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Comment se défendre quand on est accusé de viol. 4

Nous sommes trois pour vérifier l'alibi de Pascal. En fait d'alibi, nous nous concentrons plutôt sur l'outil présumé du délit. Il est gros, long, rigide, dur et d'une extrême douceur. Et en plus de ça il est infatigable, l'idéal pour trois femmes en chaleur.

Proposée le 6/08/2024 par mlkjhg39

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Comment se défendre quand on est accusé de viol. 4

Comment se défendre quand on est accusé de viol. 4

- Je crois bien que nous pouvons t'aider sur ce coup-là ! Regardez les filles, il frétille d'excitation, sa queue semble encore s'étirer.
Sous la paume de sa main, Pascal en profite pour s’enhardir jusqu’à glisser ses doigts dans le sillon de nos fesses, poursuivant une investigation précautionneuse vers nos intimités sur lesquelles il s’immobilise, provoquer une anodine crispation des cuisses et un gémissement de satisfaction de l’une ou de l’autre. Il caresse subrepticement le trou de derrière sous les encouragements de Francine, l’explorant d’un majeur conquérant.
-Tu sais y faire, j’aime beaucoup la délicatesse de ta main, tu es parfait.

Suite :
Pascal lui malaxe maintenant les seins aux pointes dures de ses doigts agiles, mais moi je suis de plus en plus attirée par cette énorme matraque esseulée et je m’imagine le plaisir que je pourrais ressentir à me faire pénétrer par ce monstre, des sensations que pourrait me procurer une si grosse queue dans ma chatte. Mon ventre brûle de désir, une énorme démangeaison tiraille ma vulve que je sens grande ouverte et dégoulinante de mouille. Les lèvres grandes ouvertes de ma chatte sont parcourues de spasme de désir. J’attends d’être fendue en deux par ce gourdin qui pénétrera mes chairs enflammées. Comment vais-je réagir avec ce monstre que j’ai sous les yeux et que je prends entre mes doigts pour tirer sur le prépuce et décalotter le gland congestionné, aussi imposant qu’une grosse prune.
-Assez jouer les filles, mes mains et ma bouche sont rassasiés mais une autre partie de mon corps piaffe d’impatience ! Mettez-vous couchées sur le dos, les fesses dans le vide et prenez vos jambes avec vos mains pour que je puisse passer aisément de l’une à l’autre.

Nous nous empressons de lui obéir, offrant lubriquement notre fondement à sa lubricité. Pascal s’approche et se glisse entre les cuisses de Francine, frotte son dard plusieurs fois sur ses grandes lèvres puis s’immobilise, le gland prêt à pourfendre sa première proie. Il pose ses mains sur les mollets de Francine et donne un coup de reins d’une extrême lenteur faisant disparaitre uniquement l’ogive violette dans son con qui en épouse la forme en s’évasant.
-Oh putain ! Lâche-t-elle, Oh putain ! ça c’est de la bite !

Martine et moi profitons du spectacle grâce à un jeu de miroir judicieusement bien placé. Des petits cris de plaisir sortent sans discontinuer des lèvres de Francine à mesure que Pascal s’enfonce dans sa matrice mais malgré son tabernacle sans fond, les derniers centimètres de cette formidable verge ne peuvent s’y insérer. Le flux et reflux de la pénétration, le frottement du pénis qui distend ses muqueuses comme jamais la force à se retenir le plus possible mais elle sent tout doucement se rapprocher au bout de quelques minutes de ce traitement un orgasme monumental qui commence à la submerger, elle ressent la lente mais inexorable montée du plaisir. Elle hurle lorsqu'elle arrive à la jouissance, des sensations merveilleuses lui font atteindre un crescendo assourdissant. Elle se sent flotter au-dessus du sol, planant là pendant un moment interminable. C’est comme si la jouissance l'enveloppait d’une ouate épaisse. Son corps frissonne et s’arque, au paroxysme de sa jouissance, elle vide l'air de ses poumons d'un puissant cri. Je devine ses muscles vaginaux se contracter plusieurs fois autour de l'énorme circonférence de la dure bite palpitante de Pascal. J’attends que son foutre coule à flot, ses hanches s’activent pour enfoncer le pieu au plus profond de son vagin sa lance prête à jouir, mais non…
- T’es belle quand tu jouis, fait remarquer Pascal, tu es très sensible, tu es vraiment chaude mais tes copines sont aussi affamées après avoir branlé ma queue, et me regardant droit dans les yeux, tu la veux aussi ma grosse queue dans ta chatte ? Tu as tant aimé me branler la bite et tes nibards ont bien aimé ce que je leur ai fait subir, ils en veulent plus comme ta fontaine aux plaisirs qui bave d’envie que ça en dégouline sur tes cuisses et inonde mes draps.

