Katia Sissy - 2 - Premier Maître

Après un premier contact mon nouveau Maître veux en savoir plus sur moi. Je lui parle de mes premières expérience. Puis je reprends la transcription de nos échanges...

Proposée le 19/06/2023 par KatiaSissy

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Thème: Fétichisme
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie

Le lendemain de notre premier échange, Maître JK me demande de parler de moi, de mes expériences et de mon goût pour la soumission.

Comme nous sommes loin l’un de l’autre, il veut évaluer mon potentiel pour ne pas perdre de temps. Même s’il ne peux pas me rencontrer il veut faire de moi une lopette soumise que tout mâle peut utiliser.

Je lui raconte donc mes premières expériences mais pas avec beaucoup de détails comme après. 

A cette époque (il y a environ 15 ans) , je commence juste à m’habiller complètement en fille. Ma première rencontre, très stressée, se passe avec une travestie car je n’ose pas encore la confrontation avec un homme... tout se passe bien. Je taille une pipe pour la première fois de ma vie, je m’applique, ma partenaire se tord de plaisir, apparement je fais ça très bien.
Je reçois son jet de sperme dans la bouche, je recrache dégoutée. De mon côté je ne vais même pas jouir mais je suis contente car j’ai franchi un cap.

Fini les longues séances de masturbation toute seule avec un gode, maintenant je veux découvrir comment c’est avec un homme.

Pour une première rencontre avec un homme je suis méfiante et je choisi quelqu’un de pas trop grand car j’ai la trouille si ça se passe mal. Finalement je me retrouve dans une chambre d’hôtel avec un mec du même gabarit que moi. Je fais la fille du mieux que je peux, je le suce, il me saute plusieurs fois, dans diverses positions... 

Ma chatte est bien préparée avec tous les godes (et autres) que je me suis déjà enfilé. Sa queue est plutôt petite (mais plus grosse que la mienne) et me pénètre facilement. Il est gentil et courtois.

C’est donc un mélange de plaisir d’avoir passé cette étape, de ne plus être «pucelle», mais je me rends compte qu’il me faut autre chose... 

A cette époque, j’ai beaucoup de liberté et je m’arrange pour organiser au plus vite une nouvelle rencontre... ce sera Maître P. 

Dans la chambre d’hôtel qu’il a retenue, je me prépare. Il arrivera quand je serai en fille. Bas, guêpière, talons hauts, petite culotte noire transparente, petite jupe noire et un tricot violet moulant qui fait ressortir ma fausse poitrine, douce partout, plus un seul poil nul part.

Me voilà maquillée, les ongles faits et une belle perruque brun-roux... je me trouve sexy, je suis toute excitée, je suis prête. Depuis la douche où je me suis changée j’entends qu’il est entré dans la chambre... J’ai la tête qui tourne, le cœur qui bat, je tremble un peu, je sors.

Devant moi un grand gaillard, une tête de plus que moi malgré mes talons. Baraqué et assez rond, un visage jovial, les cheveux frisés... je comprends de suite à son large sourire et son regard que je lui plais. Il rit.

Je me sens petite et légère face à cet homme qui me regarde de haut. j’entends encore ses premières paroles ; fermes mais sans dureté, chaleureuse et directes :

- Tournes toi ! C’est bien !
J’obéis, je suis déjà en son pouvoir
- Relève ta jupe ! Beau cul !
Je suis contente de lui plaire
- Retourne-toi ! Je t’ai pas dit de baisser ta jupe !
Je remonte ma jupe sur ma petite culotte... je mouille.
- Une vraie pute, tu vas être ma soumise ! et il rigole.

Je ne peux pas m’empêcher de sourire. Ça me fait plaisir, ça m’excite, ça me fait peur, je ne sais pas ce qui va se passer. Je suis là comme une conne, la jupette relevée devant cet ogre gourmand, sans savoir quoi faire ni quoi dire.

- Approche !

Il me sert dans ses bras puissants, je me laisse faire. Il m’embrasse, je me laisse faire. C’est chaud, c’est bon, je suis heureuse. Je sens une de ses mains descendre, se glisser sous ma culotte, pétrir mes fesses. J’en peux plus, j’ai la tête qui tourne, je bande, et on continue à s’embrasser.

Contre ma cuisse je sens qu’il bande aussi, ça me semble énorme. Maintenant il passe sa main devant, il attrape ma petite queue toute raide. Il arrête le baiser, je vois mon rouge à lèvre sur sa bouche toujours souriante.

- Tu aimes ça petite salope !

Et c’est vrai que j’aime ça. Rien à voir avec mes deux premières rencontres où je n’avais pas bandé du tout. Il ouvre son pantalon, sort son sexe en érection. Je trouve ça énorme, comme le plus gros gode que j’ai. On est face-à-face. Il sort ma queue de ma petite culotte et attrape les deux ensembles dans sa grande main. Collées l’une contre l’autre je vois son énorme bite et la mienne qui paraît encore plus minuscule.

De son autre main, il soulève mon menton, plante ses yeux bruns dans les miens.

- C’est qui le mâle ici ?
- C’est vous ... d’une petite voix
- C’est qui la femelle ?
- C’est moi ... d’une voix encore plus basse et timide
- J’entends pas ! C’est qui la femelle !
- C’est moi
- C’est moi quoi ?
- La fille... 
- La femelle !
- La femelle
- Dis le en entier !
- C’est moi la femelle !

