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Le vieux voisin Mr David - P3-P4

Quand deux jeunes couples partent en vacances et decouvrent un vieux monsieur, les choses derapent clairement... echangisme, vieux-jeunes, premiere fois, ... et meme des stars du porno!

Proposée le 24/06/2022 par amdsoo

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Thème: Femme dominée
Personnages: Groupes
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme


3. Sexe Matinal

Dix heures du matin. Je m’étire dans le lit. Je constate que Mélodie n’est plus là. Quelle soirée hier ! On a fini dans la salle de bain à plaisanter. Je suis très excité quand je pense à Françoise. Et aussi à Mélodie, elle a clairement eu du plaisir à sucer le voisin, et surtout à se faire ramoner par Jacques.

Tiens justement j’aurais bien aimé lui faire un câlin ce matin… J’enfile un short, il fait déjà chaud. Aujourd’hui nous allons au lac de Quinson, il fera plus frais dans ce petit vallon près du Lac du Verdon que je connais depuis des années.

Quand j’entre dans le salon, Mélodie est à genoux entre les jambes de Jacques, il a un barreau d’enfer, et elle le suce lentement…

- Bonjour mon chéri, tu ne m’en veux pas hein ?
- Heu non, non bien sûr...
- Bonjour Marc, ta femme taille vraiment des pipes parfaites.
- Je vois ça...

Je suis quand même interloqué. La garce n’a pas attendu ma queue, elle s’est rabattu sur celle de Jacques, et elle y va gaiement. Sa langue s’enroule sur son gland, Jacques lui caresse les cheveux, comme pour la pousser à avaler son membre un peu plus.
Je prépare un café, ne sachant pas trop quoi faire, aller baiser Françoise ? cela parait un peu exagéré, mais je décide de m’asseoir en face d’eux. J’ai aussi une érection, et Jacques qui me fait face, me sourit. Il boit un verre de jus d’orange, et se laisse sucer comme si de rien n’était. Je vois qu’il ferme les yeux par moment, il a du plaisir à pistonner la gorge de ma femme, elle a ses lèvres serrées sur sa bite et ne laisse rien couler, elle doit boire son pré-foutre comme du petit lait.

- Oh je crois que tu vas me faire jouir Mélodie…

Elle continue de le pomper, comme si elle n’avait rien entendu.

- Oh oui, oui, vas-y, continue, ma jolie pute, tu vas l’avoir ton petit déjeuner, un bon verre de foutre !

Il tremble un peu, quelques secousses que je connais, mon ami éjacule dans la bouche tendue de ma femme. Elle monte et descend, le long de sa hampe, il se vide en six ou sept giclées. Elle avale le tout, et desserre ses lèvres. Puis elle le nettoie lentement, s’appliquant à bien tout récupérer, sur ses couilles, et lèche une dernière fois son gland luisant. Je suis stupéfait, elle vient d’avaler son foutre devant moi.

- Tu as aimé ?
- Oh oui j’ai adoré jouir dans ta bouche, c’est à refaire.
- Quand tu veux, Françoise aime aussi te sucer et boire ton sperme ?
- Elle adore boire mon foutre, comme toi.

Mélodie un peu déçu sa réponse, se relève et s’approche de moi, elle me fait un smack, je sens le foutre de Jacques, son odeur est sur mes lèvres.

Quand Françoise se lève, il est plus de onze heures, j’aimerais la baiser devant eux, elle est splendide, elle a un petit haut sexy qui laisse voir le dessous de ses seins et son ventre, et une culotte qui tirée sur son minou laisse deviner sa jolie fente. Trop tard ! Nous décidons de nous mettre en route pour le piquenique.

Après avoir rassemblé de quoi déjeuner, nous prenons la route vers le petit canyon de Quinson qui se trouve être en contrebas du lac du Verdon. Le chemin est accroché à la montagne, et nous dépassons quelques touristes, mais je sais qu’il faut marcher une heure de plus pour être tranquilles. Nous arrivons sur une mini plage en roche blanche, au bord de la rivière, et il n’y a absolument personne. Seuls quelques canoés mais bien plus loin.

Les filles sont en sueur, j’ai toujours trouvé sexy des filles en sueur, des jolies jambes musclées et suintantes, la sueur qui passe entre leurs seins, coule entre leurs cuisses, on dirait que le corps d’une femme est joliment vallonné pour cela. On se baigne et c’est carrément glacé, je sens mes testicules qui rétrécissent ! Françoise a un maillot deux pièces, mais décide d’aller seins nus, quel régal de voir ces globes de chair qui rebondissent à chacun de ses pas. Mélodie a froid dans l’eau, et quand elle sort, ses tétons sont tendus et durs, Jacques a bien tout vu, et s’empresse de lui peloter les seins alors qu’elle est allongée sur sa serviette, elle aussi fait du monokini. On dirait qu’ils sont en couple, j’ai une drôle d’impression.

