Ce récit est une histoire vécue alors que j'avais la fin trentaine. En manque, bi assez déçu et fauché, je me demandais où je pourrais trouver du plaisir. L'avenir est vraiment plein de secrets et de mystères : je n'aurais jamais imaginé tout ce que j'allais trouver en visitant un sauna ...
Proposée le 19/09/2022 par Puss'n boots
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Thème: Homme dominé
Personnages: HH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Histoire vraie
Cet événement s'est passé quand j'avais 39 ans. Etant à la fois à voile et à vapeur, je m'étais fait larguer par une blonde d'une façon que je qualifierais de « vraiment pas cool » à peine rentrés d'un voyage aux pays des Pharaons (que j’avais offert) et durant lequel j'avais été aux petits soins. En effet, elle avait été malade (énorme migraine et donc pas de sexe) je lui avais trouvé un médecin d'urgence en Egypte un dimanche ; j'avais cassé ma tirelire avec celui-ci surtout en lui offrant des bijoux en or 18k et pierres précieuses croyant que mon côté hétéro allait mieux fonctionner... là là là… naïf naïf.
J'étais donc à la fois triste, fauché comme les blés et énervé envers elle, la gente féminine en général, le reste du monde et… moi, en fait. Dès lors, je me demandais si je ne ferai pas mieux de regarder dans une autre direction : l'autre sexe, le même que le mien,… Je me rappelais qu'il y avait eu au moins un super bon moment (voir récit où je découvre le plaisir d'en donner à un homme). J'étais loin de me douter que j'allais pour finir, de nouveau casser ma tirelire ! Et si…
Il y avait un sauna à deux pas de chez moi et je m'y suis rendu persuadé que j'allais facilement trouver mon bonheur, tout du moins un bonheur physique de quelques instants. Un établissement spacieux avec plusieurs niveaux, bien aménager, un endroit top clean et classe, un lieu qui était en fait s’est vite révélé... quasi complètement vide. Après « crimes et châtiments », j’avais droit à « tristesse et déception »... Moi qui étais clairement en manque, chaud comme une braise, rien à me mettre sous la dent. Il traînait bien deux ou trois mecs, mais plutôt assez moches et inintéressants, bref pas du tout à mon goût. Un en particulier avait fait mine de me regarder en insistant un peu, mais il était encore moins beau que les autres avec un visage carré et pas mal de cicatrices sur le visage certainement dues à de gros problèmes d'acné. Bon, il me restait au moins les bains : sauna, hammam, bains à bulles, douches et spa... De manière générale, j'adore ça, donc autant en profiter ! :-)
Une petite heure plus tard, j'avais déjà quasi tout revisité et essayé ; propre comme un sou neuf, du haut en bas, devant et derrière, nickel. Bien relaxé par la vapeur, je me baladais un peu au hasard, au cas où je pourrais subrepticement, au moins, jouer au voyeur. C'est à ce moment-là, totalement pris au dépourvu, que quelqu'un me saisit le torse à deux mains par derrière.
Mon esprit allait à toute allure « Qu'est-ce que c'était que ça, une mauvaise blague ? », « Quelqu'un qui me connaissait », « mon Dieu, un collègue de boulot ?... Ma bisexualité était-elle découverte ? »
Un peu effrayé, je restais planté là, sans bouger la moindre partie de mon corps. Après quelques instants qui parut une petite éternité, je me détendais un peu et sentais que les mains se desserraient tout en restant fermes. Elles se déliaient délicatement pour glisser et prendre ma poitrine se positionnant sur chacun de mes petits seins. Bientôt avec des paumes fortes et de longs doigts épais, un homme me tripoter la poitrine sans trop de ménagement mais avec une habilité certaine : sans insister encore sur mes tétons, juste en me palpant, je sentais déjà l'emprise de la luxure et dans mon esprit raisonnait « ça y est, ohhh, je sens la luxure m’envahir, ohhh, mon côté soumis prend le dessus ». Là, effectivement devenu bien moins fier et rebelle, avouons-le, j'étais maintenant tout heureux de me sentir capturé de la sorte ; je glissais même rapidement dans une sorte d'état un peu béat, à la fois pris au piège et tout à fait satisfait de l’être.
Reprenant tout de même un peu mes esprits, avec mes bras le long du corps je me risquais une main droite baladeuse pour savoir un peu plus sur mon geôlier. Au milieu de ce sauna nous n'avons évidemment que nos serviettes blanches sur les hanches, et ce fut sans mal que je pouvais à présent -- et avouons-le, avec une joie immense -- sentir un pénis à moitié en érection. Sans pouvoir le découvrir avec les yeux, il me semblait énorme ; c'est fou ce que les doigts peuvent interpréter, tout est beaucoup plus grand. De toute évidence sensible à mes avances, la réponse ne se fit pas attendre, j'entendais à mon oreille un petit grognement, puis je sentis des baisers dans le creux de mon cou, ... puis il commença à me pincer de la main gauche mon téton droit, tandis que la droite descendait sur ma cuisse, puis mes hanches assez larges, pour bientôt rester à me peloter mes fesses -- que j'ai assez rondes, fermes et un peu grosses pour un homme.
