Tu rentres sagement du travail, tu sais qu'elle t'attend. Tu y as pensé toute la journée, tu as tellement hâte. Ces désirs de l'instant, elle va te les faire subir... et tu n'as pas ton mot à dire.
Proposée le 23/09/2022 par AnaSubject
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Thème: Femme soumise
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Tu rentres enfin. T'attendais que ça, rentrer. Une journée de plus dans les transports, en cours, entourée de tous ces gens qui te font ni chaud ni froid. C'était long.
C'est ton cerveau qui t'as joué des tours, aujourd'hui. C'est ce qui t'as aidée à patienter jusqu'à ton retour. Car tu sais que ce soir, tu n'es pas seule. Ooh non tu ne l'es pas.
Tu pousses ta porte d'entrée, tu appréhendes. Tu sais qu'elle est là, bouillante. Rien qu'à l'idée qu'elle t'attende sans doute dans ton lit, nue, tu frémis déjà.
Tu décides de résister encore quelques minutes, le temps d'aller te servir un verre d'eau dans la cuisine. Tu ingurgites, doucement... Un frisson qui parcourt soudainement ton échine : c'est sa main qui remonte le long de ta cuisse.
Tu ne la vois pas, mais tu la sens derrière, son souffle sur ta nuque. Elle arrive jusqu'à ta taille et plaque brutalement son bassin contre tes fesses, te collant à l'évier. C'est ton excitation qui grimpe d'un cran lorsque sa main poursuit son ascension jusqu'à ton sein : elle ajoute la deuxième. Par-dessus ton T-shirt, elle les caresse du bout des doigts, synchronisant ses deux mains en un mouvement rotatif. Elles tournent autour de tes tétons, resserrant progressivement leur étau. Elles s'arrêtent lorsqu'elles sont dessus : tu n'as pas mis de soutien-gorge, elle aime ça. Elle te saisit les tétons. Ta respiration s'accélère, tu ne te sens plus très sèche en bas... Elle te murmure : "Evidemment, ils sont déjà bien dressés pour moi."
Elle passe ses mains dans ton T-shirt : c'est une vague de chaleur qui t'envahit. Elle t'attrape les seins comme s'ils étaient siens, elle les malaxe, les serre, les tourne à sa guise. Elle te pince les tétons, les fait rouler sous ses pouces.
Elle redescend ses mains pour t'enlever ton T-shirt, tu ne te fais pas prier. Elle te retourne brusquement. Elle est là, en sous-vêtements, ses yeux plantés dans les tiens : elle est belle. C'est fou l'effet qu'elle te procure. Tu n'as qu'une envie : qu'elle mélange son corps au tien.
Elle déplace tes cheveux pour t'embrasser dans le cou, elle te mordille la peau et atténue avec sa langue. Réitérant l'opération jusqu'à ce qu'elle atteigne l'encolure de ta poitrine. Tu retiens ton souffle lorsqu'elle te jette un regard brûlant de désir, avant de coller sa langue sur ton téton droit. Elle le lèche, le suce, le pince. Elle te mange le sein. Elle en fait ce qu'elle veut, et alterne avec le deuxième.
En même temps, elle fait doucement glisser sa main de ton buste à tes flancs, de ton ventre à ton bassin, de ton bassin à ta culotte. Tu as pris soin d'en prendre une en dentelle, comme elle aime : tu la sens sourire entre tes seins.
Sa main se fraye un chemin entre le tissu et ta peau. Tu te retiens de gémir lorsqu'elle passe un premier doigt le long de ta vulve : "Toujours aussi trempée pour moi, à ce que je vois, constate-t-elle, t'es vraiment une petite traînée." Décuplement de ton excitation lorsqu'elle prononce ces mots.
Ses doigts écartent tes lèvres pour laisser place à celui qui s'attarde sur ton clitoris. Elle exerce des vas et viens, lents, puis de plus en plus rapides. Elle le fait rouler, elle le malmène, une oreille attentive à tes réactions qui viennent flatter son ego. Tu t'accroches au plan de travail.
