Dr. Fu Manchu, la métamorphose

Cette nuit j’ai rêvé que j’étais un homme. Je passait ma main entre mes jambes et y découvrit une tige bien dure à la place de mon vagin. Mes seins étaient toujours là et je ressentais toujours les mêmes sensations en les touchant.

Proposée le 3/01/2023 par Alexandra

Thème: Femme dominée
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Pour une raison ou une autre en me levant ce matin je me suis retrouvée les poignets attachés à une poutre de bois, les bras écartés bien au dessus de la tête. Heureusement mes pieds touchaient le sol. Ce n’était donc pas une entrave si difficile à supporter. Mais je me rendis compte soudainement que j’étais complètement nu, sous un genre de fin tissu de soie noir et transparent, ouvert de chaque côté et qui ne devait pas cacher grand chose. La pointe de mes seins s’étaient durcies au contact de la soie.

Je sentais le tissu caresser ma peau avec le doux mouvement du vent. J’avais aussi les yeux bandés. Cela me gênait un peu car Je sentais une présence derrière moi . Impossible de me retourner pour voir qui était là. La soie caressait mes fesses mes seins et le bout de mon nouvel appendice dont je sentis la sensibilité soudaine. La soie sur la peau nue et le sentiment d’une présence me fit bander, une sensation nouvelle que jamais je n’avait ressentie. Je sentis cette érection qui relevait légèrement le fin tissu. Impossible de voir ce que j’avais de nouveau entre les jambes. Ce fut une découverte extraordinaire car je me sentais femme et cette chose bizarre me donnait des frissons.

Par dessus la soie, Je sentis soudainement un doigt descendre le long de mon dos puis deux mains qui glissèrent de mes hanches à mes fesses pour les caresser. Les mains palpaient mes deux fesses tout en frôlant délicatement la raie entre les deux lobes.

Doucement un doigt inquisiteur vint tourner en s’enfonçant dans le raie autour de mon anus. Je sentis mes fesses s’écarter puis fut surpris lorsque le tissu s”écarta et qu’une petite langue mouillée se mit à lécher l’orifice to mon petit trou. Je ne pouvais rien faire liée comme je l’étais mais je me mis à bander d’avantage malgré moi. Sans que je ne puisse voir, je sentis soudainement la soie se relever et une autre langue glisser le long de mon érection, puis des lèvres se refermèrent sur mon gland bien raide. Une langue tournoyait autour de celui ci puis redescendait et remontait tout le long de ce nouvel appendice.

Je ne pouvais que subir sans pouvoir ni voir ni participer à ces ébats. C’était très agréable.

Deux mains caressaient mes seins à travers le tissu fin ce qui me procurait encore plus de plaisir. J’avais envie de voir. J’aimais absolument tous ces touchers, ces langues et ces mains qui me caressaient. Combien de mains? Combien de langues. Comme je ne pouvais y voir que dalle, j’ignorais si ils s’agissaient d’hommes ou de femmes ou même encore des deux. J’avais aucune idée de l’endroit où je me trouvais, mais il me semblait qu’il n’y avait que très peu de lumière, sans doute un entrepôt abandonné ou une vieille maison en ruine.

Une bouche engloba ma bite bien dure et une langue s’introduisit dans l’orifice de mon derrière. Deux langues se mirent à tourner autour de mes mamelons. En tant que femme cela contribua à mon plaisir mais équipée en plus d’une bite de cette taille le plaisir était double. Je ressentis sans doute ce que ressente les hommes quant on leur suce la bite et que l’on leur enfonce un doigt dans le cul.

Rien ne m’obligeait à m’enfuir et je profitais au maximum de cet état de dominée. Je ne voulais surtout pas que ça s’arrête. J’avais l’éternité devant moi. Les sensations se multiplièrent lorsque je sentis soudain des seins de femme se frotter sur les miens. J’avais déjà eu un fantasme de faire l’amour à une autre femme et mon imagination ne m’avait pas trompé, c’était absolument délicieux. J’aurais adorer caresser les nichons qui pointaient contre mes seins. Comment faire pour me libérer de ces liens?

Pour le moment, tout n’était que caresses, fellation , des mains et des langues partout sur mon corps.

Puis d’un coup tout bascula.

