Après quelques expériences candaulistes plus ou moins heureuse , nous avons finalement rencontré un homme de couleur. Ce fut absolument stupéfiant, et bien des années après j'en garde un souvenir très vif.
Proposée le 11/07/2025 par Micch1954
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FHH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie
Il est des souvenirs qui vous reviennent toutes une vie , il y as les mauvais , ceux que l on a pris l habitude de chasser et les bons ceux que l on cajolent , qu’on aime voir revenir, que l on finit par embellir, que l’on se garde et que l’on se joue et rejoue dans la tête et même parfois le corps.
Et celui là c’était le souvenir d’un cri , un cri me direz vous , oui de ces cris qui commencent doucement , vont crescendo, que l’on finit par croire sans fin, de ces cris que l on imagine pas qu’un humain puisse crier. De ces cris qui vous emplisse de doutes , qui vous font osciller entre la perception d’une douleur intense ou d’un plaisir intense. De ce cri qui vous fait penser non on arrête là, mais qui dans le même mouvement vous paralyse dans l’espoir d’un chemin qui vous dit continue. De ce cri qui explose dans une apothéose , de ce cri incompréhensible , long et douloureux qui finit avec un seul mot compréhensible , Ouiiiiiiiii…….. libérant toute appréhension , ouvrant les portes d’une sauvagerie heureuse et démesurée.
Celui qui entend ce cri une fois , ne peut l’oublier, et c’était celui de ma femme. Nous avions dans ce temps une vie normale de couple , travail enfants, etc, une vie sexuelle plutôt monotone, et puis de l’un ou de l’autre est venu quelques écarts dans la vie conjugale, de tempérament plutôt ouvert et calme , nous en avons discuté, longtemps, pour convenir que notre épanouissement sexuel contribuait mieux à l équilibre de notre couple . c est comme cela que nous avons finalement versé dans le triolisme.
Gardant de temps en temps des expériences avec d’autres nous avons commencé à pratiquer avec un autre hommes. Il s’agissait d’un temps assez lointain, des résultats de rencontre via le minitel, vous en souvenez vous ??
Nous eûmes plusieurs expériences , avec des hommes, certaines superbes, d’autres moindres, mais nous trouvions notre équilibre la dedans. c’est comme le sport finalement ou presque , sauf qu’on mets toujours la barre un peu plus haute. Bien sur en tant que français moyen , m’est venu le fantasme des hommes de couleur. Ma femme me rappela qu’elle avait eu étudiante une relation avec un homme des iles et n’en gardait pas un souvenir très clair….
Au hasard des discussions Minitel , un certain pseudo sous le nom de Max se disant venant de Côte d’ivoire , se décrit comme quelqu’un de bien sous tout rapport. Nous avons gardé le contact pendant un ou deux mois , jusqu’au moment ou une décision fut prise d’une rencontre. Ma femme fut catégorique
_Je veux bien le rencontrer, discuter, voir faire un restaurant , mais je me réserve le droit de dire Oui ou Non quand je veux. Les clauses du contrat ayant été accepté par toutes les parties , il ne restait plus qu’à organiser.
Donc rendez vous fut pris , dans une grande ville , comme dans ce temps là dans un square , avec un journal sous le bras . Ma femme pour l’occasion n’as pas voulu jouer l’aguicheuse habillée jean , chemise à carreaux, j ai néanmoins noté le string sous le jean et le soutien gorge à balconnet .
Elle me dit
-Je ne veux pas jouer l aguicheuse, et voir s’il as vraiment envie de moi.
Il est arrivé grand svelte , bermuda, chemise blanche , béret , athlétique » Pascal ». Nous nous sommes présenté , il y as toujours une espèce de gêne dans ces rencontres , de prime abord, des silences, puis des discussions. C est vrai que ce n’est évident pour personne de se rencontrer dans ces conditions quand on connaît la suite possible. Mais finalement la conversation s’est mise en place, Oh des banalités, la ville , la météo, le choix du restaurant, etc. Au restaurant la discussion est devenus plus personnelle, la vie de chacun , les enfants, il avait été handballeur de haut niveau, et maintenant vivait comme coach sportif dans un centre de remise en forme. Et puis l’humour s’est mis en place entre nous, et nous avons passé une agréable soirée, chacun attendant le moment fatidique après dessert de savoir ce que Madame allait décider. Afin de les laisser seul un peu je suis aller aux toilettes et payer l’addition du restaurant .
A mon retour , je remarquais sa main posée sur la cuisse de ma femme, et c est ainsi que je posai la question.
