Clara, à la découverte d'un club libertin.

Clara fait la connaissance de John un libertin accompli. Il lui présente son univers et la conduit dans son club favori: Le Palais. Elle va y découvrir l'excitation de l'exhibitionnisme et le libertinage.

Proposée le 19/12/2022 par emy

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: 2CPL
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Roman

- Alors prête Clara ?
- Même si je suis nerveuse je me sens prête, j’ai vraiment envie de découvrir de nouvelles choses !
- Dit moi ce qui te rend nerveuse.
- Me retrouver dans une situation gênante ou être touchée par des inconnus qui ne me plaisent pas.
- C’est toi qui fixe les règles, si tu te sens mal à l’aise on s’en va. Le fondement du libertinage c’est la liberté. Personne n’insistera pour te faire faire une chose dont tu n’as pas envie ! En revanche, je serai à ta disposition pour réaliser tous tes désirs.


Nous arrivons à un portail que le vigile ouvre immédiatement sur notre passage. De l’extérieur le bâtiment est immense mais très discret. John prend ma main pour me donner du courage.
Nous sommes accueillis par une hôtesse en guêpière et shorty sexy. Elle nous donne un bracelet qui nous permet d’avoir accès aux vestiaires et de régler nos consommations. Elle nous demande de lui laisser nos téléphones qui seront conservés dans un coffre. Puis, elle se tourne vers moi avec une expression mutine et me dit que les collants opaques sont interdits.
J'avais pourtant choisi mes vêtements et sous-vêtements avec soin, un soutien-gorge sans armature en dentelle noire ajourée laissant apercevoir mes tétons en transparence, un string assorti qui arbore un magnifique nœud en haut des fesses, une robe bleu scandaleusement courte, des collants opaques et des escarpins vertigineux...
John rigole devant mon air contrit.
Je réfléchis quelques secondes car ma réaction va donner le ton de la soirée. Je peux être mal à l’aise et subir, ou prendre les choses en main et profiter à fond de cette nouvelle expérience. Personne ne me connait ici, pour une soirée je peux être la fille pleine d’assurance que j’aimerai être.
Alors, je soulève ma robe jusqu’à la taille et fait lentement glisser le collant le long de mes jambes, révélant mon nœud à toutes les personnes présentes. John ne rigole plus, je vois son regard s’enflammer. Je roule le bout de nylon en boule et le jette à la poubelle.
Mon partenaire me prend par la taille et me rapproche de lui. Je crois qu’il a aimé mon petit numéro et je dois bien avouer que moi aussi ! Ça fait du bien au moral de se sentir désirable !
L’hôtesse d’accueil poursuit sa présentation en nous expliquant qu’on peut lui demander une serviette propre à tout moment pour aller dans l’espace spa et que celui-ci est 100% naturiste. Elle précise également, à mon intention, que ce club privé est très confidentiel, les personnes qui y viennent souhaitent donc protéger leur anonymat.


Pour commencer, John nous entraine dans l’espace discothèque. Il y a encore peu de monde. J’y croise des couples, des hommes et des femmes, des groupes d’amis. Il y a toute sorte de tenues des plus classiques aux plus excentriques.
- J’aimerai commencer par prendre un verre.
- Bien sûr, répond-t-il en me conduisant vers le bar.
Je me laisse convaincre par le charmant barman qui affirme être spécialiste en mojitos. Pendant que je sirote mon verre, John se penche à mon oreille et murmure :
- Tu vois les escaliers là-bas ? Ils mènent au coin câlins. Il vaut mieux monter avant qu’il y ait trop de monde pour que tu sois moins impressionnée.
- Alors allons-y, dis-je avec hâte !
Il semble amusé par mon empressement et m’entraine aussitôt à l’étage.


