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Petite fleur des iles. 10

Ca y est, toutes les filles du voisin veulent être à la fête. Elles jouent d'un subterfuge pour que Xavier ne se rende-pas compte de ce qui l'attend. Mais quand on tirer le diable par la queue, il ne faut pas se plaindre après de ce que l'on tient dans ses mains.

Proposée le 6/06/2024 par mlkjhg39

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Petite fleur des îles. 10

Les dernières paroles d’Océane et Isis dans la saga : Le gourdin de tonton :
Vous rappelez-vous de nous ? Les sœurs de Maeva dans « petites fleurs des iles » ?
Avant de nous retrouver au bord de la piscine, il s’est passé bien des choses que nous n’avons pas encore racontées. Vous ne croyez quand même pas que nous nous sommes contentées de branler et sucer son énorme dard. Mais il a fallu être opiniâtres et aussi vaincre notre appréhension d’avoir comme partenaire un homme qui a pratiquement trois fois notre âge mais qui réduit nos partenaires sexuels de notre génération au rôle de petits garçons à peine pubères qui ne peuvent tenir la comparaison tant par leurs actes que par leurs sexes ridicules par rapport à celui de notre voisin, sans parler de l’endurance incroyable de Xavier.
Il est temps de vous le conter.
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Maeva :
Ça y est, c’est fini… Je dois regagner ma chambre libérée par mon père, les travaux sont finis.
C’est pas possible… Comment vais-je pouvoir vivre en sachant qu’à moins de cent mètres de chez moi vit un homme, un mâle, un étalon qui n’attend qu’une jument, ou plutôt une jeune pouliche vigoureuse comme moi. Et surtout où vais-je retrouver une telle bite ? Comment… comment ?...
Et d’après ce que me disent Océane et Isis, je ne suis pas la seule à rêver de notre voisin…

LA suite :
La parole est à Océane et Isis.
-Quelle expérience, Isis ! Mais il ne sera-pas dit que seulement Maeva profite de notre voisin. J’ai déjà connu le loup, mais pas le chef de la meute. Pourquoi se contenter de l’ordinaire quand on a à portée de main un tel étalon ? Quand penses-tu, sœurette ?
- Tu as raison Océane ! Mais moi je suis encore pucelle et avec Xavier ça risque de ne pas être de la tarte.
-C’est très ambitieux, je te le concède. Mais putain ! Pour ta première fois, tu pourrais tomber plus mal. Un petit con qui ne pense qu’à lui, qui te tronche à la va-vite pour jeter sa gourme et te laisser tomber comme une vieille chaussette sans penser à ton propre plaisir. Ou alors un autre qui bande mou ou qui a une nouille digne des statuts grecs. Quitte à perdre son pucelage, autant que ça soit avec Xavier, tu sais déjà à quoi t’en tenir.
-C’est bien ce qui me fait peur Océane, Tu as vu la taille de son engin ? Un vrai gourdin ! Et il est loin de bander mou, lui !
-Oui ! Il faut que je parle à Maeva, quitte à lui mettre le couteau sous la gorge en la menaçant de tout raconter à papa. Voilà ce que je vais lui demander de faire… Ssssssssssss, (nous le saurons bien assez tôt).

Océane :
Ça y est. Maeva vient de traverser la rue pour retrouver Xavier, profitant que notre père est parti bosser à Saint Claude, capitale pour la taille du diamant dans le temps, mais aussi de la taille de la pipe, bien que plus guère d’artisans de nos jours puissent encore en vivre. Nous attendons quelques minutes et la suivons discrètement.
Comme convenu, Maeva lui a demandé si elle pouvait l’attacher sur le lit, formant une croix de saint André avec son corps. Elle a pris de grandes écharpes dans son armoire pour attacher ses chevilles et ses poignets aux montants du lit. Ensuite, elle lui a mis un foulard de soie qui cache le haut de son visage et un casque pour lui passer de la musique. Il est donc là, à la merci de Maeva, et aussi de nous. Mais que fait-elle ? Elle prend ce sexe flasque qui dépasse sans problème sa main serrée sur la hampe de quelques centimètres et de l’autre main approche un anneau métallique. Tout doucement, elle le fait glisser jusqu’à ce qu’il soit au niveau de ses couilles. (Pour info : véridique, l’anneau en fer mesure 3,4 cm de diamètre soit 10,68 cm de circonférence, contrairement à celui en caoutchouc qu’a employé Xavier avec ses nièces de 4,7 cm de diamètre et 0,5 centimètres d’épaisseur soit 14, 766 cm de circonférence dans le gourdin de tonton 12. Voir la vidéo ; éjaculations sans les mains ; mlkjhg39, les premières secondes, ou de 15 à 21 cm).
-Qu’est-ce que tu fais ? Non ! retire-ça tout de suite ! Crie Xavier en remuant dans ses liens.