Toute la nuit j’ai été sa femelle mais ne raconterai pas tout en détail, trop de choses. Sa queue énorme et inépuisable dans ma chatte ; le poids de son corps sur moi ; son foutre dans ma bouche. Pour le coup c’est vraiment là que j’ai perdu mon pucelage.

Notre relation a durée environs 4 ans, et on se voyait quasiment tous les vendredi soir, chez moi. Il a fait de moi, sans brutalité, sa femelle soumise et obéissante. On est sorti en boite où souvent il me faisait baiser par plusieurs hommes. On est allé au restaurant, dans des sex-shop choisir ce qu’il allait me mettre comme plug... on s’écrivait beaucoup. J’ai déménagé. On ne s’est plus revu.

De cette première nuit juste un détail quand même. A un moment m’a demandé de le suivre aux toilettes. Il m’a fait mettre à genou devant la cuvette puis, me regardant de haut en train de pisser, il m’a dit rigolant :

- Tu verras, d’ici un an c’est toi qui me servira de chiotte !

Dans ma petite tête je me suis dit, tu rêves mon gars, jamais de la vie... Le temps lui a donné raison.

A mon nouveau Maître JK je n’ai pas raconté tout ça. Ses questions sur mon dressage étaient directes et ne s’encombraient pas de détails. Il voulait juste un état des lieux.

- Tu suces ? Oui.
- Tu avales ? Oui.
- Tu aimes te faire enculer ? Oui.
- Tu es bien ouverte ? Assez.
- Fist ? Oui 2 fois, ça m’a fait un peu mal. Il faudra t’entrainer.
- Uro ? Oui. Raconte-moi ! Je lui raconte comment mon ancien Maître à fini par me convaincre de le laisser pisser dans ma bouche.
- Tu bois ? Oui. Tout le monde ? Non, juste mon ancien Maître. Tu vas devenir une pissotière.
- Scato ? Non, enfin une fois mon ancien Maître m’a fait nettoyer un gode qui sortait de ma chatte. On verra ça.
- T’as une petite bite ? 10 cm.
- Au repos ? Non en érection. C’est ridicule, trop petit pour une femme !
- T’es cocu ? Non.
- Peut-être que tu ne le sais pas ? Peut-être mais je ne pense pas...

Voilà à quoi ressemblait son questionnaire.

Il m’a demandé des détails sur ma compagne, est-ce que je lui donnais du plaisir, ce qu’on faisait, la fréquence de nos rapport, sur le fait d’être cocu, sur comment je ressentais ma situation de «lopette» comme il disait.J’expliquais que pour moi, ma vie de tous les jours et ma vie de travestie c’était deux choses différentes, que je ne sentais pas une lopette comme il disait, que j’aimais les femmes.

La conclusion qu’il me donne c’est que que je dois apprendre ce que je suis vraiment et quelle est ma vraie place et qu’il va m’apprendre tout ça...

C’était pendant le confinement, c’était un peu un jeu pour moi, une sorte de défi. Il était loin, je pouvais arrêter à tout moment.

Je reviendrai là dessus mais pour l’instant je reprends la transcription des échanges que j’ai conservés.

Lundi 29 mars 2020

MJ - Bien, as tu avancé ? ( en fait il parle de ma compagne et de mon souhait de faire une transition H2F qui a bien sûr créé beaucoup de tension dans notre couple... je peux comprendre - j’y reviendrai)

KS - Avec ma compagne les choses n’ont pas beaucoup évolué. Maintenant je n’ai plus du tout d’érection lors de nos rapports sexuels donc je lui lèche la chatte et je la masturbe. Quand je me masturbe, j’avale à chaque fois mon jus de lopette. Une fois par jour je bois ma pisse et je lèche ma merde comme vous m’avez demandé. Par contre pas de rencontre car à chaque fois c’est trop compliqué à organiser.

M - Ta femme est au courant ?

KS - Non, elle sait que je veux faire une transition et on discute toujours pour trouver une sorte d’accord. Je pense que ça va finir par se faire car elle va finir par se lasser que mon clito reste mou et que je sois qu’une lopette.

MJ - C’est vraiment tout ce que tu es, une lopette. J’adorerais vous voir tous les deux et changer les choses qu’elle comprenne qu’il faut bien t’enculer fort. Et puis je baiserai ta femme devant toi

KS - La dernière fois qu’on c’est gouiné (vu qu’il n’y a plus de pénétration pendant nos rares rapports sexuels c’est comme ça que j’en parle) elle a branlé ma chatte avec ses doigts. D’habitude elle hésite en n’en met qu’un seul mais cette fois elle en a mis trois. Je pense qu’elle a senti que j’avais la chatte bien ouverte...
De toute façon comme je n’ai plus d’érection je trouverai normal qu’elle se fasse baiser par de vrais mâles comme vous. Je connais ma place maintenant.

Plus tard

KS - Ma compagne vient de rentrer...

MJ - Donc tu vas partir

KS - Oui là on prépare nos affaires. On mange chez la même amie que la dernière fois et c’est de nouveau moi qui fait la cuisine.

MJ -  Tu devrais lui montrer nos conversations

KS - Là c’est sûr qu’elle me quitte de suite. Elle n’aurait pas envie d’une sous-merde comme moi. Là elle aime bien mon côté gentil et efféminé mais elle ne supporterai pas une lopette soumise prête à servir de chiotte.

Voilà pour cette fois.

PS : Pour les commentaires... je ne savais pas qu'il y avait un code de bonne conduite pour les Maîtres. Là je joue pas au Monopoly :-)

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