Il me dit à l'oreille d'une voix grave en me poussant doucement vers l'avant "ne restons pas là, entre là-dedans," me faisant signe de la main qui avait quitté ma cuisse.
Entrés dans une toute petite pièce sombre mais bien chauffée avec juste d'épais tapis en mousse plastifié, et toujours de dos, celui-ci reprit ses baisers dans mon cou. Me tournant doucement la tête vers son visage, il approchait sa bouche de la mienne. Ses lèvres à présent sur les miennes, sa langue ne se fit pas attendre, elle m’envahit. Elle était grande et épaisseur ; avec le goût de sa salive musquée, je reçu pour la première fois cet homme en moi. Il me conquit en prenant possession de ma bouche et soumit ma langue à la sienne avec une facilité déconcertante. Sans suivi ce que je qualifierais de « patin monumental » : il m'avait retourné et pris dans ses bras forts. Plus grand de bien 10 à 15 cm, une belle carrure, je redécouvrais ce même visage carré dont j'avais ignoré les avances avec un certain petit mépris. A mes yeux, il était tout à coup bien plus beau que précédemment, grand blond aux yeux bleus, le regard profond et sérieux -- la soumise en moi était à présent en chaleur pour lui. Pour couronner le tout, il me tenait par les fesses, commençait à glisser des gros doigts dans la raie sans toutefois me pénétrer, que du bonheur d'être ainsi saisi par la fente.
Il ne tenait pas que mon corps, j'étais à lui, et on le savait tous les deux. En me regardant dans les yeux, sans hausser le ton, il m'ordonna « met toi à genou » ; ce que je fis sans réfléchir. Quand ce fût fait, il me dit presque avec gentillesse « maintenant, fait moi bien bander, suce-moi ». Et là, ... Comment dire, ... Grand, grand, vraiment très grand moment de solitude ! Je fus plongé dans un étrange paradoxe : en effet, mes doigts ne m'avaient pas trompé, au contraire, ils avaient même largement sous-estimé la bête : comment réussirais-je à mettre un tel engin dans la bouche ? Superbe, circoncis, il faisait bien de 22 cm et surtout très, très large, alors qu'il ne bandait qu'à moitié... Je pris mon courage à deux mains (il fallait bien ça pour un tel engin!!) et fis de mon mieux pour accueillir au moins une bonne partie de son gland dans ma bouche. Ses mains sur ma tête, il en glissa une sur ma nuque mais fut assez intelligent pour ne pas me forcer. Ma langue lui titillant le méat et en faisant des va-et-vient avec son extrémité juste en dessous pour lui procurer un peu de bonheur charnelle. Il m'honora de plusieurs soupirs et grognements de plaisirs qui m'encourageaient à ouvrir plus la mâchoire et lui laissait un passage étroit. À moins de la moitié de son long et large sexe, il touchait le fond de ma gorge et je croyais étouffer. Il resta relativement doux en faisant des va-et-vient longs et sans brutalité, probablement conscient que je faisais déjà de gros efforts. Il me prenait la bouche ainsi pendant, je dois dire des minutes à la fois excitantes -- car j'étais bien profondément chaude et soumise -- mais aussi clairement dans un inconfort. Cela me rappelait vaguement de mauvais souvenirs de dentiste où le but était de garder la bouche largement ouverte le temps d'une ou deux éternités le tout en se faisant torturer les dents... Heureusement, mon petit calvaire fût récompensé, largement, très largement.
Tout d'abord, par un « bien, c’est vraiment bien, maintenant allonge-toi », signe que je pouvais le retirer et détendre ma mâchoire (quel soulagement !) Adossé sur mes coudes, mes fesses sur le sol moelleux de plastique un peu froid, il me dit « sur le ventre » puis « cambre toi, fesse en l'air ».