- Tu as besoin de chaleur toi !
- Ah ah, oui mes seins sont glacés, regardes mes tétons.

Il joue un peu avec ces tétons. Elle semble apprécier et le laisse soupeser et caresser sa jolie poitrine dont je suis fier chaque été quand elle se promène sur la plage.

Françoise s’assoit sur la berge, les jambes dans l’eau, je nage jusqu’à elle, elle écarte les cuisses. Je suis à trente centimètres de son sexe, je peux voir sous le maillot mouillé, la forme de ses grandes lèvres. Elle tire sur son maillot d’un doigt, et me dévoile sa chatte, toute humide et fermée. Les deux autres ne peuvent pas voir ce qu’on fait, c’est excitant mais l’eau est tellement glacée que je ne peux pas rester dedans ! dommage !!

Jacques embrasse Mélodie, elle lui rend ses caresses, et lui palpe les couilles à travers son maillot. Tout cela est excitant.

Le déjeuner prend fin, il y a une bonne ambiance. Des touristes allemands sont venus à côté de nous, un peu surprises les filles se sont rhabillées, mais le chef de famille s’est rincé les yeux, les petits seins tendus de Mélodie et la poitrine plantureuse de Françoise n’y sont pas pour rien, sans compter que le bas de maillot de Mélodie ne cache pas ses belles fesses. La femme allemande à l’air sévère, et le regarde avec de la colère dans les yeux. Aller si loin sur ce chemin, pour tomber nez à nez avec deux Françaises les seins à l’air, et en plus super sexy !

Vers quatorze heures, nous décampons et retournons à Moissac.

- Ce soir Mr David doit passer boire l’apéro les filles, je me demande si vous aurez l’audace de le provoquer un peu, lance Jacques
- Bah lui il ne faut pas grand-chose pour le démarrer le vieux pervers, répond Françoise
- Et oui, hier il m’a bien pincé les tétons ce vieux saligot, mais il s’est régalé à nous lécher la moule, je sentais sa langue bien profonde en moi, il a rien laissé.
- J’ai googlé le nom de son copain Robert, et c’est ce que je pensais, c’est un mec qui faisait des films X au début du porno dans les années 80-90, dit Jacques.
- Ah oui, sa tête me disait aussi quelque chose, je renchéris.
- Oui tu passes trop de temps à regarder des films de cul Marc, et pas assez à t’occuper de ta belle Mélodie.
- Ah ah, tout le monde éclate de rire.


Mais Jacques est si intéressé par Mélodie, que je ris un peu jaune. Pendant le trajet, ce sagouin a la main dans la culotte de ma femme, en pleine journée, cela en devient désagréable. Elle gémit un peu, les jambes écartées à l’arrière de la voiture.

- Et bien dites donc les deux, on ne se gêne plus ! Dit Françoise.
- Et ce matin j’ai surpris Mélodie en train de lui faire une pipe dans le salon.
- Non ??! ce n’est pas vrai ?! Tu es une belle salope Mélodie !
- Si, et elle a bien tout avalé.
- C’était si bon, dit Mélodie.
- Jacques adore que j’avale son foutre, il dit que c’est bien la moindre des choses. Et toi tu aimes aussi te faire sucer non ?
- Oui bien sur… je réponds.
- Tous les mêmes les hommes… conclut Françoise

Elle se penche sur moi, et ouvre la braguette de mon short. Je garde les yeux sur la route. Elle sort ma bite, dégonflée, et me branle lentement. C’est très agréable, et je commence à bander dur.

- On va arriver à la maison, tout le monde descend, mission : vidage de couille pour ces messieurs, lance Françoise en se redressant.

A la maison, chacun emmène sa jolie princesse dans sa chambre, je pars avec Françoise, pendant que Jacques attire Mélodie dans la sienne. Elle me pousse alors sur le lit, et baisse mon short.

- Alors comme ça, tu aimes te faire sucer et tu aimes que la fille avale tout ?
- Heu oui, mais montres moi tes seins, j’ai tellement envie de les toucher.
- Attends je vais tout enlever ce sera encore mieux.

