j'ai "accompagnée" ma femme à un rendez vous avec son amant. Avant d'aller baiser à l'hôtel d'à côté, ils m'ont déposé dans un endroit où d'autres hommes m'attendaient pour s'occuper de moi..
Proposée le 16/09/2024 par Chantal
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominé
Personnages: Groupes
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme
Ses longs cheveux bouclés tombant sur ses épaules, une petite robe rouge très courte et ses talons claquant sur le sol d'un couloir sombre, Madeline me tirait au bout d'une laisse. le corps grand et maigre, les cheveux au carré, ma petite bite et mon grand nez, Je la suivais docilement à quatre pattes, nu comme un animal.
Au bout du couloir, son amant l'attendait en fumant une cigarette. ils s'embrassèrent fougueusement sans faire attention à moi puis elle lui dit:
"- j'ai réservé la chambre dans l'hôtel d'à côté et je t'ai ramené grand-nez comme tu m'as demandé."
- OK. On va s'en débarrasser vite fait et on y va.."
Nous descendions un grand escalier en colimaçon (pas évident sur quatre pattes) et nous arrivions à une backroom crasseuse qui puait la sueur et l'urine. de nombreux hommes plus ou moins vêtus se retournaient sur notre passage en nous toisant et en grommelant à mesure que nous avancions vers le fond de la pièce où m'attendait.. un carcan.
J'avais peur. de la sueur coulait le long de mon grand nez. Madeline m'enleva le collier de chien sans dire un mot, ouvrit le clapet du carcan et m'y installa. elle referma le clapet sur moi et je me retrouvais les mains et la tête entravés à hauteur d'entrejambes, le "cul en buse", les genoux calés sur une sorte de rehausseur, les pieds pendant derrière dans le vide. Elle s'éloigna un peu avec son amant et ils restèrent un moment face à moi pour ricaner devant ma posture ridicule. Les hommes autour de nous commencèrent à se rapprocher et à nous encercler en râlant comme des bêtes. certains portaient encore des vêtements mais la plupart étaient en slip ou déjà complètement nus.. et ils se tripotaient en me regardant.
Madeline et son amant regardèrent autour d'eux l'air amusés..
puis elle me dit:
"Bon bah on va vous laisser faire connaissance.."
Et ils s'éloignèrent en rigolant. la foule s'écarta un peu pour les laisser passer et ils disparurent dans la pénombre.
J'avais peur. je tremblais comme une feuille en pleurnichant comme une merde. tout autour de moi, des hommes se masturbaient, rigolaient, hurlaient des choses inaudibles. j'avais l'impression d'être au milieu d'une porcherie pleine de cochons en rut. j'étais à leur merci.
Tout à coups, un grand type baraqué, crâne rasé et le regard mauvais fendit la foule pour se retrouver face à moi. il me hurla dessus dans un langage incompréhensible et il contourna le carcan. je ne le voyais plus mais je savais qu'il était juste derrière moi. soudain, je sentis sa grosse main virile claquer contre mon cul. je gloussais. la foule rigolait et hurlait de plus belle. il me fessa encore et encore. sa main lourde claquais contre mes fesses à un rythme effréné. je subissais sans rien dire, je ne pouvais rien faire d'autre. il me cracha sur le cul et frotta vigoureusement sa grosse paluche entre mes jambes, allant de mon pubis à mon anus, en écrasant au passage mon ridicule petit zizi. je serrais les dents. il plaça son gland contre mon anus et enfonça lentement son énorme bite dans mon cul. je voulais restais digne mais je laissais échapper un long gémissement plaintif "haaaaan.." ce qui amusa beaucoup la foule de pervers autour de moi. et il m'agrippa les hanches et commença à me bourrer le cul comme un fou. il me mitraillait le cul de violents coups de bite sous les acclamations de la foule. les quelques mots que je pouvais distinguer étaient des obscénités
"Putain elle aime ça la cochone !", "salope !", "grosse putain !", "enculé !", "TARLOUSE !", "GRAND NEZ !"..
J'étais bombardé d'insultes et de crachats. je pleurnichais en serrant les dents pour ne pas hurler. il accéléra les coups de bite. il me secouait comme une poupée de chiffon. le carcan claquait dans tous les sens. je gémissais "han.. han.. han..". et il éjacula. il me mit encore quelques petits coups pour bien tasser le sperme dans mon cul et retira sa bite avec un bruit spongieux. j'avais l'impression de n'être rien. juste un trou puant dans lequel tout le monde pouvait se vider les couilles.
le sperme n'avait même pas fini de dégouliner de mon trou de cul qu'un autre type vint se coller derrière moi pour me glisser sa grosse bite entre les fesses. le carcan recommença à claquer au rythme de ses coups de reins brutaux. Mes jambes flagellaient. Je tremblais de partout. Attendant leur tour, d'autres hommes se masturbaient juste sous mon nez, me couvrant d'insultes et de crachats. Alors que j'ouvrais la bouche pour gémir comme une chienne en chaleur, l'un d'entre eux en profita pour y enfourner sa queue. Je fis un "O" avec mes lèvres pour éviter de le mordre sous l'effet de l'enculade. Il s'agrippa au carcan et fit de grands mouvements de bassin pour me la foutre au fond de la gorge. mon grand nez s'écrasait contre son pubis au rythme des va-et-vient. Je protestais:
"MMF! MMGLF! MMMFF!.."
