Ma collègue devant héberger son filleul qui vient dans la région pour continuer ses études, nous en profitons pour l'initier et l'entraîner dans nos jeux. Elle-même finit par nous aider.
Proposée le 19/06/2023 par Hannapurna
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Vendredi 1er septembre 2000
Nous avons passé toute la semaine à poil au bureau toutes les deux. C’était vraiment calme question boulot et nous n’avons eu que deux visites pour lesquelles nous avons eu largement le temps de nous remettre en tenue “normale” entre le coup de sonnette et le moment où la personne est arrivée à l’étage de notre bureau. Evidemment, j’ai emporté quelques jouets pour nous faire des petits plaisirs dans les temps morts. C'est vraiment le top de pouvoir se balader à poil au bureau avec un plug anal et de se faire un soixante-neuf à la pause.
Avant-hier j’ai proposé bien évidemment à ma collègue de venir à nouveau passer le week-end à la maison pour la piscine entre autres, mais pas que ça évidemment. Et je lui ai glissé que notre fille serait de nouveau chez ma tante. Mais elle me rappelle une info que j’avais eu en juin mais que j’avais un peu zappée entre-temps.
Guillaume, le fils de sa sœur ainée vient de réussir le bac du haut de ses dix-huit ans et il a choisi de faire une filière de management du sport. Il n’y a rien de tel autour de chez eux et il a été accepté à Luminy. Comme il était difficile de lui trouver un logement pratique, Martine a proposé qu’il vienne s’installer chez elle. D’une part elle a une chambre en plus et d’autre part, elle adore son neveu, qui est en même temps son filleul. D’ailleurs, il débarque dès ce vendredi soir pour s’installer et prendre ses repères pour les transports et le reste avant le début des cours. La pré-rentrée est déjà prévue pour mardi prochain. Voyant qu’elle hésitait mais ne disait pas non catégoriquement, je n’ai pas insisté.
Hier j’ai laissé mûrir l’idée et aujourd’hui j’ai relancé l’invitation juste après qu’elle ait pris son pied avec moi et deux vibros. Finalement, elle est OK, mais elle met des limites :
— Par contre, je veux pas qu’on soit à poil devant mon neveu.
— D’accord, mais topless, ça peut aller ?
— Euh, oui. Il a déjà vu des femmes comme ça à la plage avec ma sœur et moi.
— Et pas toi ? Tu as pourtant même fait du naturisme, tu m’as dit.
— Oui, mais pas en famille. Avec ma sœur on a toujours porté un bas de bikini.
— En parlant du bas, je connais ton maillot tanga bien échancré. Il le connait aussi, donc ?
— Oui, c’est celui que j’ai porté avec eux en juillet en Corse.
— Eh bien, je te propose un deal : Je te passe un string bandeau presque aussi large que ton tanga. Les deux sont noir, il fera pas la différence.
— Euh…
— Allez, ça dévoile à peine quelques centimètres carrés de plus que ton maillot.
— Bon, OK.
— Et comme ça je me sentirai moins seule avec le mien.
— Evidemment, je m’en doutais. Bon, comme on dit : alea jacta est !
Tout est réglé, on les attend vers le midi pour un barbecue.
Samedi 2 septembre 2000
Quand la sonnette de l’entrée me signale que Martine et Guillaume sont arrivés, je sors de l’eau et m’enroule dans un paréo pas trop transparent pour commencer soft, mais en faisant un peu exprès de ne pas trop m’essuyer. J’ouvre la porte et les fais entrer :
— Ah, enfin je fais ta connaissance, Guillaume. Ta tante m’a tellement dit du bien de toi.
Je m’approche de ce grand blondinet que je viens de découvrir et lui fais la bise. Il est un peu étonné par ma tenue car si le paréo est relativement opaque, il est tout de même pas très épais. De plus il dévoile bien que je n’ai pas grand chose dessous. Je l’ai noué guère au-dessus de mes tétons qu’on voit certainement pointer à travers l’étoffe humide. Pendant qu’ils me suivent à travers la maison, je sens que le tissu me colle bien aux fesses et doit leur révéler le relief de la ficelle du string que je porte dessous.
Nous débouchons sur la terrasse où Ber est déjà en train de préparer les braises dans le barbecue. Tel qu’il est positionné, il est de face par rapport à nous, derrière l’appareil, et il porte un tablier pour se protéger des projections éventuelles de brindilles enflammées. Donc ils ne voient pas ce qu’il porte dessous. Il leur fait signe et annonce :
— Il y en a pour un bon moment encore avant que les braises soient au top. Vous pouvez vous mettre à l’aise et vous baigner en attendant. Ensuite on prendra un petit apéro.
Je ramène donc d’abord à l’intérieur et les installe. Lui dans la chambre à côté de la notre et elle dans celle en face comme la semaine dernière. Je les laisse se mettre en maillot et retourne à l’extérieur où je tombe le paréo avant de me poser sur un transat qui fait face au soleil et en même temps à la baie vitrée du salon.
Guillaume revient assez vite dans un short de bain assez ample. Effectivement, il a le corps qui correspond a un étudiant en STAPS, svelte et musclé.
Il découvre enfin mes seins qui lui sont exposés et le minuscule triangle avant de mon string. Je me lève et lui tourne le dos pour aller vers la piscine. Il peut donc profiter de la vision certainement agréable pour un garçon de son âge que représentent mes fesses séparées par une simple ficelle coincée au milieu. Je me glisse dans l’eau et lui propose de me rejoindre. Il marque le pas puis vient me rejoindre, pile au moment où sa tante fait son apparition.
Elle a tenu parole car elle a enfilé le string-bandeau lié sur les côtés par des nœuds que je lui avais préparé sur son lit. Et pourtant, contrairement à ce que je lui avais annoncé, même si l’arrière n’est pas une ficelle, la bande de tissu n’est pas trop large et rentre bien entre ses fesses. Son neveu ne voit donc rien de spécial quand elle arrive face à nous. Mais c’est quand elle se retrouve avec nous dans la piscine et qu’elle lui tourne enfin le dos qu’il s’aperçoit de sa tenue minimaliste, inédite pour lui. Je note qu’elle est un peu gênée dans ses mouvement à cause de cette situation nouvelle pour elle et son neveu encore plus . Il n’arrive pas à empêcher ses yeux de revenir sur la poitrine et les fesses de sa tante qu’il n’avait jusqu’à présent pu qu’imaginer et qu’il a là juste sous son nez. Et ça ne lui fait certainement pas le même genre de sensations car son short dont le tissu mouillé lui colle un peu à la peau fait une bosse devant. J’attends que ma collègue se soit acclimatée et détendue pour lui souffler discrètement à l’oreille :
— Je crois que tes fesses font de l’effet à ton neveu…
— Arrête, Caro, tu vas me faire regretter de t’avoir suivie.
— Mais non, je suis même sûre que ça t’excite de savoir qu’il te mate.
Pour détendre un peu l’atmosphère, je les éclabousse et lance quelques plaisanteries. Ça marche car je sens que les deux se décontractent peu à peu.
Pendant ce temps, le barbecue est bien avancé et Ber me demande de m’occuper de l’apéro pendant que lui va mettre en route les grillades et finir d’installer les assiettes, couverts et ustensiles posés en attente sur la table de jardin. Je sors de la piscine et vais chercher le nécessaire : boissons, olives, salés et autres amuse-gueules. Donc forcément je montre bien en contre-plongée mon postérieur pratiquement nu à nos invités.
En revenant, je constate qu’ils on forcément aussi vu la tenue exacte de Ber puisqu’il a fait le déplacement vers la table et leur tourne maintenant le dos. Donc ils savent qu’il est lui aussi en string-ficelle, le tablier ne masquant que le devant. Je propose à nos deux spectateurs de sortir pour pouvoir passer à la suite.
Martine profite d’une occasion de ne pas être entendue par son neveu pour me souffler :
— J’aurais du me douter que tu mettrais pas le plus large de tes strings.
