Depuis que mon beau-frère est entré dans ma vie, je ne rêve que d’une seule chose : l’avoir pour moi tout seul. Est-ce que cela finira par arriver ? Venez le découvrir.
Proposée le 7/05/2024 par Neptune
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
C’était le mois de juin et il faisait déjà très chaud. J’étais en train de regarder la télé quand mon téléphone vibra sur mon ventre. C’était un message de mon beau-frère.
Ma Soeur et mon père étaient partie à Rome pour le week-end. Ils étaient très fusionnel. On m’avait proposer de venir avec mon beau-frère et moi mais nous ne pouvions pas à cause du boulot.
Il n’était pas réellement mon beau-frère car ma Soeur et lui ne sont pas mariés mais nous avons pris l’habitude de nous nommer ainsi quand nous parlions l’un de l’autre a une tiers personne.
Nous avons toujours été plutôt proche lui et moi, bien que les débuts aient été très difficiles. Les premières années de sa relation avec ma Soeur nous ne pouvions pas nous voir en peinture mais les liens ont fini par se tisser.
Nous habitons dans le même bâtiment. Ma Soeur et lui habitaient dans l’appartement du bas moi, seul, dans les combles, deux étage plus haut.
La première idée qui m’est venue en tête quant à son message c’est qu’il devait me demander si je n’avais pas je ne sais quoi à lui dépanner. A aucun moment, j’ai pensé qu’il allait m’inviter à manger avec lui car même si nous entretenions de bons rapports, nous n’étions pas du genre à nous voir seuls pour quelques raisons que ce soit. Pourtant ce fut le cas :
- Salut Alex, t’as un truc de prévu ce soir ? Si tu veux, tu peux descendre. On mange ensemble, si ça te dit, disait son message.
J’étais très étonné mais agréablement surpris. La seule chose que j’avais prévu c’était de rester affalé sur le canapé toute la soirée mais ça ne me dérangeait pas de bousculer mes plans. Voilà ma réponse :
- Ok, je descends dans dix minutes.
Après un rapide passage dans la salle de bain pour me rafraîchir, je sortis de mon appartement. En descendant les escaliers, je me disais que j’espérais qu’on aurait des choses à se dire et qu’il n’y aurait pas de blancs gênants. Arrivé en haut de dernière salve de marche, je me rendit compte que j’avais oublié de changer de sous-vêtements. En effet, je portais un jockstrap sous mon short et je n’ai pas pour habitude de porter ce genre de dessous quand je rends visite à la famille.
Tant pis, je n’avais pas la motivation de remonter. Je toquais à la porte et quelques instants plus tard, elle s’ouvrait.
Dans l’encadrement de la porte de trouvait mon beau-frère uniquement vêtu d’un boxer. Je savais qu’il n’était pas très pudique car quand j’étais chez eux en été, il se baladait souvent en boxer quand il faisait chaud. Cependant, je ne pensais pas qu’il absorberait cet accoutrement alors que j’étais seul avec lui. Personnellement, cela ne me dérangeait pas. Mon beau-frère était un bel homme de 26 ans. J’avais pour habitude de me dire qu’il était comme le vin : il se bonifie avec le temps.
Il était grand (au moins une tête et demi de plus que moi). La peau très bronzée car il travaillait en extérieur. Il était fin mais baraqué et arborait une jolie bouée en bas du ventre due à une consommation un peu excessive de bière. Il avait les cheveux noirs courts ainsi qu’une barbe bien fournie. Avec les aisselles poilues ainsi qu’une toison généreuse sur le torse, il était viril et très sexy.
- Ça va, Alex ? demanda-t-il en me présentant son point.
Je lui retournais la question. On avait pour habitude de se saluer en se tapant le point. Très vite, mon regard fut attiré par son boxer. En effet, celui qu’il portait était assez ample au niveau de l’entre jambe ce qui faisait que quand il marchait on pouvait apercevoir tout son matos à l’intérieur bouger. Je pouvais presque deviner la forme de son gland contre le tissu du sous-vêtement. Je savais qu’il était bien gaulé car une fois j’ai aperçu une boite de capotes taille XL dans leur chambre. J’étais comme hypnotisé par son boxer mais je finis par ressaisir de peur qu’il ne me remarque.
Il savait que j’étais gay et il me questionnait souvent sur mes relations amoureuses.
- viens on va fumer, dit-il en allant sur la terrasse.
