Pour accepter d'aller plus loin, "papy Christophe" fait passer un test à toute la cousinade. Chacun(e) doit lui faire une gorge profonde et ce n'est pas si évident car la verge est conséquente.
Proposée le 20/11/2023 par mlkjhg39
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno.
On l’appelle : Papy Christophe.
Quelques années plus tard je suis tombé sur Hervé qui avait complètement changé de direction après ses études et était chasseur de tête pour des acteurs et actrices pour toutes sortes de genres de films. C'est comme ça que je me suis retrouvé à tourner mes premiers films pornos. Je me suis expatrié aux États-Unis, espérant ainsi une plus grande discrétion et être moins reconnu quand je revenais en France. Vous connaissez la suite.
Suite :
Nous avons enfin réussi à le décider à ce qu'il soit comme nous complètement nu aussi quand nous sommes autour de la piscine. Je dois dire que filles comme garçons, nous somme en admiration devant la chose flasque qui remue entre ses cuisses. Maintenant mes cousines n'hésitent plus à lui demander de leur passer de la crème solaire ou alors de leur faire des massages, mais malgré toutes leurs tentatives, elles n'arrivent pas à faire bander notre grand-oncle, c'est à peine si son engin se déride un peu, passant de la peau d'une vieille fille fripée aux joues pleines d’un bambin.
Louise, la plus dévergondée de mes cousines, met un jour les pieds dans le plat.
-Tu n'arrives-plus à bander « papy » ? Nos petites minettes ne sont pas à ton goût ?
-Ah ! Vous voulez voir le loup, hein ? Tu sais Louise, des chattes j'en ai vu à la pelle, et il en faut plus pour me faire bander. Je vois bien où vous voulez en venir, j'ai souvent joué des rôles du père ou du grand-père qui devait se faire la petite dernière. Je suis votre papy quand même, mais je vois que vous ne me laisserez pas tranquille tant que vous n'arriverez pas à vos fins. Je vous laisse donc pour cette fois toutes et tous faire tout ce qui est en votre pouvoir pour me faire entrer en érection.
Il n'aurait jamais dû leur demander ça. Il s’allonge sur le dos au bord de la piscine, appuyé sur ses coudes. J'aurais cru que certaines de mes cousines se seraient abstenues, regardant les plus téméraires s'occuper de notre papy, sacrée erreur d'appréciation…
Elles se sont toutes agglutinées autour de lui, certaines lui caressant la poitrine, suçant ses tétons, d'autres s'occupant de son ventre légèrement bedonnant ou de ses pieds. Les plus chaudes sont Eva, Élisa et Louise qui se battent presque pour toucher l'organe flasque. Deux mains droites astiquent la hampe qui enfin prend de l'ampleur, la main de ma troisième cousine presse les couilles de mon papy entre ses doigts.
Petit à petit, nous assistons à la croissance exponentielle de la verge de ce sexagénaire. Malgré les décennies passées depuis ses exploits filmographiques, sa queue prend des proportions hors-normes. A vue d’œil, elle doit bien faire entre le double décimètre et le quart de mètre. Mais ce que je trouve le plus fabuleux, c'est l'épaisseur monstrueuse de sa bite. Les deux mains droites qui s'activent sur son jonc sont trop petites pour pouvoir l'entourer en entier. Louise n'y tient plus et gobe l'énorme prune violette, écartant ses mâchoires presque au maximum. Eva qui veut être de la fête ouvre la bouche et la promène de haut en bas sur la hampe aux grosses veines apparentes.
Je m'attends avec un tel traitement à ce qu'il jouisse très rapidement mais ça fait maintenant presque dix minutes qu’elles s'escriment sur lui.
-Vous savez les filles, les informe-t-il, entre chaque scène de cul, des filles que l'on appelait des suceuses devaient soit entretenir notre forme ou alors nous faire rebander après une coupure trop importante entre deux scènes. Alors je suis rompu à cet exercice et si je le voulais je pourrais rester en érection plus d'une demi-heure sans que vous n'arriviez à vos fins. Mais comme je ne veux pas vous décevoir, je vais me concentrer et vous arriverez à me faire juter dans quelques minutes.
Effectivement quelques minutes plus tard il les prévient :
-Attention les filles ! Je vais jouir. Je ne suis peut-être plus aussi vaillant qu’à mes débuts, mais je vous préviens, faites gaffe !
Je ne sais pas si mes cousines ont voulu on n'a pas voulu comprendre ce qu'il vient de dire.
Quelques gouttes suintent du méat, annonçant le début de son éjaculation. Un premier jet de foutre très moyen me déçoit après avoir vu de quoi il était capable dans ses vidéos. Mais le deuxième me console car un filament se détache de sa pine avant de crépir le visage d’Eva, ensuite s’enchaîne à une vitesse folle un nombre de craches dont je ne le croyais plus capable à son âge, je suis loin d'arriver à un tel exploit malgré ma jeunesse. Mes trois cousines sont littéralement recouvertes de foutre des cheveux au menton. Les autres filles se chargent alors de chacune d'elles pour nettoyer en quelques coups de langue cette crème blanche visqueuse qui les recouvrent.
Je croyais qu'à son âge, papy allait aussitôt débander mais il n'en est rien, c'est à peine si sa verge que les filles ont relâchée baisse de la tête. Il lui faut un temps fou pour que nous assistions à la décroissance de son formidable mandrin.