— Tu vois, tu me connais bien. Et je crois que ton neveu apprécie celui-là.
— Forcément, à son âge. Et ton mari ?
— Ah, là je t’arrête. On avait pas parlé de sa tenue.
— OK, c’est vrai.
— Allez, laisse-toi aller. Déjà tu as réussi à te mettre en string devant ton neveu.
— Ouais, je me demande comment j’ai fait…
— Pff, je pense qu’en réalité ça te plait bien. Et à lui aussi…
Elle ne réplique pas et nous nous installons dans les transats. Guillaume a droit à un pastis bien frais, comme Ber tandis que Martine et moi attaquons directement au rosé glacé. Puis après deux tournées, Ber reprend sa place au service pour nous apporter les saucisses pendant qu’il laisse les côtes d’agneau grésiller encore un moment sur le grill. Il a enlevé son tablier et Martine parait rassurée de voir que le triangle du string qu’il porte n’est pas trop mini car il cache presque entièrement son pubis épilé. Presque, car on aperçoit tout de même le haut de sa petite bande de poils au dessus de l’élastique.
A table, Martine et moi faisons face respectivement à Ber et Guillaume. Je note que ce dernier est bien intéressé par ma poitrine juste devant ses yeux, mais qu’il porte son regard plus souvent encore vers celle de sa tante qui est plus lourde et ballotte plus que la mienne. A une occasion où je vais chercher quelque chose en cuisine, je jette un coup d’œil rapide qui me permet de vérifier que c’est le cas car son short fait une belle bosse devant. Au passage, je fais en sorte qu’il s’aperçoive que je l’ai vu et il a l’air gêné.
Puis nous sommes de nouveau tous les quatre dans la piscine. Il a réussi a faire en sorte de ne pas montrer à sa tante l’ampleur de son trouble et la fraicheur relative de l’eau lui permet de dégonfler, tout au moins suffisamment pour que ce ne soit plus visible dans l’ampleur du caleçon. En étant la première à sortir pour aller se poser sur un transat, Martine me donne l’ouverture pour aller un peu plus loin. Je demande discrètement à Ber de sortir lui aussi et je m’occupe immédiatement de Guillaume avant qu’il ne se sauve :
— Dis-moi, tout à l’heure, c’est ta tante qui te faisait bander ou bien moi ?
— Euh…
— Ou les deux peut-être ? Allez, tu peux en parler, c’est tout à fait naturel.
— Ben oui, c’est la première fois que je vois deux femmes presque entièrement nues. Et en plus d’aussi près. Et une des deux c’est ma tante. Je l’avais jamais vue en string.
— Eh bien profites-en, c’est toujours ça de pris. Dis donc, d’en parler ça te fait de l’effet !
— Euh, pardon, je peux pas contrôler.
— T’excuse pas, je t’ai dit que je trouvais ça naturel. Fais voir…
Et j’envoie une main sur son paquet-cadeau qui est bien garni. Il panique un peu quand mes doigts se referment sur son manche à travers le short. Je lui suggère un deal :
— Mmm, pas mal ! Tiens, je vais te proposer un moyen de contrôler ça. OK ?
— Euh, oui, ça m’arrangerait bien. Mais tu peux me lâcher, s’te-plait ?
— Oh oui, pardon, voilà ! Mais pour te montrer mon idée, on sera mieux à l’intérieur.
— D’accord, et on fait quoi ?
— Ne sois pas impatient, suis-moi et tu me laisses faire.
Je sors de la piscine et il me suit, en faisant attention à ne pas se montrer de face à sa tante et il prend une serviette qui était au bord pour faire mine de s’essuyer afin de masquer l’ampleur de son émoi. Martine nous voit partir vers l’intérieur et demande :
— Dites, vous allez rentrez déjà ?
— Non, c’est juste que j’ai parlé à ton neveu d’un truc qui devrait l’intéresser. Je lui montre et on revient dans un moment.
— Quel truc ?
— Tu verras, on reviendra probablement avec.
Elle n’insiste pas et se recouche sur son transat. Tout va pour le mieux. J’emmène Guillaume jusqu’à notre chambre et je ferme la porte. Je farfouille dans un tiroir et en sors un string de bain de Ber qui est plutôt bandeau, donc assez large, que je lui tends :
— Tiens, enfile ça, tu seras à égalité avec nous !
— Euh… Je crois que ça va pas le faire. Surtout dans mon état…
— Ah oui, commençons par ça. Je t’avais promis une méthode infaillible.
— Oui, c’est quoi au fait ?
— Commence par enlever ton maillot.
— Euh, et me mettre nu devant toi ?
— Oui, nu, comme je le suis presque moi-même. Et en érection, je sais, c’est pour ça qu’on est là. Tiens, si ça peut t’aider et te prouver que ça me gêne pas, j’enlève moi aussi mon string. Vas-y, j’ai déjà vu des sexes masculins en pleine action, tu sais…
Il hésite un moment, restant ébahi devant l’épilation radicale qu’il découvre alors que je lui fais face dans ma nudité totale. Mais finalement l’idée de pouvoir exhiber en toute impunité sa bite en érection devant une nana mûre pour la première fois l’emporte et il enlève son short. Il me dévoile une bite de bonne taille et déjà bien raide surmontant des couilles qui ne pendent pas, le tout enveloppé par un duvet léger aussi blond que ses cheveux. Je suis agréablement surprise par l’ensemble et je le lui fait savoir :
— Ben dis donc, en voilà une belle queue. Aussi longue et presque aussi large que celle de mon mari. En tout cas, bien supérieure à la moyenne. Par contre, tes grelots n’ont rien à voir avec les grosses cloches de Ber. Mais c’est mignon. Bon, maintenant suis-moi.
— Comme ça ?
— Oui, comme ça. Ta tante peut pas te voir depuis la terrasse.
Il me suit donc jusqu’à la salle de bain heureusement assez proche et là je lui dis :
— Bon, maintenant, occupons-nous de ton problème ! Montre-moi comment tu te branles.
— Euh… là, devant toi ?
— Ben oui, tu vas pas me dire que tu t’es jamais fait plaisir devant une photo de nana en imaginant qu’elle était en vrai, hein ?
— Euh oui, j’avoue que ça m’aide bien.
— Eh bien, là, c’est en vrai. Donc au travail ! Et si ça peut t’aider un peu, regarde-moi bien.
Je commence par m’assoir sur le bord de la baignoire en me basculant en arrière, jambes écartées pour qu’il ait une bonne vue de ma fente. Il ne résiste pas et fort de ma permission, il commence à se secouer doucement la queue Voyant qu’il essaie tout de même de faire durer le plaisir en n’accélérant pas trop son mouvement, au bout d’un moment je me retourne et me penche complètement sur la baignoire pour lui présenter mon côté pile. J’en rajoute un peu en passant deux doigts de mon clito à ma rondelle brune. J’entends que dans mon dos il s’agite de plus en plus nerveusement. Je préviens :
— Et attention, n’en mets pas partout !. Vise la baignoire quand ça vient.
Sitôt dit sitôt fait, il éjacule intempestivement à côté de moi une belle quantité de sperme. Je tourne la tête pour voir les dernières giclées tomber sur la faïence. Mais j’enchaine sans le laisser souffler. Je me redresse et attrape sa bite, le prenant un peu au dépourvu :
— Bravo, c’est un bon début, mais sera pas suffisant. Passons à la suite du traitement…
Je commence par passer ma main en mouvement vrillé sur son gland et jusqu’en bas de sa hampe pour bien lubrifier le tout en me servant des coulures de son liquide séminal. De l’autre main j’empoigne ses couilles, ce qui me confirme l’impression de fermeté qu’elle présentaient au regard. Puis je me mets à genoux pour continuer à le masturber en serrant bien mes doigts pour le pousser dans ses derniers retranchements. Il essaie de résister, mais je sens les premiers soubresauts de sa queue et ses halètements qui annoncent son arrivée imminente. J’accélère le mouvement et il explose une nouvelle fois en grognant sa jouissance. Cette fois, comme il est en face de moi, forcément je reçois toutes les giclées sur la poitrine. Je continue à l’essorer jusqu’à ce qu’il ne sorte plus rien du méat et que je sente sa queue dégonfler dans ma main. Je le lâche enfin :
— Voilà, ça devrait aller mieux maintenant. Tu as aimé, j’espère ?
