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Tournante en cité

Je livre mon épouse a un maitre black et son groupe dans les caves d'une cité

Proposée le 27/05/2022 par Noirs-Désirs

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Thème: Femme soumise
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie


En ce mois de décembre, il fait froid, à cette heure tardive, assez peu de passants sur les trottoirs de cette cité de Saint Denis. De hauts immeubles se dressent autour de nous, pas de doute, nous sommes proches de notre lieu de rendez-vous. Le GPS nous annonce l'arrivée dans trois minutes.

Quelques jours plus tôt, j'ai pris contact avec un homme sur notre site de rencontre habituel. Sa fiche donnait déjà un avant-goût de ses pratiques, les commentaires sur son profil étaient bons, et certains émanaient de couples de notre connaissance, ce qui j'avoue me rassura quant au sérieux du monsieur. L'échange de messages me confirma que j'avais trouvé la bonne personne. Mamadou, un Malien, trente-deux ans, informaticien, marié et habitant cette cité depuis son arrivée en France dix ans plus tôt, il a la connaissance de la cité et les contacts nécessaires pour l'idée que j'ai en tête pour mon épouse. Je demande à Mamadou si il est partant pour échanger nos téléphones, bien plus pratique pour la mise en place de la soirée à venir.
Nous passons au téléphone pour la suite, j'ai besoin de garanties, mais aussi certaines exigences ainsi que des envies. J'expose à Mamadou mon projet, pour lui facilement réalisable, il dispose des lieux et des soldats indispensables pour mon idée.

Le GPS annonce :
— Vous arrivez à destination !

Nous voici sur un immense parking, des voitures, quelques épaves brûlées, la banlieue dans toute sa splendeur. Comme convenu, je demande à mon épouse de passer sur la banquette arrière. Elle est vêtue pour la circonstance d'une robe bleue légère et largement ouverte laissant apparaître une paire de bas blancs et surtout aucun string, pour le haut une échancrure dévoile une poitrine ferme et généreuse, passé autour de son cou un collier portant la mention "SLAVE" ainsi qu'une chaîne en guise de laisse.
Elle passe rapidement à l'arrière, car il fait très très froid à cette heure.


C'était d'ailleurs ce que m'avait dit madame :
— Tu es sûr pour la tenue, je vais avoir froid, non ?

Et à moi de lui répondre:
— Ne t'en fais pas, je suis sûr que tu vas passer une super soirée.

Allez j'appel mon complice du soir.
— Allô Mamadou nous sommes sur le parking en bas, la Renault rouge.

Et Mamadou qui nous attendait de nous répondre.
— J'arrive vous chercher, je suis escalier B, dans deux minutes, je suis là.

Je vois les grandes lettres dessinées au-dessus des porches, le B est à vingt mètres de l'endroit où nous sommes stationnés, un groupe de très jeunes blacks discute devant l'entrée de l'immeuble.
J’aperçois une masse noire d'environ deux mètres se frayant un passage au milieu du groupe et qui nous regarde, j'allume alors le plafonnier de la voiture.

Le voilà qui se dirige vers notre véhicule et arrive à ma vitre.
— Noirs-Desirs ?


Je lui fais signe de monter derrière où ma femme l'attend. Elle, assise, jambes grandes ouvertes, le regarde monter à côté d'elle.
Il ne perd pas une seconde pour lui prendre la bouche, il lui fourre sa langue dans la bouche sans même un bonjour, et pose sa grosse main sur la cuisse de mon épouse.

La soirée est lancée !
— Allez suivez-moi vite, on vous attend !

Nous voici hors de la voiture, les jeunes qui discutaient entre eux s'écartent et nous laissent passer. Quelques mots arrivent jusqu'à nos oreilles.

