13F Exhibitionisme

Dans les yeux de Sarah. Dans ce récit, je vous relate une semaine d’exhibitionnisme à l’hôtel au grand plaisir d’un voyeur. Vous verrez une nouvelle femme. Je me suis surprise à avoir peu de gêne.

Proposée le 13/06/2022 par Bisou 69

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Thème: Strip-tease
Personnages: Solo
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie

Mon travail me demande de me déplacer quelques jours à l’occasion. Ce qui m’oblige à me loger à l’hôtel. Sans trop dénigrer mes employeurs, ils sont un peu économes sur l’hébergement. À cette occasion précisément, j’ai droit à une chambre avec vue sur un immeuble a logement. Et quand je vous dis ‘’vue’’, c’est à un point tel que je peux voir ce que font les locataires. J’ai pris possession de la chambre a l’heure du souper. Bagage déposé, je fais le constat de la proximité de cet immeuble. A cette heure, un grand nombre de personne sont active dans leur appartement. Je balaye les logements pour voir quel genre d’individu j’ai accès. Ça semble être beaucoup des personnes vivant seule. Je peux cependant jouer au voyeuse que sur 4 logements qui sont au même niveau que moi. Plus bas, je ne voie que les jambes. Et plus haut, que la tête. Mais, pour ceux en ligne direct, plus particulièrement les deux centraux, j’ai un accès total. Chacun des logements sont doté d’un balcon avec une porte patio comme accès. Ce qui me permet cette intrusion. Je peux voir leur salon et leur cuisine en arrière-plan. S’il se passerait des trucs coquins, je pourrais en avoir accès. Dans un de ces deux appartements, il a un homme. Un homme des plus ordinaire, début quarantaine, sans trait particulier. Je sais, c’est une drôle de façon de le décrire, mais c’est tout ce que j’arrive à dire sur lui. Il n’a rien de particulier. Pas gros, pas trop mince, Pas beau, mais pas laid. Il est surtout loin de mon Éric. Il déguste sont souper devant son téléviseur. A côté, les lumières sont allumées, mais il ne semble pas avoir de vie. Mais cette état ne restera pas ainsi longtemps. Une femme apparait. Et je constate qu’elle est très jolie. Elle est vêtue confortablement, mais des vêtements soignés. Ça semble être dans la fin vingtaine. Mon ventre me souligne que je dois me nourrir. Ce qui me fait revenir à la réalité. J’entreprends donc de me préparer car, étant un dimanche, j’avais prévu une sortie au resto. Sans plus tarder, je passe à la chambre de bain pour prendre une douche. Tache terminé, retour à la chambre, j’ouvre ma valise pour choisir l’accoutrement de ce soir. Chez moi, depuis que je suis divorcé et que mon enfant est rendu grand, je me promène nu sans inquiétude. Aillant cette habitude, je sortie de la salle de bain qu’avec la serviette autour de la taille et l’autre enroulé sur ma tête. Dans les hôtels, les serviettes sont souvent trop petites pour nous les femmes. Rendu au lit pour fouiller dans ma valise, je fais tomber celle du bas pour aider le séchage de mon corps. En plus d’être trop petite, elles ne sont pas assez absorbantes. J’enfile mes sous-vêtements. Suivie de mon jeans. Avant de mettre ma blouse, un mouvement à l’extérieur attire mon regard. Ce qui me fait constater que les rideaux sont restés ouvert. Je ne les ai pas refermés après mon voyeurisme. Ce que j’avais imaginé pouvoir faire, je viens d’en donner l’occasion à mes opposants. J’ai le réflexe d’agripper ma blouse et la mettre en avant de mes seins. Geste un peu loufoque car ils ont surement eu amplement le temps de regarder mes attributs. Je regarde discrètement si réel risque il avait. L’homme a la télé est resté exactement comme remarqué plus tôt. S’il a porté attention, il a surement tout vu. Pour cette femme, elle n’est plus dans les pièces que j’ai accès. De toute manière, je n’aurai pas la réponse. Je dois me résigner que j’ai donné accès à mon corps. Il est vrai que j’ai nouvellement l’habitude de jouer l’exhibitionniste sur le site coquin. Mais je pouvais contrôler le visuel. Et préparer mon corps pour lui donner les avantages souhaités. Mais bon, ce qui est fait est fait. Je termine de me vêtir et quitte. Au retour du resto, j'évalue la quantité de logements qui aurait pu voir. Près de la fenêtre, j’aurais été complètement offerte a presque tous. Mais d’où j’étais, c’est-à-dire près du lit, il ne reste pratiquement que mes deux voisins directs.