Le type derrière moi commença à accélérer les coups de bite dans mon cul comme s'ils étaient en compétition. cramponné à mes hanches, il claquait sa bite de toutes ses forces au fond de mon trou de balle. mes grands pieds se balançaient dans le vide. Ses grosses couilles claquaient contre les miennes. ses puissants coups de bite faisaient vibrer mon petit zizi ridicule. Son énorme sexe allait et venait dans mon anus. Il me défoncait le cul. Puis il se mit à gueuler:
"RHÂÂÂÂÂÂ! PUTAIIIIN! prends la giclée dans ton CUL, GROSSE PUTAIN!!! hââââ.."
Il gicla dans mon trou de cul. mes yeux s'écarquillèrent, ma tête vibra et l'autre type que j'étais entrain de sucer éjacula si violemment dans ma gorge que son sperme me ressortit par les narines:
"HAAAAA! putain ça vient.. avale tout grosse PUTE! AVAAAAALE! AVAAAAAAALE ! haaa.."
Il se retira et partit tranquillement en s'essuyant le sexe alors que son sperme puant dégoulinait de ma bouche et de mon grand nez. je fermais les yeux quelques secondes et me mis à penser à ma femme Madeline qui devait être entrain de niquer avec son bel amant qui la faisait jouir, les cuisses écartées, les jambes en l'air sur le lit d'une chambre d'hôtel à quelques pas d'ici..
Je fus réveillé par une giclée de foutre sur mon gros pif. J'ouvris les yeux pour voir un type gras et velu qui finissait d'astiquer son sexe gluant à quelques centimètres de mon nez en me regardant d'un air ahuri. Je sentais des mouvements de bousculades autour de mes fesses et un troisième connard se positionna contre mon cul, y colla sa grosse bite et commença à m'enculer. le carcan claquait de nouveau. une grosse guirlande de foutre se balançait sous mon nez au rythme des coups de bites. je serrais les dents pour ne pas hurler mais laissais échapper des gémissements obscènes qui ressemblaient à des couinements de truie en chaleur "GNIIII GNIIII GNIIIII".. des bites. des grosses bites tout autour de moi. des grosses bites dans mon cul, dans ma bouche. des grosses bites qui me giclent dessus. du sperme.
et ça continua comme ça pendant des heures..
Le regard éteins, le visage renfrogné sous des couches de sperme puant, je subissais les assauts d'un autre gros porc qui finissait de se vider les couilles dans mon trou de balle. en quelques heures, j'avais compté que 32 hommes m'avaient enculé. et j'avais dû sucer une vingtaine de bites. il éjacula. je soupirais en fronçant les sourcils. il n'y avait plus grand monde autour du carcan, la plupart étaient partis discuter joyeusement en se bourrant la gueule au fond de la salle. les derniers hommes qui restaient tournaient autour de moi en me regardant d'un air dégouté. ils ne voulaient plus me toucher, j'étais trop SALE. je puais la bite. l'un d'eux éructa:
"Putain qu'est ce que ça pue.. t'as pas honte SALOPE ?!"
Je baissais les yeux. ils éclatèrent de rire. puis il se pencha vers moi et me fixa droit dans les yeux et dit:
"T'as vraiment un trèèès grand nez.."
Le type juste derrière lui ricanait frénétiquement. puis il se redressa et dit:
"Regarde moi, ch'uis un bonhomme moi. ch'uis un vrai beau gosse. regarde toi, t'es RIEN à côté de moi! t'es personne. une merde.
t'as compris enculé ? t'es une MERDE."
il insista:
"T'as compris ou pas ? Réponds moi ou j'te défonce la gueule à coups de pompes. T'es un homme ou une merde ?
Allez réponds enculé ! T'ES UN HOMME OU UNE MERDE ?"
