Comment va réagir tonton à la demande de sa troisième nièce ? Il ne sait pas encore qu'elle n'a pas fait que regarder. Et Julie ? Après ce qu'elle a surpris, osera-t-elle aller plus loin avec cet étalon sur le retour ? Un problème qui trouvera peut-t-être la réponse dans les prochains épisodes.
Proposée le 9/03/2024 par mlkjhg39
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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Le gourdin de tonton. 9
Pour noyer le poisson, mes deux sœurs passent à l’attaque, poussent tonton sur le lit et se le partagent. Brigitte lui donne du plaisir en l’embrassant fougueusement pendant que Chantal fait de même avec sa bouche sur le sexe langoureusement posé sur son bas-ventre, elle attrape la queue qui n’a pas encore lâché son jus et s’empresse de le pomper, humidifiant la verge avec sa salive, redonnant un peu de verdeur à ce nœud aux veines grosses comme mon auriculaire sculptées le long de la hampe. Chantal a comme moi du mal à engloutir la moitié de cet obélisque. Il a vraiment une bite de cheval, tonton ! Elle décalotte complètement son gland qui ressemble à une grosse prune qu’elle gobe avec gourmandise pendant que Brigitte qui est venu elle aussi à la curée fait de même avec ses couilles grosses comme deux abricots.
-Y a vraiment que ma queue qui vous intéresse, hein les filles ?
- Oui tonton, c’est une brave fille courageuse et ses deux copines ne demandent qu’à la gorger de ta laitance super abondante !
Suite :
Mais tonton n’est pas prêt à éjaculer, elles doivent s’escrimer de longues minutes avant d’entrevoir le bout du tunnel. Brigitte accélère le rythme de la branlette pendant que Chantal continue de pétrir les lourdes burnes. Tonton se crispe et va cracher dans quelques instants. Sa bite emplit la bouche de Brigitte et bute au fond de sa gorge, provoquant des réflexes de risques de renvois gastriques. Elle le repousse mais le bout de sa langue profite au maximum de ce membre monstrueux en en titillant le frein. Tonton grommelle en grimaçant :
-Je vais tout lâcher. A table !!!
Il appuie fort sur la tête de Brigitte et se met à jouir dans sa bouche, déversant une énorme dose de sperme dans la bouche vite pleine qui ne peut contenir les flots de crème épaisse qui se succèdent dans sa cavité buccale. Son sexe énorme qui obstrue la bouche de Brigitte lui interdit de donner son avis. Chantal se précipite pour recueillir la semence qui s’échappe par la commissure des lèvres de sa sœur, récupérant à grands coups de langue les souillures autour de sa bouche et sur son menton. L'éjaculation de tonton a encore fait augmenter l’épaisseur plus que la longueur de l'énorme pal, mon Dieu, qu’il est gros !!!
Je croyais que ça allait s’arrêter là mais Brigitte change d’idée et vient s’asseoir sur le visage de tonton et Chantal attend patiemment que la pression retombe un peu dans la lance avant de chevaucher son corps et de s’enficher sur le bélier à peine fléchi. J’assiste à une vraie cavalcade de sensations, de plaisir de mes deux salopes de sœurs qui se partagent ensemble chacune d’une façon différente une portion du corps de tonton qui reste passif avec Chantal en plein rodéo sur sa verge car il est concentré avec sa langue et ses lèvres à faire une nouvelle fois monter au septième ciel Brigitte.
Chantal s’escrime donc de son coté sur le gourdin de nouveau en pleine forme car tonton ayant apparemment une longue expérience, a repris un total contrôle de son corps et de son soc. Il arrive à déconnecter son cerveau sur le bas de son corps en lapant et buvant les flots de cyprine que ne peut endiguer Brigitte. Chantal est jalouse de voir sa sœur arriver à l’orgasme et rampe sur le corps de tonton pour prendre sa place que sa sœur lui cède volontiers pour aller faire à son tour un galop sur ce jonc vigoureux et infatigable.
Je les vois se relayer je ne sais pas combien de fois avant qu’enfin tonton les repousse et vienne se placer devant elles en les tenant par les cheveux, relève leur tête et présente devant leur visage sa queue toute souillée des jus de ses nièces.
Elles ne se font pas prier et se battent presque pour gober la première l’obélisque, l’une le suce violemment, mordillant son gland puis l’enfonce aussi loin qu’elle peut pendant que sa complice gobe les œufs de tonton. Je peux entendre les bruits forts de la succion. Je remarque les spasmes annonciateurs de l’éjaculation mais tonton se force à repousser ces sangsues pour faire redescendre la pression dans son piston. Il les fait se redresser et leur demande :
-Qui veut faire un tour de cheval ?
Que veut-il dire par là ? Je ne tarde pas à avoir la réponse. Brigitte se colle contre lui, passe ses bras derrière la nuque de tonton pour se suspendre à son cou et enserrer les reins de tonton de ses jambes. Il pose ses mains sur les fesses de ma sœur pour la hisser à la bonne hauteur et avec l’aide de Chantal qui guide le missile droit sur la fente détrempée, l’empale jusqu’à la garde sur son sabre. Le gland force sans difficulté pour lui le chemin et tonton prend tout son temps pour que la pénétration se fasse au ralenti pour engouffrer son énorme mandrin dans la chatte accueillante. L’intromission se faisant doucement, centimètre par centimètre, la matraque est quasiment entièrement avalée jusqu'au fond du vagin de ma sœur. Je sais que tonton est allé aussi loin qu'il le pouvait. Maintenant qu’il a son engin bien au chaud, tonton commence un va et vient que Brigitte paie cher.