Le lendemain, j'ai pris le temps de souper avant mon retour à l'hôtel. Curieuse de connaitre le voyeurisme de mes voisins, j'installe mon cell sur la commode en direction d’eux. Bien dissimuler, je démarre la fonction vidéo. Par la suite, je me dirige à la salle de bain pour le nettoyage corporel. Mes déplacements dans le chambre se font en camisole et petite culotte. Je n’ai pas osé nu, car, prémédité, la gêne m’en a empêché. Je termine sur le lit à écouter la TV. Il va sans dire que je suis sur les couvertures. J’ai laissé que la lumière de chevet pour rendre le tout plus sexy. Je ne regarde jamais vers l'extérieur pour laisser les voyeurs sans crainte d’être remarqué. Après un temps que je juge suffisant, et surtout parce que je commençais à avoir froid, Je me lève pour donner l’impression de déposer un truc et agrippe subtilement mon cell et retour au lit. Mais cette fois-ci, sous les couvertures. Je visionne la vidéo. Mon monsieur ordinaire est resté dans la même position. Très rapidement, j’ai l’impression qu’il m’a remarqué. Il s’est levé et fermé la lumière. J’imagine pour être plus effacé et moins remarquable. Cependant, la luminosité du téléviseur permet de voir tout de même très bien. De son coté, madame a refermé les rideaux dans la soirée. Mais, elle a marqué une pause pendant cette action. Et ferme la lumière par la suite. Je n'arrive plus a voir à l'intérieur. Je remarque qu'il a un petit espace encore ouvert. Espace qui pourrait permettre à une voyeuse d'y être sans se faire remarquer. Je n'ai pas cette réponse mais je fantasme sur la possibilité.


Le lendemain, j'avais prévu de visiter la ville. C'est la première fois que j'étais dans cette région et peut être là dernière. Je me prépare donc à faire cette sortie. Je dissimule encore mon cell et saute dans la douche. J’aimais l’idée de jouer les exhibitionnismes accidentels. Comme la glace avais déjà été brisée, j’ose apparaitre dans la pièce entièrement nu. Étant l'hiver et que ma peau est sec, je décide de me crémer le corps. Cependant, la tâche est plus lente et soignée que d’habitude. J'enfile par la suite mes vêtements qui me couvriront en cette soirée. Mais, j'ai fait quelques essais pour mettre et retirer plusieurs fois. Question de faire un bon show. Ce n’est pas mon habitude, mais encore là, le spectacle l'obligeait. Et, depuis mes séances photos, je ne porte pratiquement que de jolies sous-vêtements qui s’agence. Je me sens plus coquette ainsi. Jeu terminé, je quitte pour ma visite. A mon retour, visionnement. Encore pas de visibilité sur les intentions de miss. Mais monsieur, toujours devant son téléviseur, a néanmoins son attention directe vers mes cartiers. Il n’a plus de doute sur sa connaissance de mes petits jeux.


Mercredi soir, à mon retour, je constate que m'a voisine a d'emblée fermé les rideaux et lumière. Et, vous aurez deviné, une légère ouverture dans les rideaux. J’aime cette ouverture. J’adorais savoir qu’elle joue les voyeuses également. Monsieur, comme à son habitude, installé devant la tv. Je fais toujours le même rituel de préparatif. J’enfile ensuite ma nuisette assortie de la petite culotte fine qui vient avec. Vous me questionnerez sur la raison de l’avoir apporté? Sans but précis. J’en apporte toujours une. Peut-être au cas de rencontrer quelqu’un. Je m’installe sur le lit, je vogue sur les chaînes disponibles. Bingo, une chaîne érotique. Alimenté par les images, je descends ma main sur mon vagin et commence à le masser. Je me glisse sous le tissu pour m’attaquer directement au clito. Je fais tomber une de mes bretelles de ma nuisette pour dévoiler un de mes seins. Et le prends en mains. A mon grand bonheur, je n’ai pas perdu de leur sensibilité. C’était une de mes craintes avant la chirurgie. Je continue à me toucher motivé par les vidéos. Heureusement, il se passe un moment avant de trouver des séquences vraiment excitantes. Sur ces séquences excitantes, je me termine. Je reste ainsi sur le lit et continue à voguer sur les chaînes. J’ai pris le temps par contre de recouvrir mon sein du bonnet de la nuisette. Au visionnement, encore déçu de ne pas avoir confirmation de la présence de miss. Mais, à voir que notre homme ordinaire apprécie la vue avec sa main dans son pyjama où l’on peut deviner son action me rend satisfaite de m’être ainsi offerte.