— Elle est bonne cette salope, une sacrée chienne, regarde-moi la pute…


Madame que je sais excitée, mais assez rassurée, ne dit mot et file derrière Mamadou, lui, sourire aux lèvres, nous entraîne vers un escalier, au passage de la porte, il saisit la chaîne qui pend au cou de ma femme et la dirige vers les marches qui descendent, direction le parking et les caves. Il allume la lampe de son portable en guise de lumière pour nous guider.

Il pousse la porte devant lui, un long couloir sans lumières aux portes de bois s'ouvre devant nous. Mamadou passe devant, et nous guide à la faible clarté de son portable, dans l'autre main, la laisse de madame maintenue fermement. C'est un colosse d'environs deux mètres et d'au moins cent trente kilos. Il s'arrête devant une porte fermée par un cadenas.

Il l'ouvre, une ampoule blanche balance au plafond et nous agresse les yeux, après quelques secondes, nos pupilles s'acclimatent à cette clarté et nous découvrons un matelas jeté à même le sol, ainsi qu'un gros anneau scellé au mur. Il prend la laisse que mon épouse porte autour du cou et l'attache a l'anneau, ce géant la fait mettre accroupie sur le matelas et recule d'un pas pour contempler sa soumise ainsi livrée à ses désirs.

Il ouvre sa braguette d'un geste et sort un sexe aux dimensions vraiment hors normes comme d'ailleurs la taille de notre géant. Un sexe lourd et long d'une grosseur extraordinaire, les témoignages n'avaient pas menti. C’est de très loin les sexes les plus imposants que je n'ai jamais trouvés lors de nos nombreuses rencontres. Je vois que ma femme en a déjà l'eau à la bouche. Et bientôt elle ouvre sa bouche, et à ma demande, met les bras dans son dos pour le sucer sans ses mains. Mamadou lui tend son membre en demi-érection, dès que son gland passe ses lèvres, il durcit encore on peut voir les veines de sa bite se gorger de sang, ce qui a pour effet de la faire grossir encore plus. Il lui prend la tête et la tire en avant pour qu'elle avale sa queue en entier.

J'entends du bruit, des paroles, dans le couloir. Le groupe de jeunes noirs, voire même très très jeunes, ils ne doivent pas avoir plus de vingt ans, ceux de l'entrée, nous ont suivis à distance et arrivent à la porte de la cave.

— Alors Mamadou, c'est la pute dont tu nous avais parlé et qu'on va baiser, ah tu es déjà en action, visiblement elle suce bien cette petite chienne !!!

Mamadou lance à la volée :
— Allez les petits, sortez vos bites, elle va vous sucer, hein petite salope, dis-leur que tu veux leurs queues !

Ma femme complètement dans son rôle de soumise lui répond :
— Oui monsieur, qu'ils me donnent leurs sexes, je veux les sucer.

La voici qui s'empresse d'obéir à son Maître du jour, attrape tous les sexes pour les engloutir dans sa gorge. Elle suce, branle, avale, lèche chaque mec et y prend visiblement un grand plaisir. Les jeunes ne se privant pas de l'insulter tout en lui forçant sa gorge de leurs bites raides et dures.

— Bouffe-moi la teb salope, pompe-moi à fond p'tite pute, avale-moi le gland chaudasse, tu vas nous faire jouir et après on te mettra nos chibres dans ta chatte et dans ton cul …

Elle les suce si bien qu'au bout de quelques minutes, le premier dans un râle envoie une belle quantité de foutre dans sa bouche et du coup un liquide blanchâtre s'échappe de sa bouche et c'est le départ pour cette forêt de bites, des jets de sperme de toutes les queues, des giclées de semence lui inondent la bouche, elle n'arrive pas à avaler autant de foutre. Son visage est recouvert d'une substance gluante, blanche et chaude, sont maquillage lui coule sur les joues, elle est magnifique, souillée ainsi.

