Une déchéance élevée en pulsions destructrices... dans ce trio impossible seule une virginité initiée pouvait satisfaire le désir exacerbé d'un amour avili. Récit en deux parties
Proposée le 18/07/2022 par Camille_Destrevelle
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Je donnais des cours de musique à quelques gamins et gamines du quartier. En réalité, je n’avais pratiquement que des filles, les jeunes garçons ne s’intéressaient pas à l’étude de la musique. Je soupçonnais le seul garçon qui persistait à suivre mon enseignement de le faire plus pour la satisfaction de son œil par l’observation de mes courbes que pour l’éducation de son oreille par l’étude de l’harmonie musicale. Il était en plein âge ingrat. Je lui pardonnais d’autant plus volontiers ses contemplations voyeuristes que ses parents payaient régulièrement sa participation hebdomadaire ainsi que celles de sa sœur, Aline. Nous avions bien besoin de toutes les contributions financières, car tu éprouvais toutes les difficultés du monde à retrouver un emploi, et ces cours constituaient une source d’appoint indispensable à nos allocations.
Les mercredi et samedi après-midi, je recevais Aline, la sœur aînée du petit voyeur, pour un cours particulier, le gamin ayant finalement opté pour le foot pour lequel il avait une assiduité sans faille. Elle n’était guère plus douée que son frère mais ses parents insistaient pour qu’elle suive une éducation musicale. Je pense qu’ils voyaient là une occasion d’avoir quelques heures de tranquillité. La sœur était très dissipée, et j’éprouvais les pires difficultés à la faire tenir en place dans le petit appartement que nous occupions.
Une après-midi, tu procédais à quelques travaux de bricolage pendant que je m’efforçais de captiver la fille. Je l’abandonnai un moment pour répondre à une amie au téléphone. Quand je revins, la gamine n’était pas là. L’appartement n’étant pas bien grand, je la cherchais sans l’appeler. Je la trouvais sans mal et surtout sans qu’elle ne se rende compte de ma présence. Elle était plantée un pas en retrait de l’entrée de la salle de bains en train de te mater sous la douche, alors que tu te tenais debout dans la baignoire. Probablement était-elle animée par les mêmes désirs voyeuristes que son jeune frère. J’imaginais que tu n’avais pas verrouillé la porte par habitude, nous n’étions que deux et nous ne le faisions jamais. La fille avait probablement poussé la porte ou l’avait trouvée entrouverte, et elle se rinçait l’œil pendant que tu te rinçais le corps. Je fus tenté d’intervenir mais je me retins. Cette scène m’excita immédiatement : être la voyeuse d’une scène de voyeurisme ! Dont l’un des acteurs était mon mari et l’autre une gamine !
Je reculai légèrement pour ne pas être surprise par un brusque revirement de la fille tout en ne perdant rien de l’action. Tu te touchais la verge et celle-ci gonflait un peu. Aline tendit le cou, comme pour se rapprocher de ce sexe qui se tendait vers elle. Instinctivement je suppose, car elle ne devait pas avoir l’habitude, elle porta une main à sa poitrine et se frotta les seins. Ce geste me fit de l’effet et déclencha mon fantasme : je l’imaginais portant la main à tes bourses pour en soupeser leur chargement. À présent tu bandais, et Aline était complètement absorbée. Je voyais son regard légèrement de profil, rivé sur toi. Il aurait pu se passer n’importe quoi autour d’elle, elle ne s’en serait pas rendu compte et n’aurait pas réagi. Tu sortis de la baignoire et offrit une vue sur ton cul, un beau fessier, bien rebondi. La gamine pressa ses mains plus fort contre sa poitrine. Tu te penchas vers l’avant pour ramasser une serviette qui t’avait échappé ; je ne pouvais pas voir d’où j’étais située, mais je suppose que tu offrais une vue indécente à cette gosse car celle-ci semblait en fusion. Le spectacle allait prendre fin, je décidai de m’éclipser.
Lorsqu’elle revint, Aline prétexta un détour aux toilettes pour justifier son absence.
— Tu me sembles bien rouge !
— Il faisait chaud dans les WC.
— Tu t’es lavée les mains, j’espère !
— J’ai pas pu. Votre mari occupait la salle de bains.
— Comment tu le sais ?