Je sortis de mon sommeil et réalisa que j’étais étendue sur le dos dans mon lit. Je m’étais allongée pour une petite sieste et avais sombré dans un rêve érotique. Je gardais les yeux fermés en espérant retrouver mon sommeil et ressentir plus longuement ces attouchements.

Bizarrement je sentais toujours la langue et la bouche sur mon sexe. Mon sexe? Quel sexe? la bite était toujours là, du moins je la sentait bien dure. Etais-je bien éveillée? quelqu’un me faisait une fellation. Le rêve était devenu réalité. J’ouvris les yeux et fut surprit de voir dans l‘ouverture de la porte de la chambre, une femme, debout qui regardait mon corps nu se faire caresser de la sorte? Ma tête se tourna légèrement pour savoir qui me donnait ce plaisir.

Une autre femme se tenait debout au pied du lit légèrement penchée et masturbait un homme, celui là même qui me donnait cette fellation.

Je dormais toujours sans doute, un rêve dans un rêve.

Mon regard se reporta sur la femme de la porte qui souriait. Il me semblait la connaître. Elle laissa tomber sa petite robe dévoilant un corps somptueux, nu et elle s’avança vers le lit. J’en eu des frissons. Elle se planta derrière l’autre femme et empoigna ses seins qu’elle se mit à caresser tendrement en pinçant les mamelons qui durcirent aussitôt.

Pour un réveil, c’était un vraie plaisir. La femme se colla de plus belle sur le corps de l‘autre femme et d’une main se mit à frotter doucement le bas ventre de cette inconnue dont le corps m’apparaissait d’une beauté remarquable. De l’autre main elle s’enfonça dans les fesses et appliqua une rotation douce autour de son petit trou. L’autre femme masturbait de plus belle l’homme qui me suçait.

Il arrêta de me sucer pour se mettre à genoux il releva mes deux jambes puis se mit à me lécher le cul. Sa langue pénétrait mon anus et tournait autour de mon petit trou. J’avais l’impression qu’il me préparait à être pénétrée. La sensation était électrisante de plaisir. Les deux femmes se mirent de chaque coté du lit et se mirent à lécher ma bite le long de son érection. L’inconnu remonta la tête pour me prendre dans la bouche. Trois bouches, trois langues sur ma bite en érection, wow qu’elle sensation. Un rêve que devait avoir beaucoup d’homme.

Puis l’homme inconnu se releva, la femme de la porte lui prit le sexe et l’attira vers l’orifice de mon derrière. Elle le tenait fermement et commença à frotter d’un mouvement de rotation son gland sur mon anus. L’inconnu se mit à faire de petits mouvements de hanches pour me pénétrer doucement. La femme l’aidant d’une main ferme y déposait de la salive et d’un coup il entra si profondément que je lâcha de petits cris.

Je somnolais tout en dirigeant mes rêveries vers des zones torrides de plaisir. Je n’étais ni homme, ni femme mais un nouvel être muni de multiples régions érogènes. Je me donnais corps et âme.

Décidément je ne comprenais plus rien. J’étais devenu un homme mais je ressentais toujours les sensations d’une femme. J’avais envie de prendre ce nouveau membre et de le lécher et le branler pendant que l’on me prenait pas derrière. Ce que je fis.

Cette fois, j’allais venir lorsque je me réveilla pour de bon.

J’étais toujours étendu sur le lit et mon mari me pénétrait comme il aimait le faire lorsque j’étais toujours à moitié endormie. Je ne pris pas longtemps à jouir et lui non plus. Le phallus avait disparu avec le réveil mais j’en gardais une forte impression de m’être transformée en un être hermaphrodite et d’avoir goûter aux plaisirs mixtes des deux sexes.

Mon mari se retira et j’empoigna son sexe d’une main ferme pour mieux sentir cette érection. J’en gardai un souvenir qui perdura. Ce rêve ne fit qu’accentuer ma libido et chaque nuit lorsque nous allions enfin dormir, je garde toujours une main sur son sexe comme si c’était le mien.

Quant il bande, je sais que je peux en faire ce que je veux. Depuis ce rêve c’est devenu le signal de départ de nuits torrides. Et je ne peux que confirmer que depuis ce temps , je rêve de rêver.

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