-Bien les filles, j'espère que vous êtes contentes, ce n'est quand même pas très correct ce que nous venons de faire.
-On s'en fout, le coupe Élisa, si tu ne dis rien à nos parents, ils ne le sauront jamais. Dis papy, maintenant que nous avons goûté au hors d’œuvre, tu ne crois quand même pas que nous voulons en rester là. C'est comme avoir à disposition un manège et ne pas avoir le droit de monter dessus. Pour certaines d'entre nous, ce sera la plus formidable façon de connaître pour la première fois le mâle, et quel mâle ! Tu veux bien papy, tu veux bien ?
Et toutes en cœur, mes cousines lui font la même supplique. Oh oui papy, tu veux, tu veux ?
Mais sa réponse est un ultimatum difficile à réaliser, un sacré défi.
-Je ne veux pas vous faciliter la tâche. Je n'accéderai à votre demande qu'à une seule condition, que toutes et tous vous réussissiez à faire une gorge profonde avec mon sexe. Si un seul n’y arrive pas, on ne parlera plus de ça de toutes les vacances.
Nous nous regardons interloqués. Ce sera déjà une première pour la plupart d'entre nous et la taille du chibre de papy va en rebuter plus d'une. Mais avec cette putain de COVID, il s’est passé pratiquement deux ans où la drague était des plus limitée. Il nous explique alors :
-Pour réussir avec moi, il faudra que vous vous laissiez guider. Ça s'appelle le jeu du foulard. Je vais vous laisser deux jours pour vous entraîner avec tout ce que vous pourrez trouver et vous y passerez chacune et chacun à votre tour.
Alors les deux jours qui suivent, les filles se sont exercées avec des bananes puis avec ma propre queue ce qui n'était pas trop difficile et ensuite avec celle de Bruno déjà plus conséquente. Le plus étrange c’est quand Bruno m’a sucé et que je lui ai rendu la pareille. Je n’avais tenu que ma propre bite et de saisir celle de mon cousin pour lui faire une fellation, j’étais tout chose mais j’ai réussi avec un peu de persévérance à lui faire une gorge-profonde, et il n’a rien trouvé de mieux que de jouir dans ma bouche sans me prévenir, cet abruti. J’ai tout recraché mais le goût n’était pas si désagréable que ça.
Le jour dit nous nous retrouvons donc tous dans le salon. Papy et devant nous complètement nu, la bite au repos. Comme d'habitude, Louise veut passer la première. Elle s'approche de notre papy et s’agenouille devant lui. Il lui ordonne :
-Ouvre la bouche et prend mon sexe entre tes lèvres. Là comme ça. Maintenant je passe ce grand foulard autour de ton cou et de mes reins, laissant cinq centimètres de jeu entre ta bouche et mon pubis. Maintenant je vais me concentrer pour bander et quand tu sentiras mon gland forcer contre ta glotte, tu prendras une grosse respiration et essaieras de te détendre.
Nous faisons cercle autour d’eux et voyons grossir et grandir la poutre de notre grand-oncle. A un certain moment, elle renâcle devant l’obstacle et essaie d'échapper à « la Bête » mais le foulard ne lui permet de se reculer que de quelques centimètres. Elle hoquète et manque presque de s’étouffer quand le formidable engin force le fond de sa gorge pour continuer son expansion. Elle a réussi l'exploit demandé mais les centimètres encore coincés entre sa bouche et les poils de papy sont toujours à l'air libre. Il dépose alors sa main droite derrière la nuque de Louise et la force à coller son nez dans les poils pubiens. Aussitôt il relâche le foulard et lui permet d'expulser cette énorme sucette et elle tousse à s’en décrocher les boyaux.
Nous sommes tous à poils autour d’eux, les vulves humides pour les filles et la queue dressée pour les garçons. Mon cousin s’avance et prend dans la main droite le chibre de Papy et dans la gauche ma quéquette, les soupesant pour les comparer.
-Nom de Dieu ! La pine de papy pèse trois fois plus lourd que celle de Jules !
Papy Christophe est un cas car il débande en un rien de temps avant de mettre Bruno au défi.
-Si tu veux te rendre compte de ce que c’est de sentir une teub entrer en érection dans une bouche, il va falloir t’y coller. On va voir si tu fais toujours le fanfaron.
Bruno lâche ma verge, s’agenouille devant papy, et prend dans sa main la verge redevenue flasque. Il ouvre la bouche pour gober l'engin pendant que papy Christophe remet le foulard. Bruno a les lèvres collées au pubis de notre grand-père, sans vergogne il lui triture les bourses. Comme tout à l'heure pour Louise, nous assistons à une nouvelle croissance exponentielle de cet étonnant chibre. Bruno hoquette mais ne voulant pas perdre la face devant nous réussit l'exploit et prend en entier le jonc rigoureux dont le gland a affranchi sa glotte. Papy n'insiste pas et le libère du foulard. Bruno retire sa tête en arrière avec lenteur nous faisant admirer son exploit, laissant une trace baveuse sur le chibre.
-Pas mal, pas mal, le félicite papy, tu es doué. Maintenant à qui le tour ?
A suivre…
Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire en toute connaissance de cause.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email