Mais elle n’en a cure et quand enfin Maeva commence à branler la teub de Xavier, la réaction de ce sexe au repos est fulgurante. A chaque mouvement de sa main, l’organe réagit et la turgescence de ce sexe devient de plus en plus apparente, le sang ne pouvant refluer tellement l’anneau comprime sa base au niveau des bourses. J’ai encore en tête la vision de ma première découverte de ce bouc en rut l’autre jour, mais là, c’est encore pire. L’anneau lui rentre dans les chairs tellement la teub a pris des proportions effrayantes, faisant au moins cinq à six centimètres de plus en circonférence que cet instrument de supplice. Les veines qui parcourent sa queue sont dilatées au point de risquer d’exploser. Même Maeva a de grandes difficultés devant ce chibre trop massif pour sa petite bouche et ne peut en gober que le gland devenu cramoisi et énorme. Cette petite salope a fait ça pour nous effrayer et nous décourager d’aller plus loin, et je ne suis pas loin de lui donner raison.
- Jamais je ne pourrai supporter ça ! Me glisse Isis dans l’oreille. Elle est trop énorme ! Et d’ailleurs Xavier lui-même se plaint.
-Petite salope ! Tu avais préparé ton coup, hein ! Ça me scie la pine mais tu vas toi aussi dérouiller !

Elle nous demande d’approcher en silence comme l’autre jour pour prendre en main cette colonne de chair. Elle est brûlante, toujours aussi douce mais d’une dureté incroyable. Mes doigts paraissent minuscules autour de ce sceptre érigé et même en les serrant autour, c’est à peine si je peux en réduire le diamètre. Et c’est encore pire pour Isis, plus fluette et aux attaches très fines, son poignet est plus fin que cette poutre de chair. Nos deux mains droites superposées ne peuvent empêcher Maeva d’embouquer le gland de Xavier dans sa bouche avide.
-Mais ! Mais ! Putain Maeva ! T’es vraiment une petite vicieuse ! Tu peux m’enlever le foulard et le casque. Tu as encore dévoyé tes sœurs, hein ?

Sans cesser son œuvre, elle tend le bras gauche pour retirer à l’aveuglette le casque et le foulard de la tête de Xavier. Il n’est donc pas étonné de nous voir, complètement hypnotisées par ce membre qui nous fait presque peur et nous informe :
-Je ne sais pas ce que projette votre sœur mais maintenant il n’y a que deux solutions pour que je puisse retirer cet anneau qui me scie la pine. Vous me laissez et au bout d’un long moment je débanderai ou alors il faut me faire juter pour vider mes burnes suffisamment pour dégonfler le tuyau. Détachez-moi d’abord !
-Non ! Il n’en est pas question ! Le coupe Maeva. Tu es notre esclave et tu n’as pas la parole. Et je veux voir comment mes sœurs vont s’y prendre avec toi et ton bélier. Je ne croyais pas que ton chibre prendrait une telle ampleur.

Xavier sourit et se laisse faire sachant que pour le moment il n’a pas d’autre choix. Comme la dernière fois où Isis et moi avons été confrontées à son organe, nous nous évertuons sans discontinuer à l’amener au plaisir mais contrairement à l’autre jour pour un piètre résultat. La bouche d’Isis est ouverte à son maximum pour gober le gland et ses dents écorchent la peau si fine où suinte une goutte de sang.
-Eh doucement Isis ! La rabroue Maeva, Ce n’est pas un cochon qu’on égorge ! Fait attention, merde !

Xavier grimace enfin au bout de dix minutes sans une seule seconde de répit car nous nous relayons parfois à plusieurs sur cette poutre qui ne veut décidément pas libérer sa gourme. Il râle quand ses bourses font leur boulot et alimentent le tuyau. Mais il faut une telle pression pour passer le barrage de l’anneau que contrairement à d’habitude, seulement quelques gouttes de sperme suintent sur son gland. La pression doit être si énorme que son éjaculation n’a aucun effet sur la turgescence de ce pieu noueux comme un cep de vigne aux veines encore plus dilatées.
Je ne sais même pas s’il s’en est rendu compte vu qu’il y a toujours l’une d’entre nous assise sur son torse pour se faire dévorer la minette et sa peau brille de nos libations de cyprine pour abreuver sa soif. Mais il est temps pour moi d’affronter l’adversaire. J’enjambe son corps regardant le dos d’Isis qui se fait dévorer la chatte par Xavier, Maeva redresse à la verticale l’obélisque de chair à la dureté de pierre, caresse ma vulve avec le gland avant de le présenter entre mes petites lèvres. J’ai déjà chevauché un homme, mais la comparaison s’arrête là. Je me laisse descendre et la main d’Océane bien qu’elle ne serve plus à rien me rassure car ça limite pour le moment la pénétration possible avec un tel pal. Je ne suis plus pucelle mais la sensation est la même que cette première fois. Mes chairs son boutées par cet intrus hors norme. Je me mors la lèvre inférieure avec mes dents et en brave fille continue la descente jusqu’à ce que mon pubis vienne en contact avec la main d’Océane qui la retire enfin. Je reprends ma progression mais stoppe presque aussitôt car son gland bute au plus profond de moi, malgré mon bon-vouloir, je ne peux accepter en moi la totalité de sa verge et que dire de sa grosseur ? Maeva me fisterait que je n’en éprouverais pas plus de sensations. Un mélange de peur, de victoire, de douleur et de plaisir.
Heureusement qu’il est attaché et que j’ai « la main pour tenir le manche », enfin vous voyez ce que je veux dire…Je ne mets pas longtemps avant de dégouliner comme un chéneau percé. Ça a au moins l’avantage de faciliter la friction entre nos deux sexes. Je m’escrime un long moment avant d’entendre Xavier baragouiner quelques mots déformés par la chatte d’Isis.
-Je fais chouir, je fais chouir…

A suivre…

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
courageux, l'ancien
Posté le 8/06/2024


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