Suite de la partie deux. Deux camarades de classe se joignent aux abuseurs. Comme ces faits datent de 50 ans, j'ai écrit les dialogues selon mes souvenirs et selon l'ambiance, le questionnement et les sensations que je ressentais à 13 ans.
Proposée le 14/04/2016 par auteur naif
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: Groupes
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie
La partie de pêche III
Le lendemain, CD était éveillé dès 5h, avec le lever du soleil. Comme si la veille avait été une soirée parfaitement normale, il me secoua en disant "Allez, lève toi, on va déjeuner et aller taquiner la truite avant qu'il fasse trop chaud," Puis il sortit de la tente pour préparer le petit déjeuner. Lorsque je me sentis assez de courage pour l'affronter, je sortis de la tente et, avant que j'aie pu placer un seul mot, il arrive avec une assiette pleine d'œufs et de bacon croustillant "Mange tout" dit-il déposant l'assiette devant moi sur la table de pique-nique "les œufs, ça met de la mine dans le crayon, et tu en auras sûrement besoin aujourd'hui."
L'odeur du bacon et du café me fit soudain prendre conscience à quel point j'avais faim. Remettant à l'après déjeuner la confrontation, je me jetai sur le plat comme un affamé. Pendant que je dévorais mon petit déjeuner, CD finissait le sien, et s'affairait déjà à préparer les cannes à pêche ainsi que les appâts. Il se dirigea vers la chaloupe en me criant
" Dépêche toi de finir, les truites n'attendront pas, c'est l'heure ou elles mordent, il faut en profiter"
Comme j'avais fini déjà, je courus jusqu'à la chaloupe, et j'eut à peine le temps de m'asseoir qu'il nous poussait vers le milieu du lac d'un puissant coup de rame. Encore une fois, avant que j'aie l'occasion de placer un mot, il chuchota
"Accroche des vers sur les leurres, je vais nous amener au dessus de la fosse au milieu du lac, et surtout, pas un mot, il ne faut faire aucun bruit, les truites ont l'ouïe très fine."
Alors, je remis encore une fois la discussion que je voulais avoir avec lui et appâtai les hameçons tandis qu'il ramait silencieusement.
Après deux heures de pêche infructueuse, j'entendis le bruit d'un véhicule sur le petit chemin qui menait à la route principale. Quelques secondes plus tard, je reconnus l'automobile de PP qui revenait du village comme il l'avait indiqué la veille. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que, en plus de PP, deux autres personnes sortirent de l'automobile.
"Bon, ça ne mord pas aujourd'hui, aussi bien rentrer et voir qui sont ces gens avec PP."
CD reprend les rames et nous dirige vers la berge, et j'en profite pour lui dire ma façon de penser.
"À propos d'hier soir, je ne sais pas pourquoi j'ai laissé faire ça, je devais avoir trop bu, mais je veux que tu oublies ce qui est arrivé. Tu aurais du empêcher ça, et je t'assure que tu ne me reprendras plus de la sorte."
CD ne semblait pas outré de mes propos, et je ne décelais aucun regret ou repentir dans les paroles qui suivirent.
"Ce qui est arrivé hier soir n'aurais jamais pu se produire si tu n'étais pas d'accord. Quand on boit, il faut en accepter les conséquences, et dans ce cas-ci, il semble que la boisson à éveillé en toi la personne que tu es en réalité. Mais sois sans crainte, il ne se produira rien sans que tu sois 100% d'accord."
Je l'ignorais à ce moment, mais j'aurais l'occasion de me rappeler de ces paroles et de leur signification réelle à mon plus grand dam plus tard ce jour là. Mais, croyant la situation réglée, je me sentais un peu mieux alors que nous approchions de la rive. PP et les deux autres passagers s'approchaient du petit quai ou nous allions amarrer le bateau, et nous étions assez près d'eux pour pouvoir les identifier enfin, car depuis que j'avais constaté que PP n'était pas revenu seul, j'étais nerveux, sans qu'il y ait quelque chose de spécifique, ce nouveau développement me donnait des papillons dans l'estomac, je n'avais pas confiance en PP, et au fond de moi-même, je me doutais bien que sa dernière initiative ne présageait rien de bien pour moi. Alors c'est avec trépidation que je voyais les silhouettes des trois nouveaux arrivants se définir plus clairement.