Elle t'embrasse à pleine bouche en même temps qu'elle t'enfonce un premier doigt, puis deux sans difficultés. Sa langue caresse la tienne, son autre main vient se plaquer sur ta joue. Tu tentes tant bien que mal de lui rendre son baiser, tu gémis dans sa bouche. Son pouce joue avec ton clito, ses doigts rentrent et sortent sans ménagement. C'est elle qui contrôle ton plaisir.
Tu veux prendre parti : sous un élan de spontanéité, tu dégrafes son soutien-gorge. Elle s'arrête net. Elle te toise, une lueur hagarde dans les yeux. Son soutif tombe au sol. Elle te prend le visage dans une main, t'amenant à regarder son sous vêtement : "Est-ce que tu as le droit de faire ça ?" son ton est ferme mais calme. Tu es perdue. Elle répète : "T'ai-je donné l'autorisation de me déshabiller ?" Tu lui réponds que non, tu bafouilles une contestation... Elle t'interrompt en glissant son pouce dans ta bouche. Elle l'enfonce en faisant basculer ta tête en arrière : "Je vais être obligée de t'apprendre comment ça marche ici, annonce-t-elle, contente-toi de me sucer ça convenablement au lieu de discuter." Tu ne sais plus comment réagir, tu t'exécutes, ta langue accompagnant tes allées et venues.
Elle te fait mettre à genoux, gardant son doigt dans ta bouche. Elle le sort et dessine le contour de tes lèvres, les pupilles élargies de désir, ses seins dressés en haut de ta tête. La situation commence à te plaire.
"Allonge-toi chérie, ordonne-t-elle, sur le dos." Tu ne parles pas, tu t'adonnes à la tâche. Elle vient se placer debout au-dessus de ton visage. Lentement, elle fait glisser sa culotte qu'elle jette au bout de la pièce. Tu ne peux détacher tes yeux de son entrejambe, là toute mouillée, qui palpite au-dessus de toi. Elle sourit et descend sur ses genoux : sa chatte est encore plus proche. "Tu vas me lécher ça comme une glace, fit-elle, je veux que tu me montres la salope que tu es."
Elle se laisse alors tomber sur ton visage, ton nez collé à sa vulve : "Profites-en, c'est ta récompense avant ta punition." Ajoute-t-elle. Ça résonne dans ta tête, le feu de l'excitation parcourt tout ton corps. Tu te mets alors à lécher cette chatte qui s'offre à toi, trempée de désir. Tu goûtes, tu savoures cet état de vulnérabilité dans lequel tu te trouves. Soumise à cette femme, complètement à sa merci.
Elle place ses mains de chaque côté de ton visage et se frotte contre celui-ci. Tu ne contrôles plus rien, tu es bloquée : ta tête n'est qu'un objet. Elle geint de plaisir, son clito gonflant sur ta langue. Elle te fixe, son regard féroce qui transperce le tien.
Elle s'arrête et se tourne : c'est ses fesses qui se présentent à toi. Elle s'assoit sur toi, écrasant ton visage dans son cul quelques secondes.
Elle te laisse respirer, puis recommence de plus belle. "Lèche-moi ça petite pute, t'es bonne qu'à ça." Tu tends alors ta langue par à-coups réguliers, caressant son anus. Elle se frotte de nouveau, en rythme avec tes mouvements.
Puis d'un coup, elle s'avance encore plus sur toi, ses fesses sur tes yeux, te plongeant dans l'obscurité. Elle ondule sur ton visage, son sexe sur ta bouche. Elle respire de plus en plus fort, la voix tremblante. Tu la sens se contracter sur toi lorsqu'elle crie son orgasme, un jet d'excitation se propage dans ta bouche. Elle maintient ta tête entre ses jambes, t'obligeant à avaler. Puis peu après, elle ralentit en attendant les derniers soubresauts. L'odeur de son sexe persiste sur ton visage souillé de sa mouille.
