Je n'ai jamais vu ma femme se faire sodomiser de cette façon, embrochée jusqu'à la gueule par un homme qui la porte. Ludo me demande d'équilibrer les forces en la prenant par devant pendant qu'il se charge de son cul. La place est étroite.
Proposée le 16/05/2022 par mlkjhg39
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FHH
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme
Accro de danse…et de sexe… 6
Je prends doucement la main de Valentine et la pose sur la bosse imposante à l’avant du slip de Ludo. Elle ne se fait pas priée et caresse la protubérance qui reprend déjà vie. La bosse s’allonge, s’allonge sous les caresses, repoussant le fin tissu, écartant l’élastique. Elle continue la manœuvre sans toutefois s’occuper de se qui dépasse désormais du slip.
-Profite-en, accroche-toi seule à lui comme tu en crèves d’envie.
Il lui annonce:
-Allez ma belle, finis de me remettre d’attaque pour que je te prouve que tu as bien un cul à bite.
Suite.
Elle attrape sa queue qui dépasse désormais orgueilleusement du slip à deux mains et se jette dessus, comme une affamée, pour la sucer. Je suis de nouveau en admiration devant ce type et son démonte-pneu. C’est vraiment rare de tomber sur un tel phénomène. La pose lui a suffit pour recharger ses batteries…et ses couilles.
Il lui retire la robe de chambre, la repousse et lui ordonne de se mettre à quatre pattes pour lui bouffer le cul pendant que sa main droite s’égare dans une chatte complètement trempée, la main gauche sur sa hanche pour la maintenir. Elle grogne de plaisir comme une truie, inondant régulièrement les doigts de Ludovic d’une bonne dose de cyprine. J’ai bien peur qu’on soit « persona-non-grata » dans cet hôtel à vie quand ils découvriront l’état de la chambre.
Après la langue, c’est maintenant ses doigts brillants de la mouille de Valentine qui tentent leur chance dans son fion. Un doigt, puis deux, puis trois sous les encouragements de ma femme.
-Ouiiiiii ! Oh ouiiii ! Mets-là moi putain ! Je suis chaude, je suis prête à supporter ta poutre !
-D’accord ! lance-t-il. Mais je vais quand-même te graisser le cul. Et se tournant vers moi, « Martial, donne un petit coup de main en me mettant un préservatif ».
Je suis un peu interloqué par sa demande mais ne peux m’y soumettre sous le regard suppliant de ma chienne de femme en chaleur. Je déchire donc l’étui d’une capote XXL. Ludovic étant lui aussi à genoux derrière ma femme, sa verge est dressé à l’horizontal, comme celle d’un chien s’apprêtant à copuler avec une chienne. Je saisis donc avec ma main gauche son mandrin, putain que c’est chaud et dur…et déroule de l’autre main la capote sur son gland puis sur la hampe d’une rigidité ferrugineuse. Même déroulé à fond, le condom ne couvre pas la totalité de cette formidable colonne de chair. Mission accomplie, j’en informe Ludo pour que Valentine le sache aussi. Et ajoute une bonne dose de lubrifiant sur la capote, branlant sans même m’en rendre vraiment compte ce bélier prêt à défoncer le cul de ma femme pendant que mon autre main s’affole sur ma pauvre bite. Quel contraste…
Il me repousse sans ménagement, comme s’il se débarrassait de mouches indésirables. Ludo, les mains sur les hanches de ma femme, la baise à nouveau pendant quelques minutes avant de changer brusquement de cible et sans ménagement de lui défoncer le fion, faisant disparaître son gland dans le sphincter de ma femme puis cessant tout mouvement sous un cri qui doit résonner dans tout l’hôtel. Je me précipite pour la bâillonner d’une main mais change d’avis. Au lieu de ma main, c’est ma bite qui se charge de la faire taire. Elle grogne maintenant, je ne sais pas si c’est de contrariété, de douleur ou de plaisir. J’ai une vue plongeante sur le dos de Valentine et assiste donc au premier plan à une énorme poussée rectiligne de Ludo. Centimètre après centimètre, son chibre disparait entre les fesses de ma femme et j’entends le « tchac » de ses burnes qui s’écrasent sur la vulve de Valentine. D’un geste réflexe de ses mâchoires, elle manque presque de m’émasculer avec ses dents. Le « tchac » devient répétitif et de plus en plus rapide. A chaque enculage, le corps de Valentine est projeté vers l’avant et elle avale ma verge jusqu’aux bourses.
Le rythme ralentit enfin, elle love son cul contre lui. Une main sur chacun de ses seins, il la relève, l’entrainant avec lui et s’assoit sur le bord du lit. Elle l’embrasse acrobatiquement en se recalant bien assise sur sa bite pendant qu’il lui caresse la poitrine. Elle tourne la tête pendant qu’il lui fouille l’oreille de sa langue et lui susurre quelques paroles. Valentine opine de la tête puis l’exhorte :
-Oui, je le veux.