Le lendemain, c’est mon dernier soir à l’hôtel. Et j’ai terminé le but du voyage au diner. Me laissant tout l’après-midi pour faire des préparatifs a cette dernière offrande. J’ai pu passer par un sexe shop pour acquérir un godemichet. J’en avais apporté un, mon préféré, mais j’avais une idée en tête. Je fais mon rituel de fin de journée avant d’ouvrir mon achat. Quand je le déballe, je me positionne pour être vu à ces yeux curieux. Le sex-toy est un modèle réaliste. Je dis réaliste, je parle ici de son apparence. Car en réalité, il est plutôt démesuré si on le compare à un vrai pénis masculin. En plus, je trouvais qu’il donne l’impression d’être plus imposant qu’il est vraiment. J’agrippe également les sex-toy que j’avais apporté. Et je m’installe sur le lit, à quatre pattes, et entièrement nu. Je me mets à sucer mon préféré avant de le glisser en moi. Je le fais lentement. Il est évident que je suis complètement à la merci des regards. J’en suis consciente et excité. J’exagère mes expressions faciales pour démontrer que j’ai du plaisir. J’alterne entre des mouvements lents a des mouvements rapides. Dans ces vas et viens rapide, je bouge mon corps a l’inverse de l’action du sex-toy. Balançant mes seins du même fait. Après un moment, je le retire et le remplace par le gros. Quand il a terminé sa progression, je relève mon corps pour me positionner à genoux, les fesse en contact avec le matelas. Le sex-toy prit entre les deux. Je balance mon corps comme je le ferait assis sur un homme. Il n’a pas un grand mouvement de l’outil mais il n’a que moi qui le sais. Je pense que le spectacle est satisfaisant. J’agrippe mon préféré pour le mettre dans ma bouche et ainsi le sucer. J’augmente le mouvement graduellement pour démontrer une évolution de l’excitation. Et glisse toujours celui dans ma bouche. Je finie par le retirer pour me l’insérer dans mon cul. Et ainsi être prise doublement. Je me risque discrètement à regarder dans l’appart de monsieur. Où je remarque qu’il a son pyjama au genoux et se branle avec conviction. Je cesse de regarder par peur de l’effrayer et augmente le mouvement à une vitesse folle. Cette vision m’a électrisé. Je penche ma tête vers l’arrière et ouvre la bouche comme si je crie mon plaisir. En réalité, je simule. Il est bien évident que je ne laisse pas de sons sortir par crainte d’être entendu par les chambres voisines dans cet hôtel au mur de carton. Pour nos observateurs, ils en ont pas conscience. Ce petit jeu m’excite vraiment. Je tombe sur le dos, lève mes jambes et prends en mains le gourdin pour l’activer férocement en moi. Aillant toujours l’autre dans mon cul. Et là, je ne simule plus. Et c’est très difficile de retenir mes cries. Je suis trop excité. Le gourdin me donne un orgasme interne, mais je l’extirpe de mon vagin et continu avec ma main. J’ai un orgasme éjaculatoire féminine. Mais je ne crois pas qu’ils l’ont remarqué. Quand je m’arrête, je me laisse reprendre mes esprits étendu sur le lit.


Je retire mon sex-toy qui est inséré dans mon cul et retourne dans la douche pour éliminer ces traces de cette inconduite sexuelle. Je pense que c’est à ce moment que j’ai le plus réalisé tout ce que j’ai fait cette semaine. Je me surprends de mon côté exhibitionnisme. Surtout cette escalade. Je pense que de sentir l’excitation de mes spectateurs mon poussé à toujours me dépasser. A mon retour, je constate avec soulagement que j’ai très peu mouillé le lit. C’est surtout le sol qui a écopé. Je peux ainsi gagner le lit sans dormir dans des draps mouillés. Je visionne l’action capté de mes voisins. Je peux ainsi admirer l’évolution de mon voyeur attentif. Cet homme m’allume pas particulièrement, mais de le voir excité ainsi et aillant l’image en tête de ce qui l’excite, étrangement, m’allume énormément. A un point tel que je jouie une seconde fois. Cette fois-ci, j’étais à l’abris des regards. Les visionnements ont toujours été dans une intimité. Et vous savez, je suis certaine que la voisine m’a regardé également. La seule chose que je n’avais pas prévu, c’est que le type aurait pu tenter de venir cogner à ma porte. Heureusement qu’il n’a pas eu l’idée ou le courage. J’ai aimé lui faire un show. Mais je n’avais aucune envie de contact.

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