Elle hésita. Elle pouvait répondre que ça ne pouvait pas être moi, donc ça ne pouvait être que toi. Ou bien qu’elle t’avait vu, après tout, tu pouvais être habillé.
— Je l’ai vu.
— Il était habillé au moins ?
Elle hésita encore. L’hésitation était une réponse. Elle voulait avouer. Je repris.
— Il était nu ? fis-je sur un ton affirmatif plus qu’interrogatif destiné à la pousser à avouer.
— Euh… oui.
— Complètement ?
— Oui, répondit-elle plus sûre d’elle, mais surtout soulagée par son aveu.
— Et tu l’as regardé ? Longtemps ?
— Euh, oui. Mais j’avais déjà vu des hommes tout nus. Sur Internet, s’empressa-t-elle d’ajouter.
— Et alors ? Ça te fait quelque chose de voir un homme nu ?
— Il est beau !
— Mais encore ?
— J’ai vu son zizi.
— Tu n’es plus une petite fille pour dire zizi. Tu sais comment on dit ?
— Oui mais c’est un gros mot…
— Tu peux me le dire, c’est mon mari…
— Bite ?
— Elle était comment, cette bite ?
— Elle était grosse et raide. Je l’avais vue enfler !
— Répète en utilisant le mot.
— Sa bite était grosse et raide.
— Tu sais bien qu’on dit autrement !
— Il bandait ?
— C’est très bien. Tu vois, c’est pas toujours des gros mots. Et c’est tout ?
— Non, j’ai aussi vu… son… cul.
— Détaille !
— Il s’est tourné, j’ai vu ses fesses, puis il s’est baissé et alors, j’ai tout vu… parce qu’il avait écarté les cuisses…
— Tu as peur des mots ?
— C’est des mots qu’on doit pas dire !
— Tu ne dois pas les dire à n’importe qui. À moi, tu peux les dire, puisque je suis sa femme. Tu comprends ?
— Je sais pas… J’ai vu ses… couilles ? qui pendaient, puis son trou du cul quand il a été bien plié.
— Alors tu as tout vu ? Tu as vu mon mari aussi bien que moi.
— Oui.
— Une dernière question : ça t’a plu ?
Elle ne répondit pas tout de suite. Puis sans me regarder, elle hocha la tête positivement avant d’ajouter la parole au mouvement.
— Oui, ça m’a plu.
— Alors, tu voudrais recommencer ?
— Je croyais que c’était la dernière question !
— J’ai menti, réponds.
J’étais voyeuse jusqu’au bout de mes questions. Cet interrogatoire m’excitait. Je voulais tout savoir de que pensait et ressentait la gamine. Et je crois qu’elle avait envie d’en parler.
— Oui.
— Sois plus précise. Ça te démange d’en dire plus, je le sens.
— Je… je sais pas…, bégayait-elle.
Elle était devenue toute rouge. Elle désirait parler pour partager le plaisir qu’elle avait éprouvé. Elle se sentait un peu plus libre, je devais me faire confidente pour l’encourager à continuer.
— Dis-moi, je ne te ferai aucun reproche. J’ai été jeune, je me souviens encore de mes désirs.
— J’aurais envie de le toucher. J’ai jamais fait ça, ajouta-t-elle aussitôt, je voudrais savoir ce que ça fait de toucher un homme !
— De toucher… mais quoi ?
— Ben, vous savez…
— Non, dis-moi !
— De lui toucher la bite, quoi… et les couilles !
Je m’y attendais, mais son aveu me procura une petite jouissance. Je m’imaginais très bien en initiatrice en dévergondage. Je la voyais déjà en train de suivre mes instructions pour te tâter les couilles et de te branler la queue. T’enfoncer un doigt dans la raie, te palper les fesses… L’amener sur le perron de la dépravation, l’accompagner à l’entrée du couloir de la débauche. J’imaginais si bien la scène, l’idée m’excita tellement que je mouillais ma culotte.
— Madame ! fit la gamine en me secouant le bras.
— Oui ?
— J’ai cru que vous dormiez !
— Non, non, je réfléchissais à ce que tu me disais. Rendez-vous mercredi prochain, d’accord ?
— Pour ma leçon ?
— Pour une leçon, oui, comme tu la souhaites, complétai-je d’un sourire.