— Ah oui, je m’attendais pas du tout à ça. Mais c’était excellent.
— Et tu vois, ça ne remonte pas tout de suite comme au premier coup. Maintenant il te reste plus qu’à faire un petit nettoyage, à l’eau froide évidemment, et tu es paré !
Il s’exécute et savonne ses outils avant de les rincer à l’eau fraiche et de les essuyer. Nous retournons maintenant à la chambre sans qu’il n’y ait d’alerte bandaison de sa part et il peut maintenant enfiler sans problème le string.
Nous retournons à l’extérieur où sa nouvelle tenue est immédiatement remarqué. Avant que Martine ne réagisse, je prends les devant :
— Et voilà la surprise ! Maintenant on est tous à égalité.
Ma collègue ne sait plus quoi dire, d’autant que son neveu a l’air de ne pas se sentir gêné le moins du monde. Du coup elle garde pour elle les réserves qu’elle allait émettre. Je me pose dans le transat à côté du sien.
Peu après, les hommes étant dans la piscine, elle en profite pour me rebrancher :
— Dis donc, vous en avez mis du temps pour juste passer un string.
— Ben justement, tu imagines que ça posait un problème, non ?
— Euh, je vois de quoi tu parles…
— Donc il a fallu calmer son érection intempestive pour qu’il puisse tenir dedans.
— Et comment tu as fait ? Tu l’as sucé, peut-être ?
— Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
— C’est Ber qui me l’a suggéré quand je lui ai dit que c’était un peu long.
— Et que vous étiez en train de faire quoi, de votre côté ?
— …
— Oh, ça va, je me doute bien qu’il a du te proposer de profiter de l’absence de ton neveu.
— Oui, bon, c’est vrai. Et c’est là qu’il m’a dit que tout dépendait du temps que tu mettrais à faire éjaculer Guillaume en le suçant.
— Et pour passer le temps, vous avez fait quoi, exactement ?
— Il m’a pris en levrette et ensuite je l’ai sucé pour qu’il gicle sans laisser de traces.
— Eh bien bravo ! Par contre, de mon côté, ni baise ni sucette.
— Vous n’avez rien fait, finalement…
— Ben non, ou presque. Juste une bonne branlette. Et même deux pour bien le vider.
— Mouais, tu m’étonnes. T’as vraiment pas de limites. Juste à côté avec mon neveu…
— Allez, fais pas ta mère-la-pudeur. Je parie que là tu nous imagines dans cette situation. Et que ça te plait de savoir qu’il bande en matant tes seins et tes fesses. La preuve, tu as les tétons qui commencent à pointer…
Nous arrêtons là cette discussion pour aller rejoindre les mâles dans l’eau. Dans l’intervalle, j’ai noté que Ber avait profité quand il avait rattaché le string de Martine après l’avoir baisée pour refaire les nœuds différemment, de ceux qui sont faciles à détacher.
Donc nous nous prélassons dans l’eau pour nous rafraîchir et je me positionne à côté d’elle pour tirer doucement sur un des brins. Le nœud magique est tellement bien fait qu’il cède immédiatement et que les lanières se mette à flotter librement sans que Martine ne le sente. Ber a vu ma manœuvre et en fait de même presque simultanément de l’autre côté. Comme elle ne se rend compte toujours de rien, je la chante un peu pour s’asperger d’eau le visage et elle entre dans cette petite bataille. dans le mouvement, le string qui n’est plus du tout attaché se libère enfin de son entre-jambes. Ber le récupère dans son dos et en fait une boule qu’il garde dans sa main et sort pour se diriger vers les transats. Pour que Guillaume qui l’a vu faire ne vende pas la mèche, il lui fait aussitôt un clin d’œil accompagné d’un pouce en l’air et c’est bon, il ne dit rien à sa tante.
Je sors à mon tour, suivie par Guillaume et nous nous essuyons pour nous installer au soleil pour finir de sécher. Pendant ce temps, je le mets discrètement au courant de ce que nous comptons faire juste après. Martine nous emboite le pas et en montant à l’échelle, elle jette un œil machinalement vers le bas pour voir où elle pose son pied. Elle s’aperçoit enfin qu’elle ne porte plus rien du tout sur elle et redescend dans la piscine. Elle commence à chercher en scrutant le fond, mais comme le fond est bleu turquoise et que le string est noir elle se rend très vite à l’évidence qu’il a disparu. Ber ne la laisse pas douter longtemps et brandit le morceau de tissu :
— C’est ça que tu cherches ?
— Oh, c’est toi qui me l’as enlevé ?
— Non, il a du se défaire tout seul. Je l’ai juste récupéré qui flottait.
— Tu aurais pu me le dire !
— Ah non, c’était beaucoup plus amusant comme ça.
— Bon, maintenant, rends-le moi…
C’est à mon tour d’intervenir dans ce débat :
— Et si au contraire on en profitait pour tous se mettre dans ta tenue ? Qui est pour ?
Ber lève immédiatement la main avec moi, suivi rapidement de Guillaume qui obéit sans scrupules à mon précédent briefing. Je suis donc la première soulever un peu mes fesses pour enlever mon string, suivie par Ber et notre jeune complice qui se dépêche de nous imiter avant de changer d’avis. Martine barbotte toujours dans l’eau et je la nargue :
Allez, fais pas ta rabat-joie, maintenant on est tous à poil. C’est bon, tu peux sortir !
Elle se décide enfin et nous rejoint pour vite prendre sa serviette et s’en draper pour se sécher avant de s’assoir comme ça sur le dernier transat libre, entre Ber et Guillaume, moi-même étant à droite de ce dernier. Elle ne manque pas en route de noter que son petit neveu a bien grandi, surtout à certains endroits. Puis enfin elle se fait une raison :
— Bon, vous avez gagné, laissons-nous aller !
Et elle enlève sa serviette, s’abandonnant sans plus de résistance aux rayons du soleil. Tout se passe bien dans un premier temps, et ça semble la rassurer totalement. Toutefois, Guillaume jette de petits regards furtifs vers le ticket de métro de sa tante qu’il vient tout juste de découvrir et qui doit forcément l’intéresser au plus haut point.
Mais comme je trouve que ça traine un peu trop en longueur, je me lance dans la suite. Je me lève pour me coucher à plat ventre sur un matelas de plage et je demande :
— Dis-moi, chéri, tu voudrais bien me passer l’huile dans le dos ?
— Ça tombe mal, comme je commence à avoir soif, et je suppose que c’est pareil pour tout le monde, j’allais me lever pour ramener de quoi boire. Attends que je revienne.
Et effectivement, il se lève et me passe à côté. Il stoppe juste le temps de dire :
— Ou sinon, peut-être que Guillaume peut te rendre ce service ?
Je me tourne vers l’intéressé qui regarde vers sa tante comme pour en obtenir une permission mais comme elle ne se manifeste pas, il se lève et balbutie :
— Euh, volontiers…
Il vient donc s’agenouiller à côté de moi, dos à sa tante, et prend de l’huile solaire dans ses mains pour me tartiner en premier les épaules et la nuque. Il descend ensuite le long de mon dos et s’arrête sagement au niveau de mes reins. Puis il se déplace latéralement pour se trouver au niveau de mes jambes . Je jette un œil pour vérifier qu’il est maintenant en grande érection, non visible par Martine dans cette position et je lui suggère :
— Tu serais certainement mieux placé pour mes jambes si tu te mettais carrément derrière, à cheval au dessus de mes chevilles.
