Une exhibition involontaire...

Une de mes premières exhibitions. Cela paraîtra peut-être trop soft à certains car il n'y a pas de véritable rapport sexuel (mais il y a quand même une éjaculation en public !) et j'ai fait bien pire depuis mais cela a été une expérience déterminante pour moi. N'hésitez pas à me laisser des coms !

Proposée le 25/08/2022 par Gabriel

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: Groupes
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie

Je viens d'avoir 18 ans à ce moment-là et je suis alors considéré comme un garçon un peu timide et très mignon avec mes cheveux blonds et un peu longs, mes yeux de fille, ma voix trop douce et mon sourire dévastateur. Je rêve d'affirmer ma virilité et, même si j'ai toujours été bien foutu, c'est depuis quelques mois que des séances intensives de musculation m'ont permis de sculpter mon corps, et notamment mon torse, à un point que la plupart de mes camarades ne soupçonnent pas. Quant à mon sexe, il m'a souvent embarrassé (par exemple au vestiaire) par sa longueur et sa grosseur, mais depuis que j'ai des relations sexuelles, j'en suis plutôt fier et j'ai envie de l'assumer.

Bref, lorsque Camille, une fille de ma classe, invite toute la classe chez elle pour son anniversaire, en l'absence de ses parents, je décide de me mettre torse nu au cours de la soirée et de le rester le plus longtemps possible. Je veux voir le regard de mes camarades sur mes muscles, je veux que les garçons admirent mes pecs et que les filles demandent à toucher mes abdos. Cela peut sembler bien innocent, d'autres garçons ont déjà enlevé leur tee-shirt à d'autres soirées, mais moi je n'ai jamais osé et je suis sûr que tout le monde sera surpris (agréablement, j'espère !).

Le samedi soir, chez Camille, j'ai le trac, j'ai peur de ne pas avoir le courage de surmonter ma timidité, je me dis que plus la soirée passe, plus cela sera difficile, alors je me mets à boire, vite et beaucoup. Je danse aussi de façon déchaînée et lorsque je remarque que les filles trouvent ma façon de danser super sexy, je me lâche et j'enlève mon tee-shirt. Cela ne passe pas inaperçu, il y a des sifflets et des acclamations. A partir de là, tout devient assez flou dans mon souvenir à cause de l'alcool. Je danse frénétiquement par moments, mais ma timidité me rattrape aussi et je bois et mange en discutant avec tout le monde, tout en restant torse nu et en essayant d'avoir l'air de trouver ça normal, alors qu'intérieurement je n'en reviens pas moi-même : je suis le seul torse nu devant toute ma classe et tout le monde mate mes pecs et mes abdos avec des petits sourires admiratifs. Mon meilleur pote Antoine ne peut s'empêcher de me dire : "Dis donc mec, t'es chaud ce soir !" Contrairement à ce que j'imaginais, ce sont les garçons et non les filles qui osent toucher mon torse, la plupart du temps sous forme de petits coups de poing dans le ventre, genre "vas-y, contracte-moi ces abdos !" Beaucoup moins de commentaires aussi que ce je pensais, ce sont plutôt des regards et des sourires d'encouragement, qui me font tellement plaisir. Bizarrement, c'est les deux filles de la classe avec qui j'ai déjà couché qui me font le plus sentir par leurs regards la gêne de ma semi-nudité.

Et c'est une autre fille qui me pousse à aller plus loin en me demandant après une danse dans laquelle j'ai particulièrement caressé mes pectoraux : "Le bas est aussi musclé ?" Je saisis l'occasion, désinhibé par l'alcool, et alors que je n'aurais jamais imaginé le faire, je défais ma ceinture et je baisse mon jean jusqu'aux chevilles ! Nouveaux sifflets et nouvelles acclamations. En boxer, je fais admirer les muscles de mes cuisses (dont je suis particulièrement fier) mais n'osant ni enlever complètement mon jean, ni le remonter, je finis par me trouver bête à me déplacer par petits pas. J'arrive ainsi jusqu'à un canapé au milieu du salon, je m'y assois et m'endors en quelques minutes, complètement saoul...