Quelle ne fut pas ma surprise de reconnaître enfin les deux personnes accompagnant PP, il s'agissait de Paul et Jean, deux élèves de ma classe. Aussitôt que je les eut reconnus, mon mauvais pressentiment s'accentua de beaucoup. Ces deux là étaient inséparables, deux efféminés qui étaient les bouc-émissaires de la classe, et qui étaient fortement soupçonnés d'être homosexuels. Le fait que PP les amène ici sentait le coup fourré.
CD accosta au quai, et je m'empressai de débarquer sans l'aide de la main que Jean me tendait. je montai jusqu'à la table de pique-nique et, ne sachant comment réagir à cette nouvelle tournure de la situation, je me dirigeai vers la glacière pour me déboucher une bière et retournai m'asseoir à l'unique table.
Je fus consterné de voir PP et CD repartir dans la chaloupe vers le milieu du lac, me laissant seul avec Paul et Jean qui s'approchaient de la table en se parlant à voix basse. Comme j'avais souvent fait partie de leurs détracteurs au collège, j'espérais qu'ils m'éviteraient et iraient s'asseoir ailleurs, mais ils se dirigèrent vers la table sans aucune hésitation. J'espérait que PP avait su retenir sa langue pour une fois et que ces deux là ne soient au courant de rien.
Malheureusement pour moi, les premières paroles de Paul confirmèrent mes pires soupçons.
"Alors, selon la plus récente rumeur tu serais plus comme nous (homosexuel) que tu veux l'avouer en public."
"Les méchantes langues disent même que tu adores montrer ton cul, on aimerait bien ça que tu nous le montre, on dit qu'il est bien rond et ferme..." de renchérir Jean. Voulant tuer cette rumeur dans l'œuf, je répliquai immédiatement
"J'ignore de quoi vous parlez."
" Voyons, tu sais bien que PP nous a tout raconté."
Come il ne servait à rien de nier, PP ayant tout raconté, j'essayai de minimiser le tout en blâmant la boisson.
"Je ne sais pas de quoi vous parlez parce que j'étais trop ivre pour me rappeler quoi que ce soit."
" Mais voyons donc, ça ne tient pas la route tes excuses, tu sais bien que si tu avais été aussi saoul que tu voudrais nous faire croire tu n'aurais jamais pu bander." remarqua Jean
"La vérité, c'est que tu as aimé ça mais que tu essaies de blâmer la boisson pour te donner bonne conscience, avoue le donc." renchérit l'autre
"Allez vous faire foutre." leur lançai-je avant de me lever et de quitter subitement la table de pique-nique pour me réfugier dans la tente, sans avoir en passant raflé plusieurs autres bières dans la glacière.
"Au moins ici ils ne viendront pas me les casser." me dis je en baissant la fermeture éclair de la tente. mais les paroles de Jean et de Paul avaient éveillé en moi la petite voix de l'incertitude. " Alors, tu sais bien qu'ils ont raison et que tu as aimé ce qui c'est passé hier, tu as même coopéré du mieux que tu le pouvais de peur de décevoir PP et CD. Avoue donc que tu es un sale petit pervers homosexuel qui n'attend que l'occasion pour se vautrer dans la luxure"
Plus je buvais, plus je laissais la petite voix prendre le dessus sur la raison et plus je doutais de mon orientation sexuelle et de ma capacité à résister aux pulsions qui naissaient en moi quand je m'imaginais être forcé de me plier aux demandes de ces deux la. La petite voix se faisait de plus en plus insistante et convaincante.