Je sens qu’il hésite à se mettre comme ça, ce qui le placerait de profil par rapport à sa tante. Mais finalement il doit trouver ça amusant de se montrer à elle dans cet état car il le fait et j’ai confirmation de mes suppositions car elle laisse échapper un petit “Oh” de réprobation que je perçois, bien qu’elle l’ait presque murmuré. Je sens les mains remonter sur mes jambes puis mes cuisses que j’écarte ostensiblement de plus en plus, lui dévoilant progressivement ma fente que je sens déjà humide. Enfin il arrive à mes fesses et ne se prive pas de bien les malaxer, rassuré sur le fait que je ne vais pas me plaindre. Je sens même un doigt commencer à s”aventurer autour de mon entrée arrière. C’est à ce moment que Ber revient. Il ne se prive pas pour exprimer ce que Martine n’osait pas dire :
— Ouah, Guillaume, tu m’as l’air en pleine forme !
— Euh, pardon, je…
— Mais non, c’est normal, moi aussi je banderais à ta place en tripotant ses fesses.
Et il finit sa trajectoire en posant le plateau supportant les verres et les bouteilles sur le sol devant les transats. Il fait comme si de rien n’était et propose à chacun de choisir sa boisson. Martine se dépêche de demander un grand jus d’orange pour ne pas trop montrer son trouble. Son neveu semble décider que sa séance est finie car il profite de la diversion pour retourner s’assoir, disant qu’il prend la même chose. Je préfère une boisson gazeuse et Ber en sert une autre pour lui avant de s’assoir lui aussi dans son transat. Pour boire plis aisément je me redresse et me mets en tailleur face à eux. Un silence s’impose un petit moment, puis comme Guillaume est affalé sur son siège avec sa bite toujours tendue mais toujours pas décapuchonnée qui repose sur son ventre, sa tante lance enfin :
— Dis donc, tu pourrais au moins mettre quelque chose dessus pour ne pas nous gêner.
C’est moi qui répond en premier, relayée par Ber :
— Oh, ça va, on n’est pas choqués. Après tout, c’est naturel de bander à cet âge.
— Oui, ne dramatise pas, Martine, sinon tu vas le culpabiliser. C’est pas de sa faute.
— Ecoute, n’y pense plus et ça va te passer. Tu es chez nous, on te donne l’autorisation.
— Exactement ! Et si ça peut te rassurer, je vais te tenir compagnie.
Effectivement, Ber se laisse un peu aller à penser à des choses certainement aussi excitantes que moi, car une érection se développe doucement mais sûrement sur son bas-ventre. Et rampe un peu avant de s’élever franchement. Lui par contre complète l’opération en décalottant son gland et ma collègue se retrouve entre deux belles bites dressées en se rendant compte qu’elle n’aura pas son mot à dire si tout le monde se ligue contre elle. Donc elle se résigne et essaie de ne pas y faire attention. C’est suffisant pour qu’au bout d’un temps pas trop long les deux colonnes grecques redeviennent des polochons bien mous posés sur leurs matelas. Elle a l’air de souffler après cette alerte.
Tout reste calme même pendant l’apéro car je me retiens volontairement de faire des provocations. Il vaut mieux ne pas titiller Guillaume pour éviter qu’il ne bande à nouveau et laisser Martine se rassurer. Tout au moins pas avant la fin du dîner. Ça ne l’empêche pas d’avoir un nouveau début d’érection lorsqu’il lorgne sur le cul de sa tante en la suivant quand nous rentrons nous mettre à table. Elle remarque sa bite presque à l’horizontale quand il contourne la table pour se mettre en face d’elle et le lui fait savoir :
— Décidément, tu pourrais te tenir un peu…
— Euh, je fais pas exprès, Marraine…
— J’espère bien.
Pendant cet échange dont Ber et moi ne nous mêlons pas, ils sont restés debout et je note que cette fois, elle garde bien son regard sur l’objet du conflit jusqu’à ce qu’ils s’assoient. Pendant le repas, Martine se laisse aller à boire un peu, comme elle l’a déjà commencé pendant l’apéro. Je suppose que c’est pour essayer de ne pas trop penser à l’appareillage de son neveu. Comme elle vient m’aider à débarrasser, j’attends que nous soyons à la cuisine pou lui en parler, histoire de la chauffer un peu :
— T’as vu comme il est bien monté, Guillaume ?
— Euh… si on parlait pas de ça ?
— Allez, avoue : tu aimerais bien y goûter, non ?
— Ça va pas, c’est mon neveu, tout de même.
— Et si c’était pas le cas ? C’est une belle bite, tu dois le reconnaitre.
— Oui, c’est vrai, mais bon…
— Allez, dis-le clairement : j’ai envie de cette grosse queue.
— J’ai envie…
— Vas-y !
— J’ai envie de cette grosse queue. Voilà, tu est contente ?
— Bravo ! Tu peux pas le nier, tes tétons dressés te trahissent.
— Mais c’est mon neveu, donc ne rêvons pas.
— Moi je rêve pas, j’ai déjà touché.
— Oui, je sais, merci de me le rappeler…
Je la laisse redescendre un peu tandis que nous retournons au salon. Ber est en train de mettre en route le home-cinéma en nous annonçant que Canal+ passe en exclusivité le dernier Kubrick, Eyes Wide Shut.
Nous nous installons tous les quatre dans le canapé en nous serrant un peu entre les accoudoirs. Ber est à gauche, moi à droite, et au milieu nous avons Guillaume à côté de moi et Martine entre lui et Ber. Evidemment, dès les premières scènes à forte tension érotiques les effets secondaires ne tardent pas à se faire ressentir. Il faut dire que Kidman nue, c’est déjà assez excitant. Mais les situations le sont encore plus.
Donc les deux mâles de l’assistance n’essaient même pas de se retenir et arborent rapidement un grand mât bien droit au dessus du niveau de flottaison. Martine essaie de se concentrer sur le film pour éviter de trop regarder ces deux piliers turgescents qui l’entourent. Mais entre ça et l’érotisme torride du film, ses tétons la trahissent en pointant bien durs. Ber n’hésite pas à se décalotter et à garder sa main sur ses couilles qu’il masse doucement. Du coup, Guillaume qui doit guetter tout ça du coin de l’œil en fait de même. Pour ma part, je me caresse tranquillement avec un doigt dans ma fente humide.
Au bout de deux heures trois quarts, le film prend fin et j’éteins les appareils dans un silence que personne ne rompt. Pour éviter de se manifester sur notre état, Martine se lève et annonce qu’elle va aux toilettes car elle se retient depuis un moment. Profitant qu’elle n’est pas là pour un court moment, nous attaquons Guillaume. Ber se branle juste un peu pendant que j’attrape la bite de mon jeune voisin en lui disant :
— Bon, voilà : tu vas être le premier à aller dans ta chambre. ensuite tu sortiras par la porte-fenêtre derrière et tu attendras en silence devant celle de notre chambre.
— Euh…
— A moins que ça ne t’intéresse pas de t’amuser un peu avec nous.
— Non, non, c’est bon. Bien sûr que ça me dit.
— Bon, alors c’est OK. En attendant, fais un peu comme Ber pour narguer ta tante. Mais pas trop, garde tes munitions ! Et je te promets une bonne surprise…
Je libère sa queue qu’il s’empresse de prendre en main pour la caresser assez tranquillement pendant que mon doigt continue à s’activer en douceur sur mon clito. C’est dans cette configuration que Martine nous trouve à son retour des toilettes :
— Ah ben, ne vous gênez pas, surtout ! Et toi qui les laisse faire.
— Allez, laisse-les. Avec ce film, c’est normal qu’on soit excités. Pas toi ?
— C’est pas la question. Guillaume, franchement, faire ça devant moi…
— Euh oui…Excuse-moi, Marraine. Je vais aller dans ma chambre.
