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Le nouveau mâle dominant de la meute. 6

Claude et Lydia se font surprendre par sa mère. Mais au lieu de les laisser, Lucie veut profiter elle aussi du chibre massif du petit copain de sa fille. Le trio est si occupé qu'il se fait surprendre par le père de Lydia, une lopette qui obéit aux ordres de sa femme.

Proposée le 5/12/2022 par mlkjhg39

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


LE NOUVEAU MÂLE DOMINANT DE LA MEUTE. 6


Les doigts de Claude travaillent la chatte et l’un d’eux s’égare dans son trou du cul, lui aussi humide et à sa complète disposition.
- Oh... Ooooohhhhh ! Comment t’appelles-tu ?
-Claude.
-Prends-moi !

Suite.
Elle devient folle pensant à ce qu’elle vient de dire devant Lydia. « Putain?! Je viens de demander au petit ami de ma fille de me baiser?! Moi… sa mère?! »
« Pourquoi je ne me contente pas de mes amants habituels au lieu de demander ça à celui de ma fille ? La vérité ? C’est que je n’ai jamais été confronté une telle poutre et que je voudrais savoir ce que ça fait… Je ne peux pas l’avouer à ma fille, je gémis comme une midinette pour lui donner l’impression que je n’attends que ça, remuant du cul comme une putain en chasse… prête pour sa matraque... prête à être follement baisée par l’amant de ma fille. »

Elle se jette sur lui, colle sa bouche sur la sienne. Ses baisers sont torrides, sa langue lèche les lèvres du jeune éphèbe. Elle n’y tient plus sous les caresses de son abricot, de son clito, des doigts qui fouraillent dans son vagin, les faisant aller et venir.
Les yeux fermés, le ventre creusé, elle sent monter l’orgasme. Sa main n’a toujours pas lâché la colonne de chair coincée entre leurs deux corps, la branlant avec amour.
Mais il impose sa volonté, la forçant à se coucher. Il s’étend à coté d’elle tête-bêche. Mais elle veut reprendre les commandes et goûte avec avidité à cet énorme bâton de glace avant que les lèvres de Claude ne se collent à son coquillage.
Lydia ne peut que constater la science de sa mère qui suce bien mieux qu’elle. Elle ne peut que regarder et admirer sa génitrice à l’œuvre.
Lucie n’en revient toujours pas de l’énormité de l’engin, de sa taille, de sa force. Cela dépasse tout ce qu’elle a déjà connu. Claude est monté comme un véritable étalon !
La verge est lisse et brillante, avec un gros gland violacé. Elle la prend à deux mains pour pouvoir l’entourer complètement, palpant et tâtant l’organe qui va s’enfoncer dans sa chatte, dans son cul.
Mais pour le moment, c’est sa bouche qui la dévore avec gourmandise. Elle sait qu’elle va souffrir avec un tel monstre, mais accepte avec jubilation ce type de souffrance !
Elle en oublie complètement la présence de sa fille qui assiste à toute la scène.

Il a toute sa chatte à disposition et n’en oublie aucun endroit. Son clito est sucé, léché, aspiré, une langue experte en explore chaque recoin avant d’aller s’égarer du coté de son rectum
Elle n’en revient pas du talent de ce jeune homme. Elle se venge en absorbant encore plus loin sa verge lui faisant franchir la frontière de sa glotte avant qu’il ne décharge son sperme.
Mais il a bizarrement une résistance de vieux briscard. Elle réussit avec une énorme difficulté mais avec un sentiment de victoire à lui faire une « gorge profonde »
Lydia n’en revient pas, comment sa mère peut-elle engloutir dans sa bouche la gigantesque queue ?
Il faut toute la science de Lucie et une longue expérience pour arriver enfin au but. Elle se laisse surprendre par l’abondance spermique de Claude mais arrive à garder tout dans sa bouche.
Elle se met à genoux et ouvre la bouche pour lui montrer sa semence qu’elle avale en la dégustant. Elle a toujours trouvé ça dégueulasse, mais là, c’est délicieusement dégueulasse.