... Et je me réveille dans mon lit, complètement nu, le lendemain dimanche à midi, avec l'impression d'avoir fait un rêve très excitant mais très étrange. J'appelle aussitôt Antoine pour lui demander de me raconter la fin de la soirée.

Il m'explique qu'après que je me suis endormi, plusieurs garçons de la classe sont venus faire des selfies en s'asseyant à côté de moi et en me touchant le torse, les jambes et même le boxer en faisant semblant d'être gays, pour déconner. Ils me faisaient prendre diverses positions, par exemple passer mon bras autour de leur cou et comme à un moment ils ont été gênés pour me faire bouger, ils m'ont enlevés complètement mon jean (et donc mes chaussures). Les autres élèves de la classe qui les voyaient faire rigolaient, personne ne les a empêché. Ils commençaient même à soulever mon boxer pour regarder dedans, il y en a un (apparemment c'est Boris, un mec plutôt sympa mais qui n'est pas un des mes proches copains) qui me l'a baissé ! A partir de là, tout s'est enchaîné, quelqu'un lui a dit : "Fous-le à poil!" et il l'a fait ! Ils m'ont enlevé complètement le boxer et ont appelé les autres. Toute la classe a défilé pour mater ma queue. Les filles disaient : "Vous êtes vraiment dégueulasses les mecs !" mais elles mataient quand même. Antoine m'a expliqué que ce qui les faisaient halluciner, c'est que, alors même que j'étais quasiment en position couchée, ma verge reposait sur mes bourses, pourtant grosses, elle en faisait le tour et le prépuce touchait le canapé ! Je suis resté comme ça pendant une demi-heure environ, certains ont fait des selfies avec moi pour rigoler mais personne m'a songé à me rhabiller. A un moment, Evan a pris mon sexe et l'a déroulé sur mon ventre, jusqu'au nombril. Dans cette position, on avait vraiment l’impression que j'étais en érection ! Antoine a entendu Boris dire : "Venez, on le fait bander !" et il a commencé à me branler. Antoine m'a dit que ma verge était devenue raide presque instantanément. Un des mecs est allé dire aux autres que je bandais, en laissant croire que l'érection m'était venue toute seule. A nouveau, tout le monde a défilé pour me mater. C'est à ce moment-là qu'Evan a commencé à filmer donc j'ai pu voir les images après. Ma queue était dressée vers le plafond, le gland turgescent et toute ma classe me voyait ! On dirait que je souris sur la vidéo, certains ont dit que j'avais ouvert les yeux et que je faisais semblant de dormir mais je ne me rappelle de rien. Les mecs poussaient les filles à venir toucher ma verge pour voir comme elle était dure. Antoine a reconnu qu'il avait touché aussi. Boris a dit qu'on allait voir combien de temps durait mon érection, mais ils l'entretenaient régulièrement en venant me toucher sous prétexte de voir si j'étais toujours aussi raide. Je ne sais pas combien de temps ça a duré comme ça car Evan n'a pas filmé tout le temps. On ne sait pas trop qui a eu l'idée de voir si me faire jouir allait me réveiller. Sur le film, on les voit me branler à tour de rôle et on entend quelques voix qui protestent un peu. C'est Boris qui finit par me faire éjaculer, deux jets très longs et un plus court, qui jaillissent et retombent sur mon torse. Il a l'air le premier surpris, il se lève d'un coup. Il a reçu du sperme sur la main et s'essuie avec mon boxer qui était posé à côté de moi. Moi, à ce moment-là, je me réveille, je me redresse et je vois ma queue raide et le sperme qui dégouline sur mon torse. J'ai des souvenirs très flous de toute la suite, comme d'un rêve, à cause de l'alcool. J'étais surpris mais pas du tout gêné de la situation ! Je me lève péniblement, je prends le boxer des mains de Boris et je commence à m'essuyer le torse avec. Les autres, surtout les filles, voient que je tiens à peine debout et ils sont très gênés pour moi, ils m'entraînent vers la cuisine sans doute pour m'aider à me nettoyer mais finalement ils me laissent m'essuyer avec mon boxer. Sur la vidéo, on voit que j'arrête pas de vouloir me lever, je regarde tout le temps ma queue pendante et encore lourde en disant : "Elle veut plus bander !", ce qui fait rigoler tout le monde, je bois beaucoup d'eau, je m'essuie le torse en étalant le sperme plutôt qu'autre chose et en répétant : "Je suis couvert de jus !" et je veux à tout prix que tout le monde touche mes cuisses pour voir comme elles sont dures. J'ai un grand sourire aux lèvres. Cela dure environ 20 minutes, le temps que les autres retrouvent mon jean et mon tee-shirt (ils auraient pu m'apporter tout de suite mon jean puisqu'il était sur le canapé mais ils cherchaient partout le tee-shirt que j'avais enlevé moi-même). C'est Antoine et Maxence qui m'ont ensuite raccompagné chez moi et couché.