La première salle est toute petite, elle contient deux tables de massages. Ensuite il y a trois chambres très lumineuses, qui sont séparées du couloir par des cloisons en verre entièrement transparentes. Je pense furtivement à mon partenaire et moi nus dans une de ces pièces et le feu monte dans ma gorge.
Il continue par une pièces BDSM avec des chaines et des crochets qui descendent du plafond, une croix de Saint-André et un banc de fessés. Ensuite nous arrivons dans un couloir avec des trous dans les murs. John m’explique que ce sont des glory hole, des trous permettant à deux individus de pratiquer des actes sexuels sans se voir.
- Voilà une limite que je ne pourrais jamais franchir !
- Pourquoi tu n’aimes pas les inconnus, demande-t-il avec espièglerie ?
- Ça dépend de l’inconnu…
Je m’approche de lui et fais glisser mes doigts entre deux boutons de sa chemise pour toucher sa peau.
- Si c’était toi derrière le mur peut-être que…
- Je serai trop malheureux de ne pas pouvoir te toucher, dit-il en attrapant mes cheveux.
Il approche sa bouche et dépose de doux baisés sur ma gorge. Quand il entend des voix juste à côté de nous, il remonte ma robe jusqu’à la taille et caresse mes cuisses et mes fesses. Il me teste et me pousse à dépasser mes limites. Je me sens effrayée quelques instants mais l’excitation reprend le dessus quand il mordille mes lèvres. Je repense à la chambre vitrée du début, à ses mains sur ma peau nue alors que tout le monde nous regarde.
- Si tu continues à gémir comme ça je vais finir par te prendre dans ce couloir, dit John en s’emparant de ma bouche.
- Oh non! Fait moi voir le reste avant…
Il me montre la pièce suivante, elle est entièrement dans le noir. Ensuite il y a une grande salle qui est composée d’une immense banquette sur les côté et d’un lit, king size, suspendu au milieu. J’ai hâte de revenir voir l’ambiance dans cette pièce plus tard dans la soirée !
- Voilà tu as tout vu ! On peut passer à la suite maintenant ?
Je sais très bien ce qu’il veut. Je hoche simplement la tête sans réussir à prononcer un mot. Je ne sais pas à quoi m’attendre… Il me prend la main et me conduit dans une des chambres vitrées.
- Je t’ai vu rougir tout à l’heure, me dit-il, tu vas adorer ce que je te réserve… Avant toute chose, sache que si on laisse la porte ouverte c’est une invitation, n’importe qui peut nous rejoindre mais on peut aussi la verrouiller. Qu’en penses-tu ?
- Je préfère que tu fermes la porte, s’il te plaît !
Il s’exécute et en profite pour se défaire de sa chemise. Quand il se tourne vers moi il a le regard affamé. Il retire ma robe et me pousse sur le lit.


Je me sens à la fois forte et vulnérable. Je jette un coup d’œil pour voir si quelqu’un nous observe, je suis presque déçue qu’il n’y ait personne.
John mordille mon téton à travers la dentelle et je me focalise instantanément sur mes sensations. Il passe ses lèvres sur mon ventre en descendant petit à petit. Il retire doucement mon string et le range soigneusement dans sa poche. Il caresse le long de mes jambes puis attrape mes chevilles et pose mes pieds sur ses épaules. Il approche sa tête de mon sexe et commence par souffler lentement dessus.
Quand il pose sa langue sur mon clitoris je suis déjà au bord de l’explosion. Sa langue alterne les petits mouvements vif et ciblé avec de grands mouvements doux et enveloppants. Je commence à gémir et un coup d’œil me permet d’apercevoir que nous avons un public. Sentant mon excitation monter d’un coup, John introduit un doigt en moi pendant que sa langue continue son travail avec acharnement. Chaque va et vient de ses doigts accentue les sensations dans mon ventre. J’attrape ses cheveux pour que ses mouvements soient plus forts et intenses. Au même moment il introduit également un doigt dans mon anus. Cette stimulation supplémentaire me procure un orgasme fulgurant. Je sens mon sexe battre entre mes cuisses. Je suis épuisée et sans force mais je suis dans un état de plénitude que j’ai rarement atteint jusqu’ici.
Il remonte vers moi et introduit sa langue dans ma bouche. J’adore sentir mon goût et mon odeur sur lui !
- On redescend finir ce verre ?
- Oh ! Et toi alors ?
- On a toute la soirée pour ça, dit-il avec un clin d’œil.
Je remets ma robe et mes chaussures.
- Peux-tu me rendre ma culotte ?
- Hors de question, je l’ai largement mérité !