***
Je te racontais l’histoire dès qu’elle fut partie. Nous n’avions que peu de secrets l’un pour l’autre, et aucun pour le sexe, car nous partagions un goût immodéré toutes ses folies. Tu fus tout de suite d’accord pour t’offrir à ses attouchements juvéniles. Seules les circonstances restaient à déterminer. Je te proposais de simuler une sieste. Tu pourrais être endormi, nu, ainsi elle pourrait t’approcher et te toucher sans avoir à palabrer. Bien sûr, elle ferait cela sans demander ton consentement. Tu acceptas en rigolant. Tu ajoutas que c’était bien plus excitant ainsi : moins j’aurais ton accord, plus tu étais d’accord.
Le mercredi je conduisis directement la gamine à la chambre. Elle resta sur le seuil, interloquée, lorsqu’elle te vit endormi à poil sur le lit. Tu t’exhibais sans retenue, ta bite était déjà bien gonflée, l’excitation des actes à venir je suppose. Je fis signe à Aline de chuchoter alors qu’elle s’apprêtait à ouvrir la bouche. Nous nous étions assises sur le lit, près de toi qui étais allongé sur le flanc, face à nous, les cuisses ouvertes. Tu faisais un dormeur acceptable. Je t’ai touché le sexe. Immédiatement tu as bandé, comme si tu n’attendais que ça pour donner ce consentement implicite. Aline ne put réprimer un « Oh ! » de surprise.
— Chuut ! lui fis-je doucement en barrant sa bouche de mon index libre avec une certaine hypocrisie. Ne risquons pas de le réveiller, ajoutai-je d’un ton complice.
Je pris la main de la jeune et la posai sur ta bite. Je savais qu’elle sentirait les palpitations et que tu te raidirais un peu plus à son contact.
— N’aie pas peur, encourageai-je la gamine. Tu sens comme elle est dure sous ta main ?
— Oh oui, on dirait un morceau de bois.
— Il doit être en plein rêve, et comme on lui touche le sexe, ça l’excite encore plus.
— En plein rêve ?
— Rêver fait bander. Peut-être qu’il rêve qu’on lui branle la queue ? Tu veux apprendre ?
— Montrez-moi.
Je posai ma main sur la sienne et entamai le mouvement de va-et-vient sur ta hampe. Doucement. D’abord pour décalotter ton gland et que la fille apprenne les gestes et le vocabulaire associé. Puis, quand elle eut acquis le geste, je lui enseignai comment te flatter les bourses. Les couilles, mais elle connaissait le terme. En fait, elle en savait plus qu’elle n’avait voulu l’admettre : la petite coquine était proche d’être une petite salope. Tu commenças à te tordre et gémir, la masturbation portait ses fruits. Un peu trop vite peut-être.
— Doucement, doucement, il ne faut pas le réveiller.
— Ça me fait des choses.
— C’est normal, c’est ton premier mâle, n’est-ce pas ?
Elle approuva en clignant des yeux et en te masturbant un peu plus fort, dans un geste réflexe.
— Et il est à ton entière disposition… Mais si tu insistes, soit il va se réveiller, soit il va éjaculer et probablement les deux, chuchotai-je. Prends ton temps !
Je saisis sa main, celle qui te serrait les couilles et la guidait le long de ton périnée jusqu’à la raie de tes fesses. Nos deux index s’y introduisirent sans aucune difficulté. Je te sentis frissonner. Tu étais anormalement humide, la transpiration pouvait-elle expliquer cela ? Je me serrai contre la gamine. Je retirai nos index et les portai à ma bouche. Je les suçai comme je te suce, en plongeant mon regard dans celui de la fille. Mon regard de salope, mon regard de chienne, celui que tu aimes et qui ne laisse aucun doute sur mes intentions. Elle ne savait pas tout mais elle comprit suffisamment pour ne pas résister et me laissa gober et lécher nos deux doigts joints. Son autre main était toujours solidement arrimée à ta hampe. Je savais que quoi qu’il advienne tu te laisserais faire. Je ramenai nos doigts humides dans ta vallée.