Et il se lève, la tige bien raide au-dessus de l’horizontale et se dirige vers le couloir des chambres. Ce qui l’amène vers sa tante à côté de laquelle il doit passer. En route, il reprend son engin en main et remet en route de lents aller-retours. Martine es tellement abasourdie qu’elle ne lui dit rien et même se tourne un peu lorsqu’il l’a dépassée pour continuer à le suivre du regard. Il disparait enfin et elle nous prend à témoins :
— Non mais vous avez vu ce qu’il ose faire devant moi. Et devant vous ?
— Oh, ça va, y’a pas mort d’homme. Il a forcément des besoins naturels à son âge.
— Je veux bien, mais tout de même, il peut faire ça sans nous en faire profiter.
— Moi, ça me gêne pas, et Ber non plus.
— Oui, je me doute, il fait pareil, alors forcément ! Et toi tu l’as déjà aidé…
— Allez, dis-nous sans mentir que le film t’a pas excitée.
— Bon, c’est vrai, mais…
— On s’en est bien rendu compte, tes tétons étaient raides. Et sa queue, elle te tente, non ?
— Oh, allons, je t’ai déjà dit…
— Oui, je sais, c’est ton neveu. Mais ne me dit pas que tu ne la regardes pas avec envie. Tes cabochons clignotent encore. je parie que tu mouilles.
— Oui, bon, j’avoue que ça me trouble un peu l’esprit. Mais tout de même.
Nous nous levons, nous approchons d’elle pour l’entourer et je lui suggère :
— Et si on allait un peu calmer tout ça ensemble dans notre chambre ?
Ce disant, je lui pince un des ses cabochons qui continuent à pointer et Ber lui prend la main pour la poser sur sa hampe. Elle ne s’insurge pas et même la fait aller et venir machinalement. Toutefois, elle hésite encore et nous le fait savoir :
— Putain oui, j’ai vraiment envie de baiser, mais il est à côté.
— Et alors, de toute façon, même si on va que nous deux dans notre chambre, on va pas se priver de se donner à fond. Et Guillaume doit déjà être aux aguets pour écouter ça et se branler dessus. Il ne pourra pas imaginer que tu sois avec nous, vu que tu as cassé l’ambiance chaque fois que ça virait au sexe. Et on restera discrets du point de vue vocal.
Pendant que j’argumente, je lui frictionne l’entre-jambes qu’elle a bien trempé comme on s’en doutait. Donc elle monte dans les tours et finalement elle cède à ses pulsions. Pour donner le change, je lui propose un stratagème. J’ouvre sa porte et dis clairement :
— Bonne nuit, Martine !
— Bonne nuit vous deux !
Je ferme sa porte un peu bruyamment en lui faisant un clin d’œil et ça semble la rassurer par rapport à son neveu. Nous entrons tous trois dans notre chambre. Mon premier regard en entrant va vers les rideaux qui sont tirés pour ne pas montrer que la porte-fenêtre est ouverte. Si Guillaume est bien derrière, en tous les cas ça ne se voit pas car la nuit est bien noire et les rideaux assez opaques.
Dans tous les cas, Martine n’a pas le temps de faire un tour d’inspection car nous l’enlaçons tout de suite pour une petite séance de baiser et de caresses, tous trois debout dans le grand espace entre la porte et le lit. Puis une fois que nous somme bien chauds, Ber demande à Martine et moi de nous faire un peu plaisir entre nous pendant qu’il nous regarde faire. Je pousse ma collègue sur le lit et monte au-dessus tête-bêche pour entamer un soixante-neuf. Nous montons progressivement en régime.
Ber juge que c’est le moment de passer à autre chose. Il me fait signe de descendre et fait retourner Martine pour la positionner en levrette. Elle n’attendait visiblement que ça :
— Oh oui, viens me prendre fort !
Il ne se fait pas prier et dans le mouvement, il lui fait tourner le dos à la fenêtre, pour être plus tranquille. Comme ça, elle ne peut pas voir son neveu quoi qu’il arrive. Pendant qu’il la pénètre, je fais le tour et au passage, j’écarte légèrement le coin du rideau et tombe nez-à-nez avec Guillaume à son poste de voyeur, bite en main. Je lui souffle à l’oreille :
— Arrête un peu de te tripoter, garde tes munitions. Dans un moment, je pense que tu vas pouvoir te joindre à nous et baiser ta tante. En attendant, tu peux regarder par le bord du rideau, elle peut pas te voir comme on l’a mise. Mais pas de bruit…
Puis je continue mon trajet et viens me rassoir sur le lit devant Martine pour qu’elle continue à me bouffer le clito. Ber lui donne de bon coups de bélier qui la fond buter du menton dans ma fourche. Elle est apparemment aux anges, vu qu’elle ne pense plus du tout à se retenir dans ses râles qui augment de plus en plus et culminent quand elle jouit enfin. Ber me fait signe et je me dégage pour lui laisser la place. Martine a bien compris ce qu’il attendait d’elle puisqu’elle se retrouve avec le gland pile devant son nez. Et comme elle adore ça, elle le tête directement sans qu’il ait à le lui demander. Pendant qu’elle le pompe avec gourmandise, prenant son temps, je vais prendre mon strapon sur la commode et l’enfile dans le champ de vision de notre partenaire en commençant un dialogue où pour chaque réplique à mes questions elle recrache son sucre d’orge :
— Je pense que tu aimerais que je te baise pendant que tu le suces, non ?
— Oh oui, donne-moi ta queue, saute-moi !
— Ca te dirait d’imaginer que c’est Guillaume qui est à ma place ?
— Mmmm…
— Allez, lâche-toi, je sais que tu fantasmes sur sa bite !
— Bon OK, j’admets. Jouons un peu, fais comme si tu étais lui.
— Non, pas comme ça. Demande-le à lui, et sois bien cochonne.
— Viens ici Guillaume, je veux que tu me mettes ta bite bien profond !
— Voilà qui est mieux ! J’arrive, Marraine, gare à tes fesses.
Et je m’écarte de son champ de vision pendant qu’elle se reconcentre sur sa fellation. Mais dès que je suis derrière elle, je fais signe à Guillaume de venir en silence vers nous. Je caresse en peu la fente de sa tante avant de le faire mettre en position de tir. Je lui fais poser une main à la place de celle que j’avais sur une des hanches de Martine et je sors mes doigts de son sillon poisseux pour prendre la hampe de Guillaume et pointer son gland contre l’entrée des artistes. Puis le le lâche et le laisse faire. Il pose son autre main sur l’autre hanche et pousse, se retrouvant sans effort au fond du vagin. Je commente :
— Oh, putain, Marraine, comme c’est bon, comme tu es chaude !
Et c’est moi qui continue ce dialogue en pointillés pour donner le change. Elle est persuadée que c’est moi qui m’active en elle et répond toujours entre deux sucettes :
— Oh oui, elle est bonne ta queue, mon filleul !
— Je vais t’exploser la chatte, Marraine !
— Vas-y, bourre-moi à fond !
Je vois qu’elle repart pour un nouvel orgasme car elle s’occupe de moins en moins de Ber pour se consacrer de plus en plus à ce qu’elle prend par derrière. Et effectivement, elle explose une deuxième fois tandis que Guillaume qui essayait de se retenir n’y arrive plus et éjacule en se collant au maximum aux fesses de sa tante en lâchant :
— Ouiiiii, Marraine, je viens. C’est trop bon !
Sur le visage de Martine passe une ombre. Elle a forcément senti les giclées de foutre avec les soubresauts de queue qui l’accompagnent, ce que ce ne fait pas un strapon en général. Et au cas où elle aurait un encore un doute, c’est bien la voix de son neveu qui a gueulé à l’instant. mais elle est tellement démontée par ses deux orgasmes si proches qu’elle reste allongée sur le ventre, oubliant complètement sa fellation en cours. Guillaume se retire pendant qu’elle se laisse descendre sur le ventre. Elle finit par dire faiblement :
— Guillaume ? C’est toi qui…
Je prends le jeune dépucelé par la main et l’emmène s’assoir avec moi à côté de sa tante. Elle nous voit donc maintenant tous autour d’elle et le doute devient une certitude. Pour éviter des mauvais retours, je prends l’initiative du débriefing :
— Alors, tu vois que tu en avais envie. Et lui aussi, d’ailleurs. Alors pourquoi se priver ?