En notre absence, la piste de danse a été envahie. Sur le bar, quatre chanteuses en tenues sexy font le show. Je remarque alors les barres de pôle dance et les cages autour de nous.
Dans une des cages, il y a une brune magnifique, elle est topless et dévoile de petits seins ronds. L’arrière de sa culotte est composées de plusieurs lanières qui encerclent sa peau blanche. Elle ondule les hanches en rythme, avec douceur et sensualité. Je n’ai jamais été attirée par les femmes jusqu’ici mais elle, elle me donne instantanément chaud.
John, qui a suivi mon regard, m’informe :
- Elle te plaît ? C’est Coralie, une habituée, son mari, l’homme à la chemise bleue, aime exhiber sa femme ! On pourra la voir en action un peu plus tard si ça t’intéresse.
- En action ?
Au lieu de me répondre, il me désigne un coin opposé de la pièce. Il y a deux femmes entièrement nues sur un podium. Elles s’embrassent et leurs mains se caressent mutuellement. Lorsqu’un homme les rejoint, elles s’évertuent à le dévêtir. Elles enlèvent sa chemise puis son pantalon. Pendant que l’une suce ses tétons, l’autre retire son caleçon et commence à le masturber. Enfin, elles se mettent à genoux et lui offre une fellation à deux langues.
J’ai vraiment l’impression qu’ici on peut faire ce qu’on veut. C’est déroutant mais en même temps ça débloque quelque chose dans mon esprit. Nus, face à nos pulsions sexuelles, nous sommes tous pareils. Peu importe le niveau social, peu importe le métier, peu importe la famille, peu importe le physique, peu importe les perversités, ici tout le monde est accepté tel qui est.
John me tend la main, et m’entraine sur la piste de danse.
- Montre-moi ce que tu sais faire ! Susurre-t-il à mes oreilles.
Alors je me colle à lui tout en ondulant du bassin. Il en profite pour passer ses mains sous ma jupe et malaxer mes fesses. Il ne semble pas se préoccuper de mon absence de culotte, et son désir de m’exhiber me rend fière. Je me sens désirée, par lui mais aussi par d’autres hommes qui nous entourent.
Je me tourne pour coller mes fesses nues contre son sexe tendu. Tout en continuant à bouger en rythme, il embrasse ma nuque et me provoque des frissons dans tout le corps. Une de ses grande main caressent mon buste pendant que l’autre descend lentement entre mes jambes. Il insère un doigt en moi, comme ça, en plein milieu de la piste de danse.
- Je savais que ça te plairais!
Mon souffle court m’empêche de dire quoi que ce soit, je me contente de sourire. Il met alors son doigt dans ma bouche et je peux goûter l’étendue de mon excitation. Je me retourne et l’embrasse avidement. Il a le goût du sexe et ça me donne envie de le dévorer. J’introduis ma main dans son pantalon et caresse son membre déjà dur.
- Tu vois ce que tu me fais ? Dit-il d’une voix roque.
- Ce n’est pas encore assez j’ai envie de te rendre fou.
Il m’entraîne à l’écart, vers un des nombreux baldaquins qui encerclent la piste de danse. La musique est moins forte ici. Il s’installe et m’invite à m’assoir à califourchon sur lui.
- Maintenant dit moi exactement ce que tu comptes me faire…
- Je vais défaire ton pantalon et baisser ton caleçon afin de découvrir ton sexe palpitant. Je vais prendre ta grosse bite en main et approcher ma langue de ton gland. Puis je vais l’enfoncer tout doucement jusque dans ma gorge.
- Et moi je fais quoi ?
- Toi ? Tu mets une main derrière ma tête pour donner le rythme et avec l’autre tu caresses ma chatte mouillée.
- Et ensuite ?
- Ensuite, je vais m’assoir sur toi.
- Comme maintenant ?
- Oui !
- Montre-moi !


Je me relève pour pouvoir déboutonner sa braguette. Je suis étonnée de ma témérité, non seulement je ne me sens pas impressionnée par la situation mais j’en veux plus encore.
Je m’agenouille entre ses cuisses et prends son gland dans ma bouche. Je passe ma langue lentement sur sa verge avant de l’enfoncer doucement dans ma bouche. Puis je fais des vas et viens tout en aspirant légèrement.
Quand je m’amuse à le faire languir en titillant juste le bout de son membre, il pousse ses hanches en avant ou appuie sur ma tête avec douceur enfonçant son sexe dans ma trachée. J’entends son souffle saccadé et je sens une douce chaleur monter entre mes jambes.
- Ralentit sinon je vais jouir.
- Et tu ne le veux pas ?
- Non !
Il sort un préservatif de sa poche et le déroule sur son sexe droit.
- Vient t’assoir sur moi !
Je remonte ma robe à la taille puis je place mes genoux de part et d’autre de ses cuisses et m'empale lentement sur lui. Je sens mon intimité s’élargir autour de son sexe. J’attrape sa nuque et commence à monter et descendre en cadence. Il passe ses bras autour de ma taille pour me cambrer encore plus. En faisant cela, je sens les frottements titiller mon clitoris déjà gonflé de désir. C’est lui qui donne le rythme même si c’est moi qui le chevauche. Il accélère d’un coup, puis ralentit doucement en faisant des ronds avec son bassin, avant de réaccélérer. J’en veux plus, je veux l’entendre jouir en moi.
- Accélère !
- Je veux que tu prennes ton pied avant…
- Oh non, ne m’attend pas. Je ne jouis pas avec la pénétration.
Je vois de la surprise dans ses yeux, suivie par une lueur de défi. Puis il me prend par hanche pour me décaler sur le côté.
- Non ! Ne t’arrête pas !
- Ce n’est pas fini, on va juste continuer ailleurs…
Il retire le préservatif et remonte rapidement sa braguette. Il prend ma main et m’entraine vers le coin câlins.