Tu avais compris, tes fesses étaient mieux écartées, je sentais la respiration de la gamine s’accélérer. Sans doute serrait-elle ta bite plus fort, l’écrasait-elle dans sa menotte ? Ton gland me semblait violacé. Je ne perdis pas de temps, de la pulpe du doigt je te flattai la rondelle. Tu étais prévenu, sans hésiter je te forçai. Nos deux index te pénétrèrent à fond, tu ne poussas aucun cri, la gamine ne put s’empêcher de hoqueter, je la vis te broyer la queue autant qu’il lui était possible, ma chatte s’ouvrit, elle fuyait de plaisir.
Il était impossible que tu dormes encore.
Tu ouvris les yeux dans le regard de la fillette surprise.
— Branle-moi ! Plus fort ! lui intimas-tu mais d’un ton semi-endormi.
J’obligeai sa main sur ta hampe à relancer le mouvement, plus vite, plus fort ; tandis que dans ton cul j’activai nos index sur la même cadence. Tu noyas ton visage dans ton avant-bras. Nous t’entendions gémir. La gamine haleta à son tour sur ton rythme. Ma main sur la sienne sentait qu’elle serrait ta queue du plus fort qu’elle pouvait, tout en astiquant ton chibre aussi vite qu’il lui était possible. Soudain un jet blanc jaillit de ton gland et atterrit sur nos poignets. Cela ne calma pas la fille, au contraire, je crois bien que la vue de ce sperme la rendit folle : elle démultiplia son effort comme si elle voulait traire jusqu’à la dernière goutte de ton jus. Elle tirait sur ta bite avec l’envie de l’arracher de ton ventre. Bientôt, tu lâchas un deuxième jet tout aussi dense mais moins énergique qui finit sur nos mains. J’obligeai la fille à stopper sa masturbation. Tu semblais à bout de souffle, toujours à demi tourné, la tête perdue dans l’oreiller.
Nos index t’enculaient encore, j’éprouvais un agréable sentiment de puissance. Je n’avais pas envie de me retirer.
Je regardai Aline, un sourire étrange barrait son visage.
***
Je croyais que c’était terminé, comme lorsque nous baisions. D’ailleurs, tu basculas sur le ventre. Ta queue reposa sur nos mains encore jointes : elle vibrait encore et était toujours chaude, autant des frottements que de désir. Mais ce n’était pas cette bite étalée sur nos mains de femme et de jeune fille qui m’interpela le plus. Ce fut ton cul, ce cul que tu nous offrais sans détour, ce cul empalé sur nos doigts, embroché sur notre possession, ce cul que tu nous incitais à forer toujours plus, toujours plus fort, toujours plus loin. Je le voulais, tout à moi, entièrement, comme je ne l’avais jamais eu. Ce cul totalement soumis qui n’était qu’une incitation : te prendre ! Sans indulgence ni miséricorde. Te posséder, totalement. Ses pensées me rendaient folle.
La gamine ne comprenait pas, mais elle ressentait quelque chose. Probablement quelque chose de trop neuf pour qu’elle le comprenne mais quelque chose de trop intense pour qu’elle n’en ressente pas la signification. Car tu oscillais, tes reins dansaient sous nos yeux tordant nos doigts dans ton cul, frottant ta bite sur nos paumes pour qu’elle enfle jusqu’à nos ongles. Tu nous chauffais à blanc, même une môme tout juste pubère pouvait ressentir cette chaleur. Tu souhaitais nous faire craquer, que nos index, nos majeurs, nos annulaires t’enculent sans indulgence. Oh, oui ! Je le sentais, je le voyais ! D’une voix au timbre bas, grave et rauque, je le murmurais à l’oreille de la jeunette dans un langage graveleux, épicé, cochon… Tes fesses nous suppliaient. « Baisez-nous, baisez-nous ! » Voilà de qu’elles espéraient ces salopes à se tortiller et se dandiner comme des allumeuses bon marché, comme des putes en mal de clients. Et puis, j’en ai eu assez de ton cinéma, de tes minauderies. On a retiré nos index et on a fait ce que tu espérais, on a violé ce cul de mâle en rut, trois doigts de femme, trois doigts de gamine. Explosé, l’anus. Tu as gueulé ! Mais tu n’as pas cessé de nous offrir tes fesses, espèce de