Je me mis à quatre pattes, et il me réajusta la tête au sol, doucement mais fermement, avec un « je veux juste tes fesses en l'air ». Allait-il essayait de me prendre ? Bah, aucune chance. Et là, il me fit découvrir un truc incroyable. Non sérieux, ceux qui ne connaissent pas, c’est à vivre et à revivre. Il se plaça dernier moi, tête près de mes fesses, me pris de ses fortes mains par les cuisses et commença à me lécher mon petit trou. J'avais eu la sagesse de bien me laver, en profondeur, heureusement, car tout ce qui ait crade ne m'excite pas du tout, bien au contraire. Même très propre, sur le coup, je n'étais pas hyper heureux qu'il me fasse ce genre de chose ... j’ai vite changé d'avis. Ses coups de langues étaient bons, si bons ; il mit la pointe à présent dans mon entrée qui s'ouvrait comme une fleur. Cet homme me pénétrait pour ma deuxième fois ; je sentais des vagues de plaisir, la luxure me prendre, mon côté femelle, ouverte à tout ce qui pouvait entrer de chaud et humide dans ce qui était à présent ma chatte... Le temps n'existait plus, j'étais soumis(e) et heureu-x-se de l'être. Cela dura, dura, dura...
« Mmmm, tu t'ouvres bien, t'ai naturel » me dit il fermement ; ce compliment m’allait droit au cœur. Sans trop comprendre ce qu'il venait de me dire et encore drogué par les vagues de plaisir, je ne m'étais pas rendu compte qu'il était déjà à genoux dernier moi, son énorme gland à l'entrée de mon anus dilaté. Il y avait même, je ne sais comment, mis du lubrifiant sur toute ma fente : un expert.
D'une voix virile, calme et sereine il me dit « Respire bien à fond, détend toi, je vais te prendre ». J'avais déjà eu quelques essais de la chose, assez catastrophiques. Et en plus à la grande différence qu'il en avait une énorme, cela risquait d'être pire et épouvantablement douloureux... « Oh mon Dieu nonnnn… », pensais-je. S'entend ma crainte, il me caressait mon dos et mon arrière-train et me disant, « ça va peut-être faire mal, mais je vais y aller doucement, n'ai pas peur, et tu sais, tu es faite pour ça ».
J'osais dire d'une petite voix timide « mais tu as un préservatif ? ». Sa réponse fut un « ne t’inquiètes pas, je ne suis pas idiot ». Ce qui en soit, ne répondait pas complètement à ma question.
Et il commença à pousser son gland dans mon orifice dilaté. C'était si large, mais pas si douloureux en fait. Cet homme me pénétrait pour la troisième fois, avec son pénis, j'étais ni plus ni moins sa femelle qu'il allait forniquer puis féconder dans sa plus profonde intimité.
Il continua doucement le chemin de sa première pénétration, aider de ses mains ferment encrées sur mes hanches. Je le sentais me prendre, me pénétrer, d'élargir mon ventre, doucement mais sûrement. Ohhh, il était si grand, si large. Il entrait en moi, dans mon corps qui n'était que soumission ; ça continuait, lentement, très lentement mais surement ; il entrait, encore plus large, mon anus était si tendu, ce mouvement unique de pénétration ne semblait pas finir... Jusqu'à sentir son ventre sur mes fesses et ses grosses couilles rencontrer les miennes.
« Mais tu prends les grosses bites du premier coup ma salope ... » me dit il sur un ton à la fois un peu surpris, viril et victorieux.
« T'es vraiment un naturel, fait pour accueillir les bites, je vais bien t'enculer ». Et c'est ce qu'il fit : il me transformer en sa petite enculée. La tête au sol, le cul en l'air, il m'avait pénétré jusqu'à la garde et après une pose d'une minute pour m'habituer, commença de longs et lents va-et-vient dans mon cul. Tout en gardant cette impression d'être élargie et rendue à l'extrême, le peu de douleur disparaissait. J'aurais aimé me masturber mais il n'en n’était pas question car m’ayant surpris à y glisser une main il me dit « On ne se touche pas ! Concentre-toi sur ma bite et savoures ».
Je n'avais plus de droit à mon corps, plus d'identité, je n'étais rien d'autre qu'une minette, une fente avec un trou rempli à ras bord qui allait bientôt se faire défoncer en levrette. Il était énorme en moi, c'était un mélange entre force et douceur et ses mouvements augmentaient progressivement de vitesse. C'était large, dur, viril, dominateur et en même temps tendre et si bon à la fois. Je me sentais à ma place, je réalisais que c'était à la place pour laquelle je suis fait(e) : rendre heureux les pénis qui rentrent en moi et les faire gicler dans mes orifices. Plus de douleur, au contraire, un plaisir physique s'installait, rien de grandiose ou d’une rare intensité sur le moment mais quelque chose de subtile et vicieux. Le principe était simple, avec ses mouvements de pénétration son phallus me procurer du plaisir. S'il ne bougeait plus, cela disparaissait... Il bouge, c'est bon... il bouge plus, c'est fini... Il se retire, on se sent vide et plus de plaisir, le manque arrive... il faut en redemander ; il pénètre, ça tire fort, mais le plaisir revient, c’est si bon, on est heureux-se.
Autant dire qu'on devient vite accroc.