Elle enlève son petit haut, et ses deux melons dansent devant mes yeux. Puis elle fait glisser son short a ses pieds, sa petite culotte suit deux secondes plus tard. Elle est nue, légèrement bronzée devant moi. Je bande comme un taureau, je peux entendre Mélodie au bout du couloir qui gémit, cet enfoiré de Jacques doit être en train de lui défoncer sa petite chatte. Il ne fait pas dans la douceur.

Nous restons au lit deux heures, elle me suce, et moi à mon tour, je m’aventure entre ses cuisses, quelle merveille, sa fente est humide et chaude, elle est ouverte maintenant, je glisse un doigt puis deux, je bois à sa petite fontaine de cyprine, quel délice. Nous faisons l’amour paisiblement, je la prends en missionnaire, et je la fais jouir, puis elle me masturbe en serrant ma bite entre ses seins. Je suis assis sur son ventre, et je gicle sur sa poitrine étalée devant moi, et pas qu’un peu. Elle rit, en étalant le sperme sur ses tétons.

- Tu m’avais promis de jouir dans la bouche !
- Ah oui mais tes seins m’ont tellement excité !

Je croise Mélodie qui sort des toilettes, elle est ravissante, et nue. Elle me montre sa fente, en écartant un peu les lèvres. Elle est un peu rouge, et ses lèvres sont légèrement distendues comme si pas à leur place.

- Il m’a littéralement défoncé, chéri si tu savais. Une vraie queue sur ressort.
- Je vois ça, j’aimerais quand même que tu fasses attention !
- Bien sûr ! et toi alors avec la belle Françoise ? tu as pris ton pied
- Heu oui. Elle est très douce, et elle a de ces seins…

Elle m’embrasse et retourne finir la sieste avec mon ami.

4. Robarre


Vers dix-neuf heures, nous préparons l’apéro car Mr David doit arriver tantôt. Les filles ont décidé d’être provocatrices, pas de culottes, et des jupes ultra courtes. Leurs belles jambes brillent de crème, Françoise met un chemisier très ouvert, pas de soutif, et Mélodie un simple carré de tissu noir croisé dans le dos, ses petits seins sont bien tenus, mais elle montre son ventre plat, et la plupart de son dos.

La nuit chaude tombe lentement. Mr David arrive vers vingt heures, mais il n’est pas venu seul.

- Salut les gamins, je ne suis pas trop en retard ?
- Non non Mr David
- Je suis venu avec mon pote Robert, vous l’avez déjà rencontré hier soir.
- Oui, vous avez bien fait, rassure Françoise.

Tout le monde s’assoit autour de la petite table, on passe les verres de sangria, et on picore de bonne faim.

- Alors Mr Robert… demande Mélodie
- Appelez-moi Robert tout simplement, coupe t il
- … Robert donc, vous étiez dans l’industrie du porno ?
- Ah Ah, vous m’avez reconnu ?
- C’est moi qui avait un soupçon, et Google vous a trahi, dit Jacques.
- Oui en effet, j’ai fait une centaine de films, petits budgets pour l’époque, j’avais trente-cinq ans, j’étais déjà un des plus vieux, et on baisait des nanas de dix-huit ou dix-neuf ans pratiquement tous les jours. J’ai soixante-huit ans maintenant.
- J’ai remarqué que votre spécialité était en effet de prendre brutalement des filles jeunes, dans le cul.
- Ah ah, vous m’avez bien espionné !! MD voulait des films chocs, à l’époque prendre une fille dans le cul, c’était de l’innovation. On avait une technique au poil. La fille venait souvent par le biais d’une amie, et on lui proposait de l’argent, qui servait à convaincre l’actrice de faire la scène. Ça finissait généralement par une bonne bite ou deux dans le cul. On a même eu des cas, ou on a fini par baiser les deux copines en 69.
- Ah ah ha.


Tout le monde se détend. La sangria coule à flot, les nanas sont excitées par le vieux briscard Robert, et son acolyte Mr David, les deux vieux en ont vu des nichons, des chattes et des bites. Mélodie est sur son smartphone et avec Françoise, elles regardent les films vintages de Robert. Je n’entends pas bien, mais elles font des commentaires sur les poses des actrices. Mélodie est assise sur l’accoudoir de Françoise, les jambes légèrement écartées, elle a visiblement oublié qu’elle ne portait pas de culotte. Mr David est assis exactement en face d’elle, et regarde de temps à autre dans la direction des cuisses de ma femme. Ces deux garces sont en train d’exciter tous ces hommes autour d’elles.

- Robert, je remarque que vous avez une bite respectable, demande Mélodie.