Ludovic glisse ses mains sous les cuisses de mon épouse.
-Tu es sûre d’en vouloir encore ? Ça va être costaud.
Elle lui fait un léger signe d’acquiescement, les yeux plissés mi-clos en se caressant la joue sur son nouveau partenaire, mais je vois bien qu’elle redoute quelque chose.
Placé derrière elle, il l’embrasse une nouvelle fois et se relève, elle s’accroche comme elle peut à Ludo enfoncé en elle. Les pieds bien posés au sol, les jambes écartés pour un meilleur équilibre, il la soulève de ses bras puissants et la laisse retomber sur son axe d’airain.
Elle halète et grimace en se tortillant comme elle peut pour atténuer cette pénétration dantesque que rien ne peut empêcher d’aller au delà du possible. Le supplice du pal du comte Dracula…
Son visage est ravagé, elle ouvre grand sa bouche et halète puis râle légèrement à chaque coup de reins du possesseur de ce gros porteur. Je les encourage.
- Ludovic, tu la soulèves bien, putain ce qu’elle dérouille ! Encore une chance que Valentine est un petit gabarit. Tu es le premier à la prendre de cette façon.
A peine j’ai finit ma phrase qu’elle se met à chanter son plaisir d’avoir cette énorme bite en elle. Il augmente le rythme des montées et descendantes de ma femme sur son soc alors qu’elle jouit encore et encore.
-Au lieu de d’extasier, me décoche-t-il, vient plutôt m’aider, viens t’occuper de la chatte de ta femme.
Je sais que Valentine n’est pas contre et me présente entre ses cuisses pour insérer ma verge dans son vagin. J’ai quelques difficulté car le passage s’est énormément resserré vu ce qui se trouve dans son rectum qui pousse sur la mince cloison de chair entre ces deux trous. J’aide Ludovic à porter ma moitié et l’accompagne d’un coup de reins à chaque fois qu’il avance en elle. Valentine s’agrippe à mes épaules en relevant la tête et m’embrasse à pleine bouche, comme si elle voulait que sa langue participe elle aussi à cette acrobatique position.
On ne peut pas tenir longtemps avant de se désynchroniser. Il la repose au sol et reprend l’enculage.
Je remets ma queue dans sa bouche et elle reprend sa succion. Devant un tel stimulus, je résiste le plus possible mais ne peux plus me retenir et éjacule dans la bouche de ma femme. Je me demande même si elle s’en rend compte car elle est en train de subir une sodomie d’anthologie avec Ludovic.
Il arrive lui aussi à l’orgasme, il décule et retire la capote, laissant béant l’anus de ma femme qui a des difficultés à se refermer. Il se branle avec force et un jet formidable s’échappe du méat, monte dans les airs sous un grognement de bête et trouve un obstacle, moi... J’en ai plein le ventre et Valentine n’est pas épargnée. Les expulsions se succèdent et on peut suivre en pointillé sur le dos de Valentine les différentes trainées de foutre. Il a de vraies couilles de taureau, ce mec là !!! À lui tout seul, il ferait le bonheur des infirmières des centres d’inséminations qui se battraient sûrement pour faire monter la mayonnaise dans le tuyau…
Valentine se retourne et lui prend le sexe mais il lui ordonne :
-Masse-moi les couilles, oui, comme ça, j’espère que tu es contente du cheval. Mais s’il y a un jour une deuxième fois, Je veux me vider en toi, sans capote… On fera ce qu’il faut pour ça sans courir de risques.
La chambre, qui a abrité nos ébats sent le foutre. Il me montre la chatte et l’anus encore dilatés. Je les ai souvent vus bien ouverts mais jamais à ce point. Je ne crois pas avoir déjà vu Valentine jouir de cette façon avec un seul partenaire et avoir autant d’orgasmes d’affilés. C’est son record et je pense que la dessus, il me fout la honte.
Il se rhabille et me sert la main en me susurrant:
-J’espère que j’ai été à la hauteur de ce que tu attendais et que le spectacle t’as plu.
Je ne réponds pas mais Valentine à l’oreille fine et le fait à ma place en déclarant:
-Je ne sais pas pour Martial mais pour moi, je peux t’assurer que oui. Tu nous appelles quand tu veux si tu montes sur Paris. Et pas besoin de réserver une chambre dans un hôtel, la notre fera l’affaire…
Un petit instant de silence et nous nous mettons tous à rire. Quand nous serons rentrés chez nous, je lui ferai lire les histoires de Ludovic, je suis sur quelles vont lui plaire, surtout celle qui la concerne…
Fin.
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
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