Jay se réveille comme à l'habitude, lascif. Il décide de prendre sa journée en main et se trouver un plan de cul. Il enfourche sa moto et part à l’aventure qui l’amènera dans les bras d’un viril camionneur.
Proposée le 27/11/2023 par Jay19
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Thème: Fétichisme
Personnages: HH
Lieu: Parking
Type: Fantasme
J’ai ouvert l’œil et la lumière du jour filtrait déjà dans la chambre. Je m’étire, serre les fesses. Ma queue s’allonge. Je me sens lascif. Je ferme les yeux et m’imagine dans une douche. Le mec entre. Il est bronzé, tatoué et musclé. Il s’approche, me bécote le cou pendant qu’une de ses mains passe devant pour me serrer contre lui, l’autre attrape mon zob. Je gémis. Il raffermit sa poigne. Mon pénis gonfle, ma respiration se fait entendre. Il me suce le cou. Je lui donne ma bouche dans laquelle il enfonce sa langue et dévore mes lèvres. Sa main masse doucement mes mamelons. Mon corps se crispe. Je fantasme, comme chaque matin avant mon levé. Je me retiens. J’ai un plan pour la journée.
Après la douche, je déjeune en regardant de la porno. Puis, me vient l’idée de partir en moto. Je vais enfiler un pantalon de cuir et un t-shirt blanc bien seyants, et prend mon perfecto avant de quitter.
Je m’assois sur ma monture et mets mon casques. Je suis prêt pour l’aventure. Ne reste qu’à décider où aller pour trouver la perle rare. J’ai terriblement le goût de baiser. Je sens cette légère tension qui me tenaille les couilles et me fait bander à l’idée de partir en chasse. Puis, je décide de prendre l’autoroute. J’ai entendu parler de cette halte routière très courue par une faune assez déjantée. Alors, je fonce.
Il fait un temps radieux. Je sens le soleil caresser ma seconde peau. Cette senteur du cuir et sueur me titille les narines et m’enivre. Je me sens animal. J’espère bien trouver un mec bien viril pour me démonter bientôt, car je sens mes grosses couilles ne résisteront plus bien longtemps à l’assaut de mes pensées salaces.
Pressé d’arriver à bon port, je dépasse ce routier par la gauche et je jette un regard au chauffeur alors que je vais me ranger devant lui. Question de m’assurer qu’il m’a bien vu. Le mec me sourit. Il porte des lunettes miroir, une jolie barbe de quelques jours. Ses cheveux sont rasés sur les côtés et ils sont attachés à l’arrière. Il me semble costaud. Je le salue de la main puis le dépasse.
J’enfile encore quelques kilomètres et signale mon intention de sortir. La halte est en vue. Mon plan de cul aussi. Enfin, je l’espère. Je regarde dans mon rétroviseur. Le routier signale sa sortie pour la halte aussi. Je m’engage dans la voie menant à la halte et m’assure de me stationner près du parking pour les camions.
Je coupe le moteur et enlève mon casque. Je me passe la main dans les cheveux plus par habitude qu’autre chose. Ils sont si courts. J’entends un camion décélérer. Je tourne la tête et vois que c’est le camion du routier que je viens de dépasser. Alors, je prends mon temps, feignant de regarder quelque chose sur ma bécane avant de me lever. Je dépose mon casque sur le siège et détache mon perfecto. Mon t-shirt enduit de sueur me colle à la peau.
J’entends la porte du camion se fermer et des bruits de bottes battre le pavé. Il apparait devant son camion. Dieu qu’il est beau. Il porte un blouson de cuir noir et un jean qui galbe ses mollets et ses cuisses à merveille. Je ne peux que m’imaginer ses fesses dans cette enveloppe de denim si moulante. Je devine que son zob est courbé à la vue de l’empreinte.
Il me salut. Je le vois hésitant. Je lui rend sa salutation. Il décide de s’approcher. Je lui sourit. Je le sens encouragé. Son pas devient plus assuré. Sa démarche élastique, un peu nonchalante, mais assumée, me fait ressentir des papillons dans la région de l’anus. Je le contracte, mon pénis gonfle un peu plus.
— Sacré belle monture !
— Merci ! Tu es amateur de moto ?
— Absolument ! J’ai une S 1000.
— Sérieux !
— Sérieux ! Mais j’aime beaucoup la tienne. Les Rebel ; c’est mythique ! Tu me laisses m’asseoir ?
— Mais bien sûr ! Attends, je prends mon casque.
— Wow ! Qu’elle est confo !
— Ouais ! J’aime bien la selle. Elle est top. Tu veux l’essayer ? Je veux dire, si tu as le temps. J’imagine que tu ne peux t’attarder à cette halte trop longtemps. Tu travailles.
— C’est gentil de me l’offrir. Je suis en pause pour quelques heures. C’est la législation. Mais, non. Je te remercie. Je ne voudrais pas abuser.