Quand Antoine me raconte tout cela, je me mets aussitôt à avoir peur : j'imagine que les photos et la vidéo vont circuler sur les réseaux sociaux et que je vais devenir la risée de tout le monde. Antoine lui aussi craint que je sois victime de harcèlement. Je passe toute l'après-midi cloîtré dans ma chambre, le portable coupé, à la fois terrorisé et hyper excité. Je me masturbe plusieurs fois en revivant la scène de la cuisine dont les souvenirs me reviennent peu à peu..

C'est seulement vers 20 heures que je consulte avec appréhension les messages laissés par le groupe de la classe sur les réseaux sociaux. Et là, surprise ! Non seulement personne ne se moque de moi, mais au contraire ce sont les garçons qui m'ont déshabillé et fait jouir qui sont montrés du doigt et quasiment accusés de viol ! Comme personne ne m'a vraiment défendu sur le moment, les accusations ne vont pas bien loin. Par contre, tout le monde s'inquiète pour moi et fait des commentaires sur moi ; ce qu'ils ont retenu de la soirée, c'est que j'ai un "torse de ouf", des cuisses musclées, une belle queue, à la fois au repos et en érection et que je suis un bon juteur ! Je mets aussitôt un message pour dire que je vais bien. Boris et Evan m'envoient des messages d'excuses et je leur réponds que je ne leur en veux pas, ajoutant : "C'est normal, moi aussi quand je vois ma queue, je ne peux pas me retenir !" Cette phrase fait beaucoup rire tout le monde et les filles en déduisent qu'en plus d'être trop beau gosse, je suis trop sympa !

Le lendemain, je vais au lycée gonflé à bloc, la chemise un peu plus ouverte que d'habitude. Tout le monde est super sympa avec moi, me sourit et me demande si je vais bien. Je me sens très frustré de ne pas avoir vraiment vécu cette soirée d'exhibition, de ne pas avoir croisé leurs regards tandis qu'ils admiraient mes muscles, qu'ils s'étonnaient de ma verge, qu'ils étaient excités, ou peut-être gênés, de me voir bander et jouir. J'essaie de retrouver ce plaisir dans leurs yeux en les faisant parler de la soirée. J'autorise Evan à garder la vidéo toute la journée et à la montrer à des élèves d'autres classes, à condition que je sois présent (finalement, cela durera toute la semaine). Je suis toujours super excité de visionner ces scènes et de scruter le regard de ceux qui m'entourent. Je suis fasciné par le moment où on me conduit à la cuisine, la verge encore dressée et le torse dégoulinant de sperme. Il efface finalement la vidéo le samedi suivant.

Finalement, cette expérience m'aura beaucoup libéré (je me suis mis torse nu à la récréation du lundi après-midi alors que je n'aurais jamais osé avant !) et m'a préparé aux nombreuses expériences d'exhibition que j'ai connues depuis.

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