"Tu vois bien que tu brûles d'envie d'aller t'humilier devant eux, de les laisser faire avec toi toutes les saloperies imaginables, rappelles-toi hier soir comme tu jouissais quand tu te sentais obligé d'acquiescer à tous leurs désirs, tu te demandes si ce serait aussi jouissant avec ces deux là, avoue le donc."
Même si ma raison me priait de ne pas écouter cette voix diabolique, chaque bière donnait plus de crédibilité à ce qu'elle disait, au point ou je me sentais complètement étourdi, ne sachant plus qui j'étais vraiment. La voix de Jean vint interrompre ce dialogue avec moi-même
"Alors, qu'attends tu pour sortir nous montrer ton cul"
"Va chier" lui répondis-je, et j'entendis Paul lui assurer juste assez fort pour être certain que j'entende ses paroles
" Ça ne sera plus très long, je te parie qu'il va sortir, il va trouver une raison pour revenir dehors et quand il sera sorti, il va finir par nous montrer son cul."
En entendant ces paroles, l'indignation s'empara de moi en même temps qu'une solide envie d'uriner suite à l'ingestion de quatre bières, je me rendis compte alors qu'il fallait que je sorte, et que cela semblerait donner raison à Paul.
"Mais vas-y donc" disait la petite voix, "tu vois bien que tu dois aller pisser, tu hésites parce que tu sais bien au fond de toi qu'une fois dehors les paroles de Jean vont s'avérer vraies. Tu te ment à toi-même et tes hésitations ne sont que pour te donner bonne conscience."
L'envie de me départir de ces quatre bières l'emporta sur toutes les autres considérations philosophiques, et je m'empressai d'ouvrir la fermeture éclair pour sortir de la tente et me diriger vers l'orée du bois pour me soulager. Revenant vers la tente Paul murmurait à Jean, mais suffisamment fort pour que je l'entende "Je t'avais dit qu'il sortirait, maintenant ça n'est plus qu'une question de temps." et Jean de me regarder et dire haut et fort
"Alors, tu t'es enfin décidé." et sur un ton beaucoup plus autoritaire, "Viens ici"
Encore aujourd'hui, je ne peux expliquer ce qui s'est passé ce jour là, c'est comme si j'étais incapable de résister à un ordre direct comme Jean venait de m'adresser, et, comme un mouton se dirigeant à l'abattoir, je m'approchai à contrecœur de lui, et rendu près de la table, m'arrêtai sans mot dire.
"Alors, qu'attends tu pour me tourner le dos, c'est ton cul qu'on veut voir, pas ton visage"
Automatiquement, comme dans un rêve, je lui tournai le dos et j'attendis.
"Est-ce qu'il faut tout t'expliquer, baisse ton jeans et ton sous-vêtement juste en bas de ton cul, pas plus loin, compris"
Lentement, je descendis mon jean puis mon short en bas de mes fesses, comme il l'avait demandé.
" Est-ce que ça t'excite de nous montrer ton cul?" demanda Jean qui semblait être le meneur, comme je ne répondais pas, il me donna une tape sur la fesse
"Réponds quand je te pose une question, tu aimes ça t'exhiber pour nous?"
Et Paul, qui était assis de façon à voir mon devant, de lui répondre "Ça doit lui faire quelque chose, je vois que sa bitte grossit."
"C'est vrai, montrer ton cul te fait bander?" redemanda Jean "Est-ce que ça t'excite de penser que je vais m'amuser avec ton cul, de t'imaginer tout ce qu'on va te faire? Regarde Paul comme il a un beau cul, PP avait raison, il est bien rond et très ferme." dit-il en empoignant une fesse dans chaque main et les écartant. "Tourne toi un peu que Paul puisse lui aussi bien voir ton cul." et sans attendre, il me prit par les hanches et me tourna de façon que Paul, qui était assis de l'autre côté de la table, puisse le voir me tripoter. Il me donnait de légères tapes sous les fesses "Regarde comme elles rebondissent bien et son cul reprend bien sa forme même quand je le tape fort" suivi d'une forte baffe sur les fesses. Voulant bien asseoir son autorité sur moi, il m'ordonna "Maintenant, écarte les fesses qu'on voie bien ton cul et ton trou du cul."