— Tout de même, vous m’avez bien eue, là. C’est pas bien, c’est mon neveu…
— Mais non, c’est des idées. Personne ne fait de tort ou de mal à personne. Alors profitez.
Pendant cet échange, elle se retourne et se retrouve de flanc sur une hanche et sur un coude face à nous. Privilège de la jeunesse, son neveu est déjà en train de développer une nouvelle érection juste en face de son visage. Contrairement à ce qu’on aurait pu redouter, elle ne se dérobe pas et garde ses yeux braqués sur le gland qui la nargue. Alors je sais que c’est le moment de faire basculer la situation définitivement. Je prends la bite en main et commence à la parcourir lentement devant elle en lui disant :
— Allez, lâche-toi, occupe-toi de lui à ma place.
— Bah, au point où on en est, je crois que c’est plus la peine de me priver…
Comme hypnotisée, elle lance sa main libre pour me remplacer sur la tige juste quand je lâche et continue la masturbation que j’avais entamée. Guillaume est aux anges et se délecte de la vue de matante en train de le branler. Ça lui donne envie de plus :
— Dis, Marraine, tu veux bien me sucer, aussi ?
— Euh, si ça te fait rien, je préfèrerais que tu m’appelles Martine dans ces moments-là…?— Bon d’accord, tout ce que tu veux, Marr…tine !
Et elle se positionne plus confortablement pour enfin gober son gland. Comme ils sont sur les rails, je m’occupe un peu de Ber qui s’impatiente. Je le suce un peu pour le remettre en grande forme, bien qu’il n’en ait pas besoin, puis il vient me prendre en levrette à côté de Martine. J’ai donc en vue directe la fellation magistrale qu’elle prodigue à son neveu.
Ma collègue a définitivement largué tous ses préjugés car je la vois soudain se redresser et pousser son neveu pour le faire mettre sur le dos. Elle se positionne au-dessus de lui et prend sa bite en main pour s’empaler sans hésiter sur lui et entamer un rodéo. Elle prend son régime de course et finit par s’arrêter bien enfoncée à fond sur sa monture en gueulant son orgasme. J’atteins d’ailleurs le mien presque en même temps.
Un petit moment de flottement nous permet de reprendre nos esprits. Je sens que Ber sort de mon vagin pour promener son gland sur ma rosette et il pousse doucement, le faisant passer la petite porte. Pendant ce temps, Martine se dégage de son axe conducteur avec un bruit de ventouse et constate que cette fois son neveu a tenu plus longtemps puisqu’il est encore en pleine érection. Pour l’aider à finir, elle s’empresse de le prendre en bouche tout en le branlant nerveusement. Je la regarde faire tout en savourant la sodomie paresseuse que Ber me procure. Guillaume attrape la tête de sa tante pour la garder en place :
— Oh oui, c’est trop bon, continue !
Elle n’a pas besoin de ça car visiblement elle compte tout avaler. Ber profite qu’elle est toute à sa fellation pour me quitter et aller se placer derrière elle pour l’enculer sans trop de ménagements. Elle marque juste un peu le coup puis le laisse lui ramoner le conduit anal tout en se consacrant à son neveu. Et enfin celui-ci annonce :
— Ah, oui, ah, je viens !
Et dans un long râle il éjacule à nouveau. Sa tante recueille ses giclées sans en perdre une goutte. Etant plus libre de ses mouvement, elle se repositionne bien à quatre pattes pour que Ber puisse la pistonner à grands coups de reins sans risque de déculer. Guillaume étant abandonné et encore un peu dans les nuages suite à son orgasme, je le tire à moi pour qu’il puisse profiter de la vue de l’action en cours. Il pensait certainement que Ber la prenait en levrette car il est tout éberlué de voir que c’est dans l’autre trou qu’il s’active et que sa tante semble y prendre un immense plaisir. Comme en même temps je lui commente tout ça à l’oreille et que je lui masse les couilles et le gland, il reprend de la vigueur assez vite, aidé par sa jeunesse.
Martine prend encore son pied et Ber se retire pour terminer en lui inondant la raie du cul et les fesses avec son sperme bien abondant. Je lui fais signe de se pousser et je tire Guillaume par la queue pour le mettre à sa place. Je promène son gland dans le foutre de Ber et le pointe sur l’anneau encore ouvert et palpitant de Martine, puis je je laisse continuer seul en lui faisant signe de la tête s’y aller. Il hésite un peu et demande :
— C’est vrai, Martine ? Je peux moi aussi te…
— Oui, vas-y, encule-moi, j’adore ça !
Du coup il ne calcule plus et enfonce son gland dans cet anneau foncé et dégoulinant qui l’attire au plus haut point. Ça rentre sans effort car outre le fait qu’elle est encore dilatée, son outil est un peu moins imposant que celui de son prédécesseur. Du coup il est tout de suite au fond et l’empoigne par les hanches pour aller et venir de bout en bout en venant claquer contre ses fesses à chaque coup avec un clapotis occasionné par la quantité de foutre qui tapisse son postérieur. Ber présume que ça va durer un certain temps et va vite à la salle de bains pour se faire un brin de propreté après son exploration culière de notre amie. Quand il revient, la scène en est toujours au même point, Guillaume n’ayant même pas accéléré pour faire durer le plaisir. Il me presente sa bite à laquelle il a déjà un peu redonné vie pour que je l’aide à atteindre une consistance honnête.
Quand il est plus que suffisamment durci, il va donc se glisser sous Martine dans le tunnel que forment ses quatre membres et réussit à la faire descendre s’empaler sur lui sans que l’équipier arrière ne soit éjecté. Martine peut enfin goûter à un vrai sandwich tout en viande d’homme. Et à entendre ses onomatopée et soupirs, ça lui convient bien. Ce spectacle m’excite bien aussi et je m’installe confortablement pour les regarder s’activer tout en me branlant avec un bon vibro.
La tension monte graduellement et Martine a deux orgasmes successifs. Moi-même je jouis en douceur en les contemplant. Je me lève et vais me placer derrière Guillaume pour lui caresser les coules couilles tout en glissant jusqu’à la fente de Martine, bien trempée entre les deux tiges qui la perforent. Puis avec ce lubrifiant, je fais tourner mes doigts dans la raie de Guillaume, insistant de plus en plus sur son anus. Je sens qu’il se laisse faire, donc je rentre une phalange et continue jusqu’a ce que mon doigt soit entièrement absorbé. Je lui fais un massage interne qui enfin le déclenche, lâchant ses dernières réserves au fin fond du cul de sa tante.
Ber étant le seul à n’avoir pas encore terminé, il ne me surprend pas en demandant à Martine de le finir avec une bonne branlette espagnole. Elle se dévoue volontiers et je constate que cette combinaison intéresse Guillaume qui découvre décidément beaucoup de choses depuis ce matin. Il ne fait pas trop attendre sa masseuse mammaire et lui lâche une quantité encore appréciable de sperme sur les seins et le cou.
Cette fois, tout le monde est rassasié et suffisamment fatigué pour que la séance s’arrête tacitement, personne ne prenant l’initiative de relancer un nouveau round. Prenant de l’avance sur une éventuelle demande de son neveu, Martine annonce qu’elle préfère dormir seule pour mieux récupérer et s’éclipse en passant d’abord par la salle de bains pour se débarrasser des liquides qui la maculent de haut en bas devant et derrière afin de ne pas rester collé dans les draps. Du coup, Guillaume rejoint lui aussi sa chambre, en passant par le couloir cette fois puisqu’il n’a plus à se cacher. Dodo bien mérité pour tous !
Dimanche 3 septembre 2000
Ce matin tout le monde se lève tard suite à la journée mouvementée de la veille. Je m’aperçois en me réveillant que Ber est déjà levé. Je le retrouve dans la cuisine en train de boire un thé avec quelques biscuits. Il m’en propose en disant :
— Comme il est presque midi, je prends juste ça en attendant qu’ils se réveillent.
