Au matin, j’étais fin prête à quitter la région pour rejoindre Lipica et son haras exceptionnel de Lippizan. La voiture chargée, je me rendis compte que le pneu arrière droit de la voiture était à plat. La LOOSE ! Crevée, un dimanche à l’étranger !
Proposée le 25/04/2022 par Leeloo
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Roman
Au matin, j’étais fin prête à quitter la région pour rejoindre Lipica et son haras exceptionnel de Lippizan.
La voiture chargée, je me rendis compte que le pneu arrière droit de la voiture était à plat. La LOOSE ! Crevée, un dimanche à l’étranger !
Après plusieurs tentatives pour desserrer les boulons de la roue, je dû me résoudre à trouver de l’aide. Le bar étant pas loin, je mis rendis espérant qu’il soit ouvert et qu’un volontaire veuille bien m’aider.
Sur la terrasse, plusieurs personnes étaient installées. Mon choix se fit sur l’homme qui avait l’air le plus fort.
- Hy, excuse-me but I need help, and you are strong, en rigolant et en montrant mon bras plié. My car, …, I don’t know the word, my car have 4… avec mes mains je montrais une roue, one is caput. Can you help me?
- Oh, yes I can. I follow you.
Un peu gênée, je n’échangeais pas beaucoup de mots avec lui. Lorsqu’il vit le pneu à plat, je vis son visage se décomposer. Pendant qu’il s’appliquait à changer la roue, je lui servis d’assistante lui apportant à chaque étape l’élément dont il avait besoin. De temps en temps je le grillais en train d’espionner mes nichons et mes jambes lorsque je me baissais.
Une fois la roue changée, il mit l’ancienne sur le support présent sous la voiture. Le système de fixation de ce dernier se fait depuis le coffre. Trop difficile pour moi, il dût s’allonger au sol pour le pousser vers le haut, pendant que moi, les pieds quasiment collées à lui, tirais la languette d’un coup sec pour enclencher la fixation.
- Yes, it’s ok ! Thank you
Je lui fis un grand sourire et me pencha pour lui attraper la main et l’aider à se relever.
- Come inside for… Wash your hands
- Yes please.
Il m’aida à remettre dans le coffre toutes mes affaires, manipulant tous mes sacs avec un mouchoirs pour éviter de les salir et l’accompagnais aux toilettes de l’auberge.
Lui et moi ne parlions pas beaucoup, nous échangions des sourires de politesse lorsqu’il dit :
- Sorry, I don’t speak English
En riant je lui répondis :
- Me too. It’s here
Il entra dans les toilettes pour hommes et moi pour les femmes. Dans le couloir, après quelques minutes, ne le voyant pas sortir, j’y entrais pour m’assurer que tout allait bien.
- Hy… Every body ? Hy…
- Yes, I’am here, come
- Ok, how are you ?
J’ouvris la porte d’un pas timide et il me fis signe de venir à lui
- Fine, come
Ses yeux me dévoraient et sa voix était douce. Ses bras qui m’avaient fait le choisir étaient vraiment très musclés, sûr qu’il devait faire de la musculation ou un métier très manuel, genre artisan. Je pense qu’il devait à peine avoir 40 ans ou les avoir depuis pas très longtemps, c’était un bel homme.
Il leva sa main, tenant une capote. Je n’eus pas de mal à reconnaître l’une des miennes car les inscriptions étaient en français. Cela me fit rougir.
- Come
Tandis que je m’approchais de lui, il tapota le plan de travail de l’évier et m’installa dessus. J’écartais les jambes pour lui confirmer qu’il pouvait déballer le préservatif mais il le posa à côté de lui.
Dans un premier temps, du bout d’un doigt il frôla la couture de mon débardeur, puis il effleura ma peau. Du dos du doigt il toucha chaque centimètre de mon soutien-gorge. Celui-ci a une forme particulière. Il est molletonné mais il s’arrête juste au-dessus du téton, offrant ainsi à qui le veut le plus bel effet et la vue la plus profonde. Du dos de son doigt il abaissa mon débardeur sous la poitrine en me regardant dans les yeux. Ensuite, toujours avec le dos de son doigt, il obligea mon soutien-gorge à se plier en deux sous ma poitrine lui donnant au moins deux tailles de plus. Sa main se tourna et l’un à après l’autre, il caressait mes seins.