Mais Mamadou reprend en main sur son jouet.
Pendant que les jeunes se faisaient sucer, il n'en avait pas perdu une miette et bandait dur.
Mon épouse toujours à genoux attendait les directives de Maitre, toujours recouverte du sperme de jeunes noirs. Il décroche sa laisse et lui ordonne de se lever et de remercier chaque mec un par un pour leur généreuse donation, ce qui amuse beaucoup les jeunes.
La voir ainsi visage recouvert de leur foutre et qui passe un à un leur dire merci pour leur sperme.
Mais voilà Mamadou qui lui intime de se mettre à quatre pattes.
Elle se soumet aux ordres sans discutions, elle tourne le dos à la porte, pose les genoux au sol ainsi que ses mains, la voilà à quatre pattes, complètement impudique, sa robe remontée ne cachant rien de ses fesses bien blanches et laissant apparaître sa fente brillante et un petit trou déjà bien humide.

Mamadou, sa queue à la main, arrache d'un coup de dent l'emballage d'un préservatif et le déroule sur ce membre dressé.

— Regardez les jeunes comment on baise une bourgeoise, après elle est à vous.

Le voilà qui prend place derrière elle, en bon mâle alpha, il s'introduit dans mon épouse par la petite porte, pousse son gland pour élargir le passage et me regarde droit dans les yeux, un sourire aux lèvres et d'une poussée, la matraque qui lui sert de sexe disparaît à l'intérieur du cul de madame qui crie de douleur et de plaisir.

Le colosse la sodomise, il la force, la défonce tant et si bien que madame se met à jouir dans de grands râles, elle l'encourage à encore plus de vigueur.

— Oui, allez-y enculez-moi, plus vite, je vais jouir oui encore plus fort !!!

Il reste là une minute, sa queue plantée au plus profond d'elle, de notre point de vue, on aperçoit qu'une paire de couilles bien noires sur ses fesses blanches. Mon épouse n'en peut plus de jouissance.
Mamadou sort de son cul, la capote pleine d'une grosse quantité de liquide séminal, il la retire de son chibre, lui intime l'ordre d'ouvrir sa bouche et y déverse un jus gras et épais qu'elle l'avale. En dix secondes, elle a vidé tout le contenu visqueux du préservatif.

Ensuite, il la fait allonger sur le dos et lâche sa meute de jeunes loups affamés de sexe sur madame qui attend jambes grandes ouvertes sans bouger. Les assauts des mâles des cités se succèdent, chacun enfilant un préservatif puis se glissant entre ses cuisses.

Elle n'en peut plus de jouissance, mais Mamadou ne l'entend pas de cette oreille et demande à sa horde de baiseurs de la prendre en double. Au bout de deux heures de ce traitement et de nombreuses jouissances répétées, mon épouse, épuisée, mais ravie d'avoir servi de sac à foutre pour une partie de la jeunesse de cette cité. Elle est allongée entre les étuis de préservatifs, le visage, les seins, le ventre couvert de sécrétions blanchâtres et visqueuses.

Mamadou ramasse la laisse qui traîne au sol, me la tend et me dit :
— Voilà, je te la rends ta salope, elle sait maintenant comment on traite les chiennes de bourgeoise dans le neuf trois.
— Dis à ton mari comment tu as aimé te faire salir par moi et mes soldats.

Et elle toujours allongée sur le matelas de me dire :
— Oui mon chéri, il a raison, j'ai adoré être utilisée par eux, ils m'ont fait jouir et jouir encore. Merci à eux et surtout à Monsieur Mamadou pour le plaisir qu'il m'a donné.

Nous remontons de la cave, précédés de Mamadou.
Madame toujours sous le choc et encore vacillante a du mal a tenir sur ses jambes.
La cage d'escalier est vide, il fait nuit noire, Mamadou nous raccompagne jusqu'à la voiture. On le remercie pour son organisation et la sélection sans faille des participants.

Le retour se passe en silence. Je sais qu'elle comme moi avons passé une excellente soirée et que demain nous regarderons ensemble les clichés et vidéos que j'ai réalisés durant le déroulement de notre sortie

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Guillaume 3834
Assez hard mais ca sent le vécu
Posté le 27/10/2024


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