salaud dégénéré. Ah ! Que je t’ai aimé à cet instant. Que j’ai aimé ton trou explosé. La gamine avait les yeux exorbités, elle n’a pas résisté à cette supplique béante et silencieuse. Elle s’y est enfournée à nouveau, je l’ai suivie. Elle t’a limé le trou du cul comme un vrai piston, va savoir pourquoi… l’instinct sûrement. Tu lui as tendu ton arrière-train, on a pu voir que tu t’astiquais le jonc, furieusement. Aussi intensément qu’on te pistonnait le cul. Ce traitement a duré un petit moment, je ne sais pas combien de temps. Longtemps car tu avais déjà bien déchargé. Puis tu as craché ta dose, à nouveau, et tu t’es écroulé, vraiment écroulé, sur le lit. J’ai suggéré à la fille d’arrêter de te défoncer. Elle a eu des difficultés à s’arrêter. Je crois que son instinct naissant de femelle lui soufflait que tu ne voulais pas que ça s’arrête, et elle, elle ne le désirait pas non plus…
On s’est retirées de ton cul, le laissant en feu, brûlant de désir inassouvi. Tu marmonnais dans l’oreiller. J’ai soulevé ta tronche en tirant tes cheveux pour comprendre. Tu étais en larmes, tu nous remerciais et nous suppliais de pouvoir recommencer. Je ne t’avais jamais connu ainsi. J’ai compris que tu étais plus que soumis, dompté. J’ai frissonné de joie : tu ne pouvais plus, mais tu voulais encore ; ton corps était impuissant mais ton esprit désirait toujours ; tu ferais n’importe quoi pour me satisfaire, nous satisfaire.
J’ai demandé à Aline de descendre du lit, d’enlever sa culotte et de garder sa jupe retroussée. Puis, je t’ai ordonné de te mettre à genoux devant elle et de la lécher. Elle a écarté les jambes. Tu as léché son minou rose et lisse de jeune vierge. Tu es passé entre ses cuisses, est remonté entre ses fesses, langue tendue dans sa raie, et lui a léché son petit trou avec application. Et tu es revenu t’occuper de cette vulve encore à déflorer. Tu n’as pas cessé ces allers-retours jusqu’à ce que je te le permette. Le visage d’Aline reflétait une sorte d’exaltation. J’ignore si elle a atteint un orgasme, un genre de jouissance certainement. J’étais folle de désir. Je ne sais pas ce que je désirais. Mais je voulais jouir. Je voulais un orgasme, un putain d’orgasme. J’étais jalouse aussi. Jalouse de cette gamine. Je t’en voulais du plaisir que tu prenais, du plaisir que tu lui donnais. Je voulais t’humilier, te faire souffrir, et te faire jouir de tout cela. T’avilir. Et toi, tu léchais cette chatte avec avidité. Et la fille gémissait, gémissait. Pouvait-elle jouir ?
Soudain, elle a dit :
— J’ai envie de faire pipi !
— Pisse-lui dans la bouche ! ordonnai-je d’un ton péremptoire.
— Mais… mais je ne pourrai pas.
— Si, si ! Ferme les yeux et laisse-toi aller ! Et toi, ouvre bien grand ta gueule, ajoutai-je en te claquant une gifle.
Tu obéis sans regimber et je vis que tu continuais à titiller son fruit pour la pousser à lâcher son jet doré. Je te flattai rudement les fesses pour t’encourager tout en motivant la gamine. Au bout de quelques instants, elle émit un jet, timide d‘abord, dont tu perdis quelques gouttes. Je te fessais violemment en t’insultant, t’enjoignant de ne plus rien perdre sous peine d’être puni sévèrement. Tu collas ta bouche contre la vulve et je vis que tu avalais le flot qu’elle déversait à présent dans ta gorge avec une telle force que de l’urine rejaillissait par tes narines. Mais tu n’abandonnas pas la source. Je compris qu’Aline et moi étions devenues tes Maîtresses. Dorénavant plus rien ne s’opposait à ce que tu deviennes notre esclave, notre chien, notre objet, notre chose. Cette pensée me fit tressaillir. L’idée que je te possédais à un point tel que je pouvais t’offrir ainsi, toi, mon mari, un mâle adulte à cette gamine tout juste pubère m’excita jusqu’à provoquer en moi un orgasme que je n’avais jamais connu.
A suivre…
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