Mon mariage

Aujourd'hui, je me marie et l'angoisse n'a pas quitté le creux de mon ventre depuis ce matin. J'essaie de faire en sorte de penser à autre chose, positiver, mais rien y fait. Alors j'ai appelé Mallorie, ma demoiselle d'honneur et amie de longue date. Certaine qu'elle m'aiderait à me détendre.

Proposée le 27/09/2023 par Lolita

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Je n'aurais jamais imaginé que 5 ans après j'en serai là, à la désirer, le jour le plus important de ma vie et pourtant...

Aujourd'hui, je me marie et l'angoisse n'a pas quitté le creux de mon ventre depuis ce matin. J'essaie de faire en sorte de penser à autre chose, positiver, mais rien y fait.
Alors j'ai appelé Mallorie, ma demoiselle d'honneur et amie de longue date. Certaine qu'elle m'aiderait à me détendre.

Mallorie et moi sommes amies depuis la fac, et bien que nous ne soyons plus aussi proches qu'avant, je sais que personne d'autres qu'elle ne réussirait à m'aider à me relaxer aujourd'hui. Elle pénètre dans ma chambre, un cocktail à la main.

- Il n'est que dix heure du matin, dis-je à mon amie.
- Il est bien midi quelque part sur terre, répond-t-elle en buvant une gorgée.
Elle me tend son verre que je refuse une première fois, avant de me laisser tenter.
- Je suis angoissée comme pas possible.
Je bouge mes épaules dans le but de dénouer mes muscles tendus.
- Bouge pas!
Mallorie s'agenouille sur le lit, passe derrière moi et commence à doucement me masser. Je ne suis pas encore habillée, et pourtant, je dois rejoindre tout le monde dans une heure. J'ai demandé explicitement à ce que l'ont ne me dérange pas. Mais ma robe est accroché quelques mètres plus loin, et je n'arrive pas à l'enfiler.
- T'es tendue, ça me rappelle l'époque des examens où tu étais en permanence sur le qui vive.
Je rejette ma tête en arrière, ses mains font des miracles.
- C'est vrai, j'ai toujours été de nature stressée.
Mallorie glisse ses doigts sur mes épaules, jusqu'à la naissance de ma poitrine.
- Tu te souviens ce qu'on faisait quand on était stressée à cette époque ?
Les flash de nos "séance de relaxation" me reviennent. J'avais presque hâte que les partiels arrivent pour qu'on s'y remette parfois.
- Oui, je m'en souviens très bien.
Les doigts de Mallorie viennent chatouiller la dentelle blanche de mon soutient gorge, je frisonne.
- Je vais me marier... dis-je sans grande conviction.
- Mais tu ne l'es pas encore.
Sa main passe enfin sous le tissus et prend mon sein dans son creux.
- Et si je ne t'aides pas à te détendre, je ne suis pas sûre que tu le seras à la fin de cette journée.
Son autre main vient trouver mon téton qu'elle titille, d'instinct je sens mon entre jambe se mettre à palpiter. Nous n'avons pas fait ça depuis des années maintenant, mais mon corps réagit toujours directement à ses caresses.
- Je peux pas... Je... Je dois rejoindre tout le monde d'ici une heure, je ne peux pas ruiner mon maquillage, ni ma coiffure et puis...
- Alors contente toi de rester là, et de profiter.
Elle relâche le sein qu'elle malaxait et descend sa main le long de mon ventre, jusqu'à ma culotte blanche sous laquelle je l'autorise à passer en écartant légèrement les jambes. Elle me trouve déjà mouillée, sans grande surprise. Ses doigts froids viennent trouver mon clitoris gonflé qu'elle se met à torturer sous des formes de cercles.
- Oh ...
Elle sait exactement ce qui me fait du bien mais j'avais oublié la facilité avec laquelle elle y arrivait. Mallorie est rapide et efficace car nous avons tant de fois dû le faire discrètement et rapidement sans que personne ne nous attrape.
Ses doigts glissent entre mes plis mouillés, elle entre un doigts en moi, je me contracte. Elle revient sur mon clitoris et alterne entre la pénétration et les caresses. Je gémis en chuchotant, de peur que quelqu’un m'entende mais avide qu'elle, elle sache l'effet qu'elle produit sur moi. Ses doigts s'accélèrent, j'écarte plus mes jambes. Une tâche ronde et humides témoigne que ma culotte blanche n'est plus signe de pureté.
- Oh Mallorie, continue.
Elle soupire dans mon oreille, et tire sur un de mes tétons de sa main libre.
- Rappel toi toutes les fois où on a jouit toutes les deux, chuchotte-t-elle en me caressant avec plus d'entrain.
Les flash de nos années d'études me reviennent, j'ai envie d'y retourner, d'y revivre, de ressentir ce que je ressens actuellement, mais pour toujours.
Elle me pénètre de deux doigts, vite et fort et me lèche le lobe. Mes gémissement sont plus rapides, elle sait qu'elle est sur le point de me faire jouir. Il lui suffit de me caresser à nouveau et ...
Ses doigts retrouvent mon clitoris dur et gonflé qu'elle maltraite une dernière fois. Mon orgasme monte et je dois me faire violence pour ne pas crier. Sa main bouge à toute vitesse sous ma culotte, je gémis, mes mains sur ses cuisses jusqu'à que mes jambes tremblent.

Mallorie retire sa main pleine de mouille et m'embrasse sur la joue.
- Je te sens moins tendue tout d'un coup.

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