— Pas du tout. Ça me ferait plaisir.
— J’aimerais bien l’essayer. Je suis un peu fatigué de la conduite.
— Je te fais faire un tour alors ?
— Alors là, je ne dis pas non !
— Super ! Allez, montes derrière-moi.
Le camionneur enfourche la moto et s’assure de bien être assis après que j’ai démarré l’engin. Je tourne la tête légèrement et lui dit :
— Alors ! C’est bon ! Tu te tiens bien ?
— Euh, je cherche à me tenir justement, dit-il en riant.
— Après moi, lui-dis-je. Il n’y a pas rien d’autre.
— D’accord…euh…
— Jay !
— D’accord Jay. Nathaniel !
— Enchanté Nathaniel. Allez ! On est parti !
Puis je démarre la moto. Assez à fond. Question que Nathaniel s’accroche à moi solidement. Ce qu’il fait. Il se colle un peu plus à la deuxième vitesse. Et encore après. Je sens son souffle dans mon cou. Je suis troublé…de plaisir. J’accélère.
— Vas-y à fond Jay ! J’adore !
J’aimerais lui dire la même chose dans un lit, pensai je.
On revient à la halte. J’arrête le moteur. Il met les pieds par terre. Me relâche et pose ses mains sur ses cuisses. Je me retourne pour lui parler. Il n’attend pas. Il me fixe droit dans les yeux. Il m’enlace et prend d’assaut ma bouche qu’il dévore. Il me libère après avoir sucé ma langue et mes lèvres. Il balaie l’horizon de ses yeux afin de savoir si on nous regarde.
— On sera plus à l’aise dans mon camion. Tu viens ? me demande-t-il.
Je lui souris. Je verrouille la moto et le suis. Il grimpe en premier et me tend la main sourire aux lèvres pour m’aider à monter à bord du mastodonte.
Une fois dans la cabine, je referme la porte pendant que Nathaniel s’installe dans le siège passager. Il ferme le rideau et m’indique de faire de même avec celui du côté conducteur. Puis je regagne le siège passager et chevauche mon amant camionneur qui m’accueille sur ses cuisses bien musclés. Je l’embrasse langoureusement. Il me caresse les cuisses et les fesses. Je me défais de mon perfecto. La vue de mon t-shirt mouillé et collé sur la peau l’excite au point de m’enlacer et me dévorer bouche, barbe et cou. Son étreinte est solide et virile. Je sens ma queue se mouler sur ses abdos. Il retire mon haut et trouve un mamelon qu’il mordille, tire et tète. Je gémis de plaisir. Il lève le menton, j’attrape sa toque et lui force de me lécher les aisselles. Il s’exécute. J’entends le bruit d’une fermeture éclair. Il se trémousse pour sortir quelque peu de son jean seconde peau. Je me rassois pour l’embrasser. Sa queue, énorme, presse mon fion. Je me relève sans quitter sa bouche que je laboure ardemment. Il a compris. Il dézippe mon pantalon de cuir jusqu’à l’arrière. Ses mains cherchent à écarter mes fesses tandis que ses majeurs alternent à s’introduire en moi. Il y arrive. Je couine de plaisir. Il me sens souple. Il dépose ses mains sur mes hanches. Je me lève et prend son sexe et l’aligne sur mon fion. Prends le liquide qui s’écoule et me lubrifie l’anus, puis lèche mes doigts. Nathaniel râle de plaisir de me voir si soumis. Il ferme les fesses et remonte son bassin. Mon sphincter cède et laisse glisser sa verge en moi. Je râle de plaisir. Il m’enfonce. Solidement, puis se retire. Je pose mes mains sur ces pectoraux, Je baisse la tête pour croiser son regard. Les yeux mi-fermés, la bouche moite, les lèvres luisantes, il m’examine. Puis, de ses mains m’empoigne fermement et m’empale. Lentement d’abord. Puis, plus rapidement. Sans relâche. Sans merci. Jusqu’à me féconder.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
superbandant je suis fana de camionneur et je me suis fait souvent enculé dans une cabine de bahut. Plusieurs fois j'ai fait des partouzes avec deux chauffeurs. En général il me double pénètre. Ils aiment ça. Me sentir empalés sur deux bitasses c'est le pied complet. Qui plus est le camionneurs sentent fort le mâle. Souvent pas lavés ils me fout lécher leur trou de cul puant avant de me mettre. La semaine dernière je me suis viandé par cinq suédois dans un chiotte la nuit. Ils ont voulu me baiser chacun à leur tour. J'ai chié du sperme toute la nuit. Super ton histoire. T'as pris ton pied non ? de te faire planter dans la cabine? il devait bien slinguer aussi. Salut, je continue à me masturber.
Posté le 25/02/2024
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