Il se retire du sexe endolori et baillant de Francine et vient entre mes cuisses. Ça va être mon tour…
L'énorme phallus se dresse toujours fièrement. Je suis à sa merci, nue devant lui, les seins offerts, les cuisses ouvertes, immobile, les yeux fixés sur son pénis, heureuse mais apeurée de la suite qui se profile. Je le saisis d'une main comme il me le demande et guide sa bite vers ma chatte offerte. J’attends la sensation de pénétration de cette formidable queue, mais c’est sa main que je sens.

-Ta chatte est belle et si appétissante, ton clito s’est refermé comme une huitre, comme un escargot qui rentre dans sa petite coquille mais je vais arranger ça. Je vais le faire s’ouvrir et baver de désir, tu sens mes doigts qui montent et descendent le long de ta fente, c’est agréable non ? Je remonte plus haut et appuie sur le capuchon de ton clitoris doucement en le frottant et le pinçant doucement, je le décalotte comme une petite bite pour qu’il grossisse comme ma queue. Tu le sens durcir ? Il est devenu hyper sensible en se gorgeant de sang comme ma verge. Je redescends caresser ta moule qui s’ouvre de nouveau. Ouvre bien tes cuisses maintenant car c’est mon gourdin qui prend le relai.
Tu es une petite vicieuse et une bonne branleuse qui aime faire juter les mecs, t’es déjà complètement trempée. Tu mouilles d’avance de sentir ma grosse bite te labourer ta chatte en chaleur non ? Regarde, les tétons de tes nibards sont tout tendus, tout durs ils pointent à mort.