Et elle montre sur le smartphone la bite de Robert qui est à moitié dans le cul d’une jeune nana.

- Ah oui, on l’appelait « Robarre ». Robert la Barre, ce n’est pas pour rien. Dit Mr David
- Ah ah ah

Tout le monde s’est arrêté pour regarder les exploits de Robert, la pauvre fille se fait enculer sans égards, la verge file droit dans son fion. Rentre-sort. Il lui tape les fesses par moment, quand il se retire, la fille a l’anus dilaté qui ne se referme plus.

- C’était la première fois pour cette fille, elle a du mal à marcher pendant trois jours, après la scène. Ah ah. La plupart de ces filles ne faisaient qu’une seule scène, ce qu’on cherchait c’était vraiment la fille que personne n’avait vu.
- Hmmmm, j’aimerais être à leur place, dit Françoise qui a visiblement trop bu de sangria.
- Pourquoi pas ? si ces demoiselles sont intéressées par une vieille bite de pro. …

N’attendant ni rien ni personne, il baisse son pantalon, et sort une verge de taille respectable mais plutôt molle. L’homme de presque soixante-dix ans, fait glisser d’avant en arrière le prépuce qui couvre un vieux gland violacé.

- Pas si grosse que ça, dit Françoise, comme pour le provoquer.
- Ce n’est pas juste, je suis le seul la bite à l’air, et les nanas n’ont même pas daigner montrer leurs jolis petits seins. Enfin, pas que des petits seins à ce que je peux voir…
- Ah nous y voilà ! on leur avait dit soyez provocatrices ce soir… dit Jacques
- Et bien on va l’être.

Et Françoise enlève son petit haut. Faisant retomber ses gros seins sa poitrine.

- Bien, et la jolie demoiselle là-bas ?
- Merci pour le compliment, mais je pensais que vous seriez plutôt intéressé par le bas que par mes petits seins.

Et Mélodie écarte ses cuisses complètement.

- Ah oui, très jolie chatte. J’adore quand les femmes laissent un peu de poil, cela permet de tirer dessus pour les tourmenter…
- Vous me faites mouiller avec vos propos, Robarre… hmmm

Les filles s’enhardissent et enlèvent leur petite jupe, elles sont nues, passablement éméchées, et les quatre hommes qui dévorent des yeux leurs corps, leurs seins et leurs sexes.
- Et si Robarre nous montrait un peu comment il s’y prend avec des jolies femmes comme les votre, lance Mr David.
- Pourquoi ne pas commencer par Mélodie, elle a le feu au cul depuis hier, dit Jacques
- Oui pourquoi pas, ajoute Françoise
- Tu en sais quelque chose Jacques, tu l’as bien baisé cette aprèm, hein ? Dit Françoise, un peu jalouse mais qui joue avec ses gros seins pour titiller l’audience.

Je ne dis rien, mais je suis excité à les entendre parler de ma femme comme ça, elle est entièrement nue et se touche le clitoris devant les trois autres hommes. Jacques exagère de proposer ma femme, mais Mélodie semble vouloir se faire baiser.

- Mélodie met toi à quatre patte sur le sofa, et écarte bien les jambes, lui dit Robarre
- Comme ça ?

Mélodie tourne la tête de mon côté, ses cheveux blonds tombent et lui couvre une partie de ces seins, elle est excitante dans cette position. Elle me sourit et me fait un bisou volant. Je sais qu’elle est en chaleur, et Jacques y est certainement pour beaucoup.
Robarre, maintenant nu, n’est encore pas trop mal conservé pour un vieil homme, mais ce qui compte c’est ce qu’il a entre les jambes, et là je dois dire que c’est assez imposant. Un machin de vingt-cinq centimètres, et dur comme de la pierre. Seules ses couilles pendent trop et trahissent son âge. Il lui enfonce un doigt dans la fente, sans ménagement.

- Tu aimes ça petite salope ?
- Oh Oui, touchez-moi la chatte, j’ai été vilaine aujourd’hui
- Appelles moi Papy, et il lui met un deuxième doigt.
- Oui Papy, touchez-moi la chatte mais gentiment, car Jacques est passé par là cet après-midi

Robarre lui claque les fesses plusieurs fois, le cul de Mélodie rougit instantanément.

- Aie Aie… oh, c’est bon, je serais gentille Papy !
- Tiens prends ça, petite salope, ta chatte est toute ouverte déjà, tu aimes te faire ramoner par la, hein ?
- Ou oui, oui Papy. Encore !