— Oui, tu as raison, on fera un gros brunch à la place, ça sera le plus pratique.
Evidemment, nous n’avons pas pris la peine d’enfiler quoi que ce soit. Au point d’intimité où nous en sommes avec eux, je ne crois pas que nos invités en soit gênés.
Puis c’est Guillaume qui émerge et nous rejoint sur la terrasse où nous nous profitons du soleil. Il a bien assimilé des leçons de la veille car non seulement il est à poil lui aussi, mais il n’a aucune honte à nous présenter un demi-érection en plein développement.
Il se pose sur un autre transat après nous avoir salué. Il pensait peut-être que nous allions lui faire remarquer son état, mais justement, nous faisons comme si tout était plus que normal. Nous nous relevons pour nous assoir de façon à pouvoir manger confortablement, levant juste la tête pour l’accueillir. Je l’invite à s’installer avec nous :
— Salut Guillaume ! Bien dormi ?
— Euh… oui, merci.
— Je suppose que tu as faim, alors viens, on commence. Ça fera venir ta tante…
C’est certainement l’idée de s’exhiber devant nous qui le faisait bander, mais force est pour lui de constater que sa manœuvre est tombée à plat. En conséquence, sa queue retombe elle aussi petit à petit. Donc, comme il est plus affamé qu’autre chose en ce moment, il s’installe près de nous et grignote un peu de tout.
Martine ne tarde pas à nous rejoindre. Elle non plus n’a rien mis sur elle. Je pense qu’elle a eu le temps de se rembobiner les séquences que nous avons vécues hier et qu’elle a bien pesé le pour et le contre de la situation où elle se trouve vis-à-vis de son neveu. Elle se pose près de nous et se met elle aussi à manger et boire. Je sens tout de même qu’elle leur d’envie de parler de ce qu’il s’est passé entre elle et son neveu. Je l’aide :
— Alors, bien remise de cette nuit ?
— Euh, oui, justement, je voulais t’en parler, mais…
— Mais quoi ? Pas devant les hommes ? Allez, ils sont concernés eux aussi, non ?
— Oui, finalement tu as raison, autant crever la bulle.
— Vas-y, sors ce que tu as sur le cœur.
— Eh bien, voilà, on s’est fait prendre dans un tourbillon, mais il faudrait pas recommencer.
— Pourquoi, ça t’a pas plu ?
— Euh, oui, mais là n’est pas la question. Guillaume va vivre chez moi et c’est mon neveu.
— Donc ?
— Donc, ça risque de mettre une mauvaise ambiance entre nous deux.
— Mais non, au contraire, maintenant vous vous connaissez vraiment et vous pouvez en profiter quand vous voulez. Ça veut pas dire baiser comme des bêtes en permanence, c’est juste que vous pourrez vous faire plaisir quand vous le voudrez. Pas vrai Guillaume ?
— Euh… oui, c’est ça, je vais pas te harceler, t’inquiète pas pour ça.
— Voilà, c’est un garçon intelligent, il sait qu’il faut pas abuser. Donc, c’est réglé !
Martine semble à moitié convaincue par mon raisonnement et par l’assurance que lui a donné son neveu. Mais elle ne relance pas le sujet et nous terminons le brunch. Puis Ber propose d’aller tous se prélasser dans la piscine pour se rafraichir un peu vu que le soleil tape déjà bien fort. L’ambiance décontractée fait que même Guillaume ne bande pas, ce qui continue de rassurer sa tante. Mais je compte bien relancer la machine un peu plus tard. J’ai eu le temps de me rendre compte au fur et à mesure qu’elle se dévoilait à nous qu’en fait ma collègue est une belle cochonne comme moi, même si elle fait tout pour le cacher et qu’il ne faudra pas beaucoup d’efforts pour la remettre en route.
Après nous être séchés sommairement, nous nous installons pour une séance de bronzette. Ber amène Guillaume se poser dans deux transats côte-à-côte et je me pose devant sur un matelas en demandant à Martine qui est la dernière à sortir :
— Dis, tu veux bien me passer l’huile solaire sur le dos ?
Elle était en train de se diriger vers un autre transat et se détourne de sa trajectoire pour venir s’agenouiller sur le matelas à côté du mien avec le flacon. Elle commence sagement par le cou et les épaules puis descend le long du dos pour atteindre mes fesses sur lesquelles elle s’attarde un peu, ce qui est bon signe. J’écarte mes jambes sensiblement et tourne la tête vers elle pour lui murmurer afin de ne pas être entendu des autres :
— Tu veux bien me caresser aussi entre les jambes ?
— Caro, on va pas recommencer, là ?
— Dis-moi que ça t’excite pas de me masser. Je vois tes tétons qui pointent.
— Oui, c’est vrai, c’est parce que je repense en même temps à ce qu’on a fait avant.
— Alors, fais-toi plaisir, et à moi aussi.
Comme elle se rend compte que telle qu’elle est positionnée elle masque l’action aux deux mecs, elle finit par céder à son envie et me caresse la fente et le petit trou. Elle stoppe son action pour descendre sur mes jambes et finalement se déplace pour se mettre à cheval au-dessus de mes chevilles pour parfaire son travail en remontant le long de mes jambes en finissant bien haut entre mes cuisses sans même plus songer à se retenir alors que ce qu’elle fait est maintenant parfaitement visible par nos spectateurs.
Je lui propose de lui rendre la pareille et au point de fusion où elle est parvenue, elle ne songe plus à retourner vers les transats. Elle s’allonge à plat ventre sur le matelas voisin et je me redresse pour m’occuper d’elle. Contrairement à elle, je me mets directement à cheval sur elle et je commence par les chevilles, remontant rapidement jusqu’aux épaules. Arrivée là, je suis carrément assise sur ses cuisses et mon pubis vient buter contre ses fesses. Puis je me décale vers le bas et reviens insister sur ses fesses et ce qu’il y a entre. Ce faisant, je jette un œil de côté, juste pour vérifier le résultat de ces actions sur nos deux mâles. Aucune surprise, ils bandent bien haut et Ber a même pris sa tige en main pour montrer l’exemple à notre jeune recrue qui en fait de même. Pour ne pas qu’il s’active trop et brûle des cartouches, Ber lui fait signe d’y aller doucement. Je remarque qu’entretemps ils s’étaient tous deux aussi badigeonnées d’huile solaire, ce qui a certainement contribué aussi à leur montée en érection. Martine est déjà bien partie car elle ne calcule plus le fait d’être exposée et ne m’empêche pas de lui investir ses deux orifices avec mes doigts pour la branler en pince de crabe. Elle monte rapidement et ne retient même pas son râle quand elle jouit. Je la libère et lui fait remarquer le résultat de nos ébats :
— Tiens, t’as vu ? On va pouvoir jouer au baise-boule, ils ont sorti les battes !
Elle tourne la tête vers eux et réalise enfin le spectacle que nous avons offert :
— Oh non, qu’est-ce que tu vas penser de moi après ça, Guillaume ?
— Mais non, Marraine, au contraire, je trouve que tu es encore plus cool maintenant.
— Mouais, et je t’ai déjà demandé de plus m’appeler comme ça.
— OK, je vais essayer mais c’est difficile, ça fait des années que je le fais.
Je reprends les rênes de la conversation en lui suggérant :
— Au point où on en est, si on allait profiter de ces belles tiges ?
Elle ne répond pas, mais quand je la prends par la main elle ne résiste pas et se laisse entraîner vers eux. Pour ne pas la culpabiliser plus, je prends l’initiative sur Guillaume et elle suit le mouvement sur Ber. D’abord ce sont nos mains qui prennent le relais des leurs et qui accentuent la branlette qui était juste légère jusque-là. Puis je gobe le gland de mon partenaire et apparemment Martine n’attendait que ça pour en faire autant.