-Pour moi c est ok , me tournant vers eux, et demandent de la tête à ma femme.
Elle Bredouilla
-Oui on peut essayer.
C est ainsi que nous nous sommes dirigé vers un de ces hôtels de banlieue ou nous avions réservé une chambre car somme toutes nous étions assez loin de cher nous et avions décidé que quoiqu’il arrive nous ne rentrions pas dans la nuit.
Le moment ou l’on rentre dans une chambre , un couple et un quasi inconnu est toujours aussi un moment étrange, chacun cherchant sa place , hésitant. Prenant les devant j’ôtais la veste de ma femme lui fit une bise dans le cou , la tournant vers Pascal, Il s’approcha d’elle me regardant me demanda je peux??
je lui répondis
-Demande à elle?
Il demanda elle ne répondit pas, mais lui s’approchant elle lui offrit ses lèvres , il l’embrassa d’abord délicatement, doucement puis de plus en plus fort. placé dans son dos à elle je vis qu’elle répondait. Ce fut un grand soulagement pour moi, je vis qu’elle était d’accord que Pascal lui plaisait . je me serrai derrière elle , la serrant contre lui, prise en étau entre nous deux, je la senti respirer de plus en lus fort. Finalement ces chambres sont tellement grandes qu’on as finis par tous basculer sur le lit en rigolant , elle se retourna vers moi m’embrassant , tout en l’embrassant j ai déboutonné sa chemise , dégrafé son jean , elle s’est retourné vers lui , il se sont encore embrassé , j’ai dégrafé son soutien gorge, déjà il la pelotait dans tous les sens en lui roulant pelle sur pelle . Il as essayé de mettre sa main dans son jean , pour les aider je me suis lever et je lui ai tiré son jean , enlever ses chaussettes, et elle est apparue chemise ouverte, les seins à l air, en string.
Pascal s’est reculé , a enlevé sa chemise son pantalon et as dit magnifique, tu es magnifique en se jetant sur ses seins qu’il as dévoré . Pour ma part je me suis déshabillé complètement et allongé le long d’eux. Déjà il lui fouillait la chatte avec sa main , elle respirait de plus en plus fort,
Pascal dit
Tu préfère comment en douceur , ou directif ? , devant l absence de réponse il éclata de rire et dit
-Alors avec votre accord ce sera directif .
Mais comme il avait déjà trouvé son clitoris, elle ne sut que répondre et très vite il l’as fit jouir.
Alors quelle se remettait de son orgasme, il se leva la prit par les jambes et la fit assoir sur le bord du lit, d’un geste preste il l’enleva son boxer et alors j'ai vu, j’ai fait l armée, j’ai jouer au rugby , donc aucune pudeur à être nu devant un autre homme et des bites j en ai vu, mais alors là cela sortait du commun quand même , un vrai chibre de black , dans les 20 cm , très large , un gros gland décalotté , je me suis dit , là cela vas être une vraie histoire . Il la tendue à ma femme vers son visage, ma femme n’est pas très suceuses c’est pas son truc, il s’en est aperçu tout de suite , prenant les chose en main il la prit par les cheveux et porta son gland vers sa bouche.
-Aller lui dit il , ouvre bien la bouche , tout à l heure tu en redemandera, elle ouvrit légèrement la bouche il y mis son gland, j ai vu qu’elle était obligé d’ouvrir très grand la bouche , et il lui as enfoncé tout ce qu’il pouvait en lui tenant la tête , il lui mettait la bouche très profond , j’ai vu les yeux exorbité de ma femme qui faisait des hauts le coeur, il ressorti , elle reprit son souffle ,
-Aide moi me dit il
j ‘étais derrière elle je lui ai pris les bras et les lui ai tenu derrière,
-Aller dit il vas y mange
et il lui remis dans la bouche , elle émettait des borborygmes , de déglutition , il allait et venait en elle.
Il ressorti ,
-Alors tu aime
C’est alors que je l'ai lâché, et que j ai vu que d’elle même elle allait le chercher et se le mettait en bouche, elle s’est mis à le sucer , l’avaler très profond, elle s’y donnait à fond , lui caressait les couilles, collé à elle derrière je lui roulait les tétons, me frottait à elle je bandais comme jamais.
-Pascal regardait et gémissait
OOOOO elle me bouffe , o que c est bon ,
Je la voyais le sucer frénétiquement, lui masser les couilles avec la main.
Il se dégageait, elle lui lécha le gland encore, mais une tension nouvelle se dégageait, d’elle même et j’en fut surpris elle se leva se mit genoux sur le lit .