Sans ménagement il vient de pincer entre ses pouces et ses index mes tétons si durs et si sensibles déclenchant une onde de plaisir qui me vrille le corps. Je rejette ma tête en arrière alors que sa queue avance jusqu'à frôler ma vulve. Ma chatte projette alors une quantité de mouille à l’instant même où il m’empale d’une seule poussée. J’explose comme un fruit trop mûr. II se retire alors puis pousse lentement son énorme pieu dans mon conduit centimètre après centimètre.
Je sens sa bite m'envahir, contractant puis relâchant mes muscles intimes dont je n’ai plus la maîtrise, lui broyant sa poutre et ne facilitant pas une pénétration aisée. Je prends enfin pleine conscience de la masse imposante du pénis de Pascal à l'intérieur de ma chatte. II attend un moment que les spasmes de mon fourreau se calme et reprend des allers-retours dignes d’un métronome, ce qui est loin de calmer la friction de mon conduit sur sa queue d’étalon.
Ses doigts pincent toujours mes tétons, les tirant, les tordants doucement, envoyant des ondes de plaisir et de douleur dans tout mon corps qui accompagnent celles dans mon bas- ventre qui coule comme une fontaine, il donne maintenant des coups de boutoir mais pas une seule fois je sens ses couilles taper sur mon cul. Comme Francine, je ne suis pas assez profonde pour supporter la totalité de sa pine en moi dont la tête essaie de défoncer mon utérus. Quelques pénétrations plus tard, j’attends qu’il se répandre en moi, qu’un jet de sperme jaillisse à l'intérieur de ma chatte pour que je me délecte de sa semence. il sort alors rapidement sa bite de mon sexe et j’espère alors qu’il pulvérise son sperme sur ma généreuse poitrine mais comme Francine, je reste sur ma faim.
Il presse son mandrin d'une main pendant un moment pour se calmer puis me quitte et se dirige entre les cuisses de Martine. C’est la plus menue de nous trois et sa chatte est en proportion, elle risque de dérouiller salement.
Pascal entre doucement son dard, bandé maintenant sans discontinuité depuis maintenant quasiment une heure. Elle a mal et grimace, mais à mon grand étonnement il entre relativement aisément son pieu dans cette minuscule grotte qui se déforme au-delà du possible et la baise lentement en la tenant par les chevilles. Mais Francine décidément insatiable s’est glissée entre les jambes de Pascal pour essayer de lui bouffer les couilles. Pascal en profite pour se faire huiler la pine d’une bonne dose de salive avant de replonger dans la caverne restée béante de Martine, lui pinçant ses tétons, on dirait qu’elle apprécie ça elle aussi. Je vois son visage se crisper, elle va jouir, mais il n’en tient pas compte et continue de lui ramoner la chatte, elle ferme les yeux et jouit dans un hurlement digne d'une louve, les voisins vont apprécier mais ils doivent être habitués avec Pascal...
Il la prend d’un long mouvement régulier qui résonne jusque dans ses entrailles, s’immobilise puis recommence à lui fait l’amour, longtemps, patiemment, guettant l’orgasme qui la saisit une première fois, il la regarde jouir les yeux mi-clos.
Il la prend ensuite en levrette, je crois qu’il fait ça pour décharger à son tour, mais il ne semble toujours pas pressé, désireux surtout de la faire jouir de nouveau, en tous sens, à tous les rythmes, jusqu’à ce qu’elle s’abandonne une deuxième fois.
Elle s’immobilise, épuisée, reprenant son souffle et lui demande, étonnée :
-Tu n’as toujours pas joui…
Il se contente de sourire, mystérieux et continue à la saillir. Ça fait maintenant plus de quatre heures que nous sommes chez lui, et hormis notre petite pose pour reprendre des forces, notre étalon est toujours vaillant avec ses trois pouliches.
La tension monte de plus en plus, les vibrations et les mouvements de Martine sont accordés au piston géant qui la perfore à tout va, déclenchant de nouveau son orgasme.
On dirait que Pascal veut en finir, il entame une cavalcade effrénée dont Martine se souviendra. Elle écarte encore plus les jambes et il lui pilonne le sexe. Elle sent avec plaisir cette grosse queue dans son con et je vois bien que le plaisir qu’elle y prend est indescriptible. Quand elle jouit à nouveau, l'orgasme semble ne plus s'arrêter.

A suivre…

Ps : Certaines personnes se servent de mes textes pour fantasmer comme bon leur semble. Elles n'iront donc pas chercher plus loin. Souvent on me reproche dans mes histoires que le héros soit souvent un homme bien membré. Pour ma défense, je les incite à lire ce qui suit.

Pour les petits curieux et curieuses, je vais vous donner le moyen de pouvoir visionner ces deux vidéos et vous pourrez vous faire votre opinion par vous-même. Alors ! Suis-je un homme comme on en rencontre tant ou alors comme a dit la femme d’un couple qui m'a contacté : « Ce n'est pas un homme, c'est un cheval ! »
Je vais joindre aussi une troisième vidéo qui vous indique comment prendre les mensurations d’un homme et sur laquelle je me suis appuyé pour ma démonstration puisque c'est moi qui l’ai postée sur le net.
Pour la première vidéo, il suffit de taper sur votre clavier « MLKJHG 39, hors-normes » et de regarder la cinquième contribution.
Pour la deuxième vidéo, tapez sur votre clavier : « belles éjaculations au ralenti » Du même auteur et dites-moi ce que vous en pensez.
La troisième vidéo que je vous préconise s'intitule : « comment mesurer sa bite » par MLKJHG 39.

Je sais bien que tous les hommes accusés de viol ne peuvent pas comme moi prouver aussi facilement leurs dires. Mais la description la plus détaillée possible de votre anatomie apporte de l'eau à votre moulin et peut prouver qu'il n'y a pas eu de rapport. Bien entendu, dans un cas de rapport consenti ou non consenti, ça ne marchera pas.

Un citoyen qui a lavé son honneur….

Bien entendu, cette histoire n’est qu’un fantasme de plus d’une imagination débordante pour votre plus grand plaisir. Vos commentaires seront les bienvenus.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
grosse gourmande, elle a les yeux plus gros que la bouche
Posté le 12/08/2024

Anonyme
texte ou image, je kiffe.
Posté le 6/08/2024


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