Je pris la pose demandée, et lui et Paul s'approchèrent pour bien examiner mon cul.
"Je t'avais bien dit que ça n'était qu'une question de temps avant qu'il nous montre son cul" confia Paul "et il sait bien le montrer. Dis lui de se pencher un peu et de basculer les hanches pour faire ressortir son cul"
"Tu as compris?"
Je n'avais pas entendu un mot des demandes de Paul, alors je n'ai pas bougé et Jean de reprendre en m'infligeant une autre baffe sur l'autre fesse
"Penche toi un peu et bascule les hanches pour faire ressortir ton cul plus par derrière."
Pendant que je prenais la pose demandée, Paul traversa et s'assied sur le même banc que Jean, mais à ma gauche, alors que l'autre se trouvait à ma droite.
"Moi aussi je veux voir de près et surtout, je veux toucher. Pousse ton cul plus vers l'arrière, tu veux t'exhiber alors il faut y mettre les efforts pour bien le faire."
Jean revint alors avec ses questions "Tu ne m'a toujours pas répondu, est-ce que ça t'excite de nous montrer ton cul? Paul, vérifie donc s'il bande quand je lui fait prendre des poses."
Il me demanda alors de prendre différentes poses, de plus en plus osées, et à ma grande surprise, Paul annonça que je bandais de plus en plus, j'étais dévasté, humilié, sans comprendre pourquoi je les laissais me dominer de la sorte, et Jean revint encore sur le sujet
"Vas-tu enfin l'admettre que tu aimes t'exhiber, et surtout, que tu aimes ça encore plus devant des gars."
Ne sachant que répondre, trahi par mon corps qui lui aimait bien la situation, dépassé par les événements, je laissai échapper un timide "...oui..."
"Plus fort, Paul n'a pas bien entendu."
"..oui.."
"Oui quoi?"
Devinant ce qu'il voulait entendre, maintenant que je l'avais admis une fois, je répondis
"Oui, j'aime ça montrer mon cul à des garçons, ça m'excite, est tu satisfait maintenant!"
Emporté par le moment, je réalisai soudainement ce que je venais de dire, et m'en mordit les lèvres, mais ce qui est dit reste dit.....
"Tu vois, ça ne fait pas mal de l'admettre, et est-ce que ça t'excites quand je te tripote le cul, et dis moi la vérité" il se mit a boulanger mon cul, tirant les fesses de long en large, ouvrant mes fesses et soufflant sur mon trou du cul, tapant légèrement un peu partout
"Observe bien sa bitte de près Paul, pour me confirmer s'il dit la vérité."
"Alors...j'attends ta réponse..."
Ayant bien appris ma leçon, je répondis
"Oui, ça m'excite quand tu me tripotes le cul"
"C'est bien vrai Paul?"
"Eh bien, le test de la bitte dure semble confirmer qu'il dit la vérité"
Sans cesser ses manipulations, il me demanda
"Et ça t'exciterais d'avantage si Paul jouait avec ta bitte?"
"..........oui......" timidement, les larmes aux yeux d'avoir avoué alors que moi-même je n'en étais pas certain
"On veut bien te croire sur parole, mais il faudra nous le prouver par des actes, pas seulement des paroles. Il faudra que tu bandes vite quand l'un d'entre nous veut jouer avec ta bitte, comme Paul le fait maintenant" car celui-ci avait commencé à examiner ma bitte dès qu'il avait entendu mon oui hésitant, il tirait sur le prépuce, la serrait dans sa main, la tirait vers le bas ou le côté pour la voir se balancer, soufflait légèrement sur le gland dégainé pour mieux m'exciter
"Comme c'est surtout toi que ça excite de montrer ton cul et de faire jouer avec, tu coupes court à ton plaisir si tu viens trop vite, et ça nous enlève le goût de te faire plaisir, alors il faudra te retenir et ne pas venir trop vite sinon Paul devra te faire débander pour tout recommencer."