Pascal se pencha vers elle , l’embrassa sur la bouche , et lui dit
-Maintenant on passe aux choses sérieuses n’est ce pas , elle hocha la tête . une question dit il
-Est ce que je peut me lâcher dans toi , cela me ferai vraiment plaisir et à toi aussi je pense .
Il me regarda , je lui fit signe que selon l’envie de ma femme.
-Oui ou non , si tu ne dis rien c est oui lui dit il?
Il est vrai que je vous parle d’une époque ou le Sida n existait pas
Elle prit l’oreiller et fourra sa tête dedans .
Il me fit signe de venir et de regarder, je voyais les grosse lèvres de la chatte de ma femme épaisse de chaque coté , il s’approcha et posa son gland délicatement. dès qu’il poussa elle fit
Oooooo, je vis les lèvres de sa chatte devenir si fine autour de sa queue, s’étirer encore et encore
elle n’arrêtais pas de gémir des Oooooo , qui devinrent des Aaaaaaa, puis finalement un cri d’abord bas puis de plus en plus haut et je voyais parce qu’il me le montrait son énorme queue qui rentrait de plus en plus.
Finalement il se retira un peu , revint , puis se retira, puis revint, se penchant sur ma femme il lui murmura
-Est tu prête ?
Me regardant il me dit
-J’ai compris quand elle ne répond pas c’est qu’elle est d’accord. Je vis ses mains attraper ce qu’on appelle à juste titre les poignées d’amour sur les hanches, il me regarda et s’enfonça d’un coup.
-Elle hurla , un hurlement de bête furieuse, j’en étais subjugué, atterré, cramoisi,
Il la tenait fermement profondément fiché en elle , je vis alors des muscles sur le dos de ma femme se mettre en boule, son bassin commençant à trembler , elle cria encore, et encore, et on finit par entendre
-Ouiiiiiiiiiiiii
Pascal se dégagea un peu se pencha
-Alors dis nous ce qui t'arrive , dis le
Il la percuta encore elle reparti de plus belle
-On t’écoute , on veut savoir, et lui frappa violemment les fesses.
il s’arrêta à mi pénétration
-On veut t’entendre, on veut savoir moi ton mari, si tu ne dis rien j’arrête je rentre cher moi .
-On entendit entre deux sanglots , une petite voix dire
-Je jouis , je jouis tu me fais jouir , de sur les coudes qu’elle était elle affala sa tête au sol , je vis nettement qu’elle montait ses fesses , qu’elle s’offrait complètement .
Et elle dit seulement
-Encore, vas y
Je fis signe de la tête à Pascal il l’enfourna , elle se remis à crier instantanément , Il me regarda et me dit
-Putain ce qu’elle est bonne, , tout en la baisant il lui disait , t’es bonne t’es trop bonne . elle criait hurlait, pleurait , les yeux dans le vide, il tapait dedans comme un sourd.
Bêtement je m approchais de son visage un peu apeuré , un peu angoissé par ses cris, ne sachant plus très bien si c’était du plaisir ou de la douleur.je cherchais son regard lui remontait les cheveux et lui demandais.
-Ca vas chérie ??
Elle me regarda l’air affolée, quasi hagard et me répondis dans un hoquet
-Chéri, chéri, il me baise, il me baise, je suis baisée chéri, je suis baisée, et elle se remis à crier.
Il cria lui aussi , en se fichant au plus profond, je vis nettement de derrière ses couilles qui remontait au maximum, Je savais qu’il se vidait en elle.
Il retomba sur le coté à bout de souffle, comme une folle elle se retourna , l’embrassa sur la bouche de toutes ses forces puis se mit sur le dos les jambes écartées, je pouvait voir le sperme de Pascal qui s’écoulait.
-Viens , viens vite , mon chéri , me dit elle, viens vite te rendre compte de ce qu’il m’as fait.
Je ne me fit pas prier , je l’ai prise de suite .
Je nageai dans le sperme de Pascal, son sexe élargi était d’une souplesse incroyable, du velours du satin, le bonheur suprême .
Elle me prit la tête et me dit
-Vas y mon chéri , vas y , je vous voir tes yeux quand tu jouis, vas y rempli moi aussi.
J ai hurlé à mon tour, je jouissais comme jamais, ma queue tressautait j avais l impression de vider tout mon corps en elle.
Je suis tombé sur le coté , Elle s’est tourné vers Pascal , s’est blottie contre lui. je me suis serré à eux, et on est resté un grand moment à reprendre nos esprits , tranquille.