Il s’installa sur une chaise exposée plein soleil. Il se tenait dans une position presque couché, les jambes bien écartées.
- Il fait chaaaaud, dit-il en allumant sa clope.
- J’avoue. Mon appart, c’est un sauna.
- Tu m’étonnes, tu devrais me remercier de t’éviter ça et t’ayant inviter ici, répliqua-t-il.
- Oh merci mon sauveur !
Il sourit et et posa sa tête sur le haut du dossier, les yeux fermés. Soudain, il fourra sa main libre dans boxer. Je pensais qu’il voulait simplement replacer son attirail dans l’intention d’être plus à l’aise (ça lui était déjà arrivé de le faire devant moi par le passé) mais il laisse sa main ainsi tout en continuant de fumer sa clope de l’autre.
J’étais très excité car j’avais envie d’en voir d’avantage mais en temps assez gêné car je ne comprenais pas la situation et que je ne savais absolument pas quoi faire. Âpres un temps de réflexion, je finis par briser le silence :
- On mange quoi ?
- Mmmh, je sais pas. T’as envie de quoi ? rétorqua-til-il sur un ton étrange, la mais toujours dans son boxer.
J’avais très envie de répondre : « De toi. » mais je l’abstins.
- Je sais pas trop. Tu veux commander ou cuisiner ?
- On se fait pas chier, on commande. Je t’invite. Mais c’est toi qui trouve ce qu’on mange.
- Ok. Japonais.
- Va pour japonais. Viens, on prend une photo, on envoie à ta Soeur, dit-il en retirant enfin la main de son boxer.
Je viens me mette accroupi à sa droite. Il passa bras au dessus de moi. Je pensais qu’il allait le déposer sur mes épaules ou autour de ma taille mais il posa finalement sur hanche, la paume à moitié posé sur ma fesse droite. Il s’agissait bien entendu de la même main qui se trouvait il y a un instant encore dans son boxer. Je me sentais comme une traînée et j’aimais ca. J’avais l’impression que la bosse de son boxer avait enflé mais c’était difficile à dire étant donné qu’il était assis. Il prit la photo et retira sa main.
Quelques minutes plus tard, il était en train de passer commande sur son téléphone pour notre repas.
- voila, c’est fait. On devrait être livré d’ici 45 minutes, annonça-t-il. Ça te dit d’aller faire un tour dans le jaccuzi en attendant ?
- Mouais je suis pas trop motivé là.
En réalité, je pensais surtout au fait que je portais un jockstrap.
- Alleeeez, on va se détendre.
Je savais qu’il allait insister donc j’ai cédé.
- Bon ok, je vais juste chercher un maillot de bain. Je reviens.
- Mais non, tu peux y aller en sous-vêtements. Avec cette chaleur, tu s’achetassent vite.
Il avait du remarquer mon air gêné car il enchena :
- Ah ! Je comprends. Tu portes rien en dessous.
- Quoi ? dis-je, indigné. Mais si !
- Alors c’est quoi le problème ?
- Je porte un jockstrap, je rétorquais.
- Un jockstrap ? C’est quoi, ca ?
- C’est comme un soutien sportif sauf qu’il n’y a pas de coque.
Cette conversation me m’était très mal à l’aise.
- T’es sérieux ? demanda t’il en rigolant.
Il se leva et s’approcha de moi. Je remarqua que le bosse de son boxer avait belle et bien enflé. J’avais l’impression qu’il avait une demi molle.
- Montre !
- Mais ça va la tête !
- Allez, je suis en caleçon devant toi et c’est pas comme si t’avais jamais vu mes fesses !
Aussi rouge qu’une tomate, je baissa légèrement le côté droit de mon short pour laisse apparaître le sous-vêtement. Ce qui se passa ensuite me fit devenir cramoisi. Avec son index, il attrapa mon short et le baissa encore plus. Presque l’intégralité de fesse était à l’air.
- Je le disais bien que ton cul était plus bombé que d’habitude, dit-il en n’éclatant de rire.
Je ris avec avec car honnêtement je ne sais pas quoi faire d’autre. Était-ce une simple blague ou avait-il pour habitude de mater mon cul ?
- Allez, enlève ton short et va dans l’eau. En attendant, je vais chercher une serviette.