"Montre lui comment tu fais débander les gens Paul"
Ce dernier, avait beaucoup d'expérience en tripotage de bitte malgré son jeune âge, et ses savantes manipulations avaient rapidement eues l'effet désiré, si bien que ma verge pointait droit devant, dure comme du bois. Il la laissa rebondir contre mon ventre et lorsqu'elle revint vers lui, il lui asséna une violente tape qui la fit se balancer de gauche à droite à quelques reprises. Puis il la serra de sa main gauche et lui fila plusieurs baffes successives à hauteur du gland.
"Je ne comprends pas" s'exclama-t-il incrédule "Il ne débande pas, c'est la première fois que j'obtiens cette réaction, sa bitte n'est pas aussi dure qu'avant, mais elle n'est pas complètement débandée non plus"
"Attends, laisse moi réfléchir un instant" lui répondit Jean et une explication lui vint à l'esprit "Dis moi si sa bitte durcit quand je vais lui donner une fessée" Il commença à me taper les fesses, alternant de gauche à droite à chaque coup, puis il cessait et les pinçait pendant un moment et revenait les taper, en prenant une pause entre chaque changement pour bien examiner l'effet de ses tapes et pincements sur mon cul.
"Sa bitte durcit à vue d'œil" confirma Paul en continuant de me tripoter "On dirait bien qu'il aime ça"
"Tiens, tiens, tu nous avait caché cela, tu aimes bien qu'on te donne la fessée?"
Je ne croyais pas aimer cela, mais encore une fois, mon corps me trahissait, comme je ne savais pas que dire de ce nouveau revirement de situation, je me tus. Jean continua alors son manège d'alterner entre taper et pincer mes fesses
"Essaie d'alterner entre tripoter sa bitte et la taper et dis moi si elle semble durcir d'avantage"
Paul ne se fit pas prier et commença à expérimenter, masturbant lentement ma bitte de haut en bas une dizaine de fois pour s'assurer qu'elle soit bien dure, puis il la tapait trois ou quatre coups, variant la force des tapes et l'endroit visé. Puis il recommençait, mais en changeant de façon de me masturber et il tapait à nouveau, mais cette fois en tenant fermement ma verge juste à hauteur de la racine et en tapant plus fermement.
"J'adore le son de ma main frappant sa bitte, et elle semble encore plus dure qu'avant si cela est possible."
"Et moi, j'aime voir son cul s'aplatir et reprendre sa forme ronde quand je le tape, et il semble que lui aussi aime bien ça, n'est ce pas?"
La dernière remarque m'étant adressée, Jean l'appuya d'une douloureuse pincée sur la peau des cuisses. Ne voulant surtout pas qu'il recommence, je répondis ce que je savais qu'il voulait entendre
"....oui..." avouai-je a contrecœur et le visage cramoisi de honte ainsi que la larme à l'œil.
"C'est encore toi qui en retire du plaisir" me dit Jean qui était parvenu à me convaincre que c'est eux qui me rendaient un grand service en abusant de moi, et que je devrais en être reconnaissant. "mais on aime bien faire plaisir aux autres, alors on va s'installer pour t'en donner beaucoup. Pour commencer, enlève ton pantalon et ton slip et monte t'agenouiller sur la table. Paul, tu vas retourner t'asseoir de l'autre côté."
Complètement soumis à leurs demandes, j'exécutai sans discuter les ordres de Jean et me plaçai à genoux sur la table de pique-nique vêtu seulement d'un t-shirt, tandis que Paul prenait place d'un côté de la table, assis devant moi et Jean demeurait assis derrière moi.