-Maman ! S’emporte Lydia. Je vois bien que tes à-priori sur Claude ont changés ! Mais il ne faudrait pas que tu oublies qu’il est venu pour moi !
-Tu as raison ma fille. Mais on pourrait se le partager non ? Viens ! À nous deux, on va vite le faire rebander !
La mère et la fille font étendre Claude sur le dos, se mettent de chaque coté de lui et s’acharnent sur l’engin. Claude reprend vite des forces et le vit sa taille de compétition sous la partition jouée à quatre mains.
Lucie ne peut plus réfréner son envie, tant pis pour sa fille. Elle enjambe le corps de Claude et prenant le chibre d’une main elle s’assoit sur ses cuisses en le regardant d’un air de défi.
Elle se redresse et abaisse son cul, la chatte bien au dessus de la queue. Ce qu’elle ressent est indescriptible. Ce n’est pas de la douleur mais un sentiment de bien-être, de plénitude d’être pleine de cette énorme bite. Quelle merveilleuse sensation d’être empalée sur la queue d’un tel poulain.
- Oh Claude ! Mon Dieu...Aaaahhhhh ! AAAAAhHHHH?! Oh Lydia, pardonne-moi mais c’est si booonnn !

Elle ne c’est pas assise complètement, empalée sur cette tige sans fin si longue et si épaisse. Elle n’a jamais ressenti ça tellement il est enfoncé si profondément dans sa grotte. Sa fille, un peu jalouse, enjambe elle aussi le corps de Claude pour donner sa choupinette à la bouche avide de Claude. Elles ne mettent pas longtemps à gémir en cœur, en profitant pour s’embrasser et se caresser comme des gouines.
Elles sont comme deux folles sur ce jeune éphèbe qui caresse indifféremment les seins de la mère ou de la fille avec tendresse. Tremblantes, elles s’embrassent avec amour comme des femmes comblées, coulant l’une dans une bouche, l’autre autour de ce poteau formidable toujours bien dur et toujours coincé dans la chatte maternelle.
Entre-temps, le cher époux s’est fait dépouiller au poker et revient la queue basse au domicile conjugal. Il sait qu’elle va encore hurler et il devra faire le dos rond pour la calmer, il a l’habitude.
En arrivant chez lui, il est étonné que la voiture de Lucie soit déjà là, mauvaise augure.
Il rentre et monte sans faire de bruit pour ne pas la réveiller. Il ouvre la porte avec douceur et s’introduit dans la chambre. A la lumière du couloir, il constate que le lit est vide. Il en profite pour vite passer son pyjama et part faire ses ablutions à la salle de bain. Il entend du bruit venant de la chambre de sa fille, on dirait qu’elle se plaint et il discerne aussi les gémissements de sa femme. Que se passe-t-il ? Qu’est-il arrivé à sa fille ? Il se précipite dans le couloir, ouvre à toutes volées la porte de la chambre et reste comme foudroyé.

Sa femme et sa fille sont en train de se gamahucher en remuant comme des furies, Lucie a une queue dans la chatte et celle de sa fille se fait dévorer par une bouche affamée.
Les deux femmes tournent la tête mais n’arrêtent pas leur gymnastique. Lucie l’injective :
-Encore plumé je parie ? Et là pas de bol, malheureux au jeu et malheureux en amour ! Assieds-toi pauvre tache et regarde ce que c’est qu’un VRAI MALE !
Ce n’est pas la première fois qu’elle l’humilie en se tapant un gigolo mais là elle exagère. Elle a dévoyé sa sainte fille !
-Lucie ! Tu n’as pas honte ? Passe encore que tu me fasses cocu, mais tu n’es pas obligé d’y mêler notre fille !!!!!!!!!!!
Elles se regardent et partent dans un fou-rire.
-Tu n’y es pas papa ! Claude est mon petit copain et maman m’a surprise, comme toi. Mais au lieu d’hurler, elle a préféré se rendre compte par elle-même si c’était quelqu’un qui faisait l’affaire !
Elles repartent dans un fou-rire.
-Maman ! Maintenant que tu sais ce que je dois subir, je peux récupérer mon bien ?
Elles se relèvent pour échanger leur place et Michel voit enfin l’homme qui se tape toutes les femmes de la maison. Mais ce qu’il découvre, c’est un gamin encore boutonneux avec une véritable QUEUE D’ANE !
-Mais !
-Il n’y a pas de mais ! L’interrompt Lucie. Regarde plus tôt ce que c’est qu’un étalon ! Il a déjà éjaculé deux fois et pas quatre gouttes comme toi, et il est toujours d’attaque !
Abasourdi, il voit sous ses yeux sa fille s’empaler sur cette monstruosité avec un râle de plaisir et sa femme hurler quand une langue agile s’enfonce dans sa chatte et deux doigts titiller un clito enflammé de désir.
-Aaaaaaaaaaaaahh ! Oooooooooooohh ! Ooooooooouuuuuiiii ! Noooooonn !
Les onomatopées des deux femmes se croisent, montent dans les tours quand tour à tour elles se vident encore sur leur amant.
Elles s’éjectent en cœur de leur bourreau et se blottissent de chaque coté de lui. Mais leurs mains se disputent le mât dressé.