Il semble savoir exactement où il va. On arrive dans la grande salle avec l’immense banquette. Il y a beaucoup plus de monde que tout à l’heure.
Mon regard est aussitôt attiré par Coralie. Elle est à quatre patte. Un homme est assis devant elle, elle lui fait une fellation, pendant qu’un autre la sodomise, sous le regard de son mari qui se masturbe.
Juste à côté d’eux, il y a deux hommes et deux femmes tellement imbriqués qu’on ne peut plus distinguer où fini un corps et où commence le suivant. Partout où je tourne le regard il y a des corps nus et des scènes de sexe.
John profite de ma confusion pour se dévêtir entièrement. Il arrive ensuite derrière moi et soulève le bas de ma robe pour la retirer. Il dégrafe mon soutien-gorge et le fait glisser le long de mes bras.
Je réalise que je suis nue comme un ver, face à plusieurs personnes que je n’ai jamais vues et que je ne pourrais certainement pas reconnaître si je les croisais dans la rue. Pendant une fraction de seconde je me sens paniquée par la situation.
Quand John se met à mordiller mon épaule en attrapant mes seins avec ses mains, la peur se transforme en excitation.


Il s’allonge sur le lit suspendu au milieu de la pièce.
- Viens t’assoir sur mon visage maintenant.
J’obéis et sa langue vient stimuler le point le plus sensible de mon anatomie. Avec ses mains il caresse mon dos, mes hanches, mon buste, mes seins…
Je suis presque au bord de l’explosion quand je me retire. Je prends un préservatif, le lui enfile et m’assoie sur sa bite. Je fais quelques mouvements pour l’entendre grogner, puis je retourne m’assoir sur sa bouche. Je sens les mouvements de sa langue enflammer mes sens. Je m'enhardis à lui présenter mon anus et John s'empresse d'y introduire sa langue. A deux doigts de l’orgasme je retourne m’assoir sur son membre dur. Alors, il utilise son pouce pour continuer à stimuler mon clitoris pendant qu’il pince mon téton de l’autre main.
- Mets toi à quatre pattes, ordonne-t-il.
Je m'exécute. Alors qu'il frotte doucement sa bite contre mon clitoris gonflé, je le dirige vers mon anus. Surpris mais heureux, il s'y enfonce entièrement dans un gémissement.
- On peut se joindre à vous ?
J’ouvre à peine les yeux, un visage féminin et souriant me fait face. Elle est brune et douce, je la trouve jolie et je suis dans un tel état d’excitation que je l’embrasse. Sa bouche est tendre et soyeuse. Une troisième bouche, celle de son mari, s’empare de mon téton. La sensation est exceptionnelle. Je sens l’orgasme poindre mais John s’arrête. Au bout de quelque seconde, une langue fine le remplace. Cette fille magnifique, dont je ne connais même pas le prénom, vient de mettre sa langue dans mon cul, et j’adore ça.
- Tu veux bien ?
Son mari est à genou face à moi et me présente son sexe tendu. Sans hésitation je le met dans ma bouche. Je suis comblée de pouvoir rendre le plaisir qu’on me donne ce qui déclenche un orgasme fulgurant.
Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits que John s’installe à côté de moi et, sans hésitation, pose sa langue sur la bite que je suis en train de lécher. Je suis surprise mais surtout ravie de voir à quel point les fantasmes de chacun peuvent être concrétisés ici.
Après quelques minutes, John change de préservatif et s’allonge sur le dos. La jolie brune s’empale sur son sexe tendu.
- Viens t’assoir sur mon visage, me demande-t-il.
Je m’exécute. Face à face avec ma partenaire, elle passe ses mains doucement sur mes seins. Elle prend mon mamelon entre ses doigts et le pince fermement, puis approche sa bouche pour apaiser l’exquise douleur d’un coup de langue. Son mari s'agenouille dans mon dos et me pénètre profondément.
Très rapidement, un deuxième orgasme me paralyse et je m’effondre épuisée et repue au côté de mes partenaires.


Après toute cette adrénaline, une pensée me fait sourire. J’ai payé un psychanalyste, soixante euros toutes les semaines pendant deux ans, pour retrouver confiance en moi alors qu’il suffisait que je me mettre à poil en club échangiste …

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