-Vas-y doucement tonton, putain que tu es gros et ta bite est bien trop longue !
Je prends conscience que si je voudrais bien être à sa place, je ne sais pas si je pourrais supporter cette colonne de chair épaisse, bien ancrée dans mon intimité, dire qu’il me faisait sauter sur ses genoux il n’y a pas si longtemps. Il fait ressortir doucement son chibre la faisant couiner de douleur ou de plaisir. Pour lui permettre de mieux supporter son énorme mandrin, il se déplace pour venir appuyer le dos de Brigitte sur les portes du placard dans lequel je n’ose plus respirer. Je sens les portes vibrées à chaque coup de reins. Je n’aurais pas cru que tonton soit si résistant, quand Brigitte demande grâce, il la repose au sol, se tourne vers Chantal qui n’attendait que ça impatiemment.
Elle lui saute au cou et sans aucune aide, s’empale sur son mandrin. Tonton se tourne et revient appuyer ma seconde sœur sur les portes du placard. Le problème c’est que ces portes ne sont pas faites pour cet usage et cèdent sous les coups de bélier incessants de tonton et finissent pratiquement sur mes genoux sous le regard étonné et courroucé de tonton.
-Mais bordel de merde ! C’est pas vrai ! La troisième maintenant ! Pas une pour rattraper l’autre !
J’arrive tant bien que mal à m’extirper de cette position inconfortable et m’enfuis sans demander mon reste sous le regard de Chantal toujours embrochée sur la pine de tonton, qui après un instant d’hésitation décide de finir ce qu’il a commencé et reprend avec une violence accrue de donner de tels coups de reins que Chantal a du mal à le supporter. Je suis juste derrière la porte et entr’aperçois toute la scène.
-Eh ! Vas-y doucement tonton ! Putain ce que je dérouille ! Arrête !
Mais il n’en a cure et ne cesse que quand il arrive enfin à l’orgasme, la retire comme si elle ne pesait qu’une plume de son manche et se branle comme un fou et les exhortant :
-Que vous n’en perdiez pas une goutte ou ça va chier ! Avalez tout, salopes !
Tonton se lâche, il va jouir. Sa verge se raidit encore plus si c’était humainement possible et envoie tout son sperme au fond de la gorge de chacune de mes chanceuses de sœurs. Heureusement elles ont tout fait pour ne perdre ne serait-ce qu’une seule larme de la divine semence. Tonton reprend enfin la parole :
-Ça y est ! je réalise enfin ce qui m’a titillé tout à l’heure, vous n’étiez pas deux mais trois à me sucer et me tripoter. Vous n’avez-pas honte d’avoir mêlé votre innocente sœur à vos turpitudes !
-Eh ! Du calme tonton ! Tu crois qu’elle nous a laissé le choix ? Le coupe Brigitte. Elle a vu notre manège l'autre jour sous la table, elle nous a fait un peu de chantage et c'est pour ça qu'elle nous a suivi aujourd'hui. Mais je crois que ça n'ira pas plus loin car elle a été horrifiée en voyant ton chibre si massif. Comme on dit, il y a loin de la coupe aux lèvres, et pas celles que l'on croit.
-Je l'espère bien, se rassérène tonton, déjà avec vous deux c'est du sport, alors à trois… ça serait une autre paire de manches, j'ai déjà réussi cet exploit, mais c'était il y a quelques temps.
De quoi elle se même, Brigitte ? Je ne suis pas une oie blanche comme elle a l'air de le croire. J'ai déjà branlé et sucé plusieurs queues et je suis même allé plus loin avec Valentin. On a fait l'amour mais je dois dire que ça n'a pas été une grande réussite. Je ne sais pas si ça serait pareil avec tonton mais il est vrai que sa bite me fait un peu peur, pas tant par la longueur bien supérieure à celle de Valentin mais plutôt par sa grosseur pratiquement du double de mon petit ami.
Je redoute autant que je fantasme sur notre prochaine rencontre face à face. Le pire c'est que quand ça se produit, tonton m'ignore complètement et moi je n'ose pas lancer la conversation sur ce sujet brûlant. Quand j'arrive enfin quelques jours plus tard à engager la conversation sur ce qui s'est passé dans cette chambre, il coupe court et me dit de chercher chaussures à mon pied parmi mes petits copains plutôt qu'avec son oncle.
Mais comme je ne veux pas m'avouer vaincu, je lui fais un peu de chantage en lui envoyant des extraits de ce que j'ai filmé l'autre jour depuis le placard, lui disant que je pourrais les montrer à papa.
Ce n'est que le lendemain qu'il m'envoie un SMS me demandant de venir chez lui dimanche après-midi à quatorze heures. Le temps passe avec une lenteur désespérante mais arrive le jour fatidique. Je me pomponne toute la matinée, et puis toute ma garde-robe y passe pour trouver les habits les plus sexy et parmi mes sous-vêtements, les plus minimalistes. Par rapport à mes sœurs, je suis très fluette, des petits seins avec deux grosses aréoles brunes et de petits tétons. Mon cul est à l'avenant et si je voulais m'habiller en garçon, je suis sûre que j'y arriverais sans problème et passerait inaperçue.
Je sonne à sa porte attendant avec impatience qu’il vienne m'ouvrir mais il me crie : « Entre Lucie, je suis au salon ». Je ferme la porte à clé derrière moi pour être sûre de ne pas être dérangé et vais le retrouver dans le salon. Il est assis sur le divan, un verre à la main.
- Viens t'asseoir à côté de moi Lucie, il faut qu'on parle. Tu as deux heures de retard, tant pis pour toi.
A suivre…
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