Ahmed 3

J'ai trouvé refuge dans une ferme du Sud-Ouest où Max m'a offert gîte et couvert contre services sexuels. Il s'est révélé exigeant et brutal mais je n'avais pas le choix... et peut être que j'étais heureux de ma soumission.

Proposée le 26/10/2023 par Sucette

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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Il me fit ranger et nettoyer le réduit qui allait devenir ma chambre et bien sûr laver et ranger la vaisselle, toujours vêtu d'un grand tablier qui me laissait le dos nu. De temps à autre, il me caressait, m'effleurais, me pinçait, me chatouillait et me doigtait.
Je trouvais la situation excitante, je bandais ferme. Une fois la vaisselle rangée, il me coucha sur la table, sortit son sexe et le frotta sur ma raie. Son désir était évident, je me retournais, me baissais et entrepris une fellation. Je léchais son gland qui maintenant était propre, tournais ma langue, lapais comme une glace puis l'enfournais jusqu'à la garde, je le faisais coulisser et le pompais avec avidité.
Je m'occupais aussi de ses boules avec mes mains, je tentais un doigt sur son anus mais il me claqua violemment en me faisant comprendre que c'était lui, le dominant.
Je concentrais sur son sexe, en le suçant et le pompant de plus belle mais c'est mon cul qu'il voulait.
Il me retourna, me coucha et pris un peu de savon noir pour me lubrifier.
Il pris sa verge, tatonna pour trouver la bonne position et s'enfonça d'un coup.
Je sentis son gland pénétrer profondément en moi, il me saisit aux hanches et imprima de longs aller retour avec violence, il me claqua les fesses et m'insulta vulgairement me traitant de pute et d'autres noms d'oiseaux.
Le traitement dura longtemps, il avait déjà joui deux fois en moi et il mit du temps à décharger.
Puis je dû encore le nettoyer avec la langue et il m'obligea à tout garder.
Ensuite, toujours nu, j'enfilais une combinaison de travail.
Nous nous rendîmes chez la propriétaire et fîmes les formalités d'usage, il précisa que je n'avais pas de papier et que je serai payé en liquide de la main à la main. Il précisa que j'étais logé dans son annexe et que j' étais en pension.
La propriétaire acquiesça et me demanda mon expérience. Je n'en avais aucune mais Max répondit à ma place qu'il allait me former.
Je sentais son foutre s'écouler de mon anus sur mes cuisses car pendant ce temps, j'étais resté debout.
Nous primes congés et il me fit visiter l'exploitation.
Le soir, je fis la soupe et une omelette de pommes de terre, seulement vêtu du tablier.
Après avoir débarrasser et fait la vaisselle, je le rejoignis à sa demande sur le canapé où il regardait la télé. Je me couchais sur lui et le suçotait son gland.
Certains soirs, il mettait une cassette porno et après une fellation, il me sodomisait.
Le lendemain, levé à cinq heures, je préparais la tambouille puis je l'entendais se lever, pisser et il réclamait sa fellation et il m'enculait.
Après je partais aux champs, j'ai commencé par les fraises en serres puis plein champ.
La tâche était éreintante au début puis ma musculature s'est développée. Mon corps s'est affiné et devenu encore plus souple au grand plaisir de Max.
Parfois, il rentrait de mauvais poil et se mettait à boire plus que de raison, il aimait m'insulter et m'humilier parfois devant les autres employés.
Je prenais réellement plaisir à la chose. Quand il me traitait de la sorte, je ressentais une grande chaleur et je bandais malgré moi.
Sa perversité allait crescendo : Non seulement , il m'obligeait à me branler et éjaculer dans mon assiette ou mon bol mais il me mettait à genoux dans sa douche et m'urinait dessus, je devais rester assis des heures sans avoir le droit de me laver.
Tout manquement à ses ordres se traduisait par des claques. Il m'a aussi fesser et frapper à coups de ceinturon.
Puis il me cajolait, me caressait et m'embrassait. Régulièrement, nous dormions ensembles.
Puis la patronne a eu vent de notre histoire, j'ai dû reprendre ma route mais c'est une autre histoire...

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