et les postures à trois. Je n'avais jamais eu l'occasion auparavant de partir sur ce qu'on appelle vulgairement un 'coup à trois'. On a commencé très simplement. Elle s'est positionnée au-dessus de la blonde, accroupie, avant de se laisser aller sur elle, et de guider sa queue vers son anus. Souple, sans doute parce que le patron venait de la prendre, mais aussi parce qu'elle se faisait régulièrement sodomiser. Une conjugaison de facteurs qui a fait que le membre roide a glissé au milieu de sa muqueuse pour se retrouver avalé quasi totalement. Elle a poussé un long gémissement en se faisant remplir, Le premier d'une série, alors que la queue de la blonde bougeait en elle, tandis qu'elle masturbait son gland clitoridien dilaté, et qui prenait de plus en plus de volume, qui bandait littéralement et s'érigeait de plus en plus, tandis que son sexe partait vers la béance, et ruisselait, trempant ses chairs et celles de sa partenaire. Moi je regardais en me branlant.
— Viens maintenant.
Je me suis approché, plein d'envie, mais aussi un rien anxieux, me demandant comment ça allait se passer.
Très bien au final. En face mais aussi au-dessus d'elle, j'ai glissé dans son ventre, la pénétrant sans problème tellement elle était ouverte, J'ai senti autour de moi la chaleur et la douceur de sa muqueuse vaginale qui m'a enveloppé et pris. C'était bon...J'ai été au fond d'elle, jusqu'à son utérus. Se sentir enveloppé par un sexe féminin, c'était ce qu'il y avait de plus basique, mais c'était tellement délicieux. Je plaignais tous les hommes qui vivaient sans ça.
Je l'ai fouillée. Prenant très vite conscience de certaines réalités. La première c'était qu'il y avait juste une peau fine qui séparait nos queues, et je sentais parfaitement celle de la blonde courtisane, ce qui était hyper excitant aussi bien physiquement que spiritiuellement. En fouillant la femme je caressais sa queue, et c'était réciproque. La seconde, c'était qu'il était difficile pour nous de bouger nos queues en même temps, alors il fallait que l'un d'entre nous s'immobilise pendant que l'autre bougeait.
J'aurais pu jouir mille fois tellement cette situation et ses détails, étaient excitants. Mais je me contenais. Je voulais en profiter le plus longtemps possible.
On a sorti nos queues roides d'elle. Jamais, je crois, je n'avais été aussi dilaté. La blonde a changé de préservatif, moi ce n'était pas nécessaire. La femme du patron, ou son employée est venue se mettre à quatre pattes sur le lit, et on a interverti nos positions. Elle s'est couchée sur la trans qui a enfoncé son engin entre les lèvres de son sexe, pendant que moi, je remplissais son rectum. Troublé en pensant qu'une demi-heure plus tôt, un autre homme y était.
On l'a fouillée à n'en plus pouvoir. On avait envie que ça dure, et en même temps conscience que ce temps allait prendre fin.
Elle nous a expulsés d'elle, s'est redressée, et a arraché les deux gaines de latex avant de nous faire venir vers elle. On lui a offert nos deux queues congestionnées. Elle les a masturbées et léchées en même temps, et le résultat ne s'est pas fait attendre. Des torrents de sperme se sont mêlés sur son visage et dans sa bouche.
Elle a avalé tout le sperme qui avait rempli sa bouche, mais elle a aussi récupéré celui qui couvrait son visage, et elle a bien lapé nos queues pour cueillir les moindres bribes de semence.
Tout le long, un temps que j'ai pu mesurer après, on y avait bien passé une heure, elle avait gardé le caleçon accroché au-dessus des bottines, sans juger nécessaire de l'enlever. C'était d'ailleurs excitant que de la voir ainsi, avec le caleçon descendu, chiffonné, et les bottines à talons aiguille qui av aient remplacé les cuissardes...J'avais toujours remarqué que je préférais voir une fille avec du tissu sur elle dans des moments de sexe plutôt que totalement nue...
Une fois remonté le caleçon, elle s'est rendue compte de son erreur. Elle avait tellement mouillé que de grandes tâches sont apparues sur le tissu en plusieurs endroits.
— Je suis bonne pour une deuxième douche, mettre plus de vêtements à la lessive, et de nouveaux vêtements...Mais ça en valait vraiment la peine...
On l'a regardée s'éloigner, son cul charnu, nu sous le caleçon trempé, ondulant.
— Elle te rejoint souvent?
— A chaque fois...Elle aime les coups à trois...Mais elle vient aussi me chercher pour du sexe à deux. Elle m'a dit que baiser avec une fille dotée d'une queue lui procurait un plaisir très fort.
— Elle n'est pas la seule à le penser, j'ai répondu,
D'une manière assez incroyable, elle bandait encore. Je me suis penchée sur elle. Elle serait à moi cette fois. J'ai pris son gland dans ma bouche, et je l'ai frotté de la langue, pendant que je la masturbais. Elle a joui à nouveau, me remplissant la bouche de sperme, que j'ai avalé avec autant d'avidité que ne l'avait fait la blonde MILF.
— C'est la femme du patron ?
— Au départ, une simple employée et puis ils se sont séduits mutuellement. Rassemblés par une même passion pour le sexe.
— Oui, j'ai remarqué.
— J'aimerais te recontacter, j'ai dit, alors qu'on sortait de la chambre.
— Passe-moi ton téléphone.
Elle a ajouté, dans les contacts, un prénom, Vania, et un numéro de téléphone.
— Tu m'appelles, et on se retrouve ici. Tarif toujours identique.
Elle s'est éloignée. Je l'ai suivie du regard. Avant de sentir une main se poser sur mon épaule. Surpris, je me suis retourné.
La femme du patron. Douchée, sans aucun doute, et changée. Chemise rouge largement entrouverte sur des seins sans soutien-gorge et pantalon en vinyle ultra-moulant avec des escarpins noirs classiques mais avec des talons de dix centimètres.
— J'aimerais te revoir. Passe quand tu veux, je me débrouillerai pour qu'on ait un moment de sexe ensemble.
Décidément, au vide succédait le plein. De belles perspectives pour moi...

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