"À quatre pattes maintenant, enlève ta culotte." Fit-elle. Tu hésites une seconde avant d'opérer. Elle est debout devant toi, un sourire sur les lèvres. Son regard s'attarde sur chaque détail de ton corps frissonnant d'impatience. Elle vient se placer derrière toi. Elle s'accroupit et plie un genou au sol. Une main vient se poser en bas de ton dos : c'est là que part la première claque. Un gémissement t'échappe aussitôt. Elle te surprend, le bruit strident du contact de ta peau résonne dans la pièce. Sa main presse ta fesse si fort que tu gémis de nouveau. Elle frotte ensuite sa paume contre celle-ci avant de te fesser encore. Et encore. Tu te sens humiliée, complètement sous son contrôle : mais qu'est-ce ce que ça t'excite.
"Je ne veux plus que tu reproduises ce que tu as fait précédemment, dit-elle, je fais ce que je veux de toi. Est-ce que c'est clair ?" Tu acquiesce entre deux fessées, ton corps plus tendu que jamais.
Elle se lève et revient quelques minutes plus tard, un gode ceinture accroché à sa taille. Tu es toujours là, à quatre pattes, la chatte en feu. Elle met un genou à terre et colle le gode sur ta joue : "Humidifie-moi tout ça, que je puisse te prendre comme il faut."
Tu te mets, comme d'habitude, à exécution. Tu rentres la verge dans ta bouche. Tu la suces comme un bonbon. Tu te sens comme une chienne. Elle t'attrape les cheveux, guidant tes mouvements. "Je vois que tu t'appliques, une vraie cochonne." Affirme-t-elle.
D'un coup, elle t'enfonce son gode au maximum, tu t'en étoufferais presque. Tu tousses quand elle te relâche.
Elle se lève une nouvelle fois pour venir se placer derrière : "Cambre-toi chérie." Dit-elle. Tu creuses ton dos au maximum, lui donnant libre accès à ton intimité. D'une main, elle pousse ta tête sur le sol, ton cul alors tendu vers elle, entièrement à sa merci. Tu attends, docile.
Tu sens ses doigts qui viennent pétrir tes fesses, qui les malaxent, jouent avec. Et tu es là, nue, la tête sur le sol, totalement soumise. Ses mains les écartent, dévoilant ton anus et ta chatte toute mouillée. Elle reste quelques instants à observer cet espace : tu sens son regards qui parcourt tes recoins. Tu ne dis rien. Tu laisses faire.
Elle finit par cracher sur ton entrejambe, et elle se penche pour te chuchoter : "Je vais te baiser tellement fort que tu ne parviendras même plus à te rhabiller toute seule." Tu frissonnes encore une fois. Tu n'en peux plus d'attendre.
Elle fait glisser lentement son gode le long de ta raie, avant de l'arrêter en face de ton vagin. Elle te pénètre, doucement. Elle pose une main sur tes seins, l'autre agrippe tes cheveux et les tire en arrière. Tu gémis encore une fois.
Elle démarre les vas et viens tranquillement, puis de plus en plus vite : tu n'arrives même plus à suivre ses mouvements. La main sur tes seins te les lâche pour venir titiller ton clitoris. Le plaisir commence à se révéler de plus en plus intensément.
Elle se retire au bout d'un moment, s'enfonce dans ton anus, et repart de plus belle.
Elle vient t'embrasser le cou puis te murmurer à l'oreille : "T'aimes ça petite salope? Te faire baiser le cul ?" Tu réponds par des gémissements, c'est tout ce que tu arrives à produire. Tu sens que ça vient. C'est puissant.
"Je veux que tu jouisses pour moi, maintenant." Dit-elle.
On entend le claquement régulier de sa peau contre tes fesses. Elle te tire de plus en plus les cheveux, t'obligeant à basculer la tête en arrière. Elle continue, elle ne s'arrête pas, et tu vois petit à petit le voile de l'orgasme flouter ta vision. Tes jambes flagellent. Tu tentes de t'en empêcher, mais c'est trop fort : tu cries tout ce que tu peux, à t'en arracher les cordes vocales.
Tu ne pensais pas que ça puisse être aussi intense. Elle ralentit la cadence, et s'arrête après tes derniers spasmes.
"C'est bien ma salope." Te glisse-t-elle à l'oreille.
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