Je tremblais, pleurnichais et ça avait l'air de beaucoup l'amuser. mais il attendait une réponse et j'avais peur, alors je bredouillais:
"j.. j.. je.. je suis une merde."
ils éclatèrent de rire. il avait l'air satisfait de ma réponse et il allait s'éloigner quand mon ventre commença à gargouiller bruyamment. les litres de sperme accumulés dans mon estomac et dans mon intestin demandaient à sortir. alors il revint vers moi et s'accroupit devant moi, les bras croisés sur ses genoux et me fixa droit dans les yeux et dit avec un sourire sadique:
"bah alors grosse cochonne, t'as trop d'foutre dans l'cul?"
il me souriait et je grimaçais en serrant les dents. j'étais tout rouge, je tremblais. je sentais mon anus se dilater. je n'en pouvais plus. je fermais les yeux, serrant les poings. tout mon corps se contracta, ma tête vibra et je lâchais un énorme pet foireux qui résonna dans toute la salle (PRÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔUTT). une guirlande de sperme me gicla du cul. tout le monde éclata de rire. je gémissais de honte "hâââââââââaaa.." mon ventre gargouilla encore et je me remis à péter de plus belle (PRRRÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔUT) en gémissant "HÂÂÂÂâââAAaaa.." juqu'au fond de la pièce tout le monde se marrait et applaudissait en gueulant mais les rires couvraient à peine le bruit de mes énormes pets. (PRÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔUTT)"HÂÂÂÂâââAAaaa.." mon trou de cul béant vibrait et vrombissait à chaque fois que je pétais. le sperme coulait abondamment le long de mes cuisses et je sentais qu'une épaisse flaque gluante se formait sous mes genoux. (PRÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔUTT)"HÂÂÂÂâââAAaaa.."les gémissements que je poussais à chaque pet amusaient beaucoup l'homme en face de moi qui m'imitait avec une voix nazillarde "hiiin.. hiiiin.. hiiiiin..". j'étais terrorisé, ma tête vibrait, tout mon corps tremblait alors que je chiais des litres de sperme (prôôôt prôôôt PRÔÔÔÔÔÔUT PRÔÔÔÔÔÔÔÔÔUTT PRÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔUTT PTTRRRRRRRRRR..). je pleurnichais comme une merde. j'avais honte. je puais le cul et la bite. toujours en face de moi, l'homme me dit:
"Putaiiin tu nous a fait un d'ces feu d'artifice ma cochone. et bonjour l'odeur putain! tu pue comme un chiotte, grosse dégueulasse va.."
Puis il se leva, déboutonna son pantalon, sortit sa queue et urina sur moi. son jet de pisse en plein sur mon gros nez. je fermais les yeux, espèrant me réveiller de ce cauchemard en gémissant d'humiliation..
"rhâââââââ.. rhââââââââââ.."
J'entendais les rires tout autour de moi de plus en plus fort. et plusieurs autres jets de pisse partout sur mon corps. sur ma gueule, sur mon grand nez, sur mon cul. la pisse coulait abondement le long de mes jambes et sur mes grands pieds puants. je tremblais de partout. mes cheveux étaient trempés. ça puait.
puis ils secouèrent leurs dernières gouttes, me crachèrent dessus puis s'éloignèrent tous en silence. on entendait plus que mes gémissement et le clapotis de la pisse qui finissaient de dégouliner de mon corps dégueulasse.. "heuu.. heuu.. heu.." je restais là pendant des heures, croupissant dans la pisse et le sperme.
Tout à coups, un flash me fit reprendre conscience. je levais timidement la tête. Madeline se tenait fièrement face à moi son portable à la main. elle me dit en souriant:
"T'es mon nouveau fond d'écran.."
Dans le fond de la salle, son amant discutait avec un homme en costard (sûrement le gérant de cet endroit) qui lui fila une liasse de billets. elle me fixait d'un air sadique en ricanant
"Bah dis donc, j'ai l'impression qu'ils t'ont pas respecté.. hein? pff ch'uis sûre que t'as pris ton pied en plus, hein grosse cochone ? pff.. tarlouze va.. PERVERS."
Puis elle fit le tour du carcan. elle s'arrêta derrière moi et éclata de rire
"ah ouais! AH OUAIS QUAND MÊME!! HA HA HA! putain le trou d'balle! le cratère MDR tu t'es fais défoncer COMME-UNE-PUTE."
Elle prit quelques photos et revint en face de moi en ricanant. elle rangea son téléphone dans son sac à main et sortit une paire de gants en latex qu'elle enfila. elle ouvrit le carcan, me détacha et m'aida à me relever, je tremblais comme une grosse merde elle grimaça
"Putain t'es dé-gueu-lasse. j'espère que t'as honte au moins ? Hâââ et puis cette odeur franchement pfff.."
Elle me remis le collier de chien autour du cou et tira la laisse pour me faire avancer
"Allez sale bête ! en route !"
Toute la salle se mit à rire et je réalisais alors qu'ils ne m'avaient pas encore vu "debout". je baissais les yeux vers mon entrejambe et constata que mon petit zizi était complètement rétracté par le stress. il avait presqu'entièrement disparu sous ma touffe.
J'avançais en titubant derrière elle, le dos voûté, la tête basse sous les rires, les crachats et les sifflets.
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