Mais déjà des mouvements , je compris qu’elle avait la queue de Pascal dans la main et qu’elle cherchait le mienne de l’autre. finalement elle commença nous masturber tous les deux .
Elle éclata de rire et dit
-Quoi de mieux pour une femme que deux beau mâles avec elle. Vous m’avez très bien baisé, vous m’avez éclatée. Encore.
Se tournant sur le dos , elle écarta les jambes , viens Pascal dit elle je veux te sentir grandir en moi.
Son sexe était encore mou , il réussit à passer son gland, et s’allongea sur elle.
Il bougeait tous les deux doucement,.
elle riait,
-je te sens tu sais, je te sens , aller , viens, je te sens grossir petit à petit. Tu m’as eu j ai été à toi, mais là tu vas être a moi .
-Oui c’est cela tu grossi , tu es gros tu es fort, aller viens
Effectivement , il rebandait et se mis à la besogner , elle se remis à gémir mais elle se contrôlait.
Il lui dit
Sur un deuxième coup je suis intarissable , je vais te démolir
-Frimeur qu’elle lui dit , c est moi qui vais te démolir.
-Aller lui dis elle pas de quartier , lâche toi
Il s’est mis à la baiser comme un métronome , fort, elle gémissait
il lui dit
-Tu part là
-Ou je jouis , je suis en orgasme permanent, elle me prit la main, me regarda ,
-Merci Chéri, regarde comme il me baise, regarde comme je jouis et effectivement elle jouissait quasiment sans stop.
à un moment elle leva les jambes en l air
et lui cria
-Alors , alors qui c est le chef Hein, tu me baise vas y putaing vas y ,
Elle lui prit la tête comme à moi auparavant
-Je veux voir tes yeux Pascal , je veux les voir , je vous voir ton plaisir dans tes yeux, n’arrête pas je te sens tu es à moi .
Pascal se mit a délirer en dialecte de son pays.
-Aller Pascal lui dis elle, je te sens tu es gros tu es dur, tu n’en peux plus , tu vas exploser, tu es à moi , tu vas me remplir.
Et elle se mit à crier , Pascal grognât d’abord puis cria aussi , il était fou , il baisait à une cadence infernale , à bout de souffle , et d’un seul coup il se figea , son bassin cherchai à aller plus loin , il se vidait , encore et encore .
Ma femme revint elle la première, elle lui prit la tête l’embrassa sur le bouche ,
-Aller lui dit elle, aller encore, y en as encore , je veux tout , je sais que tu en as encore,
Il lui remis une rafale de coups ,
Elle cria
-Oui Pascal, Oui , aller encore, encore,
Il se releva sur les bras, la sueur coulait sur son dos , son front
-J ai finis
-Non dit elle y en as encore je le sais aller courage ce sera meilleur encore
-S’adressant à moi
-Aide le masse lui les couilles je veux tout
C’est comme cela que j’ ai pris ses couilles les lui ai bien remonté , et moi aussi de l’encourager, il se démena , à bout déforces, de souffle , à un moment il dit
-Tu as raison j en ai encore, aller on y vas .
Il se rua en elle comme un démon, elle se mis à jouir , lui prit la tête le regarda et lui dit
-Aller Pascal les yeux dans les yeux, vas y .
Il se mirent à hurler tous les deux ,
Pascal roula sur le coté , à bout de souffle .
Elle me prit le sexe me masturba deux ou trois fois, je n’en pouvais plus , mon sperme vola en l air , retombant sur son ventre.
On a tirer la couverture sur nous , et tous le monde s’est endormi enchevêtrer les uns dans les autres
On s’est revu pendant des années, bien sur il as finit par lui prendre son petit trou, puis au fil du temps notre liaison est devenue plus amicale que sexuelle, , marié il est même venu à la maison en vacances avec sa femme et ses enfants. Puis le temps as fait son œuvre , la distance s’est accrue et nous avons disparu les uns pour les autres , mais il me reste le souvenir de ces cris de ma femme.
Je ne savais pas alors , j’entendrai un cri peut être pire encore et que je réaliserai que ce cri venait de moi , alors que pendant un voyage commercial au Maroc, un marocain sut voir la faille homosexuelle en moi, et me déflora mon petit trou sans ménagement , mais c est une autre histoire.
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Commentaires de l'histoire :
hydrogenous
Très beau récit, bien raconté.....On aimerait avoir la suite (....Bien sûr, il a fini par lui prendre son petit trou.....).
Posté le 11/07/2025
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