-Tu vois la différence avec toi, mon pauvre Michel ! Même avec dix doigts serrés sur son engin, ce qui dépasse est encore plus long que ta queue ridicule ! D’ailleurs, Il faut que tu te rendes compte par toi-même ! Enlève ton pyjama et retire ce qu’il y a dessous, et toi Claude, lève-toi !
- Bien ! Maintenant approche-toi de Claude et prend en main sa queue… Oui comme ça ! Tu voudrais bien avoir la même en main quand tu vas pisser, hein ? Agenouille-toi et suce-là comme je t’ai appris à le faire !
Lydia n’en revient pas de ce qu’elle voit et entend. Sa mère donne des ordres humiliants à son père et il s’exécute. Claude a posé ses mains sur ses fesses et cambre les reins pour faire redresser son étendard. Michel met une main à la base du gourdin et bien qu’il ait de grosses paluches, ses doigts ne se touchent pas. Il obéit à sa femme et prend en bouche l’énorme nœud et le suce avec servilité.
Le contraste est saisissant entre son père très grand et baraqué agenouillé entre les cuisses fines de Claude de plus de trente ans son cadet.

-Mais c’est qu’il y prendrait goût, ce porc ! Regarde ma fille ! Ton père bande et tu peux voir de quoi je me suis contenté tant d’années avant d’aller voir ailleurs ! Il serait bien capable de lui vider les couilles si on le laisse faire ! Redresse-toi Michel et mets-toi à coté de lui qu’on puisse comparer !

Michel s’exécute sans rechigner comme un bon petit esclave et Lydia se rend encore mieux compte de la différence énorme entre les deux hommes.
Michel a presque une tête de plus que Claude, il est musculeux alors que Claude a encore un corps délié de jeune adolescent. Mais tout s’inverse au niveau du pubis, la verge de Claude fait plus de deux fois la longueur de celle de son père. Mais ce qui la frappe le plus, c’est l’épaisseur… Il en faudrait pratiquement trois comme celle de son père cote-à-cote pour rivaliser avec celle de Claude.
-Tu vois Lydia ! Il est totalement soumis à moi et j’assume entièrement ma féminité maintenant. Je pourrais te raconter beaucoup d’anecdotes sur nos dérives sexuelles, enfin, les miennes surtout, vu que pour lui il devient très rare que je l’autorise à me baiser !
-Dis-moi ma fille, il t’a aussi ?????
Lydia, se doutant de ce que sa mère demande, anone, un petit sourire au coin.
-Et…
-Et c’est horrible… Mais si bon !
Lucie sort de la chambre et revient avec un tube de lubrifiant.
-Lydia, sa queue est tellement grosse ! Il va me mettre ce monstre dans le cul… Il faut utiliser un lubrifiant, sinon j’ai peur qu’elle ne blesse mon petit cul. Oh Lydia… je suis prête même si elle me fait un peu mal !
Lucie se met à quatre pattes, les fesses tournées vers Claude, tend le tube à sa fille pour qu’elle lui enduise l’anus. Elle met un doigt dans sa bouche pour l’enduire de salive et se l’enfile dans le fion.
Elle sent le lubrifiant froid appliqué par sa fille en quantité sur et dans son trou déjà entrouvert qu’elle évase encore un peu plus avec ses doigts
Elle tourne la tête pour se voir dans la glace de l’armoire, impudique. Claude c’est approché de Lucie et sa bite repose sur la raie culière, il la caresse tout en regardant le cul offert. Elle voit la grosse bite et sait ce qu’elle désire, elle veut qu’il l’encule, elle veut savourer cette longue queue dans son fondement. Un frisson de peur parcourt son échine en réalisant qu’il peut lui faire mal, mais elle s’en fout.

(À suivre)

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Commentaires de l'histoire :

gorge profonde69
Enfin une suite à cette histoire, toujours aussi bien écrite.
Posté le 6/12/2022


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