Comme elle est sur les rails, je m’arrête et la fait pousser pour prendre sa place. Elle n’y voit aucune objection car elle se place entre les genoux de son neveu et le prend en main pour faire quelques aller-retour avant de le sucer. Mais Guillaume veut autre chose :
— Non, je voudrais que tu me fasses comme tu as fait à Ber cette nuit.
— Comment ? Avec mes seins ?
— Oui, je les adore, et j’aimerais sentier ce que ça fait.
Martine ne voit aucune raison de lui refuser cette gâterie. Elle cale bien sa queue au fond de son sillon inter-mammaire et presse latéralement sur ses doudounes pour l’emprisonner, puis commence à monter et descendre. Guillaume a l’air d’apprécier cette méthode car il soupire énormément et attrape la tête de sa tante, le regard braqué sur ce qu’elle lui fait. De temps en temps, elle relâche son étreinte et prend la bite en bouche pour lubrifier le tout. Puis elle recommence, de plus en plus fort. Guillaume ne tient plus :
— Oh, oui, ça vient ! T’arrête pas, Marraine, c’est bon…
— Guillaume, tu l’a encore dit !
— Excuse, Martine, ça m’a échappé. Continue, ouiiiii…
Et il ne retient rien, éjaculant en force sur les seins de sa tante. Elle est surprise par l’abondance des giclées et libère la queue qu’il reprend en main en finissant de lâcher les dernières sur le visage de sa tante. Avec Ber nous avons surveillé l’ensemble de l’action pendant que je continuais ma pipe sur un rythme de croisière tout en me doigtant le clito doucement, histoire de faire des économies pour la suite.
Nous ne les laissons par refroidir. Ber va prendre Martine en levrette pendant que je remets Guillaume en forme de la main et de la bouche. Il est rapidement reconstitué et commence à pousser un peu son bassin en avant pour aller plus profond vers ma gorge. Je me lubrifie les doigts de l’autre main avec ma mouille et lui caresse la rondelle que je ne sens pas se dérober. Je vérifie et mon index entre sans forcer dans le conduit. Je lui branle un peu l’anus avant d’entre un deuxième doigt. Je lui demande :
— Dis, tu as l’air de bien aimer ce que je te fais.
— Oh oui ! Je connaissais pas, mais ça fait du bien.
Je continue un peu mon exploration de son rectum puis comme il est dur comme une barre à mines, je suggère à Ber de lui laisser la place. Il le fait de bonne grâce et pendant que Guillaume reprend la levrette de sa tante, Ber se poste devant elle et se fait déguster le gland. Pendant ce temps, je vais à l’intérieur m’harnacher avec mon strapon et je reviens vite rejoindre le trio qui s’active en cadence. Je viens me placer derrière notre jeune recrue et lui souffle à l’oreille:
— Arrête un peu, que je puisse te prendre en douceur.
— Quoi ?
— Oui, tu as aimé mes doigts, tu vas voir comme ça va être bon avec ça.
— Mais…
— Laisse-toi faire, décontracte-toi.
Et je positionne l’engin que j’avais bien lubrifié tout en revenant et pousse juste un peu, lentement, surveillant l’entrée du gland en silicone. Et après une petite résistance bien naturelle pour une première fois, il passe la petite porte. J’ai même la bonne surprise de rencontrer un conduit qui se laisse visiter sans effort, m’amenant rapidement au contact de ses fesses. Il a l’air de bien le prendre, à tous les sens du terme. Alors je me mets en mouvement et donne le rythme qu’il répercute sur sa tante. Il commente sa découverte :
— Oh oui, t’avais raison, c’est bon !
Nous continuons dans cette combinaison juste le temps que Martine atteigne l’orgasme. Je quitte alors le cul de Guillaume pour me débarrasser de mon harnais et lui demander :
— Bon, un peu à moi !
Je me place à quatre pattes et il ne se fait pas prier pour venir me faire subir le même traitement qu’à sa tante. Quand je sens qu’il prend un rythme plus saccadé annonçant sa délivrance, je me retire et me retourne sur le dos. Il a compris et reste à genoux entre mes cuisses et se branle pour terminer. Mais il est surpris par Ber qui va se placer derrière lui et qui se plaque dans son dos pour l’empêcher de s’éclipser tout en lui prenant la queue d’entre ses mains. En même temps il frotte sa bite calée verticalement entre les fesses de Guillaume qui se laisse secouer le cocotier. Ber fait ça en grand virtuose et je vois le moment où il va finir par aussi l’enculer. Mais sa manipulation experte provoque enfin l’éjaculation dont je reçois le résultat sur le ventre.
Ber ne le laisse pas souffler et se place devant lui pour lui présenter sa queue :
— Et maintenant, à toi de me rendre la pareille !
Comme Guillaume hésite un peu, il lui prend la main et la pose sur sa hampe. Et enfin il se met à le branler, d’abord timidement, puis de façon plus assurée. Pendant ce temps, je demande à Martine de s’équiper pour venir me baiser en levrette. Elle s’exécute mais jette des regards étonnés vers ce que fait son neveu. Surtout que maintenant Ber lui dit :
— Suce-moi un peu en même temps.
Et en disant ça, il lui prend la tête délicatement et l’approche de son gland. Guillaume est bien lancé et cette fois il ne met pas d’hésitation à passer la langue sur cette tête chauve et finit par la gober pour faire une pipe qui semble correcte. Martine est enfin prête et reprend plaisir à me baiser en levrette tout en profitant du spectacle que nous donnent les deux hommes. Je demande alors à ma collègue de changer de trou et je la remplace par un vibro que j’avais mis à portée de main pendant qu’elle m’encule avec ardeur. Ber ne retient plus rien et éjacule dans la bouche de son partenaire, ce qui conjugué avec les deux engins qui me taraudent les orifices me fait monter en flèche.
Nos invités étant comblés et fatigués, Ber et moi reprenons la main pour ramener la situation à un calme relatif. Bien installés dans les transats après une douche réparatrice et un bon plongeon dans la piscine, nous faisons le bilan du week-end. Martine finit par admettre qu’il est positif mais qu’il faut instaurer quelques règles pour leur vie chez elle :
— Bon, je te cacherai pas que j’ai pris l’habitude de vivre nue depuis quelques temps.
— Moi ça me va, je veux bien faire pareil.
— Mais par contre, pas question de baiser comme des bêtes en permanence.
— Euh, OK, mais un peu quand même ?
J’interviens sur ce sujet :
— Allons, Martine, vous n’allez pas vous priver de ça. Tiens, je propose une chose : On va prendre l’habitude de faire ça à quatre les week-ends, ici ou chez toi. Et la semaine, vous vous reposez. Enfin, peut-être pas toute la semaine, ça fait long. Un petit coup le mercredi ou le jeudi ?
C’est adopté par les deux, et elle continue sur un autre problème :
— Et par contre, en public, je reste ta tante, pas de gestes équivoques.
— D’accord, je me tiendrai bien.
— Et surtout, pas un mot dans la famille, principalement tes parents !
— Ah oui, je les imagine pas du tout dans ce truc-là. Ils nous tueraient…
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Enfin quelqu'un qui sait écrire!
Posté le 13/01/2024
Anonyme
Un seul mot : Bravo ! Superbe initiation complète de ce jeune homme.
Posté le 3/09/2023
Dimaoual
Bravo, très bon récit, bien écrit et super bandant. Le jeune adulte qui éjacule des longues giclées me fait rêver: bisexuel un peu âgé, je suis en manque de cela: des grosses doses de foutre qui me viennent dessus ou dans la bouche ! Une grosse bite de jeune mec à sucer tout en le doigtant et tout cela sous les yeux de ma femme et de ma maitresse... LE fantasme. Bravo encore et merci
Posté le 3/07/2023
Stoner
Un bon récit bien mené qui m’a tenu en haleine . bien écrit , bien imagé, qui m’a incité à partager vos fantasmes.
Posté le 20/06/2023
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