Il lui tape un peu l’intérieur des cuisses, là où la peau est tendre. Elle est magnifique ainsi traitée, comme une petite pute à vieux. Robarre se positionne devant la fente ouverte de ma femme, et l’enfile comme un gant. Vingt-cinq centimètres dans son trou, même si la verge n’est pas épaisse, elle est longue et lui titille immédiatement le col de l’utérus, provoquant un premier spasme.


- Oh Papy, oui, ta queue est si grosse, oh oui met moi la bien profonde !
- Tiens comme ça !
- Oh oui, donnes-moi ta vieille bite de salaud ! Rempli moi !

Le vieux se déchaine soudainement dans la chatte de ma femme, il la tient par les épaules et se met à la limer. Cette énergie nous surprend, le gars n’en est pas à sa première chatte, il bourre la belle blonde comme un diable. Quand il se retire les lèvres de Mélodie sont tellement ouvertes que je vois sur vingt centimètres à l’intérieur de sa chatte. Ça sent bon là-dedans, depuis vingt-quatre heures, les bites défilent et déchargent dans le vagin de ma bien aimée.

Françoise suce Mr David, et Jacques la tringle par derrière. On s’est tous dévêtus, je me positionne devant Mélodie et elle me suce à mon tour. Mais quand les ruades de Robarre la projettent sur mon sexe tendu, elle manque s étouffer.

- Oh oui je vais te cracher dedans si c’est okay avec toi ? Dit Robarre en me regardant
- Allez-y, son vagin est en libre-service pendant les vacances.
- Oh oui, quelle pute, son vagin est bien étroit. Quel bonheur cette jeunesse.
- Oh oui, bourres moi bien Papy ! Donnes-moi ton vieux foutre tout gluant !

Il lui tripote les seins en même temps, enfin il tire sur les seins plutôt violement, ses tétons sont raides comme du bois. Et puis dans une dernière ruade il se met à éjaculer dans le beau vagin de ma femme.

- Ohhhh, tiens ! ohhh tiens encore un peu de jus de bite pour toi ma salope !
- Ahhhhh, oh mon dieu…. Mélodie jouit à son tour
- Oh je vais jouir moi aussi, ahhhh, dis-je

Je lâche mon sperme sur le dos de Mélodie, et sur son visage. Quelques belles giclées de foutre épais, quatre ou cinq fois, puis Mélodie prend ma bite en bouche et finit de me pomper. Robarre s’est retiré lui aussi du vagin de Mélodie. On dirait un champ de bataille après le bombardement, chatte déchirée, ouverte et qui suinte du foutre jusque sur ses cuisses. Le vieux pervers l’a défoncé. Mélodie est toujours à quatre pattes comme une chienne, essoufflée et couverte de sperme. Françoise subit les assauts de Jacques, quand il décide d’alterner et venir finir de décharger son foutre dans le vagin de Mélodie.

- Oh ta chatte est bien distendue Mélodie, le vieux t’a bien bourré.
- Oh vas-y mon coquin, donnes-moi ta semence, sans pitié, et bien profondément. N’hésites pas, je suis votre pute a tous ce soir !
- Ahhhh, oh ouiiii

Jacques lance son mandrin avec force dans l’orifice déjà anéanti de ma femme, giclée sur giclée, je ne compte plus le nombre de fois, mais quand il se rétracte, la chatte de Mélodie fait des bulles de foutre jaune. Jacques a sa queue pleine de jus, et s’empresse de la faire sucer par sa femme Françoise.

Puis Mr David vient alors se placer en dessus de Mélodie, et lui écarte les lèvres, pour venir aspirer le foutre qui déjà dégouline. Elle est pleine de la semence des deux hommes, il lui lèche la chatte, sa langue pénètre le moindre des recoins du beau vagin de mon épouse. Il a l’air d’apprécier. Mélodie vibre encore de l’orgasme qu’elle a eu.

- Oh Mr David, votre langue, elle est si bonne et vous allez chercher tout ce foutre si profondément, vous êtes un vrai coquin. Hmmmm
- Relèves toi un peu je veux tout attraper.

Mélodie se redresse et un flot jaunâtre tombe dans la bouche ouverte de Mr David. Il avale, lèche et la chatte de Mélodie est propre comme un sou neuf.

La soirée se termine par les histoires de Robarre, il a dû avoir près de mille filles, et en a enculé au moins la moitié. Je sens que les filles sont de plus en plus excitées par les histoires incroyables de sodomie du vieux monsieur…

Je me demande ce que Robarre a dans son sac, lorsque qu’il nous propose un plan pour le lendemain….

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