J’avais pris le temps de regarder ses mains et ses doigts pendant qu’il changeait ma roue, et n’avait fait qu’imaginer l’effet qu’ils me feraient en me pénétrant. Là l’une d’elle accapara mes mamelons en les caressant et en les embrassant, l’autre s’égarait sous ma jupe, remontant ma cuisse et ma fesse. Je me suis alors penchée d’un côté puis de l’autre pour retirer ma culotte. Ensuite j’ai commencé moi aussi à toucher son corps jusqu’à ce qu’il dise :
- No, don’t moove
C’était une journée un peu fraîche, je portais une écharpe. Il la retira de mon cou et la noua autour de ma tête sur mes yeux. C’est alors que je senti l’un de ses doigts entre mes lèvres puis il m’embrassa. Ensuite, il releva ma jupe et se pencha pour lécher mon sexe. Assuré d’avoir humidifié mon corps, il commença à faire danser ses doigts et en inséra un puis un autre. J’avais eu raison de fantasmer sur eux, leurs étreintes étaient divines si bien que ma respiration accélérée et ma voix imposèrent leurs présences dans la pièce.
Au départ il mit une main sur ma bouche puis en ayant besoin certainement pour autre chose il me fit mordre mon écharpe pour atténuer le son. Au bout d’un long moment fort intense, j’entendis le sachet de capote être déchiré. Installé dans mon corps par une pénétration douce, son pénis s’imposait en moi. Tout en caressant mes seins et mon dos, son va et vient était lent et délicat. Son truc était surtout de maintenir son gland à la base de mon vagin. Mordre le tissu n’était plus suffisant et de nouveau ma voix retentie. Il posa sa main d’un coup sur ma bouche et s’enfonça profondément sans plus de rythme, il n’en avait pas besoin, j’étais si excitée et profitais tellement de son expertise que j’étais trempée et au bord de l’orgasme.
J’étais tellement en train de prendre mon pied que je ne me rendis pas compte tout de suite qu’il y avait une main sur ma bouche, une sur mes reins pour se maintenir contre mes cuisses et deux sur mes seins. C’est lorsque j’ai entendu un autre sachet s’ouvrir que je compris. J’ai alors accroché mes jambes autour de mon mécanicien du dimanche et ai commencé à caresser mon clitoris. L’une des mains en trop se fraya un chemin de ma fesse à mon entre fesse entre moi et les cuisses de mon dépanneur. Je la senti humide et aventureuse sur mon anus, ce qui décupla mon plaisir.
Mon sauveur m’attrapa les fesses et me porta. Je pensais qu’il allait me plaquer contre le mur mais au lieu de ça je fus collée contre un buste. Cet étranger commença par retirer mon soutif pour libérer et caresser mes seins puis il reprit son aventure avec ma rondelle. Ses doigts effectuèrent un travail doux et lent, je fus assez rapidement suffisamment dilatée pour qu’il insère un doigt. Peu à peu, le plaisir de cette pénétration arrière couplée par le pénis déjà en moi, un orgasme m’envahissait. J’avais beau serrer les dents pour ne pas crier, c’était vraiment difficile d’être silencieuse.
C’est alors que le gland fut présenté à mon anus avec la plus grande délicatesse. Mon mécano recula son pénis de mon vagin pour n’y laisser que son gland et sa main vint stimuler mon clitoris, permettant ainsi à l’étranger de m’envahir avec son dard. Une fois installé, le dépanneur repris sa pénétration. J’avais ainsi deux queues en moi. J’avais déjà expérimenté ce genre de chose avec un homme et un jouet, mais deux hommes en même temps cela n’était jamais arrivé.
La position étant difficile à tenir, l’homme contre le mur s’abaissa doucement jusqu’à s’assoir sur le sol. Avec les yeux bandés et le plaisir, je n'avais plus aucunes notions de l’espace. Je savais juste que j’étais assise sur l’homme qui m’enculait, qu’il me caressait les seins et que c’était maintenant lui qui couvrait ma bouche avec sa main. Mes jambes étaient maintenues par l’homme face à moi. Je pouvais maintenant me laisser aller et jouer avec mon corps.
Mais quel kiffe ! Ils n’ont pas tardé à remplir leur capote ! J’ai tellement joui que cela en étant indécent.
D’une grande gentillesse, ils m’ont aidé à me relever m’ont nettoyé la vulve, le sillon et l’anus de toute ma cyprin avec du papier toilette mouillé. Lorsque j’ai retiré mon écharpe, le deuxième homme n’était plus là, je n’ai jamais su qui il avait été ni comment il était arrivé là et je n’ai pas demandé.
L’étalon musclé m’a accompagné à la voiture et j’ai tout simplement pris la route pour Lipica.
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Commentaires de l'histoire :
Alexandra
Très beau récit et surtout bien écrit. J'adore me retrouvée les yeux bandés et subir des attouchements dont on ne connait la provenance. Le mystère s'installe et demeure présent un long moment. Un plaisir qui perdure. Merci à vous
Posté le 14/05/2022
Sunstone
Très bon récit, excitant et très bien écrit! On en veut d'autres! :)
Posté le 25/04/2022
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