"C'est très bien comme ça" dit Jean en me prenant par les hanches pour ajuster ma position pour que tous deux aient accès à mon cul et ma bitte sans devoir se lever. "maintenant, on va s'amuser avec toi, comme on te rend service, en retour, tu dois anticiper nos désirs et faire tout ce que tu peux pour faciliter nos jeux, les faire durer et les rendre encore plus agréables. compris?" accentué d'une autre vicieuse pincée derrière ma cuisse
"Ouille! ça va, j'ai compris"
"Alors, tu fais ce qu'on te dit, et si tu vois une façon qui nous plairait encore d'avantage, tu le fais, et il ne faut surtout pas venir sans ma permission. Est ce clair?" Ponctué d'une autre pincée
" Oui, c'est clair."
"Pour montrer que tu veux vraiment que l'on joue avec ta bitte et ton cul, commence par écarter les cuisses pour que Paul puisse avoir plus d'accès à tes couilles et que je puisse te taper l'intérieur des cuisse, là ou c'est plus sensible puis tu pousseras ton cul par derrière quand tu voudras que je te donne une fessée."
C'était le comble de l'humiliation, et la confirmation pour eux que je serais dorénavant leur jouet sexuel, qui non seulement coopérerait à leurs perversions, mais qui demanderait à être humilié et utilisé selon leurs désirs.
Le cœur lourd, sachant qu'il n'y avait plus de retour en arrière possible, j'écartai les genoux pour que Paul soit moins à l'étroit pour me tripoter et, après une longue hésitation, je basculai les hanches par derrière, signifiant à Jean ma capitulation totale, et demandant par ce geste qu'il me donne une fessée.
Les deux s'installèrent alors confortablement, Jean reprenant son cycle de masturbation et de tapes ce qui eut pour résultat de faire durcir ma bitte comme jamais je ne l'avais sentie auparavant, et quand il sentait que j'approchais la jouissance, il passait sa main entre mes cuisses entrouvertes et serrait fort mes couilles, la douleur me faisant débander à moitié à son plus grand plaisir puisqu'il pouvait alors recommencer son manège, et m'empêcher de venir aussi longtemps qu'il le désirait tout en ayant toujours une bitte bien dure à tripoter.
Jean continuait aussi ses expériences, alternant entre la fessée et les pincements, tapant des fois sous la courbe de mes fesses, les faisant remonter , des fois sur les côtés des fesses, et quelquefois sur l'intérieur des cuisses, puis il arrêtait et examinait soigneusement l'effet de ses coups sur la couleur de mon cul, puis, sous prétexte d'avoir une coloration égale partout, il me faisait tenir les fesses écartées tandis qu'il tapait l'intérieur et le trou du cul pour qu'il ne reste plus un centimètre carré de peau qui ne fut rougie.
Une voix vint soudainement interrompre leurs jeux et me ramener à la triste réalité.
"Tiens tiens! Je vois vous avez trouvé à vous distraire pendant qu'on taquinait la truite."
C'était CD qui revenait de la pêche avec PP, je les avais complètement oubliés, et de les voir arriver et me trouver dans cette situation venait ajouter à mon humiliation.
"Vous l'avez forcé?" demanda-t-il à Jean
"Pas du tout, il nous a même demandé de jouer avec sa bitte et de lui donner la fessée."
Et CD de me rappeler ce qu'il m'avait dit trois heures plus tôt "Je t'avais bien dit qu' il ne se produirait rien sans que tu sois complètement d'accord et il semble bien que tu sois 100% d'accord avec ce qui se passe ici."
Je sentis au fond de moi que j'aurais l'occasion de regretter d'avoir entendu cette phrase et de m'être fait piéger par Paul et Jean au point de leur assurer une emprise totale sur moi.
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