Il rentra dans l’appartement. J’étais tout de même un peu gêné car il y avait deux grandes baies vitrées mais je m’exécuta. L’eau était chaude, c’était très agréable. Pendant son absence, je me demandais pourquoi il allait chercher une serviette et pas deux. Il s’était peut-être trompé en formulant sa phrase mais quand il revint, il n’avait effectivement qu’une seule serviette en main qu’il posa sur la table. Il finit par me rejoindre dans l’eau toujours vêtu de son boxer. J’avais l’impression qu’il faisait exprès de prendre le plus de place possible dans le jacuzzi. Il avait écarté ses jambes si bien que les miennes étaient forcément entre les siennes pile en face de son entrejambe. Il avait également écarté les bras qu’il avait posé sur le bord du bassin ce qui me laissait une vue parfaite sur ses aisselles poilues. Il sembla enfin se détendre quand il dit :
- merde j’ai oublié mon portable sur la table. Faudrait pas qu’on rate notre livreur. Tu veux pas aller le chercher ? demanda-y-il en riant.
- Dans tes rêves.
Sa blague le fit bien rire. En effet, si je me levais, j’exposerai forcément mes fesses à sa vue. Bien que cette idée ne me dérangeait pas mais ça, je ne voulais pas qu’il le sache.
Il se leva et le spectacle que m’offrît son boxer mouillé m’excita au plus au point. Il était indéniable qu’il avait une demi molle. Le sous-vêtement mouillé collé à son engin ne laissait plus de place à l’imagination. Je pouvais clairement distinguer la forme de sa verge et de son gland. Quand il souleva la jambe pour sortir du bassin, je pu apercevoir la forme de ses couilles sur le tissu mouillé. J’étais en feu. Je voulais lui arracher son boxer.
Il prit son téléphone et le posa sur une chaise qu’il plaça à côté du jacuzzi puis revint dans l’eau.
- J’allume les jets, dit-il en appuyant sur un bouton.
C’était un moment très agréable. Personne ne parla pendant plusieurs minutes jusqu’au moment où mon beau-frère brisa le silence :
- ca te dérange pas si j’enlève mon caleçon ?
- Pourquoi tu ferais ca ? je répondis, choqué.
- Bah je vois pas pourquoi tu devrais être le seul à sentir les jets passer par un endroit spécial, dit-il en faisait un clin d’œil avant d’éclater de rire.
Je le fusilla du regard. Un instant plus tard, il brandissait fièrement son boxer hors de l’eau.
- et t’es content ? je demandais.
Il leva les yeux au ciel dans une expression d’extase et dit :
- oh ouiiii, ça fait du bien !
- Cretin.
Il rigola et le lança son boxer dessus sauf qu’il me rata. Son boxer atterrit cinq mètres plus loin sous la table sur laquelle se trouvait la serviette. Un large sourire s’etira sur mon visage tant dis que sur le sien, une expression de défaite par ko apparaissait.
- c’est trop bête, le taquinais je.
Maintenant, c’était lui qui me fusillait du regard. Au même instant, son téléphone sonna.
- le livreur sera là dans moins de 10 minutes, dit-il.
- Ah oui ? Dis-je, tout sourire.
- Alex, sa voix était devenue mielleuse. Tu veux bien sortir du jacuzzi et me donner mon boxer.
- D’accord mais c’est bien parce que tu me payes à manger.
Je sorti du jacuzzi sans prendre la peine de cacher mon cul. Je pris la serviette sur la table que je noua autour de ma taille puis je ramassa le boxer mais au lieu de le donner à mon beau-frère, je pris la direction opposée. Je me trouvais devant la baie vitrée et me retourna vers lui.
- Tu veux jouer à ça ? dit-il en souriant.
- Oh mais je crois que j’ai déjà gagné, je rétorque.
- D’accord.
Je pensais qu’il allait sortir du bassin, les mains sur son zob pour le cacher mais ce ne fut pas le cas. Il sortit bien du jacuzzi mais ne prit pas la peine de cacher quoi que ce soit. J’avais donc tout le loisir d’admirer sa demi molle. C’était un engin d’exception orné d’une fine repousse de poils. A chaque pas qu’il faisait, sa bite de 15 bons centimètres en demi molle tressotait sur sa magnifique paire de couilles poilues. Arrive à ma hauteur, il arracha d’un coup sec la serviette que j’avais autour de la taille et dit :
- Bien joué.
Puis il me donna une tape sur la fesse droite et rentrant.
J’étais cloué sur place, son caleçon toujours à la main.
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