D'instinct, je me mis à gémir : je pouvais m’entendre et n’en revenait pas moi-même : on aurait cru une fillette qui chigne. Chacun de ses mouvements étaient à présent accompagnés par un de mes gémissements, je ne contrôlais plus rien ; il jouait de moi, au sens littéral, tel un instrument de musique. Des mouvements lents, des gémissements longs, des mouvements rapides, des gémissements courts et plus aigus, presque des sanglots.
S'il s'arrêtait, je m'entendais mendier des « encore, ... S'il te plaît, c'est si bon, continue... enco… encooore...! ne t’arrête pas ». S'il se retirait, je suppliais « oh non... reviens, s'il te plaît, reviens en moi... »
Et généreux, il revenait en moi. C'était bon, chacun de ses coups de rein était accueilli avec providence, je me sentais « honoré », et je comprends à présent tout le sens et la profondeur de ce mot. Je ne contrôlais plus mon anus/vagin qui se mit à se contracter naturellement à chacune de ses pénétrations, certainement pour mieux donner du plaisir à mon Homme.
Je ne sais pas combien de temps il me posséda, et quand je dis « posséder », vous l’aurez bien compris, c'est dans tous les sens du terme : mon corps était à lui, mon âme était comme un spectateur un peu idiot qui bêtement applaudissait à chaque réflexion de l'artiste. Ce n'était pas avec mes mains mais ma voix ; ce n'était pas des applaudissements mais des gémissements ; ce n'était pas non plus les mouvements précis d'un artiste mais les va-et-vient d'un énorme pénis qu'un homme viril faisait en enculant la salope que j'étais devenue.
Vraiment, j'étais sa chose, et vint le moment où il vida en moi tout le sperme de ses larges testicules en un soupir à la fois grave et interminable. Quel bonheur d’être fécondée de la sorte.
Serein, il me retourna telle une crêpe, me repénétra d'un coup, il bandait encore bien fort. Puis il prit mon sexe avec sa main droite et commença à me masturber, et en me regardant dans les yeux il me dit « maintenant, tu vas jouir » tel un ordre dit sur un ton grave, doux et calme. Je me mis vite à bander entre ses doigts. Je regardais son visage masculin avec soumission. Son regard sévère, sans sourire, il me branlait. Comme il le souhaitait et que je continuais à être à lui, mon anus commença à avoir des spasmes sur son pénis, « ouiiiii », lui en moi, « oh Dieu que c'était bon... » Alors en quelques minutes, je jouis comme il le souhaitait, sur mon ventre des jets de sperme coulaient. Il regardait la scène et dit, satisfait et sérieux « c'est bien ».
On se nettoya, il me prit dans ses bras un long moment, il me raconta qu'il était pianiste (d'où ses mains si fortes). Puis il prit sa serviette, me dit « au plaisir » et parti.
Cet homme m’avait bel et bien « cassé ma tirelire » ; sans dégât et avec beaucoup de gémissements de ma part il faut dire. Il m’avait bien remis à ma place, en profondeur, et en m’ayant transformé en enculée, sa petite enculée. Comme raconté dans mon premier récit, j'avais appris à adorer sucer et recevoir du sperme ; je continue à adorer sucer mais maintenant, en plus, j’éprouve le besoin régulier d'être défoncée du cul. Maintenant, ma fente de la raie des fesses est une chatte, un réceptacle accro aux pénis. Alors oui, certes, cela fait de moi une belle salope mais comme je sais que je suis assez bonne à ça, j’en tire une certaine fierté...! ;-)
Bon, tout cela m'a donné une belle envie, et même faute d'homme dans l’immédiat, je peux me préparer avec de bons godes. N’hésitez pas à m’écrire, je réponds toujours !
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
La petite coquine qui sommeille en nous, oui c'est bien vu et bien dit, celle qui n'ose pas s'avouer qu'elle rêve de se faire prendre, et en même temps se tortille du cul rien qu'à l'idée d'être prise en levrette ...
Posté le 15/07/2024
Ael
Bonjour, merci pour ces 2 histoires, je les ai bcp aimé, leur côté récit... Ça m'a rappelé des scènes perso, et plutôt excité. À bientôt pour d'autres recits ? Bises
Posté le 23/03/2023
Pongodu21
J ai bien apprécié votre récit. Merci à l'auteur. Continuez
Posté le 21/12/2022
pinocul
merci, votre récit est surprenant de vérité vraie ! C'est tellement rare de trouver de bon tireurs...
Posté le 11/12/2022
Vince
Magnifique !! Ton récit m'a fait vibrer, tu racontes et décrit si bien la petite coquine qui sommeille en nous, la révélation et l'acceptation de tout cette puissance de plaisir....????
Posté le 21/11/2022
Curieux75
Très belle histoire! Tu es dans quel coin de la France ?
Posté le 16/10/2022
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